Si tu passes dans le Tarn, tu verras qu'ils n'ont aucun complexe.
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Le Tarn c'est aux USA ou en Australie ?
J'y repasse bientôt, je regarderai et je te dirais.
Posté 24 avril 2024 - 18:08
Si tu passes dans le Tarn, tu verras qu'ils n'ont aucun complexe.
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Posté 24 avril 2024 - 18:11
En AveyronLe Tarn c'est aux USA ou en Australie ?
J'y repasse bientôt, je regarderai et je te dirais.
Posté 24 avril 2024 - 19:09
Je suis d'accord, mais l'ASM fait un jeu restrictif c'est parce qu'après le 8 au bout de trois passes c'est en avant, ballon tombé, échappé...etc... Alors comment faire ? Comme Moala garder la gonfle ???
Posté 24 avril 2024 - 19:10
Quelqu'un pourrait nous partager l'article du Midol : Clermont, un empire en péril et sous pression maximale avant de recevoir le SF, svp ?
Posté 24 avril 2024 - 19:20
Il ne faut pas abuser des bonnes choses !Quelqu'un pourrait nous partager l'article du Midol : Clermont, un empire en péril et sous pression maximale avant de recevoir le SF, svp ?
Posté 24 avril 2024 - 19:27
Match de la dernière ou de l'avant dernière chance ?
Si on perd il faudra impérativement battre Montpellier... et nous les matchs-couperet où il faut garder la tête froide et jouer intelligemment, c'est notre super spécialité....
Après le MHR et le LOU sont pas mieux que nous voir pire.... mais je vois bien Toulouse lâcher le dernier match à Lyon et faire tourner à fond, si leur place dans les 2 est assurée...
Je pense un peu la même chose : qui parmi SF ST LR R92 UBB et RCT peut se permettre une impasse pour reposer ses cadres ?... Effectivement je pense à ST pour gérer la CC...
Posté 24 avril 2024 - 19:28
C'est un joueur à classer dans la catégorie des pétillants, ouvert sur le monde. Amateur de théâtre, il assistait la veille au one man show de l'américain Dave Chappelle, à l'Alhambra, une petite salle parisienne. Diplômé en sciences appliquées de l'Université d'Otago, il bossait sur un projet de technologie pour la télé : « du tracking de balles en golf, de tennis ou de cricket quand le rugby a pris le dessus. » Âgé de 33 ans, il cherche encore ses marques au Stade Français et explique pourquoi.
« Vous êtes leaders du Championnat. C'est quoi la clef selon vous ? On gagne surtout grâce à notre défense. Pour l'instant. J'ai rarement joué dans une équipe aussi performante dans ce domaine. La cadence, l'abattage, le désir commun et constant de tenir la ligne. L'attitude des gars est remarquable. C'est ce qui nous fait gagner des matches même très serrés. Ce pourrait être un motif de satisfaction confortable mais ce qui est marrant c'est que personne ne se repose dessus. On veut parvenir à optimiser notre attaque. Les gars sont motivés, sur la même tonalité. On a envie.
Passer du Super Rugby et des Chiefs, avec l'ouvreur Damian McKenzie qui envoie du jeu à tout va, au Stade Français meilleur défense du Top 14, ça doit faire drôle...
(Il se marre.) C'est précisément ce qui m'a motivé à venir à en France. Pour me confronter à un autre style de rugby après tant d'années en Nouvelle-Zélande. C'est une expérience unique. Le Super Rugby c'est un sprint. Le Top 14, un marathon. On traverse les mois d'hiver, ça modifie beaucoup l'approche du jeu. Les défenses sont très resserrées. Dans l'hémisphère sud le jeu est plus porté sur l'attaque et la vitesse. Ici, le jeu va moins vite, mais ça ne signifie pas que tu puisses te permettre de prendre le premier intervalle qui s'ouvre, ce serait trop risqué. C'est costaud le Top 14 !
