Oui mais ça je l'ai lu après c'est l'article complet qu'il faudrait

GABRIEL Chris
#451
Posted 06 March 2025 - 20:57 PM
#452
Posted 06 March 2025 - 21:00 PM
ah bon! c' est bien l'article paru dans la montagne.
#453
Posted 07 March 2025 - 07:30 AM
Oui mais ça je l'ai lu après c'est l'article complet qu'il faudrait
Tiens...
Pro D2 : à l'USON Nevers, le seconde ligne Chris Gabriel a enfin trouvé sa voie dans le rugby
Le seconde ligne Chris Gabriel a définitivement posé ses valises à Nevers, cette saison. Et à 25 ans, le Néo-Zélandais enchaîne les bonnes performances. Dans un sport dans lequel il n’aurait jamais percé, s’il ne s’était pas endormi dans la voiture de sa mère. Portrait.
Il est de coutume de comparer le gabarit d’un rugbyman et sa timidité. Pour Chris Gabriel, c’est le cas, si on l’aborde en parlant français. « Quand je vois quelqu’un arrive vers moi et parler français, je me dis “oh m…. », sourit le Néo-Zélandais de 2,03 et 128 kilos. Pour l’instant, de la langue de Molière, le seconde ligne de l’USON Nevers ne connaît que ce qui est appliqué à la tactique. Car depuis six ans, il ne cesse d’apprendre. Sur lui, son éthique professionnelle et son sport, le rugby à XV, qu’il a découvert en 2019. « J’ai commencé à neuf ans par le XIII », rappelle le natif d’Auckland.
« Pour mon anniversaire, mes parents m’avaient offert un entraînement. »
« Tu prends le ballon et tu cours »
Avant un camp sportif à Christchurch, en 2018. Il a 19 ans. « J’ai joué au rugby à VII. Normalement, je ne voulais pas. Mais mes oncles et mes tantes ont insisté. Je ne connaissais pas les règles. Ils m’ont dit : “Tu prends le ballon et tu cours”. »
Le rugby qu’il joue actuellement, à XV, vient juste après. Malgré les invitations d’un oncle qui joue à Waitemata, dans un club local d’Auckland, Chris Gabriel préfère la boxe. Il est à son premier mois de pratique quand il demande à sa mère de l’emmener à l’entraînement. « Je me suis endormi dans la voiture et je me suis réveillé au club de rugby de mon oncle », se souvient-il en souriant.
« J’ai appris que je pouvais garder le ballon, pas comme au XIII. Que l’on pouvait pousser en mêlée, et forcément récupérer une pénalité. Je ne comprenais pas pourquoi mes coéquipiers célébraient ça comme un essai. Je jouais avec des gars qui avaient de la barbe et des tatouages. J’étais très maigre. »
Car Chris Gabriel a toujours été « le plus grand. Jusqu’à 20 ans, je ne connaissais pas tout ce qui a trait au métabolisme. » Tout ça, il continue de l’apprendre lors de sa deuxième année de rugby, à Massey, club amateur, dans le championnat de North Harbour. « C’est là que j’ai compris l’importance du poids. J’ai quand même appris le côté professionnel du rugby, avec un programme strict d’entraînements. » En deux ans, il prend 31 kilos.
Dès sa troisième année de rugby à XV, le colosse s’expatrie au Japon, au Toyota Shokki. « Tusi Pisi (42 sélections avec les Samoa, NDLR), qui a joué dans l’équipe professionnelle de North Harbour, a pris sa retraite dans ce club japonais, puis en est devenu l’entraîneur. Il m’a dit de venir. » À Kariya, dans la province d’Aichi, il signe son premier contrat pro, pour une saison, en 2022.
