Moi !Combien de chocolatines font le déplacement ?

Champions et Challenge Cup 2023/24
#3181
Posted 23 May 2024 - 10:15 AM
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#3182
Posted 23 May 2024 - 10:19 AM
J'étais pas né donc je ne connaissais pas cette époque. Depuis que je suis le rugby (on va dire 15 ans), c'est la première fois que je vois ça...
Vaquerin pilier de l ASB est un bon symbole de leur domination écrasante.
Il a été champion en 71 72 74 75 77 78 80 81 83 84 ça laissait peut de place au autres
Le ST a aussi des séries de 2 ou 3 titres a suivre mais avec des trous entre chaque séries.
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#3183
Posted 23 May 2024 - 10:19 AM
Ce qu'il faut viser c'est plus de contribution des autres clubs, l'UBB gros fournisseur aussi avec La Rochelle. Donc viser plus haut, mieux former, faire jouer les jeunes talents du centre formation plutot que d'embaucher des mecs pré retraités façon Bayonne .
L'équipe de France c'est la vitrine, c'est ce qui passe sur les télés gratuites à heures de grande écoute, et donc ce qui donne envie aux droles de chausser des crampons.
Haha. Des jeunes y'en a, sauf que c'est tjs plus facile de les lancer quand tu as un budget mirobolant qui te garantie une place dans les 6. Bon, parlons même pas de l'absence totale de régulation sur les transferts qui fait qu'aujourd'hui n'importe club de ce top 6 peux venir harceler tes jeunes pour les débaucher plusieurs années avant la fin de leurs contrats quelque soit les barrières que tu mets( alors qu'il paraît que c'est interdit), ou quand ils ne viennent pas te les prendre dès les cadets. Former pour nourrir les ogres du top 6, et tant que les clubs formateurs ne seront pas reconnus à leur juste valeur (par exemple un joueur formé depuis tant d'années au club compte comme 2 jiff) ou est l'intérêt pour un club aujourd'hui ?
#3184
Posted 23 May 2024 - 10:53 AM
Haha. Des jeunes y'en a, sauf que c'est tjs plus facile de les lancer quand tu as un budget mirobolant qui te garantie une place dans les 6. Bon, parlons même pas de l'absence totale de régulation sur les transferts qui fait qu'aujourd'hui n'importe club de ce top 6 peux venir harceler tes jeunes pour les débaucher plusieurs années avant la fin de leurs contrats quelque soit les barrières que tu mets( alors qu'il paraît que c'est interdit), ou quand ils ne viennent pas te les prendre dès les cadets. Former pour nourrir les ogres du top 6, et tant que les clubs formateurs ne seront pas reconnus à leur juste valeur (par exemple un joueur formé depuis tant d'années au club compte comme 2 jiff) ou est l'intérêt pour un club aujourd'hui ?
Là tu soulève le problème des bassins de recrutement. Et ça ne concerne pas que le Top6. De plus c'est des situations très opposées.
L'ASM a un faible bassin local de recrutement, tout en étant pas du Top 6 elle recrute ailleurs.
A l'opposé tu as des bassins de recrutement énormes : exemple Sud-Ouest, Basque-Béarn, Région parisienne. Et là les clubs ne pourraient pas accueillir et développer tous ces jeunes, faute de moyens, faute de structure suffisante.
#3185
Posted 23 May 2024 - 11:09 AM
Là tu soulève le problème des bassins de recrutement. Et ça ne concerne pas que le Top6. De plus c'est des situations très opposées.
L'ASM a un faible bassin local de recrutement, tout en étant pas du Top 6 elle recrute ailleurs.
A l'opposé tu as des bassins de recrutement énormes : exemple Sud-Ouest, Basque-Béarn, Région parisienne. Et là les clubs ne pourraient pas accueillir et développer tous ces jeunes, faute de moyens, faute de structure suffisante.
