663 réponses à ce sujet

[zebdomes]

RR nous voit arracher une finale, on est mal...

[exilé22]

je sais pas vous mais quand Belleau remet ses lacets.......     il a comme un petit air de Mel Gibson....................et Yato un petit air de Danny Glover....................     ca peut les énerver ........    

on a perdu les moins de 40 ans là. 

[Borromyr]

RR nous voit arracher une finale, on est mal...

Ils ont aussi annoncé victoire face au SF, tranquille tranquille

[Parigot_Paris]

Ils ont aussi annoncé victoire face au SF, tranquille tranquille

Normal c est nous qui leur avions passé linfo !

[zebdomes]

Ils ont aussi annoncé victoire face au SF, tranquille tranquille

Ah, on est les seuls pour lesquels ils ne se plantent pas... Tutti va bene alors !


On est en finale
On est en finale
On est
On est
On est en finale !!!

🤣

[RCV06]

En tapant avec des bâtons ? 

Le code des éclaireurs

Ben alors je repose la question : que font tous ces champions du monde dans la challenge ? Pourkoi kisonpa en champions cup hein ? 

Z ont eu peur de Toulouse avec toutes ses étoiles

Lui il joue la grande  C'est le genre de 3/4 qui dresse les cheveux sur la tete de notre bon RCV .

Il a une belle tête de vainqueur !

[Ptolémée]

Des sudafs champions d'Europe, c'est pas envisageable, j'veux bien qu'on déconne mais là quand meme la blague va trop loin. Faut les niquer ! 

 

oui bien sur , une belle carte de visite quand même 

[Mammoth]

En image direct dans le texte c'est plus joli, bordel ! (y'en a marre de Twitter & Cie)
Les traditions se perdent !!
 

C'est Giral qui couvre en 9 ?

[Tibaldo]

Les sudafs vont cibler belleau et jauneau, j'annonce de la casse.....

[jm12]

Les sudafs vont cibler belleau et jauneau, j'annonce de la casse.....

Ben clair qu'il faut s'y attendre d'autant qu'ils sont bien au jus de la présence d'un seul 9..hors qualités de Jauneau....et j 'ajouteras en pilier gauche

 

Franchement si l 'on revient de ce voyage d'agréments sans trop de casse , voir suspension ce sera déjà pas mal...attention à nos Argentins sous haute provoc/pour Lavanini et Kremer le sieur Etzebeth étant champion dans cet art , très souvent  dans l 'impunité !

[ELSAZOAM]

 

Demi-finale de Challenge Cup : pour l'ASM Clermont, "la clé sera l'entame de match" face aux Sharks 

 

Rob Simmons, le deuxième ligne de l’ASM au cœur du combat face au Stade Français. Il a déjà beaucoup ferraillé cette saison, contrairement à Etzebeth, le joueu

 

Christophe Urios en est convaincu : de la capacité de ses joueurs à prendre la main dès le début de match, dépendra l’issue de la demi-finale de Challenge Cup que l'ASM Clermont va disputer face aux Sharks de Durban, ce samedi à Londres.

Sur le papier, la fraîcheur physique devrait être un atout des Sharks, dont l’ossature de joueurs internationaux affiche deux fois moins de feuilles de match et de temps de jeu que les joueurs importants de l’ASM Clermont.

 

Là où Slimani (pilier) a joué 23 matchs (après la Coupe du monde) cette saison, Nché en affiche 9 de moins (14)?; un écart encore plus flagrant, du côté des 2e ligne, entre Simmons (22 matchs) face à Etzebeth, seulement 10 feuilles de match depuis novembre.

 

« On est prêt physiquement, on est prêt dans les têtes »

Cela étant dit, ce paramètre n’inquiète pas Christophe Urios. « C’est une équipe qui ne joue pas beaucoup, c’est vrai, surtout les internationaux, mais je ne pense pas que ce sera déterminant. Parce que l’on est prêt physiquement, on est prêt dans nos têtes ».

 

Face à cette équipe des Sharks estampillée « Boks », surtout dans son cinq de devant, les Clermontois doivent s’attendre à un rugby frontal et un défi physique permanent.

 

« Pour moi, ce qui fera la différence, c’est l’entame de match. À l’image du rugby sud-africain, cette équipe aime imposer ce qu’elle a envie de faire, notamment sur la partie psychologique. Elle aime dominer les débats et ça commence par l’affrontement. Donc, l’entame de match sera importante, les collisions seront essentielles et le combat des avants sûrement décisif », a détaillé Christophe Urios, ce vendredi en fin de matinée, avant de prendre l’avion pour Londres.

 

Une statistique permet d’étayer le propos du manager de l’ASM : les Sharks ont le pourcentage de plaquages dominants (9,2 %) le plus élevé de la compétition.

 

Aujourd’hui, je ne tire plus de plans sur la comète. Comment on va se comporter sur ce match?? Je n’en sais rien.

 

La prestation de la défense clermontoise sera assurément un indicateur fort, et pas seulement sur les premières minutes de cette demie. Cette équipe sud-africaine va vouloir étouffer l’ASM devant, mais elle a d’autres cordes à son arc.