Au Japon, il ne joue qu’un match officiel et des amicaux. « Le club m’avait proposé un contrat de quatre ans, mais mon fils est né à la fin de la saison. Je leur ai dit que je devais rester auprès de mon fils. Que je reviendrai la saison suivante. »
Finalement, ça ne s’est pas fait. Ses agents contactent le club de Clermont, pour un essai de trois semaines, fin 2022. « Je ne sais pas pourquoi Clermont ». Peut-être que le club auvergnat revêtait une certaine popularité après avoir été entraîné par le Néo-Zélandais Vern Cotter (de 2006 à 2014) ? « Je ne sais pas. Je ne connais pas les gens du rugby, seulement les superstars, comme Richie McCaw, Dan Carter, Joe Rokocoko… »
Rob Simmons, son mentor
Un essai concluant. Cependant, quand l’arrivée de Chris Gabriel est annoncée par l’ASM, en mars 2023, le Néo-Zélandais Jono Gibbes n’en est plus l’entraîneur en chef. « Le club voulait toujours de moi. » Mais à 23 ans, le Neversois reconnaît qu’il manquait toujours de professionnalisme, à un niveau qui en requérait davantage. « Je m’endormais à toutes les séances vidéos. J’étais assis au fond de la salle. On m’a mis devant, j’étais juste devant Christophe (Urios, nommé entraîneur, ndlr), et je m’endormais encore. Ce n’était pas bien. En plus, à ce moment-là, le club n’était pas dans une bonne phase. »
Dans la capitale auvergnate, Chris Gabriel trouve des professeurs : « Rob Simmons, Folau Fainga’a, Irae Simone, Peceli Yato, Fritz Lee. Ils m’ont appris. Sur la récupération, etc. Pour être davantage professionnel. »
Et sur son poste de deuxième ligne, il rend hommage à Rob Simmons (106 sélections avec l’Australie).
Sans jouer aucune rencontre de Top 14, il est prêté en avril 2024 à l’USON, jusqu’à la fin de saison, où il joue huit matches. « Christophe (Urios) m’avait parlé en bien de Nevers. Ce prêt était une bonne chose, car j’ai pu appliquer tout ce que j’avais appris à Clermont. »
Un prêt concluant, car le seconde ligne a définitivement posé ses valises dans la Nièvre, cette saison. « L’une des raisons pour laquelle je suis resté, c’est que j’apprécie Séb’ (Sébastien Fouassier), Guillaume (Jan), Xavier (Péméja), les joueurs et l’environnement. Et cette saison, je suis encore plus proche de tout le monde. »
« Parfois, c’est dur »
S’il doit beaucoup à Rob Simmons, Chris Gabriel a « appris les détails » avec Sébastien Fouassier, entraîneurs des avants neversois. « Je peux lui demander n’importe quoi, il aura une réponse », s’étonne-t-il. « J’apprends également des joueurs. Senio (Toleafoa), Kazu’, (Julien Kazubek), Plat’ (Luka Plataret)... Je parle à tout le monde. » Et s’il continue d’engranger du QI rugby, les progrès du Néo-Zélandais sont visibles. Depuis quelques mois, le seconde ligne enchaîne les bonnes performances.
« La saison est difficile, surtout par rapport à la dernière, où nous n’étions pas dans cette situation. Je pense qu’il faut que l’on reste groupé », estime-t-il. Et, demain, à Béziers, les Neversois auront fort à faire sur la pelouse du 5e de Pro D2. « Devant, ce sera dur, comme à chaque match. Mais si on domine ce secteur, ça créera des situations pour nos arrières. Il faut que l’on reste soudés. »
Plus mature, plus expérimenté, Chris Gabriel a enfin trouvé, à Nevers, sa voie dans le rugby. « Mon fils et ma compagne sont toujours en Nouvelle-Zélande. Elle étudie pour devenir enseignante. Ils sont venus un mois en janvier. Ils me manquent. C’est dur, parfois. Mais je fais ça pour eux. »
Jéraud Mouchet (LM - 06/03/25)
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#454
Posted 07 March 2025 - 07:36 AM
ah bon! c' est bien l'article paru dans la montagne.
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#455
Posted 07 March 2025 - 07:39 AM
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Tapavu ?...
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#456
Posted 07 March 2025 - 08:03 AM
Tiens...
Pro D2 : à l'USON Nevers, le seconde ligne Chris Gabriel a enfin trouvé sa voie dans le rugby
Le seconde ligne Chris Gabriel a définitivement posé ses valises à Nevers, cette saison. Et à 25 ans, le Néo-Zélandais enchaîne les bonnes performances. Dans un sport dans lequel il n’aurait jamais percé, s’il ne s’était pas endormi dans la voiture de sa mère. Portrait.
Il est de coutume de comparer le gabarit d’un rugbyman et sa timidité. Pour Chris Gabriel, c’est le cas, si on l’aborde en parlant français. « Quand je vois quelqu’un arrive vers moi et parler français, je me dis “oh m…. », sourit le Néo-Zélandais de 2,03 et 128 kilos. Pour l’instant, de la langue de Molière, le seconde ligne de l’USON Nevers ne connaît que ce qui est appliqué à la tactique. Car depuis six ans, il ne cesse d’apprendre. Sur lui, son éthique professionnelle et son sport, le rugby à XV, qu’il a découvert en 2019. « J’ai commencé à neuf ans par le XIII », rappelle le natif d’Auckland.
