C'est pas très élégant, ça...
Je fais avec mes moyens aussi.
C'est peut-être la seule qui ne me rattrapera pas à la course...à condition que je prenne beaucoup d'élan.
Mais pas trop, sinon j'aurais pas assez de souffle.
Posté 02 mai 2024 - 23:17
C'est pas très élégant, ça...
Posté 03 mai 2024 - 07:59
Oui ce sera en début de semaine prochaine.
Donc inscription et mettre une alerte.
Et au pire je me pointe au stade et je pique un billet à une petite vieille en déambulateur.
Méfie toi des petites vieilles autour d’Aimé Giral, il y a plus de Ma Dalton qu'on ne pense..
Posté 07 mai 2024 - 07:17
si la logique est respectée, de la 10 ème à la 14 ème place rien ne devrait changer, mais dans le sport la logique!!!!!!!!!!
Posté 07 mai 2024 - 07:19
si la logique est respectée, de la 10 ème à la 14 ème place rien ne "CHANGERA" !
Posté 07 mai 2024 - 07:40
si la logique est respectée, de la 10 ème à la 14 ème place rien ne devrait changer, mais dans le sport la logique!!!!!!!!!!
Espérons qu'elle ne le soit pas juste pour notre match.
Posté 07 mai 2024 - 07:52
Espérons qu'elle ne le soit pas juste pour notre match.
ça serait un super week end ou comme dirait bougnat et breton une superbe fin de semaine
Posté 10 mai 2024 - 13:01
Bon ben,
Allez Toulouse
Allez Clermont
Allez le CO *
* = Offre a durée limitée. l'abus de CO est dangereux pour la santé.
Posté 10 mai 2024 - 15:04
Pourquoi "Allez Toulouse ?"
Posté 10 mai 2024 - 15:07
Il a voulu dire : partons à Toulouse (face aux grilles)...Pourquoi "Allez Toulouse ?"
Posté 10 mai 2024 - 15:50
Oui en attendant les Toulouzaingues ils sont TRES MECHANTS !!!
Et Rugbyrama ne prévoit que des victoires à domicile.
Posté 11 mai 2024 - 06:50
Des Castrais qui se prennent pour des Fidjiens, les Palois qui jouent debout pour mieux regarder les Toulousains dans les yeux, les Perpignanais qui éparpillent le maintien à coups de perfs répétées... Le Top 14 se donne ces derniers mois des airs de Super Rugby avec des clubs dont on n'attendait pas forcément autant d'ambition dans le jeu, quand leur premier objectif est d'assurer leur présence dans l'élite avant de s'autoriser à rêver.
À quatre journées de la fin, Castres, Pau et Perpignan sont encore dans le coup pour une qualification en phase finale (dans les six premiers) même si ce ne sera pas simple. Et ils y sont parvenus sans renier leurs principes, sans jamais jouer petit bras, même quand ça tanguait.
« Il ne s'agit pas de se prendre pour eux (les Toulousains) mais on peut s'en inspirer. Pour prétendre se mêler à la bagarre, il faut un jeu offensif de qualité et ambitieux »
David Darricarrère, entraîneur de l'attaque de Castres
Prenons Castres. Le CO n'a jamais vraiment été un parangon du jeu spectaculaire. Aujourd'hui, le club tarnais affiche des stats à la toulousaine, avec notamment une deuxième place au nombre de offloads, avec un Leone Nakarawa qui les cumule (37, en tête du classement devant le Lyonnais Davit Niniashvili) et au nombre de mètres parcourus derrière le voisin haut-garonnais !
« On a entamé ce travail il y a deux ans, explique David Darricarrère, l'entraîneur de l'attaque du CO. On voulait faire évoluer notre jeu, notre système, pour essayer d'apporter autre chose et répondre aux problématiques du Top 14. On regarde autour de nous, on regarde les autres rugby et Toulouse est une référence dans ce type de jeu. Il ne s'agit pas de se prendre pour eux mais on peut s'en inspirer. Pour prétendre se mêler à la bagarre, il faut un jeu offensif de qualité et ambitieux. »
Même credo à Perpignan, incarné par Patrick Arlettaz, à qui Franck Azéma a succédé l'été dernier. On prédisait à l'USAP un troisième barrage d'accession/relégation d'affilée.
« On doit savoir où on veut aller et comment on veut y aller. Il faut donner un chemin clair à ses joueurs, qu'ils soient persuadés de la méthode. Avec Perpignan, on avait pris le pari important de s'en sortir par le jeu en étant maître du ballon et de la possession », expliquait l'ancien manager catalan dans nos colonnes il y a peu.
Malgré aucun point pris après les quatre premières journées de Championnat, Azéma est resté dans la ligne : « C'était un pari gagnant. Patrick était convaincu à 200 % là-dessus, à outrance. Si tu es en difficulté et que tu commences à fermer le robinet, tu deviens prévisible, facile à défendre donc tu réduis tes possibilités de gagner. Donc c'était une bonne philosophie d'avoir cette culture-là autour du jeu et de continuer de l'entretenir... »
Jouer, c'est accepter de prendre des risques. Et quand la situation sportive est délicate sur le plan comptable, le réflexe peut être d'assurer. Il n'en est pas question à Lyon, qui a fait de cette philosophie de jeu son mantra depuis plusieurs saisons. Inexistants à l'extérieur, les Lyonnais ont évolué sans frein à main à Gerland pour rester en équilibre sur leur fil. Ils ont aujourd'hui la deuxième attaque du Top 14 à domicile.