Absolument pas. Je ne te parles pas de bassin de recrutement, de jeunes qu'éventuellement tu n'as pas détecté en amont ou qui faute de places, ne sont pas chez toi. Je te parles de jeunes qui sont chez toi depuis plusieurs catégories sur lequel le club fonde beaucoup d'espoir, parfaitement intégrer au projet du club. Perchaud cette année chez nous par exemple, recruté par l'ubb et Bru à grand renfort d'appels tous les weekends alors qu'il n'est pas dans sa dernière année de contrat et donc que selon les textes, il ne peux être contacté par un autre club dans ce cas la. Ils ont essayé de faire la même avec Tatafu, ils vont recommencer puisque la ligue ne fait pas respecter ses propres règlements en matière de transfert. Donc, quand un club du top 6 viens le voir alors qu'il est sous contrat encore plusieurs années (et donc que tu es loin d'avoir amortis ce joueur et l'argent investis sur lui), lui sort les violons et lui fait miroiter des titres, un salaire, quel levier à le petit club ? Retenir un joueur qui à la tête ailleurs au risque de se faire une mauvaise réputation auprès des jeunes joueurs qu'il te restes ? Rien aujourd'hui n'incite à former dans les petits clubs, tu le fais pour survivre parce que tu n'as pas le choix, mais ce n'est pas viable tant certains clubs vampirisent le marché.
#3186
Posted 23 May 2024 - 11:18 AM
En même temps le truc qui fâche, c'est que ce Stade Toulousain n'est pas seulement bon, mais il gagne des titres. Je m'explique: il y a eu des équipes récemment qui ont été ultra dominatrices, sans pour autant remporter tous les titres systématiquement qu'on les voyait tous remporter.
Ex. récents:
- le Racing des années années 2016-20 : un seul Brennus et même une seule finale en autant d'années de grosses promesses, et 3x finales Euro sans trophée.
- l'ASM de Parra, Fofana, Cudmore etc... si on est gentil on considère 2010 mais c'est très loin mais sinon c'est 3x finales Euro aucun trophée et un seul Brennus en 2017 malgré une grosse domination (domestique et Euro)
- le RCT des galacticos, c'est brillant sur le plan Euro mais qu'un seul Brennus en 6-7 ans de domination outrageuse avec des effectifs improbables.
- LAR est un cador Euro mais n'arrive pas à touché le bouclier du doigt.
A côté, sur sa période dominante des 5-6 dernières années Toulouse a remporté 3x Brennus et 1x titre Euro. Les 3x Brennus ça équivaut à Racing + ASM + RCT + LAR de leurs périodes dominantes sur les 10 dernières années.
#3187
Posted 23 May 2024 - 11:26 AM
Pottok, je comprend ton raisonnement.
Mais est-ce un bien pour le jeune ? pour le rugby ?
Ton gars va partir dans une structure plus élaborée, plus performante, se frotter au niveau supérieur. Il va probablement progresser.
Et oui, l'Aviron se fait vampiriser. Tout comme il vampirise lui même les clubs en dessous de la région.
C'est le jeu ma pauvre Lucette.
#3188
Guest_Lavande50_*
Posted 23 May 2024 - 14:21 PM
On va se faire reprocher d'avoir des jeunes performants ? Sans déconner ? Vous en avez des jeunes mais votre coach ne les faisait pas jouer jusqu'à ce qu'il s'y retrouve quasi obligé.
Pa s de compensation pour les gars en EDF ? Quelle idée géniale ! Qui va se faire chier à faire jouer des jeunes talents pour les emmener à la sélection avec seulement le désagrément de leurs absences et risques de blessures ? Ce que tu veux c'est un lissage par le bas c'est ça ?
Moi je parie que quand l'ASM retrouvera un effectif prestigieux et qu'il y aura 5 ou 6 sélectionnés chez les bleus, ton discours va changer sur les bonus salary cap.
La prime spéciale "Dupont aux JO" était-elle vraiment nécessaire ? (400 000 euros tout de même...)