Je dois, en quelque sorte, reprogrammer mon instinct du jeu. Sans succomber à la peur que l'espace se referme. En Super Rugby, j'avais l'obsession permanente de mettre du tempo. Ici il me faut intégrer d'autres automatismes, m'appuyer sur les structures de l'équipe. Ne pas partir seul, m'assurer qu'il y a plus d'un soutien autour. Un demi de mêlée ou un ouvreur habitué au Super Rugby doit opérer un « reset » dans la façon de guider le jeu pour intégrer celui d'ici. Ce n'est pas simple. C'est excitant. J'ai un grand respect pour le rugby français. Je m'impose un gros boulot de travail vidéo. J'échange avec Morgan Parra (entraîneur adjoint) et Rory Kockott sur certaines situations. J'ai mis les bouchées doubles sur les coups de pied. Ils sont tellement plus utilisés ici. C'est bien, c'est sain de faire évoluer son état d'esprit. Ce gros changement est un beau challenge. J'ai à coeur de le réussir.
« Aujourd'hui on regarde du côté de la France et de l'Irlande. On a pris conscience que le rugby qui s'y pratique peut-être aussi bon, voire meilleur que le nôtre »
Le rugby néo-zélandais donne les clefs du jeu à l'ouvreur. En France, c'est le demi de mêlée qui est roi. Pourquoi, selon vous ?
Ici le jeu est fait de plus de collisions. De fait, ça ralentit la transmission du ballon et impose, très vite, au 9 de s'avérer décisif autour des points de contact. Parfois la différence va se faire plein centre. En Nouvelle-Zélande, par tradition on est tenté de faire la différence au large, en jouant sur la vitesse plus que la puissance. Ici les joueurs disposent de bonnes gammes de coups de pied dans les 22. En Top 14 on voit évoluer Antoine Dupont, qui est aujourd'hui le meilleur numéro 9 au monde, mais aussi d'autres joueurs excellents comme Maxime Lucu ou Baptiste Couilloud.
Pendant des années la Nouvelle-Zélande a donné la tendance, aujourd'hui on regarde du côté de la France et de l'Irlande. On a pris conscience que le rugby qui s'y pratique peut-être aussi bon, voire meilleur que le nôtre. Aux Chiefs, je me souviens on étudiait certaines combinaisons du Top 14.
L'ailier Leicester Fainga'anuku, qui a renoncé aux All Blacks à 24 ans pour jouer en Top 14, nous disait : c'est ici que ça se passe si on veut se confronter aux meilleurs...
C'est incontestable, le Top 14 est aujourd'hui le plus gros Championnat au monde. Mais attention, il y a des rencontres de Super Rugby très relevées : quand les Chiefs affrontent les Crusaders, les Hurricanes ou les Blues, ça tape fort et ça te brûle les poumons car le rythme est ultra-intense. Mais, faut reconnaître, le Top 14 c'est chaud ! Et la saison est très longue. Et puis, ici il y a des "êtres humains démesurés" qui n'ont qu'une seule envie : te marcher dessus.
« Si on fait du rugby un sport plus brutal, plus haché, les petits disparaîtront »
Fainga'anuku semble prendre ses marques au RC Toulon en tant que centre...
Ça ne m'étonne pas, il avait déjà joué un peu à ce poste aux Crusaders. Leicester, il est taillé parfaitement pour le défi français avec sa dimension physique (1,89 m ; 109 kg). Je le regarde évoluer, je regarde tous mes camarades kiwi, comment chacun s'adapte au jeu pratiqué ici. On vit tous ce même défi. Avant de venir j'ai échangé avec Tawera Kerr-Barlow (demi de mêlée de La Rochelle, 27 sélections All Blacks) avec qui je jouais aux Chiefs. Je parle aussi avec George Bridge (ailier de Montpelier, 19 fois All Black) et Jack Goodhue (Castres, 18 sélections). On évoque ce processus d'adaptation sur les terrains, ces bouleversements dans nos vies. Tawera m'a dit très tôt : "apprends le français le plus vite possible !" C'est important, surtout à la mêlée. Je me bats, le français est une langue difficile.