« Pour mon anniversaire, mes parents m’avaient offert un entraînement. »
« Tu prends le ballon et tu cours »
Avant un camp sportif à Christchurch, en 2018. Il a 19 ans. « J’ai joué au rugby à VII. Normalement, je ne voulais pas. Mais mes oncles et mes tantes ont insisté. Je ne connaissais pas les règles. Ils m’ont dit : “Tu prends le ballon et tu cours”. »
Le rugby qu’il joue actuellement, à XV, vient juste après. Malgré les invitations d’un oncle qui joue à Waitemata, dans un club local d’Auckland, Chris Gabriel préfère la boxe. Il est à son premier mois de pratique quand il demande à sa mère de l’emmener à l’entraînement. « Je me suis endormi dans la voiture et je me suis réveillé au club de rugby de mon oncle », se souvient-il en souriant.
« J’ai appris que je pouvais garder le ballon, pas comme au XIII. Que l’on pouvait pousser en mêlée, et forcément récupérer une pénalité. Je ne comprenais pas pourquoi mes coéquipiers célébraient ça comme un essai. Je jouais avec des gars qui avaient de la barbe et des tatouages. J’étais très maigre. »
« Ils m’ont demandé si je savais sauter et attraper un ballon. Je ne connaissais pas les règles ni les positions ».Car Chris Gabriel a toujours été « le plus grand. Jusqu’à 20 ans, je ne connaissais pas tout ce qui a trait au métabolisme. » Tout ça, il continue de l’apprendre lors de sa deuxième année de rugby, à Massey, club amateur, dans le championnat de North Harbour. « C’est là que j’ai compris l’importance du poids. J’ai quand même appris le côté professionnel du rugby, avec un programme strict d’entraînements. » En deux ans, il prend 31 kilos.
Dès sa troisième année de rugby à XV, le colosse s’expatrie au Japon, au Toyota Shokki. « Tusi Pisi (42 sélections avec les Samoa, NDLR), qui a joué dans l’équipe professionnelle de North Harbour, a pris sa retraite dans ce club japonais, puis en est devenu l’entraîneur. Il m’a dit de venir. » À Kariya, dans la province d’Aichi, il signe son premier contrat pro, pour une saison, en 2022.
Au Japon, il ne joue qu’un match officiel et des amicaux. « Le club m’avait proposé un contrat de quatre ans, mais mon fils est né à la fin de la saison. Je leur ai dit que je devais rester auprès de mon fils. Que je reviendrai la saison suivante. »
« J’ai dû apprendre à vivre comme un professionnel. Mais j’étais en retard aux entraînements, parfois je les manquais, ou alors je m’endormais pendant les réunions. J’étais juste jeune, en retard sur le professionnalisme. Ici, les espoirs connaissent déjà tout là-dessus. »
Finalement, ça ne s’est pas fait. Ses agents contactent le club de Clermont, pour un essai de trois semaines, fin 2022. « Je ne sais pas pourquoi Clermont ». Peut-être que le club auvergnat revêtait une certaine popularité après avoir été entraîné par le Néo-Zélandais Vern Cotter (de 2006 à 2014) ? « Je ne sais pas. Je ne connais pas les gens du rugby, seulement les superstars, comme Richie McCaw, Dan Carter, Joe Rokocoko… »
Rob Simmons, son mentor
Un essai concluant. Cependant, quand l’arrivée de Chris Gabriel est annoncée par l’ASM, en mars 2023, le Néo-Zélandais Jono Gibbes n’en est plus l’entraîneur en chef. « Le club voulait toujours de moi. » Mais à 23 ans, le Neversois reconnaît qu’il manquait toujours de professionnalisme, à un niveau qui en requérait davantage. « Je m’endormais à toutes les séances vidéos. J’étais assis au fond de la salle. On m’a mis devant, j’étais juste devant Christophe (Urios, nommé entraîneur, ndlr), et je m’endormais encore. Ce n’était pas bien. En plus, à ce moment-là, le club n’était pas dans une bonne phase. »
Dans la capitale auvergnate, Chris Gabriel trouve des professeurs : « Rob Simmons, Folau Fainga’a, Irae Simone, Peceli Yato, Fritz Lee. Ils m’ont appris. Sur la récupération, etc. Pour être davantage professionnel. »
Et sur son poste de deuxième ligne, il rend hommage à Rob Simmons (106 sélections avec l’Australie).Sans jouer aucune rencontre de Top 14, il est prêté en avril 2024 à l’USON, jusqu’à la fin de saison, où il joue huit matches. « Christophe (Urios) m’avait parlé en bien de Nevers. Ce prêt était une bonne chose, car j’ai pu appliquer tout ce que j’avais appris à Clermont. »