« Chaque semaine, on prépare les matches, la stratégie et, pour les leaders, il n'y a pas de débat, explique Julien Puricelli, l'entraîneur de la touche lyonnaise. Pour eux, il faut ouvrir le jeu au maximum et ne pas se limiter à un rugby de conquête dans lequel on pourrait sans doute être performant mais dans lequel la majorité des joueurs ne se retrouvent pas. Paradoxalement, c'est un jeu qui demande beaucoup de confiance. Mais cette équipe se rassure par une prise de risque importante. »
« Nous, dans le staff, on doit proposer du contenu qui leur permet de se développer dans cette philosophie de jeu et accepter de passer par des moments de doute, de déchet pour que ça bascule un moment dans le positif »
Franck Azéma, entraîneur de Perpignan
Prendre des risques, c'est aussi accepter l'erreur. « Il faut l'accepter mais aussi la comprendre, insiste Azéma. Et il faut ressentir au quotidien les améliorations. Nous, dans le staff, on doit proposer du contenu qui leur permet de se développer dans cette philosophie de jeu et accepter de passer par des moments de doute, de déchet pour que ça bascule un moment dans le positif ».
Même philosophie dans le Béarn. Des ambitions, Sébastien Piqueronies et son staff en ont depuis leur arrivée il y a trois ans. Elles passent par le jeu et cette envie d'attaquer tous les espaces libres. « On a toujours eu envie d'avoir le ballon et d'avancer, explique Antoine Nicoud, entraîneur de la défense paloise. La saison dernière, on avait beaucoup moins la possession que les autres équipes. Et quand tu n'as pas le ballon, tu es plus à même d'encaisser des points que quand tu l'as dans les mains. Cette capacité à le tenir, ça se construit. »
« Notre idée de base, c'est attaquer tout le temps, à la main ou au pied, avec ou sans le ballon. C'est une question d'état d'esprit »
Antoine Nicoud, entraîneur de la défense de la Section Paloise
La Section a passé un palier en améliorant sa conquête, notamment en touche. Et avec des joueurs qui permettent de mettre en application ces principes : la révélation de Théo Attissogbe, la progression d'Émilien Gailleton, la confirmation de Jack Maddocks et la science du jeu de Joe Simmonds ont notamment permis de rêver plus haut.
« Notre idée de base, c'est attaquer tout le temps, à la main ou au pied, avec ou sans le ballon, ajoute Nicoud. C'est une question d'état d'esprit. On veut provoquer les choses, être acteurs alors qu'on a beaucoup - trop - réagi par le passé. » Et la courte défaite spectaculaire à Toulouse ou les performances à domicile face à des spectateurs ravis valident cette philosophie.
Le public se régale à Aimé-Giral, au Hameau, à Gerland et Pierre-Fabre a pris le pli. « Mais si tu perds, les questions reviennent vite, sourit le Castrais Darricarrère, qui sait que le changement peut perturber. Il ne s'agit pas de perdre ses valeurs, propres à chaque club, mais si on change de cap au premier vent contraire, ça peut donner satisfaction à court terme mais à l'arrivée tu es perdant. Il faut un peu d'alternance pour garder le cap. »
Privilégier le jeu, ce n'est pas tout sacrifier et l'équilibre reste indispensable surtout que la constance ne vient pas du jour au lendemain. « Pour être joueuse, l'équipe a besoin de carburant et de munitions, rappelle Azéma. Gagner en marquant quatre essais, c'est bien, mais il faut essayer de ne pas en prendre cinq. Tout est lié. Donc l'idée, c'était de ne pas se concentrer uniquement sur nos capacités offensives mais d'aller chercher plus sur d'autres secteurs. Jouer depuis notre en-but, pourquoi pas, mais aussi savoir bien alterner. Car il s'agit d'être consistant de bout en bout d'une saison, pas seulement quand on a le ballon et qu'on avance dans le camp adverse. »
Pour Nicoud, la question essentielle reste : « Qui veux-tu être ? Quelle est ton identité ? Quels joueurs, quel groupe as-tu ? Il y a plusieurs façons de gagner. On a envie d'être à la fois rude comme l'est la tradition du jeu palois. Et on veut être rapides, intelligents. Posséder le ballon et être provocateurs et attaquants. Le plan est assez tracé, reste à trouver la constance ». Pour continuer à voir plus haut.
Posté 11 mai 2024 - 08:11
Posté 11 mai 2024 - 10:50
Si est-ce que tu entends exactement par « jeu de mouvement »? Nos piliers qui bougent dans les ballons portés ?Se faire donner des leçons de jeu de mouvement par des promus, je crois que c'est encore ce qui me peine le plus dans la situation actuelle de l'ASM.
Je veux voir du jeu comme face aux Sharks et l'Ulster mais tous les week-end bordel !!!
Posté 11 mai 2024 - 11:55
Si est-ce que tu entends exactement par « jeu de mouvement »? Nos piliers qui bougent dans les ballons portés ?
Posté 11 mai 2024 - 16:01
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