1030 réponses à ce sujet

[frednirom]

c'est qui ?

[RCV06]

c'est qui ?

Le vrai visage de Chocolatines

[Alex chocolatines]

Le vrai visage de Chocolatines

On ne dit pas de mal de Ugo, c'est un garçon adorable hors caméra 

 

Si on dit qu'on va fumer tout le monde on a le boulard, si on dit qu'on joue contre une équipe balaise, on est cons et faux derche... 

Enfin merde, La Rochelle c'est quand meme du lourd, les mecs sont sur deux CC d'affilée, dont une contre des Irish, chez les Irish, Un pack énorme, des 3/4 de feu, moi j'y vois quand meme un sacré morceau à se coltiner. Bien sur que j'espère une victoire, mais chuis pas franchement rassuré. 

[Bon Chasseur]

je connais pas l'autre équipe mais bonne chance à eux.

lol

[el landeno]

Perso je prefere ce type de discours, non pas prétentieux, juste pas faux cul !  

 

Ronan O'Gara (La Rochelle) : « Si on joue notre jeu, il n'y a pas d'équipe qui peut nous battre »

 

Le manager du Stade Rochelais Ronan O'Gara a souligné en conférence de presse ce vendredi les forces de son équipe, qui affrontera Toulouse en finale du Top 14 ce samedi.

« Comment sentez-vous vos joueurs à 24 heures de cette finale ?
On a très bien mangé dans un bistrot à Paris hier (jeudi) soir. On a même trop mangé, c'était un peu difficile ce matin. En général, il y a une super ambiance dans le groupe cette saison, donc on est bien, concentré sur le match de demain (samedi) soir, ça sera une énorme opportunité.

 

 

lire aussiMola : « On va jouer la meilleure équipe d'Europe »

Quelles seront les clefs de cette finale contre Toulouse selon vous ?
Ça sera obligatoire pour nous de jouer notre jeu. Si c'est le cas, il n'y a pas d'équipe qui peut nous battre. Notre statut a changé, je ne sais pas si on est favoris, dans ma tête oui. Parce qu'on a gagné la Coupe des champions à Dublin. Là, c'est un Championnat magnifique (le Top 14), avec toute une histoire, je suis complètement concentré sur ce qu'on doit faire. Mais quand je prends du recul, je me dis que ça doit être quelque chose qui doit marquer les joueurs et le staff. Ce genre d'événement est rare.

« Demain soir, c'est all-in (tapis, au poker), soit tu es hyper content, soit tu es de mauvaise humeur pendant toutes les vacances »

Ronan O'Gara

 

 

 

Est-ce que la finale de samedi est une histoire de suprématie sur le rugby français ?
J'espère oui. Mais les choses changent vite dans le rugby. C'est une bonne année pour nous, c'est important de capitaliser. On ne sait pas ce qui va se passer après le mois de septembre, on va avoir une Coupe du monde. Mais jusqu'à demain (samedi) soir, le focus est sur le Brennus. On a joué 27 matches pour avoir l'opportunité de jouer une finale. Demain soir, c'est all-in (tapis, au poker), soit tu es hyper content, soit tu es de mauvaise humeur pendant toutes les vacances avec la famille. Et ça, ça ne serait pas bien pour mes cinq enfants et ma femme (sourire).

 

 

Vous vivriez une défaite en finale comme un échec ?
La récompense demain (samedi) soir, ce n'est pas juste un match, c'est quelque chose que tu vas avoir avec toi toute ta vie. On est capables de faire un grand pas. On peut toujours regarder les autres équipes avec des grandes histoires, mais nous, on est en train d'écrire une histoire différente, ça me plaît beaucoup. Je crois vraiment avoir une équipe de classe mondiale qui joue pour une ville.

lire aussiLa compo de La Rochelle en finale

Depuis trois saisons, les rares cartons rouges qu'ont pris vos joueurs sont intervenus face à Toulouse. Y a-t-il une explication à cela ?
J'ai eu la même réflexion, à me demander pourquoi ça arrive contre eux. À quinze c'est déjà difficile, à quatorze, ça l'est encore plus. La discipline, c'est un comportement, pas un mot. On a fait une bonne saison, 40 bonnes semaines. Mais on n'a pas vu notre rugby, juste des aperçus, contre Exeter, on a marqué 50 points, on aurait dû en marquer 70.

