Une future pépite....
Ah, non ! On a déjà été vacciné avec cette appellation ! Pas toi !
Posted 03 March 2024 - 09:45 AM
Une future pépite....
Ah, non ! On a déjà été vacciné avec cette appellation ! Pas toi !
Posted 06 March 2024 - 13:52 PM
Tisley viré du SUA pour violences sur un membre du staff.
Déjà viré de Toulouse pour condamnation dans une affaire de violences conjugales (le gonze n'a meme pas eu le temps de poser les crampons une fois à Wallon).
Il est fin pret pour le BO ou le MHR
Enfin sauf si Aldigé reprend le SUA, il pourrait le réintégrer ...
Posted 07 March 2024 - 08:18 AM
Tisley viré du SUA pour violences sur un membre du staff.
Déjà viré de Toulouse pour condamnation dans une affaire de violences conjugales (le gonze n'a meme pas eu le temps de poser les crampons une fois à Wallon).
Il est fin pret pour le BO ou le MHR
Enfin sauf si Aldigé reprend le SUA, il pourrait le réintégrer ...
Posted 07 March 2024 - 08:53 AM
Je ne sais pas pourquoi mais je préfère Provence à Béziers. Même si je verse une larmiche sur le sort du pauvre Vaquerin. Et en tout cas je souhaite de tout mon cœur que Vannes passe !
Posted 07 March 2024 - 18:04 PM
Gros test ce soir au Pré Fleuri pour l'USON qui reçoit Provence Rugby.
Puisse Gabriel hanter les esprits...
Posted 07 March 2024 - 23:16 PM
Posted 07 March 2024 - 23:53 PM
Quelquun a vu la dernière action ? Y avait essai ou pas ?
Posted 08 March 2024 - 09:22 AM
NEVERS : ouf !
Posted 08 March 2024 - 10:11 AM
Posted 08 March 2024 - 10:18 AM
Bon résultat contre une équipe qui vise la montée à court terme et présente un effectif aves des joueurs qui ont de tout autres parcours que ceux de l'USON ( et ça va monter encore d'un cran la saison prochaine au vu du recrutement d'Aix) . Le bémol c'est ce ressenti d'avoir une équipe qui ne Joue " Trop souvent qu'une mi-temps, ce qui limite l'objectif à aller arracher une qualification et empêche d'aller de mêler à la lutte pour les toutes premieres places.
tiens,...ce n'était pas l'objectif également de Nevers ???
Posted 08 March 2024 - 12:48 PM
Posted 08 March 2024 - 20:17 PM
Il porte sa blouse de travaux pratiques. À l'école, la tradition veut qu'on customise sa tenue pour montrer à qui on a affaire. Lui a brodé son nom à l'aide d'un fil et d'une aiguille. « Je connais plein de camarades plus créatifs que moi », dit-il. N'empêche. Elle a de la gueule sa signature. Surtout qu'elle avance un blaze qui n'a rien d'anodin si on se dit versé dans le rugby : « Mathis Galthié. »
Mathis est le fils de son père, qu'on ne vous fera pas l'injure de présenter. Pourtant, sur le campus universitaire, ils sont nombreux ceux pour qui ce patronyme n'évoque pas grand-chose. « Tant mieux si certains parmi les professeurs ou les étudiants se foutent de mon hérédité. Ici, je ne suis pas le fils de Fabien Galthié mais Mathis, point barre. Je déconnecte du rugby et ça me fait du bien. »
Car Mathis est rugbyman, voyez-vous. Et à 100 % désormais depuis la signature de son premier contrat professionnel à Colomiers Rugby après trois années passées au centre de formation. C'est à cette époque qu'il intègre l'INSA en même temps qu'il prend une licence à l'Avenir Castanéen, club de Fédérale 1 des environs avec lequel il évolue en équipe première.
Si Mathis occupe aujourd'hui le poste de demi de mêlée, le même que son père, et à Colomiers, là où le « reup » se révéla à la fin du siècle dernier, on n'est pas obligé d'y voir une forme d'atavisme comme le jeune homme nous le confiait dans la tribune du stade Michel-Bendichou.
