159 réponses à ce sujet

[L'Eclair]

Je ne vais pas d'apprendre que les Bordenave et autres Cazenave (et tous les noms en ave) se revendiquent descendants du bon roi Henry puisque celui-ci offrait une maison neuve à chacun de ses descendants.
Et il n'en manque pas dans la région.
Un historien local (au fameux nez) me l'avait confirmé avec un sourire coquin donc je me réserve le droit d'y croire moyennement.
Mais si ça rend les gens fiers et heureux, ça me va très bien ainsi.

Oui des Bordenave il y en a pléthore, parfois où on ne les attend pas

 

T'inquiète le 21h arrive.... le 25 novembre pour le déplacement au....ST (le calendrier est sorti) ça va être sympa comme cadeau de Noël en avance d'un mois avec les 5 points pour le ST je vois bien une feuille de match à 23 JIFF

Pour Noël vous aurez un autre cadeau, le 23 en avance, votre match au Hameau avec les débuts de Sam Whitelock en top 14

[Codoràvie]

Oui des Bordenave il y en a pléthore, parfois où on ne les attend pas
 


Pour Noël vous aurez un autre cadeau, le 23 en avance, votre match au Hameau avec les débuts de Sam Whitelock en top 14

Excellent.
Et puis ça cause de Monein alors forcément ça me touche un peu.
D'ailleurs on y trouve le fameux Domaine Bordenave et ses charmants hôtes. Grands et fervents supporters de la Section.
Merci

[el landeno]

Kolisi, Whitelock, Fainga'anuku... après la Coupe du monde, le Top 14 fait le plein de stars La Coupe du monde est finie mais, pour prolonger la fête, plusieurs de ses grands acteurs animeront bientôt les terrains français en Top 14.

Comment ça va vous ? Pas trop déprimé par la nuit qui tombe trop vite ? Par ce temps qui vous oblige à sortir les manteaux du placard ? Et, surtout, par la fin de la Coupe du monde en France ? Pas de panique, les raisons de se réconforter existent. Parmi elles, il y a l'arrivée de certains héros du Mondial en Top 14. De l'icône Kolisi au totem Whitelock, ces stars du rugby prolongeront d'une certaine façon le souffle de la compétition planétaire sur le Championnat de France.

 

 

« L'arrivée de Siya Kolisi va influencer tout l'environnement du club. C'est une valorisation pour notre sport et pour le Top 14 »

Laurent Travers, Président du directoire du Racing 92

 

 

 

« C'est extrêmement positif pour le Top 14 parce que tous ces grands joueurs viennent densifier notre Championnat », apprécie le coach palois, Sébastien Piqueronies, impatient de voir la légende néo-zélandaise débarquer dans le Béarn. Président du Racing, Laurent Travers se réjouit aussi de l'apport prochain du capitaine des Springboks double champions du monde : « Comme avec Dan Carter en 2015, l'arrivée de Siya Kolisi va influencer tout l'environnement du club. C'est une valorisation pour notre sport et pour le Top 14. Il peut transcender les autres, tirer tout le club vers le haut. »

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Cela fait longtemps que le Championnat français est un aimant à stars internationales. Et certaines qui n'ont pas disputé le Mondial vont aussi débarquer, comme le Wallaby Reece Hodge à Bayonne ou le All Black Jack Goodhue à Castres. Mais l'arrivée par charter de ces phénomènes semble tout de même s'amenuiser ces dernières années, en grande partie en raison de la politique des JIFF qui favorise la formation locale. La cuvée 2023 paraît moins gargantuesque que bien des précédentes. Au lendemain de la Coupe du monde 2015, par exemple, le seul RC Toulon voyait débarquer sur la Rade des monstres du calibre de Ma'a Nonu, Duane Vermeulen, Paul O'Connell, James O'Connor ou Quade Cooper.