#3189
Posted 23 May 2024 - 18:15 PM
Haha. Des jeunes y'en a, sauf que c'est tjs plus facile de les lancer quand tu as un budget mirobolant qui te garantie une place dans les 6. Bon, parlons même pas de l'absence totale de régulation sur les transferts qui fait qu'aujourd'hui n'importe club de ce top 6 peux venir harceler tes jeunes pour les débaucher plusieurs années avant la fin de leurs contrats quelque soit les barrières que tu mets( alors qu'il paraît que c'est interdit), ou quand ils ne viennent pas te les prendre dès les cadets. Former pour nourrir les ogres du top 6, et tant que les clubs formateurs ne seront pas reconnus à leur juste valeur (par exemple un joueur formé depuis tant d'années au club compte comme 2 jiff) ou est l'intérêt pour un club aujourd'hui ?
Le top 6 vous aurait pourtant bien intéressé non ? Et puis, harceler, vampiriser, les ogres.... T'es pas dans la nuance, hein, enfin un Basque entier quoi
Faut voir que les jeunes ont aussi des souhaits, aller dans un gros club c'est le reve de pas mal de droles à l'école de rugby, j'en ai jamais vu rever d'aller dans des centres de formation "modestes". Pourtant il n'y a pas de place pour tout le monde dans les clubs les plus prisés, du coup il faut accepter un centre qui fait moins rever, puis avec du temps et de la chance le gamin peut se faire repérer, mais généralement c'est leur souhait.
Bon et puis n'oublie pas que vous avez pillé l'ASM aussi
La prime spéciale "Dupont aux JO" était-elle vraiment nécessaire ? (400 000 euros tout de même...)
Nécessaire, je sais pas, mais quand on te donne, tu prends
#3190
Posted 24 May 2024 - 06:18 AM
« Je file mettre un string et j'arrive ! » Fin décembre, à quelques jours de Noël, Cyril Baille est d'humeur taquine. L'élimination en quarts de finale de la Coupe du monde deux mois plus tôt (28-29 face à l'Afrique du Sud) semble en passe d'être digérée, Il arrive détendu et tout sourire pour la séance photos.
Au milieu des vestiaires du Stade Toulousain, dans les travées d'Ernest-Wallon, le pilier gauche de l'équipe de France (52 sélections) distille sa bonne humeur, sa jovialité, sa sympathie. En revanche, dès que les micros s'ouvrent, ''Cyssou'' se referme. Un peu moins qu'avant tout de même. À 30 ans, le jeune papa a pris du galon et de l'expérience. Il n'en garde pas moins une bonne dose d'humilité. Comme dans l'exercice de la mêlée où selon lui, « il faut se remettre en question à chaque fois ». Cyril Baille n'aime pas parler de lui. Faisons alors parler ses tatouages.
Le premier, une clé égyptienne sur un doigt, date de sa majorité. « Mes parents étaient du genre à me dire : ''A 18 ans, tu feras ce que tu veux !'' Pas n'importe quoi, bien sûr. Mais les tatouages en faisant partie car j'ai toujours été admiratif des gens tatoués », glisse Baille en préambule. Pourtant, ce premier tatouage n'a pas été dicté pour marquer son passage à l'âge adulte.
Au contraire, il symbolise un moment douloureux : le décès de son grand-père paternel. « C'est le premier être cher que je perdais. C'était un moment très difficile à vivre. Je partageais beaucoup de choses avec lui, notamment sur le rugby. Cette clé égyptienne représente la vie éternelle. C'est une façon de dire qu'il est toujours avec moi. Ce tatouage était surtout une façon d'extérioriser ma peine », explique-t-il pudiquement.
Pour ce premier passage chez le tatoueur, sa maman l'accompagne. L'expérience est également douloureusement physiquement. « Le tatoueur n'est passé qu'une fois, j'ai eu trop mal », se souvient le pilier toulousain. Pas de quoi le freiner pour autant. Suivront un ange pour sa maman Sandrine, « mon ange gardien », un chemin de croix maori pour son papa Pierre, « qui symbolise la force, la protection de la famille », une vierge pour sa soeur Julia.