Vous parliez d'êtres humains démesurés...
(Il se marre.) Je pèse 75 kilos pour cent soixante-douze centimètres. Avec ces dimensions, l'idée est de se faire choper le moins souvent possible. Dans sa grande générosité, dame nature m'a doté de fibres musculaires rapides. Grâce à elles je peux faire la différence à mon poste. Même si je suis un homme petit j'aime plaquer. Je suis ciblé. Les équipes auraient tort de résister à la tentation. Je le lis dans les regards : quand certains me voient, ils foncent sur moi. Je ne suis pas du genre à m'échapper. Plus les règles insisteront sur la vitesse du jeu, plus ce sera favorable aux petits gabarits. Si on fait du rugby un sport plus brutal, plus haché, les petits disparaîtront. J'espère que les règles suivront la tendance d'un rugby rapide et plus divertissant du coup. »
Posté 24 avril 2024 - 19:29
Il vaut mieux effectivement la boire que la subir.Il ne faut pas abuser des bonnes choses !
Posté 24 avril 2024 - 19:36
Il ne faut pas abuser des bonnes choses !
C'est juste pour égayer ma soirée....
Posté 24 avril 2024 - 19:40
Je suis abonné numériquement via Canal mais je ne trouve pas cet article.
C'est juste pour égayer ma soirée....
Posté 24 avril 2024 - 19:44
Posté 24 avril 2024 - 19:45
Quelqu'un pourrait nous partager l'article du Midol : Clermont, un empire en péril et sous pression maximale avant de recevoir le SF, svp ?
En danger avant de recevoir Paris ce samedi (21h05), les Auvergnats doivent absolument se révolter, à défaut d’être brillants dans le jeu. Sinon, la fin de saison pourrait virer à la catastrophe...
Il y a de ça cinq ans, pas plus, l’augure aurait fait rire : finaliste du Top 14 (2019) après un second Brennus arraché deux ans plus tôt (2017), facile vainqueur d’une Challenge Cup où il faisait dès le départ figure d’immense favori, Clermont était encore une place forte du rugby français. Un bastion. Une évidence, surtout, parmi les clubs que l’on pronostiquait parmi les futurs qualifiés, à l’entame de chaque nouvelle saison.
Encore donné parmi les favoris du Top 14, dans le sondage des entraîneurs réalisé par Midi Olympique à l’orée de la saison 2019-2020, Clermont ne fait désormais plus peur. À personne. Un déclassement latent, structurel et à tous les niveaux, venu finalement dégrader l’étage professionnel de la fusée, au sommet. À cinq journées de la fin du championnat (phase régulière), les Auvergnats pointent à une inquiétante douzième place, avec seulement quatre points d’avance sur Montpellier, treizième et virtuellement barragiste, qu’ils recevront lors de l’ultime rencontre.
En manque de leadersGlobalement, leur calendrier n’inspire pas l’enthousiasme. Les performances non plus, excepté un rayon de soleil face à l’Ulster. Et la venue du leader parisien, ce samedi (21h05) à Marcel-Michelin, fait déjà figure de match décisif pour sauver ce qui reste, à ce jour, le club le plus ancien dans l’élite du rugby français (depuis 1925) avec le Stade toulousain. Le seul, toujours avec Toulouse, à ne jamais avoir connu la relégation. Un empire aujourd’hui en péril.
Dimanche soir après l’humiliation en terre bordelaise (41-7), c’est Baptiste Jauneau qui s’est présenté face aux médias, pour assumer l’injustifiable. Dépité, pour le moins, le gamin du Béarn (20 ans) a difficilement contenu quelques larmes. "Il n’y a vraiment rien qui a été ce soir. C’est dépitant parce qu’on voulait venir pour essayer de récupérer quelques points, s’accrocher et montrer le visage que l’on a montré la semaine dernière." Avant de lâcher un très symptomatique : "on n’avait pas trop le ballon et quand on l’avait, on ne savait pas trop quoi en faire…".