 

« Sa particularité est de contre-attaquer avec des joueurs derrière, qui vont très vite, rajoute Urios. Qui sont capables d’aller sur les extérieurs. C’est une équipe complète… Une équipe de Top 14 en fait. Je le redis, ce n’est pas l’usure de la saison qui va faire qu’on peut passer à travers ».

 

Une semaine après un succès probant sur le Stade Français (41-18), servi par une prestation convaincante, l’ASM est sans doute plus libérée dans les têtes. Pour autant, cela n’offre aucune garantie au coach avant ce choc inédit, ce samedi après-midi au Stoop.

 

« On a eu tellement de bas cette saison, parfois après de super matchs, que je ne sais pas à quoi m’attendre. Aujourd’hui, je ne tire plus de plans sur la comète. Comment on va se comporter sur ce match?? Je n’en sais rien ».

À Fritz Lee et ses partenaires de répondre à cette interrogation… pour une place en finale. 

 

Christophe Buron (LM - 04/05)

[el landeno]

Clermont cherche à sauver sa saison en Challenge face aux Sharks et ses champions du monde Dans une saison morose, les Clermontois peuvent aller chercher un rayon de soleil dans une compétition qui leur réussit. Mais les Sharks et leurs Springboks, tout aussi irréguliers, comptent eux aussi s'y sauver.

 

 

 

Dès qu'il a posé les pieds sur la pelouse irrégulière du Stoop, où la terre affleure par endroits, Aurélien Rougerie a fait remonter les souvenirs, vendredi, en fin d'après-midi, quand les Clermontois sont rapidement venus reconnaître le cadre de leur demi-finale. C'est là qu'il a remporté son premier titre avec l'ASM, en 2007, dans un Challenge européen qui, à l'époque, faisait déjà figure de parent pauvre. Bath y avait subi la loi des Jaunards (22-16) et l'actuel team manager de l'ASM plaisante sur les chevauchées de l'ailier qu'il était alors, dont l'herbe cabossée garderait encore les stigmates. « C'était la première saison de Vern Cotter, une phase de reconstruction, recadrait-il, pendant que les Jaune et Bleu, en baskets, humaient l'atmosphère et évaluaient l'exiguïté de leur vestiaire. Si ça pouvait être un peu la même chose... »

 

 

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C'est ce que les Clermontois peuvent venir chercher de mieux ici, samedi, le souffle d'air d'un renouveau possible, celui qui atténuerait les effluves d'une saison de Top 14 encore ratée (10e, 47 points), sans la faire oublier bien sûr, puisqu'on ne peut effacer le stress et la déception d'une fin d'exercice passée à courir après la survie dans l'élite nationale. Christophe Urios s'en lamente souvent, de voir ses troupes capables de passer au travers, dans l'attitude comme le contenu, par exemple à Bordeaux il y a deux semaines (7-41), pour rebondir de manière convaincante face au leader parisien le week-end suivant (41-18).

« Je me suis pris au jeu, comme tout le monde »

Christophe Urios, manager de Clermont

 

 

 

« Ce qui m'a rassuré contre le Stade Français, c'est notre mentalité, disait l'entraîneur vendredi, en conférence de presse, avant de s'envoler pour la banlieue londonienne. Mais on est tellement différents d'un week-end à l'autre, et même pendant un même match. Je n'en tire donc pas plus de conclusion ! Au moins, je m'étais reconnu dans l'équipe, ce qui n'est pas toujours le cas. »

 

 

Il faudra y mettre le même coeur que contre Paris, pour venir à bout des Sharks samedi. Car les Sud-Africains de Durban n'ont plus, eux aussi, que cette compétition pour sauver leur saison, ratée dans les grandes largeurs en United Rugby Championship (13es), sans doute parce que leurs Springboks ont été happés par la Coupe du monde, dont il leur a fallu ensuite récupérer. Les champions du monde seront presque tous là au Stoop, sept dans le quinze de départ, régénérés, morts de faim.

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Ils auraient pu prétendre jouer chez eux, au bord de l'océan Indien, mais le règlement bancal de cette compétition transcontinentale les a obligés à « recevoir » à quasiment 10 000 kilomètres de chez eux et le Stoop, où on attend, pour 14 500 places, de 4 000 à 5 000 spectateurs, dont une centaine de Clermontois, sonnera bien creux. « Jouer dans un stade vide, râlait Urios, c'est pas top, ça enlève cette romance autour des matches de phase finale. On joue chez les Harlequins qui, eux, jouent leur demie de Coupe des champions dimanche, en France. C'est couillon ! »

Oui, c'est parfaitement à l'image de ce Challenge, mal fagoté, dédaigné parfois, et quand le prestigieux duel entre la Royal Navy et la British Army aura les honneurs du vrai Twickenham, bien plus comble, ce même samedi, un peu plus tard dans l'après-midi, un certain anonymat escortera l'ASM et les Sharks, juste de l'autre côté de la quatre-voies qui sépare les deux enceintes. Mais Clermont a trop galéré sur les routes du Top 14 pour bouder son plaisir. « Je me suis pris au jeu, comme tout le monde », reconnaissait Urios, qui, au début de l'aventure ne se disait pas trop « excité » par ce deuxième échelon « européen ».