« Chacun de mes tatouages est associé à ma famille », précise Cyril Baille. La religion prend aussi beaucoup de place avec Le Christ et la Vierge Marie tatoués sur la peau. « Je suis croyant, je prie, poursuit l'international tricolore. Ma mère allait à Lourdes pour acheter des médailles. J'ai été baigné dans la foi toute ma jeunesse. Je trouve les représentations de la Vierge Marie très jolies. » Son bras droit, recouvert totalement, laisse aussi deviner des nuages qui se terminent sur son torse. « Là encore, la signification est liée à ma famille, glisse-t-il. C'est l'esprit de mes proches qui sont partis au ciel. C'est aussi ma façon de ne jamais les oublier, de les avoir auprès de moi en permanence. Le plus important reste la famille. Il faut prendre conscience de la chance qu'on a de l'avoir à ses côtés. »
Raison pour laquelle les prénoms de ses parents, de sa soeur, mais aussi du fils de cette dernière, Jules, dont il est le parrain, sont gravés à l'encre noire sur sa peau.
« Certains, je n'aurais sans doute pas dû les faire, mais il ne faut pas regretter. Ils font tous partie de ma vie, de mon histoire, de moi »
Cyril Baille
Le dernier tatouage date lui de fin 2022 : le visage de sa fille Anna, née le 16 novembre 2022. « Il s'agit de son visage au moment de la première photo que nous avons pu prendre d'elle dans la chambre de la maternité, précise ''Cyssou''. Anna est née prématurée, elle est restée en soins néonatalité. C'était difficile. Alors quand elle a enfin pu être en chambre avec nous, nous avons immortalisé ce moment. Avoir cette photo tatouée me tenait à coeur. Je voulais marquer le coup. »
Sait-il exactement combien de fois il a mis les pieds chez un tatoueur ? « Non ». Mais Cyril Baille assure qu'il n'en regrette aucun : « Certains, je n'aurais sans doute pas dû les faire, mais il ne faut pas regretter. Ils font tous partie de ma vie, de mon histoire, de moi ». Même ceux décidés sur un coup de tête ? « C'est déjà arrivé en soirée !, sourit le triple champion de France (2019, 2021 et 2023). L'avantage, c'est que tu peux toi-même le dessiner ! Mais je suis très mauvais dessinateur ! C'est comme dans Very Bad Trip ! Ceux-là, tu ne les montres pas », se marre-t-il, assurant qu'il n'ira pas jusqu'à se faire tatouer l'intégralité du corps, même s'il trouve « incroyables » ceux qui passent le pas. « Ma mère trouve qu'un manchon (bras complet), c'est déjà costaud. Mais elle ne m'a pas reniée. »
A-t-il déjà une idée précise en tête pour son prochain tatouage ? « Une deuxième étoile », espère-t-il en montrant la première sur son poignet droit en mémoire de sa première Coupe d'Europe glanée avec le Stade Toulousain face au Stade Rochelais en 2021 (22-17). « J'en ferai sans doute un autre si j'ai un second enfant, prédit-il. Mes tatouages permettent de savoir qui je suis. »
On le pensait essentiel. Incontournable même, dans ces matches couperets où la réussite du buteur revêt souvent une importance capitale. Thomas Ramos, le Monsieur But du Stade Toulousain, ne devrait pourtant pas démarrer la finale de la Coupe des champions, samedi, face au Leinster. En milieu de journée vendredi, l'annonce officielle de la composition toulousaine confirmera certainement que l'arrière ou ouvreur international ne sera que remplaçant, comme il l'avait déjà été en quarts de finale face à Exeter (64-26, le 14 avril) et en demi-finales contre les Harlequins (38-26, le 5 mai). Lui, le n°15 titulaire de l'équipe de France, artilleur à 90 % de réussite sur la scène internationale, va donc retrouver ce rôle de finisseur qu'il sait importantissime mais qui ne saurait en aucun cas combler son âme d'ultracompétiteur.