 

 

« C'est une bonne chose que ces arrivées de stars se fassent au compte-goutte, sur des joueurs ciblés, poursuit Piqueronies. Depuis plusieurs saisons, le Top 14 travaille énormément sur sa formation, laisse beaucoup de temps de jeu accessible à ses jeunes talents, et intègre par des choix très ciblés, des stars mondiales. C'est génial, en termes d'expérience et d'expertise, que notre jeunesse française soit encadrée par des joueurs d'exception. C'est un bon équilibre. »

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Nepo Laulala (pilier-NZL) - > Toulouse

Au poste de pilier droit, on pourrait croire que le Stade Toulousain fait une fixation sur les All Blacks. Après avoir jeté son dévolu sur Charlie Faumuina, qui est resté six ans au club avec brio avant de prendre sa retraite sportive en juin dernier, puis sur Owen Franks, enrôlé cette saison comme joker Coupe du monde jusqu'au 19 novembre, le club rouge et noir accueillera pour trois saisons l'ex-joueur des Blues d'Auckland Nepo Laulala (1,84 m, 128 kg) à partir du 20 novembre.

 

Nepo Laulala fait face à la Namibie, lors de la phase de poules du Mondial. (N. Luttiau/L'Équipe)

À 32 ans, le joueur d'origine samoane, frère cadet de l'ex-centre du Racing Casey Laulala, est une pointure à son poste : il compte 53 sélections et deux Coupes du monde (2019, 2023) disputées avec les Blacks à son actif. Il était notamment titulaire lors du match d'ouverture perdu 27-13 face aux Bleus le 8 septembre dernier, et sur le banc lors de la finale paumée 12-11 contre l'Afrique du Sud le week-end dernier (il avait remplacé Tyrel Lomax à la 66e et avait tenu son rang face au redoutable Ox Nche en mêlée).

« Après le départ de Charlie, on est allés chercher Nepo qui fait partie de ces joueurs qui ont ce leadership et cette capacité à nous faire progresser, nous disait récemment Jérôme Cazalbou, le manager du haut niveau du Stade Toulousain. Ici, quand on fait venir un gars de ce niveau, c'est pour que les autres s'en inspirent. C'était la même chose quand on a recruté Jerome Kaino (aujourd'hui entraîneur adjoint en charge des skills). On savait qu'il avait ce don de transmettre et d'apporter beaucoup à un groupe plutôt jeune. » L. C.

Leicester Fainga'anuku (ailier-NZL) - > Toulon

Étoile montante du rugby néo-zélandais, Leicester Fainga'anuku s'apprête pourtant à quitter son pays pour rejoindre Toulon et le Top 14 courant novembre, au grand dam des All Blacks. L'ailier gauche d'origine tongienne de 24 piges, déjà triple vainqueur du Super Rugby avec son ancien club des Crusaders de Christchurch (2019, 2022, 2023), symbolise à sa manière les difficultés du pays au long nuage blanc à garder ses pépites sur son sol. Fainga'anuku, c'est déjà un prénom inhabituel, Leicester, que son père Malakai, ex-pilier international tongien, lui avait donné au lendemain d'une victoire homérique des Tonga face à l'Italie (28-25), lors de la Coupe du monde 1999 à... Leicester (Angleterre).

C'est aussi un joueur explosif, rapide et puissant, capable de prendre des intervalles comme de casser des plaquages avant de faire jouer derrière lui. C'est surtout un redoutable finisseur. Le bonhomme a terminé co-meilleur marqueur d'essais du Super Rugby 2022 (10 unités) et meilleur marqueur du Super Rugby 2023 (13). Il compte aussi 5 essais en 7 sélections avec les Blacks, tous marqués lors de la dernière Coupe du monde. On se souvient notamment de son triplé en phase de poules face à l'Uruguay (73-0) et de son essai, le premier du match, en quarts de finale face à l'Irlande (28-24), une rencontre qu'il n'aurait jamais jouée sans la mise au ban pour raison disciplinaire de Mark Telea. C'est un pur talent que découvriront bientôt les supporters du RCT, du genre à faire rapidement oublier le Sud-Africain Cheslin Kolbe. L. C.

Henry Arundell (arrière-ANG) - > Racing 92

Avec ses petites bouclettes et son grand coup de reins, Henry Arundell a le chic pour se faire remarquer. Pour sa première sélection avec le quinze de la Rose, en juillet 2022 contre l'Australie, il avait marqué un essai dès son premier ballon. On se souvient aussi l'avoir vu traverser Mayol en Challenge européen pour s'en aller inscrire un essai époustouflant. Plus près de nous, le petit prodige a marqué cinq essais dans un même match de Coupe du monde, contre le Chili, éclaircie mémorable dans un tournoi assez terne pour l'arrière-ailier de 20 ans.