La tête à l’envers, Clermont manque cruellement de leaders pour retrouver un sens de la marche. Plusieurs joueurs sont identifiés pour ce rôle, mais aucun ne semble vraiment prendre la barre. Cette saison, le capitanat a tour à tour été confié à Falgoux (6 fois), Bézy (5), Simone (5), Lee (2) et Jauneau (2), en plus du symbolique Raka à La Rochelle. Aucun n’a su imposer de vent de révolte dans les rangs auvergnats, qui semblent subir cette saison plus qu’ils ne la vivent, progressant de faux espoirs en désillusions. Il n’y a plus de Parra, de Lopez, Bonnaire ou Rougerie dans cette équipe pour refuser le déclin. Et si l’on excepte les saillies médiatiques de leur manager Christophe Urios, c’est un sentiment de fatalité, presque de résignation que diffuse cette équipe. Rien de rassurant, alors que se profilent des matchs "à la mort".
Ce problème de leadership avait tôt été identifié par Urios, justement. Dès l’intersaison, après six mois de prise en main. Cette équation, le manager audois ne semble toutefois pas avoir su la résoudre, malgré une variété de tentatives : il a voulu responsabiliser des plus jeunes, comme Jauneau ; il a poussé de sérieux coups de gueule, comme après le match nul domicile contre Oyonnax ou la lourde défaite à La Rochelle, 42-3 ("il y a d’abord de l’incompréhension, de la déception humaine, de la colère. […] Ce soir, on a eu une mentalité de merde. On a eu le sentiment de ne pas jouer dans la même division, tellement c’était grotesque. Certains ne sont pas au niveau. Je leur ai dit dans le vestiaire").
Le rugby, c’est d’abord une mentalité
Avant la réception de Pau, le 23 mars, Urios a également tenté de laisser la main aux joueurs : "Je ne change pas ma méthode, mais on a effectivement ouvert la discussion. Quand on doit remettre les mains dans le cambouis trois choses sont importantes : la communication intense, revenir sur les fondamentaux et se reprendre en main. On a activé ces trois leviers, et face à Pau les joueurs se prendront en main". Sans y trouver un succès franchement probant (victoire 31-28).
Pourtant, bien avant de parler de tactique et des multiples manques dans le jeu collectif des Auvergnats, qui apparaissent parfois perdus sur le terrain, c’est bien par le caractère que passera d’abord le maintien. "Pour moi, le rugby c’est d’abord une mentalité et un état d’esprit et lorsque tu ne l’as pas, tu ne peux pas exister" martèle encore le manager audois. Il y a urgence. Et si ses joueurs ne l’entendent pas très vite, c’est alors un royaume séculaire qui pourrait s’effondrer.
Posté 24 avril 2024 - 19:47
Jespère que nos piliers valides auront un entraînement pas trop à risque histoire davoir une petite chance dêtre sur la feuille de match .
Posté 24 avril 2024 - 20:24
"Pour moi, le rugby c’est d’abord une mentalité et un état d’esprit et lorsque tu ne l’as pas, tu ne peux pas exister" martèle encore le manager audois. Il y a urgence. Et si ses joueurs ne l’entendent pas très vite, c’est alors un royaume séculaire qui pourrait s’effondrer.
J'aimerais bien savoir ce qu'il entend par "mentalité" car j'ai l'impression que nos joueurs jouent quand même assez collectif, le groupe semble bien soudé, sur les matchs je ne les vois pas démissionner même quand ils prennent une déconfiture.
Posté 24 avril 2024 - 20:26
oui,avec Millau comme capitale...Le Tarn c'est aux USA ou en Australie ?
J'y repasse bientôt, je regarderai et je te dirais.
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