« Il sait tout faire. J’ai beaucoup appris de lui. Je me souviens d’une action, à Castres (27 janvier 2024, victoire de l’ASM 20-23, NDLR). Castres a une touche à cinq mètres de l’en-but de l’ASM. On est à la 80e minute. J’ai dit “Rob, va prendre le ballon”. Il l’a pris. Fritz Lee m’a enseigné beaucoup de petits détails sur les phases de ruck. »
Un prêt concluant, car le seconde ligne a définitivement posé ses valises dans la Nièvre, cette saison. « L’une des raisons pour laquelle je suis resté, c’est que j’apprécie Séb’ (Sébastien Fouassier), Guillaume (Jan), Xavier (Péméja), les joueurs et l’environnement. Et cette saison, je suis encore plus proche de tout le monde. »
« Parfois, c’est dur »
S’il doit beaucoup à Rob Simmons, Chris Gabriel a « appris les détails » avec Sébastien Fouassier, entraîneurs des avants neversois. « Je peux lui demander n’importe quoi, il aura une réponse », s’étonne-t-il. « J’apprends également des joueurs. Senio (Toleafoa), Kazu’, (Julien Kazubek), Plat’ (Luka Plataret)... Je parle à tout le monde. » Et s’il continue d’engranger du QI rugby, les progrès du Néo-Zélandais sont visibles. Depuis quelques mois, le seconde ligne enchaîne les bonnes performances.
« La saison est difficile, surtout par rapport à la dernière, où nous n’étions pas dans cette situation. Je pense qu’il faut que l’on reste groupé », estime-t-il. Et, demain, à Béziers, les Neversois auront fort à faire sur la pelouse du 5e de Pro D2. « Devant, ce sera dur, comme à chaque match. Mais si on domine ce secteur, ça créera des situations pour nos arrières. Il faut que l’on reste soudés. »
Plus mature, plus expérimenté, Chris Gabriel a enfin trouvé, à Nevers, sa voie dans le rugby. « Mon fils et ma compagne sont toujours en Nouvelle-Zélande. Elle étudie pour devenir enseignante. Ils sont venus un mois en janvier. Ils me manquent. C’est dur, parfois. Mais je fais ça pour eux. »
Jéraud Mouchet (LM - 06/03/25)
Sans extrapoler il est fort probable que ce joueur retourne assez vite en NZ pour raison familiale !
On comprend la pari "extrême " fait sur ce joueur , pari que je qualifierais d'improbable tellement le décalage entre son niveau trop imparfait pour le top 14 et son déracinement qui doit peser très lourd et c 'est compréhensible Comment ces gars peuvent vivre à des milliers de km de leur famille enfants sans avoir le spleen ?
Alors , oui , il a fait qqs progrès à Nevers en pro2 , ok , et ses deux percées l'ont mis en lumière dans les médias , c 'est bien pour lui et ce gars qui a l 'air attachant , mais de là .....On mesure la difficulté du déracinement , sans famille restée à quai et pour un jeune parachuté dans un environnement différent , l 'adaptation , n 'est pas gagnée , compliquée , sauf si petit à petit le Club devient pour lui une sorte de famille et qu'il rencontre une compagne , sinon les envies de retour deviennent pressantes ! Logique !
#457
Posted 07 March 2025 - 08:34 AM
Sans extrapoler il est fort probable que ce joueur retourne assez vite en NZ pour raison familiale !
On comprend la pari "extrême " fait sur ce joueur , pari que je qualifierais d'improbable tellement le décalage entre son niveau trop imparfait pour le top 14 et son déracinement qui doit peser très lourd et c 'est compréhensible Comment ces gars peuvent vivre à des milliers de km de leur famille enfants sans avoir le spleen ?
Alors , oui , il a fait qqs progrès à Nevers en pro2 , ok , et ses deux percées l'ont mis en lumière dans les médias , c 'est bien pour lui et ce gars qui a l 'air attachant , mais de là .....On mesure la difficulté du déracinement , sans famille restée à quai et pour un jeune parachuté dans un environnement différent , l 'adaptation , n 'est pas gagnée , compliquée , sauf si petit à petit le Club devient pour lui une sorte de famille et qu'il rencontre une compagne , sinon les envies de retour deviennent pressantes ! Logique !