« Colomiers ne m'a pas contacté en disant : "Ah ! c'est chouette, on va le signer parce que c'est le fils de Galthié et que c'est bon pour notre story telling." Après avoir vécu à Paris, Montpellier, puis Toulon, c'est plutôt un concours de circonstances qui m'a fait atterrir ici. »
Quand le Covid a paralysé la Fédérale 1, Mathis s'est en effet dirigé vers le gros club de la banlieue toulousaine parce que, chez les Espoirs, le Championnat se poursuivait. « Et puis je me rapprochais de l'INSA, ce qui n'est pas négligeable. J'ai donc joué un an et demi en double licence, fait quelques apparitions en première, et enfin intégré la rotation des quatre demis de mêlée de l'effectif de cette saison. »
Le Colomiers de 2024 ne souffre pas la comparaison avec l'équipe brillantissime de la fin des années 1990, celle que l'on retrouva en finale de la Coupe d'Europe face à l'Ulster en 1999 (6-21) et que seul le Stade Français parvint à stopper au Stade de France le 15 juillet 2000 (23-28).
Mais on la sent bien dans ses pompes. Club formateur revendiquant son paternalisme, Colomiers a gardé ses fondamentaux, comme celui de donner sa chance à chacun. Si vous êtes sur le terrain le vendredi soir, c'est que vous le méritez, que vous soyez « fils de » ou simple quidam.
Car des « fils de », il n'en existe pas qu'en Top 14 ou en équipe de France. On en dénombre quelques-uns dans le club à la colombe, à un moindre degré de notoriété évidemment. Outre Mathis Galthié, on peut ainsi citer Victor Moro, fiston de Gildas Moro, vice-champion de France en 2000, qui évolue chez les Espoirs avec Natan Culinat, fils de Fabrice Culinat, lequel relayait Galthié à la mêlée lors de ses deux dernières années à l'US Colomiers (1999-2001).
En revanche, Anthony Coletta, le capitaine columérin, n'a jamais fait partie du sérail. « Dans ma famille je suis le premier à m'être essayé au rugby, explique le troisième-ligne. Concernant Mathis, on voit bien que ça turlupine les journalistes, cette histoire d'hérédité. Il faudrait peut-être demander à Mathis si ça ne le saoule pas qu'on le ramène invariablement au passé de Fabien. »
Ce à quoi on s'est employé après que le néo-pro d'1,78 m pour 83 kg a terminé sa partie de coinche sous les travées du stade, sur la lancée d'un roboratif steak-haricots verts-patates partagé en équipe. « Bah, d'un côté, je m'en fous un peu. De l'autre, ça m'amuse. Et puis, ce n'est pas que je suis lié à mon père, je le suis avec toute ma famille ! (Rire.) »
« Pour mon premier match il y a deux ans, contre Béziers, quasiment tout le village de Montgesty était descendu »
Mathis Galthié
Il pointe du doigt la tribune d'en face. « Pour mon premier match il y a deux ans, contre Béziers, ils étaient tous au premier rang : mon grand-père, ma grand-mère, mon père, mon oncle, ma soeur, mes deux cousines, ma tante, mon grand-oncle, ma grand-tante. Quasiment tout le village de Montgesty (le fief familial, dans le Lot) était descendu. Quinze jours après, c'était au tour de mon grand-père et de ma grand-mère de s'asseoir au même endroit, aux côtés de ma mère (Fabien Galthié s'est séparé de son épouse Coline Dalbos en 2017). »
Aborder l'histoire de Mathis Galthié, c'est ouvrir une de ces jolies pages dont le rugby du sud-ouest s'est fait la spécialité. Jean-Noël, le grand-père, a joué arrière en Première Division à Cahors. Il a fondé l'école de rugby de Tournefeuille. Patrice, l'oncle, a joué à Graulhet et à Balma. Il a aussi effectué quelques matches à Colomiers comme troisième-ligne aux côtés de son frère.
Et on va rappeler que Fabien, élu meilleur joueur du monde en 2002, a poursuivi une carrière d'entraîneur l'amenant à prendre en main l'équipe de France à partir de janvier 2020. Seule Jane, la petite soeur de 20 ans, échappe à l'atavisme puisqu'elle s'est lancée dans l'équitation.