 

Malgré un temps de jeu restreint, les cinq essais inscrits contre le Chili ont fait d'Henry Arundell l'un des hommes de la Coupe du monde. (Icon Sport)

Arundell a déjà repris avec son nouveau club, le Racing. Placé en liquidation judiciaire, son club formateur des London Irish ne pouvait pas le conserver et Stuart Lancaster, nouveau boss du Racing, n'a pas laissé passer la bonne affaire. Le jeune international anglais, qui n'a signé qu'un an, n'a pas encore joué en Top 14 qu'on parle déjà de le rapatrier au plus vite. Exilé pour raisons économiques, Arundell bénéficie d'une exemption de sa Fédération (RFU) qui lui permettra de postuler au prochain Six Nations, mais pas à la prochaine tournée estivale en Nouvelle-Zélande.

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Le directeur général de la RFU Bill Sweeney a dit plusieurs fois que les meilleurs joueurs anglais devaient jouer en Premiership. Des discussions ont commencé pour étudier un système de semi-contrats fédéraux pour un groupe de 25 joueurs, pour lesquels la RFU prendrait en charge une partie du salaire. Concernant le cas Arundell, Gloucester ou Bath seraient déjà sur les rangs. Mais le Racing n'a pas dit son dernier mot. F. Be.

Les autres Mondialistes qui arrivent dans un nouveau club en Top 14

Bayonne : Lucas Paulos (Argentine), Luke Tagi (Fidji).
Bordeaux-Bègles : Adam Coleman (Australie, international tongien).
Clermont : Marcos Kremer (Argentine).
Lyon : Monty Ioane (Italie), Martin Page-Relo (Italie), Semi Radradra (Fidji).
Montpellier : Vano Karkadze (Géorgie).
Oyonnax : Rory Sutherland (Écosse).
Perpignan : Tommaso Allan (Italie), Pietro Ceccarelli (Italie), Marvin Orie (Afrique du Sud), Ignacio Ruiz (Argentine).
Racing 92 : Will Rowlands (Galles), Josua Tuisova (Fidji).
Stade Français : Tanginoa Halaifonua (Tonga), Joe Marchant (Angleterre).
Toulon : David Ribbans (Angleterre), Ben White (Écosse).

Sam Whitelock (deuxième-ligne-NZL) - > Pau

Lors de ce Mondial, Sam Whitelock en a battu des records - de sélections avec les Blacks (153), de matches (26) et de victoires (23) en Coupe du monde - mais il est passé à côté du plus fou d'entre eux en perdant une finale qui aurait pu faire de lui l'unique rugbyman vainqueur de trois Coupes du monde. Mais le All Black (35 ans) va rejoindre la Section Paloise, où évolue déjà son frère Luke, avec le sentiment du devoir accompli.

« Son Mondial a été à la hauteur du personnage, sourit son futur entraîneur Sébastien Piqueronies. Je l'ai trouvé très éveillé, très précieux, très précis. Il a assumé chacune des minutes du temps de jeu que lui a donné le staff (350 minutes en tout) de la plus belle des manières. »

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Attendu chez l'actuel leader du Top 14 fin novembre, Whitelock ne devrait pas être utilisé immédiatement par le staff, qui veillera à ce qu'il s'acclimate progressivement au Top 14. Piqueronies entend bien s'appuyer sur sa science du rugby et son aura, plus que sur le coup médiatique réalisé par la Section.

« Je vais prioritairement attendre de lui qu'il soit performant, dans la conquête directe et dans le jeu de mouvement, explique l'entraîneur. Et ensuite, qu'il fasse rayonner les valeurs qui sont en lui, sur le leadership imprimé à l'équipe. Je vois que c'est quelqu'un d'extrêmement travailleur, d'extrêmement déterminé, d'extrêmement ambitieux dans tout ce qu'il fait. Naturellement, je pense que l'homme qu'il est va nous aider auprès du groupe qui est en train de grandir. »A. Co.