« Ça m'étonne un peu, parce qu'au-delà du buteur et du leader qu'il est, Thomas est aussi un merveilleux joueur de rugby »
Yann Delaigue, consultant pour France Télévisions et RMC
Est-ce bien raisonnable de se passer d'un gagneur de son espèce dans une finale aussi indécise ? « Ça m'étonne un peu, parce qu'au-delà du buteur et du leader qu'il est, Thomas est aussi un merveilleux joueur de rugby qui a la vitesse, la technique individuelle et la faculté de s'adapter à toutes les situations sur le terrain, répond l'ancien ouvreur et centre toulousain Yann Delaigue, aujourd'hui consultant pour France Télévisions et RMC. Après, ce n'est pas parce qu'il ne sera pas dans le quinze de départ que Toulouse partira avec six points de moins. Blair Kinghorn et Romain Ntamack ne sont pas manchots non plus face aux perches, ni même dans le jeu. Le choix est vraiment difficile. » Ramos n'avait pas franchement goûté son statut de remplaçant lors de la demi-finale. Il l'a d'ailleurs confié cette semaine à Midi Olympique : « J'ai ressenti beaucoup de frustration de ne pas débuter un match de cette importance. Tout joueur de rugby rêve d'être titulaire en demi-finales de Coupe des champions à domicile, au Stadium de Toulouse, devant 35 000 personnes. »
Son amertume ne risque pas de s'estomper ce week-end en finale, alors que presque deux fois plus de spectateurs (environ 62 000) investiront l'enceinte de Tottenham, au nord de Londres. Mais Ramos est suffisamment professionnel et perspicace pour savoir que cette rétrogradation résulte moins d'une injustice flagrante que de la concurrence féroce qui règne au sein de l'effectif toulousain. Le Tarnais, qui a eu le malheur de se blesser juste avant le début de la phase finale de cette Coupe des champions (contusion sur la crête iliaque), a ainsi vu ses concurrents (Kinghorn à l'arrière, R. Ntamack à l'ouverture) enchaîner des performances de haut vol pendant qu'il se remettait doucement de son mal.
« Le staff toulousain me semble privilégier une forme de continuité, estime Delaigue. Il fait confiance à ceux qui ont qualifié l'équipe depuis le huitième de finale face au Racing 92 (31-7), un match que Thomas n'a pas joué à cause de sa blessure. Mais ça ne veut pas dire que ceux qui débuteront la finale de demain (samedi) commenceront aussi la demi-finale du Top 14. Je vois bien Ugo (Mola) dire à Thomas : "Écoute, en Coupe des champions, ça m'est difficile d'enlever des mecs qui ont fait des bons matches jusqu'ici. En revanche, les cartes seront redistribuées en Top 14. Et comme tu y as été le plus souvent titulaire, que ce soit en 10 ou en 15, ça sera ton gâteau à toi.'' »
Une chose est certaine, Ramos ne prendra pas son rôle de remplaçant à la légère. Il sait trop l'importance des entrants dans des matches aussi tendus qu'une finale européenne. Ce sera même peut-être lui, qui sait, qui donnera la victoire à son équipe d'une pénalité des 40 m juste avant ou juste après la sirène. Pour une fois que la cerise viendrait avant le gâteau...
#3191
Posted 24 May 2024 - 07:07 AM
Tu proposerais quoi pour changer ça ?
Moduler l'indemnisation des clubs qui fournissent des internationaux. Si le joueur est devenu international avec le club, c'est plein pot, sinon c'est moins 50%. Aujourd'hui le bonus EDF n'est minoré que la première année, demain ce serait pendant toute la durée de la présence du joueur en club (pour Toulouse, cela concernerait Jelonch et... Dupont qui a eu ses premières capes en étant à Castres !).
Le lissage lorsque le joueur n'est plus sélectionné, arraché par JMG, itou : si le joueur est devenu international dans le club le lissage s'applique, sinon tu perds le bonus EDF en totalité en une fois.