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L'ASM entière, aussi, sait qu'il ne faut pas galvauder cette compétition, parce qu'elle l'a remportée trois fois déjà (1999, 2007, 2019), un record, parce qu'il ne lui reste que ça à gagner cette saison et qu'un trophée peut toujours être le début de quelque chose. Ç'avait bien été le cas en 2007, la dynamique avait abouti sur le premier Brennus (2010) d'un club moqué jusque-là pour être maudit dans ses finales. Ce n'est qu'une demie samedi, bien sûr, Tottenham et son magnifique stade peuvent paraître encore un peu loin, et ce qui, il y a dix-sept ans, sonnait réellement comme la rampe de lancement d'une génération dorée, ressemble plus aujourd'hui à une consolation. Mais nul doute que ce baume au coeur, cette ASM chaotique, sur le terrain comme en dehors, l'accueillerait bien volontiers.

 

 

[Babé03]

La demi-finale entre les Sharks et l’ASM Clermont se jouera dans une drôle d’ambiance feutrée en tribunes, ce samedi après-midi (13 h 30, heure française), au Stoop de Twickenham. Les Auvergnats sont venus prendre leurs marques, ce vendredi.

De la pluie fine, un ciel bas, de gros nuages gris... Les Clermontois n’auront finalement pas été trop dépaysés en descendant de leur avion, ce vendredi, en début d’après-midi. C’est un temps typiquement anglais, comme celui qui régnait ces derniers jours sur l’Auvergne, qui les a accueillis à Londres après une petite heure de vol sans histoire avant d’aller prendre leurs quartiers dans leur hôtel de Richmond, celui-là même que réserve l’équipe de France lorsqu’elle vient jouer le Crunch dans le Tournoi.

Question ambiance en revanche, ce sera un peu la douche froide, ce samedi, pour cette demi-finale de Challenge Cup contre les Sharks de Durban. Avec quelques supporters sud-africains vivant à Londres et deux cents supporters clermontois au maximum, ce sont quelques milliers de spectateurs qui prendront place dans les travées du Stoop, l’antre des Harlequins.

Les bons souvenirs de Lee, Slimani et Beheregaray

Une misère pour une demi-finale. Et la désagréable impression de revenir quelques mois en arrière, lors de la pandémie de Covid 19, lorsque les matchs se jouaient avec des jauges réduites, voire à huis clos.

La faute au règlement de l’EPCR qui stipule qu’en cas de présence d’une franchise sud-africaine en position de recevoir dans le dernier carré, le match serait délocalisé sur terrain neutre, à Londres.

« On joue sur le stade des Harlequins qui jouent, eux, leur demie en France (à Toulouse). C’est un peu couillon, constatait, fataliste, Christophe Urios. Jouer dans un stade vide, ce n’est pas top. Cela enlève cette romance autour de ces matchs de phases finales. Il aurait été préférable de le jouer ailleurs, en France. »

Le paradoxe, c’est qu’à quelques centaines de mètres du Stoop, dans le temple de Twickhenham, se jouera presque au même moment, une rencontre qui fait saliver la presse anglaise entre les équipes masculines puis féminines de la « Navy » et de l’Armée Britannique.

C’est donc dans cette relative indifférence que les Clermontois sont venus reconnaître le Stoop, ce vendredi, vers 17 h 45, alors que le ciel s’était éclairci. La météo est d’ailleurs plutôt optimiste pour ce samedi après-midi.

Pendant près d’une heure, ils ont fait le tour de ce petit stade à l’anglaise de 14.816 places, où le public est au plus près des acteurs. Un stade qui a rappelé de bons souvenirs de Champions Cup aux plus anciens du club comme Yohan Beheregaray et Rabah Slimani, vainqueurs des Harlequins le 18 janvier 2020 (26-19), ou même de Fritz Lee qui était, lui, venu s’imposer (16-13) il y a plus de dix ans, le 11 janvier 2014.

Les Clermontois ont également repéré leur vestiaire, celui des visiteurs puisque ce sont les Sharks qui sont censés recevoir grâce à leur première place obtenue lors de la phase de poule. « Il est petit, mais c’est aussi bien comme ça », a commenté Giorgi Beria. Quelques photos, quelques coups de téléphone et puis Fritz Lee et Anthony Belleau ont sonné le rassemblement au centre du terrain pour un premier discours mobilisateur. La tension était montée d’un cran. Retour au bus. Place au terrain. Rendez-vous ce samedi à 12 h 30, heure anglaise (13 h 30 en France).

Adrian Stoop :
Le stade porte le nom d’un ancien capitaine des Harlequins avant la Seconde Guerre mondiale. Adrian Stoop, quinze fois international anglais, est devenu ensuite président du club. Une statue en bronze en son honneur se dresse à l’entrée de l’enceinte.

Didier Cros

[bazooka]

Les sudafs vont cibler belleau et jauneau, j'annonce de la casse.....

 

C'est exactement ce que je crains.

[layathollah]

C'est pas des bouilleurs d'enfants non plus.