Siya Kolisi (troisième-ligne-AFS) - > Racing 92

La dernière fois que le Racing a accueilli le personnage central d'une équipe double championne du monde, ça n'a pas trop mal fonctionné. On pense bien entendu à la première saison de Dan Carter sous pavillon ciel et blanc, en 2015-2016, ponctuée d'une finale de Coupe d'Europe et d'un Brennus. Le Racing n'a plus gagné de titre depuis.

« Dans un groupe, il y a le terrain et il y a tout ce qui peut passer autour, explique Laurent Travers, ex-entraîneur de Carter et futur président de Siya Kolisi. Quand vous observez Siya, quand vous discutez avec lui, vous sentez qu'il dégage un truc rare. On voit son influence sur ses équipiers, sur son sport, sur son pays. Maintenant, il ne faut pas penser qu'il va tout changer tout seul et tout de suite. Il faut lui laisser le temps de digérer sa Coupe du monde, sa course contre la montre pour revenir d'une grosse blessure au genou, lui laisser le temps de connaître les gens du club. On pense que Siya (32 ans), au-delà de ses qualités de troisième-ligne, peut apporter énormément dans l'aspect mental, dans le leadership, la cohésion. Il a tout pour faire grandir nos jeunes. »

 

Siya Kolisi libère son ballon contre les Blacks, en finale du Mondial. (F. Faugère/L'Équipe)

On peut imaginer l'enrichissement pour des garçons comme Jordan Joseph, Ibrahim Diallo, Maxime Baudonne, Thomas Laclayat, Cameron Woki, Nolann Le Garrec... Comme on peut supposer que le Racing a trouvé le chaînon qui manquait à son pack depuis les retraites de Chris Masoe ou Yannick Nyanga, Attendu au Plessis-Robinson la dernière semaine de novembre, Kolisi, qui n'est pas le plus haut salaire du Racing, devrait jouer ses premières minutes début décembre.

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« Autant Trevor Nyakane connaît le club (il était arrivé en janvier 2022), autant Siya va tout découvrir, précise Travers. Stuart Lancaster (manager du Racing) échange beaucoup avec lui. » Dans les discussions autour de son contrat de deux ans, il était question que Kolisi mettre entre parenthèses sa sélection. Mais il se pourrait que le capitaine des Boks ait envie d'étrenner sa deuxième étoile et que le Racing ne s'y oppose pas. F. Be.

 

[Good Shvili]

Et dire que beaucoup se plaignaient du niveau en CDM

 

pôôôvre Oyo LR de top 14

[Alex chocolatines]

Et dire que beaucoup se plaignaient du niveau en CDM

 

pôôôvre Oyo LR de top 14

Namibie / Uruguay 

[Good Shvili]

Namibie / Uruguay 

Sans les internationaux 

[Alex chocolatines]

Ce TT, quelle défense de fer ... Enfin le fer à dix sous, et c'est pas cher hein 

[exilé-sud-ouest]

Et dire que beaucoup se plaignaient du niveau en CDM
 
pôôôvre Oyo LR de top 14

Pluie et vent il ne faut pas se leurrer ça va être la même sur tous les terrains aujourd'hui.
Je trouve que Oyonnax a proposé des lancements intéressants malgré la pluie.

[Alex chocolatines]

Pluie et vent il ne faut pas se leurrer ça va être la même sur tous les terrains aujourd'hui.
Je trouve que Oyonnax a proposé des lancements intéressants malgré la pluie.

Oui, c'est La Rochelle qui fait pitié, y pas d'équipe B cette année 

[Underscore]

Oyo maitrise bien les éléments météo du jour...

[steph]

Cancoriet, c'est toujours pas Ardie Savea.

[Gourine63]

Cancoriet, c'est toujours pas Ardie Savea.

Incroyable la descente de ce mec, alors qu'en 2017 à 20 ans il avait des mains en or et une puissance de tank (l'essai où il emporte le pack du Racing en demi )

[TH69]

Oui, c'est La Rochelle qui fait pitié, y pas d'équipe B cette année 

Comment on l'explique par rapport à l'année dernière ?

[pims]

dégoûtant le jeu rochelaid

bravo oyonnasque même si ça fait chier le BD

[steph]

C'est Vincent Troisbaty maintenant non ?