À Dublin, on aurait dû en marquer 40, on aurait aussi dû en marquer 20 de plus le week-end dernier (en demi-finale). Quand je dis ça, je ne le dis pas avec arrogance. On ne peut pas gâcher cette opportunité, c'est devant notre nez. On doit attaquer ce match. Je suis très chanceux d'avoir ce groupe. C'est juste le début. Mais c'est important de confirmer ce qu'on a fait en Europe. »

 

 

 

[Very Good Eshvili]

On ne dit pas de mal de Ugo, c'est un garçon adorable hors caméra 

 

 

 

nan nan c’est une tête de no… (pas novès) depuis le début

[RCV06]

On ne dit pas de mal de Ugo, c'est un garçon adorable hors caméra 

 

Si on dit qu'on va fumer tout le monde on a le boulard, si on dit qu'on joue contre une équipe balaise, on est cons et faux derche... 

Enfin merde, La Rochelle c'est quand meme du lourd, les mecs sont sur deux CC d'affilée, dont une contre des Irish, chez les Irish, Un pack énorme, des 3/4 de feu, moi j'y vois quand meme un sacré morceau à se coltiner. Bien sur que j'espère une victoire, mais chuis pas franchement rassuré. 

Ronan O'Gara (La Rochelle) : « Si on joue notre jeu, il n'y a pas d'équipe qui peut nous battre »

 

Franchement je pensais que vous étiez les boulards d'or, mais O'Gara c'est du boulard de platine, respect !!!

[frednirom]

Je viens de lire pour m’informer sur notre prochain adversaire que Toulouse était la “ville rose” , décidément le ridicule woke ne tue plus.

[RCV06]

LR j ai rien contre, mais O'Gara c'est pas possible !

[frednirom]

Et Omola cest beaucoup mieux ?

[el landeno]

Pourquoi Toulouse est la bête noire de La Rochelle Battus huit fois lors de leurs neuf derniers matches face à Toulouse, les Rochelais ont besoin de résoudre des problèmes tactiques et techniques pour inverser la tendance.

Drôle de tableau. Le Stade Rochelais est double tenant du titre de la Coupe des champions. Il a roulé sur le Leinster qui roulait sur tout le monde, Toulouse compris. Il va disputer sa cinquième finale en deux ans, et on ne doute plus de sa fiabilité à ces attitudes-là, ni de son pouvoir de domination. Mais à l'heure de la plus prestigieuse finale de l'histoire du Top 14, la seule à réunir les vainqueurs de cinq des sept derniers titres majeurs, c'est sur son cas qu'on est obligés de s'interroger.

 

 

C'est qu'on ne perd pas huit fois en neuf matches face au même adversaire sans que cela ne soulève des questions. Et on ne prend pas trois cartons rouges, les seuls, face à ce rival toulousain sans que cela en ajoute. Il n'y a certes pas un monde entre les deux Stades, la moitié des défaites s'est jouée à moins d'un essai transformé d'écart, mais quand les scénarios se répètent, il y a un loup.

Il peut être psychologique, et dans ce cas les titres européens pourront s'avérer un bon remède, comme la victoire de début janvier (30-7), obtenue cependant face à une formation haut-garonnaise extrêmement diminuée. Mais le loup est aussi tactique et technique.

Le mois dernier, dans Sud-Ouest, Grégory Patat, manager de Bayonne et ancien du staff maritime, livrait cette analyse : « Aujourd'hui, où est la faille de La Rochelle ? C'est difficile à dire car son jeu est aussi très programmé, très structuré. Ce qui peut lui poser le plus de problèmes (chez un adversaire), c'est le fait de s'appuyer sur des ballons de récupération, car il peut y avoir des erreurs individuelles dans un système très important, où chaque individualité a un rôle. Celle qui lui pose le plus de problèmes est une équipe pleine d'individualités capables de jouer dans le désordre. » Derrière ces mots, tout le monde aura reconnu le Stade Toulousain.

Toulouse, un style et des atouts qui font mal

Les deux dernières défaites rochelaises, en barrages la saison passée (33-28) et lors de la 8e journée (26-17, le 23 octobre), valident cette idée d'une équipe dont l'organisation et la force ne parviennent pas à tout contrôler des initiatives fuyantes de son rival. Avec ses duels joués « sur les épaules » plutôt que frontalement, sa faculté à déplacer le ballon avant ou pendant le contact, son jeu debout et même ses petits coups de pied offensifs, le Stade Toulousain empêche, par séquences, La Rochelle d'installer son habituelle emprise défensive. Il sait l'absorber, puis la contourner.

 

 

 

(Capture/Canal+)

Sur cette action datant du match de la 8e journée de Top 14 entre Toulouse et La Rochelle (26-17, le 23 octobre), Sofiane Guitoune attaque le centre du terrain sur un lancement de jeu après mêlée. Il est sèchement repoussé au-delà de la ligne d'avantage par Jonathan Danty et Raymond Rhule. Jusque-là, on est dans un schéma typiquement rochelais, avec des joueurs qui imposent leur puissance. Mais tout en reculant, Guitoune parvient à libérer les bras pour une passe axiale vers Anthony Jelonch.