Enfin il faut peut-être ouvrir sur les yeux sur la mondialisation du rugby, cela fait 20 ans que les sudistes traversent la planète pour venir jouer au rugby (et prendre de la moula) en Europe. Je ne vois pas en quoi le cas Gabriel serait plus différent que celui de la majorité, exception faite et il n'est pas le seul de sa faible expérience du 15 au départ...
LR vient de faire venir un espoir australien de .....16 ans aux mensurations hors norme...2.03 mètres 147 kg....Niveau déracinement et manque de repères....
- jm12 likes this
#458
Posted 07 March 2025 - 08:47 AM
Enfin il faut peut-être ouvrir sur les yeux sur la mondialisation du rugby, cela fait 20 ans que les sudistes traversent la planète pour venir jouer au rugby (et prendre de la moula) en Europe. Je ne vois pas en quoi le cas Gabriel serait plus différent que celui de la majorité, exception faite et il n'est pas le seul de sa faible expérience du 15 au départ...
LR vient de faire venir un espoir australien de .....16 ans aux mensurations hors norme...2.03 mètres 147 kg....Niveau déracinement et manque de repères....
J 'entends , sans doute l 'attrait du pognon , mais quand tu laisses ta compagne au Pays avec ton mouflet , ça doit travailler intérieurement et à un moment un choix s'imposera obligatoirement !
Déraciner des mecs et les couper de leur famille ça parait compliqué et ne peut se concevoir probablement que sur du court terme si tu ne rentres pas au Pays régulièrement .tous les 6 mois à minima....
A 16 ans , on peut espérer si le jeune est bien entouré par le Club qu'il fasse son parcours en "s'intégrant " plus facilement du moins en théorie et reste ensuite au gré des événements de sa vie définitivement si sa vie pro , et perso se croisent bien !
Etonnant effectivement qu'un gamin de 16 ans et sa famille soient dans cette démarche humainement compliquée et pourtant comme tu le dis...!
#459
Posted 07 March 2025 - 08:48 AM
- gateau03 and clum63_ like this
#460
Posted 07 March 2025 - 09:02 AM
J 'entends , sans doute l 'attrait du pognon , mais quand tu laisses ta compagne au Pays avec ton mouflet , ça doit travailler intérieurement et à un moment un choix s'imposera obligatoirement !
Déraciner des mecs et les couper de leur famille ça parait compliqué et ne peut se concevoir probablement que sur du court terme si tu ne rentres pas au Pays régulièrement .tous les 6 mois à minima....
A 16 ans , on peut espérer si le jeune est bien entouré par le Club qu'il fasse son parcours en "s'intégrant " plus facilement du moins en théorie et reste ensuite au gré des événements de sa vie définitivement si sa vie pro , et perso se croisent bien !
Etonnant effectivement qu'un gamin de 16 ans et sa famille soient dans cette démarche humainement compliquée et pourtant comme tu le dis...!
Ca fait 20 ans que les footeux le font. Les parents, quand il y a le fric et la gloire au bout (en tout cas l'espoir de l'avoir), ils n'ont aucune hésitation.
#461
Posted 07 March 2025 - 13:22 PM
cetotomatos, (le) 07 Mar 2025 - 08:48 AM, a écrit :
J'ai vu son dernier match contre Dax, il commence d'être intéressant.
Oui c'est vrai, et encore jeune, mais non jiff et quand même pas niveau top14 m'enfin ça vaut bien Ricard
#462
Posted 07 March 2025 - 20:36 PM
Un abonné vient de poster l'article complet...
Tapavu ?...
Si si
Merci bien
Je répondais à zorglub qui s'étonnait qu'on n'aime pas son lien...
En lui expliquant pourquoi
#463
Posted 07 March 2025 - 20:54 PM
#464
Posted 07 March 2025 - 21:14 PM
Jaimais bien Amatosero les derniers mois , il avait arrêté ses provocations à deux balles et avait de bonnes mains. Qui a des nouvelles depuis son retour au pays ?
Moi, je l'ai vu jouer plusieurs fois. Il continue ses provocations à deux balles.
Il est plus souvent titulaire aussi.
- frednirom likes this
#465
Posted 07 March 2025 - 21:35 PM
C'est un 5, faut pas trop lui en demander côté cerveau. Honorable saison dernière.Moi, je l'ai vu jouer plusieurs fois. Il continue ses provocations à deux balles.
Il est plus souvent titulaire aussi.
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