Comment Mathis aurait-il pu échapper à l'ovalité de ce monde ? « À Meudon, je revêtais un des maillots de rugby de ma collection et je faisais des matches tout seul dans le jardin. J'organisais des tournois aussi. C'était chiadé, avec tirage au sort, présentation des équipes, feuilles de match et tout. À l'époque, on ne me voyait jamais sans un ballon. J'ai ratiboisé les rosiers de notre voisin, d'ailleurs Vincent, j'en profite pour te présenter humblement mes excuses. »
Beaucoup de joueurs sont passionnés par leur sport. Lui concède que ça peut aller encore plus loin, même très jeune. « Quand mon père entraînait à Montpellier, il utilisait un logiciel d'analyse qui s'appelle TechXV. Dès qu'il avait fini, il me filait son ordi. J'y trouvais la liste de tous les essais marqués par le MHR ou ceux qu'ils avaient pris, les types de franchissement, le timing des actions. Je devais avoir dans les 9-10 ans. J'ingurgitais tout. Je connaissais chaque essai de Clermont de la saison 2012, par exemple. »
Mathis a souvent déménagé au gré des affectations de son géniteur. Il a grandi en région parisienne quand Fabien évoluait puis entraînait au Stade Français (2001-2008). Il a perdu de son accent pointu en débarquant à Montpellier (2010-2014) puis accéléré son débit vocal en rejoignant Toulon (2017-2018). À chaque fois, il a joué dans les équipes de jeunes avec, en corollaire, la pression découlant de son hérédité.
« En minimes, à Montpellier, je m'entraînais dur. Techniquement, je savais faire des passes. Jouer au pied, ça allait. Mais dans le jeu, je me bridais. Idem en Crabos, à Toulon : je me mettais trop de pression. Dans ces gros clubs où mon père s'exposait, inconsciemment, je ne parvenais plus à m'exprimer. Je ne me suis pas étonné qu'aucun centre de formation ou d'équipe pro ne me fasse de proposition. »
Après son bac S, mention très bien, puis avoir coché l'admission à l'INSA parmi ses priorités, Mathis Galthié renoue avec l'insouciance dans l'anonymat de la modeste équipe de Castanet-Tolosan. « Pour une fois, personne ne m'attendait. J'ai commencé à prendre des initiatives et ai enfin ressenti du plaisir en étant au coeur du jeu. » En posant son sac de sport à Colomiers, il n'était pas question de se prendre pour un autre alors même que son pedigree aurait pu lui autoriser quelques libéralités.
« Je voulais que Mathis soit jugé non sur ce qu'il représente, mais sur ce qu'il fait »
Julien Sarraute, son entraîneur
Tout sauf dans la mentalité de Julien Sarraute, l'entraîneur principal : « J'ai fait en sorte qu'il n'ait pas de passe-droit. Je voulais que Mathis soit jugé non sur ce qu'il représente, mais sur ce qu'il fait. Tout au long de sa formation, j'ai apprécié le fait qu'à chaque fois qu'on a défini ensemble des objectifs de travail, ils ont été atteints. »
Le capitaine Coletta voit en son jeune coéquipier « un gars qui pue le rugby ». « Même en Pro D2, même par rapport à son peu d'expérience, car il a subi de lourdes blessures qui l'ont empêché d'enchaîner (rupture des ischios jambiers en février 2023 ; de nouveau aux soins après le match du 23 février contre Biarritz), sa vision est au-dessus de la nôtre. »
« Mathis a un sens aiguisé des situations de jeu, opine Julien Sarraute. Il lui arrive de prendre des options tactiques pertinentes mais qui peuvent surprendre le collectif. Du coup, il faut créer du liant entre ses initiatives et la réactivité de ses partenaires. J'imagine qu'il tire cette faculté du fait qu'il visionne énormément de matches. Beaucoup plus que ne le font les autres. »
Qui n'ont peut-être pas le loisir de faire décrypter leurs rencontres par le sélectionneur national. « Comme la Pro D2 est télévisée, mon père est la première personne que j'appelle après chacune de mes prestations. Il ne se couche pas tant que je ne l'ai pas appelé. »
Posted 09 March 2024 - 09:15 AM
Je ne sais pas pourquoi mais je préfère Provence à Béziers. Même si je verse une larmiche sur le sort du pauvre Vaquerin. Et en tout cas je souhaite de tout mon cœur que Vannes passe !
souhaitons que les bretons se qualifient dans les 6 et qu'après le quart à vannes passe
aurillac, prendre 40 pions chez le dernier. un parcours à l'extérieur digne d'un reléguable . gagner à la maison semble suffire aux cantaliens, dommage
Posted 09 March 2024 - 16:31 PM
souhaitons que les bretons se qualifient dans les 6 et qu'après le quart à vannes passe
aurillac, prendre 40 pions chez le dernier. un parcours à l'extérieur digne d'un reléguable . gagner à la maison semble suffire aux cantaliens, dommage
Oui, leur championnat ne concerne que les matchs à la maison !
Posted 10 March 2024 - 08:25 AM
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