 

(Capture/Canal+)

Jelonch comprend qu'il faut vite contourner la pression : il continue sa course vers l'extérieur et déclenche une passe de basketteur vers Matthis Lebel, venu de l'aile opposée. De dominants, Danty et Rhule sont devenus impuissants. Ils regardent le ballon s'éloigner.

 

(Capture/Canal+)

Lebel a immédiatement servi Juan Cruz Mallia, qui se retrouve avec de l'espace, un décalage et un partenaire sur sa droite. Il sera plaqué à l'entrée des 22 m, et Toulouse obtiendra une pénalité, convertie par Thomas Ramos. Avec cette action, on voit à la fois le genre de problème que le jeu toulousain pose, et qui est particulièrement frustrant pour des Rochelais qui aiment éteindre les attaques adverses de leur pression physique.

Tout en étant très consciencieux sur l'occupation du terrain, il semble même forcer le trait face à son nouveau meilleur ennemi, et chercher encore plus que d'habitude à jouer de loin, quand la défense ne peut pas immédiatement l'empêcher de prendre de la vitesse. Sur les quinze actions où elle a marqué (essai ou pénalité) lors des deux matches cités, la formation d'Ugo Mola est partie dix fois de sa propre moitié de terrain, et près de la moitié sont consécutives à un coup de pied adverse (dégagement ou renvoi).

L'autre atout des Toulousains dans ce duel au long cours, c'est qu'ils ont les atouts pour contrer les bases du jeu offensif rochelais. L'occupation ? En plus d'être des contre-attaquants redoutables, Ramos, Dupont, Ntamack, Mallia possèdent des pieds de plomb. Les mauls et la mêlée ? Meafou et compagnie ont du répondant, en kilos et en savoir-faire. La puissance physique ? Les montées rapides sur le premier bloc d'avants et les plaquages bas des Haut-Garonnais l'ont régulièrement canalisée.

Hastoy et Seuteni, un duo pour aller plus loin

Mais tout cela, même si c'est étayé, est à nuancer. La marge qu'on évoque là est à peine une marge, elle peut fluctuer d'un bout de match à l'autre. Les Rochelais ont déjà posé leurs grosses pattes sur des périodes, et ils possèdent de tels pouvoirs qu'il ne faudrait pas grand-chose pour que ça penche de leur côté ce samedi. Quel plan aura préparé Ronan O'Gara ?

Défensivement, il faudra mettre tous les curseurs à leur sommet pour empêcher que Toulouse initie le chaos. En attaque, il serait étonnant, au vu des derniers épisodes plutôt équilibrés, que le manager irlandais appuie sa stratégie sur une domination des avants, comme en finale de Coupe des champions ou en demi-finales de Top 14. D'autant que son équipe s'est taillé d'autres outils ces derniers mois.

Recrues de l'été dernier, Antoine Hastoy, plus fiable face aux perches que ne l'était son prédécesseur Ihaia West, et UJ Seuteni amènent un surplus de la verticalité au centre du terrain. Ils ont aussi les qualités techniques, de passe ou au pied, pour aller jouer dans un espace que La Rochelle a commencé à explorer, les couloirs. Les montées rapides et serrées des ailiers toulousains y libèrent de la place, et c'est d'ailleurs en tapant dans cette zone qu'Hastoy avait déclenché le premier essai lors du match aller. De la force, bien sûr, mais aussi de la subtilité, là est peut-être la voie pour que Toulouse cesse d'être une bête noire.

 

 

[Baba Yaga]

On ne dit pas de mal de Ugo, c'est un garçon adorable hors caméra 

 

Si on dit qu'on va fumer tout le monde on a le boulard, si on dit qu'on joue contre une équipe balaise, on est cons et faux derche... 

Enfin merde, La Rochelle c'est quand meme du lourd, les mecs sont sur deux CC d'affilée, dont une contre des Irish, chez les Irish, Un pack énorme, des 3/4 de feu, moi j'y vois quand meme un sacré morceau à se coltiner. Bien sur que j'espère une victoire, mais chuis pas franchement rassuré. 

Non mais tu vois, même si un journaliste pas inspiré lui demande qui est favori, il a le droit de se contenter de dire que ça va être une grosse bagarre, que les deux équipes ont des qualités à faire valoir, etc. Plutôt que de nous raconter des fables comme nous le faisait Novès à son époque. "Archi-favori", les mots ont un sens, c'est absurde et oui, entre nous, c'est quand même "archi" faux-cul.

[Ptolémée]

LR j ai rien contre, mais O'Gara c'est pas possible !

 

un tantinet méprisant ...

[Alex chocolatines]

Et Omola cest beaucoup mieux ?

Ô que oui