Créer un super SC qui limite le plafond SC + bonus EDF (parce que le bonus de 400 K€ pour Dupont aux JO c'est un peu beaucoup quand même)
Tout ceci pour éviter de permettre à un club d'empiler les joueurs de très haut niveau grâce au bonus EDF. Parce que quand tu vois Ramos poussé sur le banc par Kinghorn tu te dis qu'il y a quand même un truc qui déconne sévère même s'il faut saluer la formation du ST qui a sorti une génération incroyable avec les Marchand, Mauvaka, Baille, Aldegheri, Cros, Lebel, Ramos pour ne citer que quelques joueurs formés au club !
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#3192
Posted 24 May 2024 - 10:59 AM
Perso, je serai pour Gloucester (car une franchise sud af championne d'Europe, wtf) et Toulouse !
ça reste une magnifique équipe à voir jouer et j'espère les voir contrer le jeu trop millimétré du Leinster, en + du fait que les rouquins ne vont nous faire re-chier après avoir chopé le tournoi (mais sans grand chelem....)
#3193
Posted 24 May 2024 - 12:24 PM
Ramos sur le banc, là c'est du grand luxe, Belle équipe avec des "finisseurs" de qualité.
ALLEZ LE STADE ! Des étoiles dans les yeux.
#3194
Posted 24 May 2024 - 12:41 PM
Moduler l'indemnisation des clubs qui fournissent des internationaux. Si le joueur est devenu international avec le club, c'est plein pot, sinon c'est moins 50%. Aujourd'hui le bonus EDF n'est minoré que la première année, demain ce serait pendant toute la durée de la présence du joueur en club (pour Toulouse, cela concernerait Jelonch et... Dupont qui a eu ses premières capes en étant à Castres !).
Le lissage lorsque le joueur n'est plus sélectionné, arraché par JMG, itou : si le joueur est devenu international dans le club le lissage s'applique, sinon tu perds le bonus EDF en totalité en une fois.
Créer un super SC qui limite le plafond SC + bonus EDF (parce que le bonus de 400 K€ pour Dupont aux JO c'est un peu beaucoup quand même)
Tout ceci pour éviter de permettre à un club d'empiler les joueurs de très haut niveau grâce au bonus EDF. Parce que quand tu vois Ramos poussé sur le banc par Kinghorn tu te dis qu'il y a quand même un truc qui déconne sévère même s'il faut saluer la formation du ST qui a sorti une génération incroyable avec les Marchand, Mauvaka, Baille, Aldegheri, Cros, Lebel, Ramos pour ne citer que quelques joueurs formés au club !
C'est presque du détournement de salary cap ce bonus Dupont... Au final il a loupé plus de choses avec l'EDF qu'avec Toulouse, ça pause quand meme beaucoup question...
Sinon mettre Ramos sur le banc ? Je pense que c'est une grosse erreur tellement ce mec a été l'artisant de leur dernier titre de top 14. Ramos, il a la gagne en lui. Je trouve très surprenant ce choix.
J'avoue que Coste, surement un très bon joueur mais je ne le trouve pas encore exceptionnel.
En tout cas Toulouse est en finale avec des cadres parfaitement reposés et tous titulaires...
#3195
Posted 24 May 2024 - 12:48 PM
Sinon mettre Ramos sur le banc ? Je pense que c'est une grosse erreur tellement ce mec a été l'artisant de leur dernier titre de top 14. Ramos, il a la gagne en lui. Je trouve très surprenant ce choix.
J'avoue que Coste, surement un très bon joueur mais je ne le trouve pas encore exceptionnel.
En tout cas Toulouse est en finale avec des cadres parfaitement reposés et tous titulaires...
Pas du tout, je trouve ce choix plein de bon sens, Kinghorn est monumental depuis un moment, plus physique et plus efficace sur les ballons hauts, le Leinster aime jouer dans les dos des défenses, jeu au pied très juste qui ne tolère pas la moindre erreur. En CDM contre les sudafs, on a précisément souffert dans ce secteur.
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