Cheville ou genou ?
Cheville
Posté hier, 21:09
Cheville ou genou ?
Posté hier, 21:16
Ntamack n'a aussi pas complètement récupéré de sa très grosse blessure. Clairement dans le jeu, il pèse moins, tente beaucoup moins et se contente de gérer davantage le jeu...on en reparle la saison prochaine quand il sera revenu à son meilleur niveau.
Il faudra aussi qu’il retrouve ses esprits, a minima un « esprit »
Posté hier, 21:22
pas d'accord c'est très arrogant de ca part
quand tu perd de 3/4 points de différence tu peux parler de cette façon.
la il y a 17 points de différence, tu félicite l'adversaire tu baisse la tête et tu rentre au vestiaire
.
j'en suis presque a pensé que sans dupont, N'tamak est un ouvreur ordinaire; il n'as pas vraiment pesé sur le jeux de sont équipe et n'as fait que distribué.
Pas classe de sa part (comme contre le CO ou déclaration après notre élimination par les sudafs). Ceci dit, je ne suis pas étonné.
Du stade, il n'y a pas eu photo.
Les Bordelais ont répondu devant, notamment dans les rucks, avec néanmoins 20 premières minutes compliquées dans ce secteur.
Pour le reste la stratégie était parfaite et m'a paru troubler les toulousains : certains ballons joués purement instinctivement (l'essai de Bielle-Biarrey au retour des vestiaires), et une alternance intelligente avec des jeux au pied très hauts pour jouer sur les qualités de Buros, et, a minima, gagner du terrain avec beaucoup de bordelais aux points de chute.
La touche bordelaise était réglée, ce qui n'a pas été le cas souvent cette saison, et ils ont réussi à gérer en leur faveur tous les points chauds du match qui auraient pu permettre à Toulouse de leur mettre le doute dans la tête.
Un grand bravo à eux, c'était un match de très haut niveau, notamment dans le jeu d'occupation des deux côtés, très impressionnant vu des tribunes avec un peu de hauteur.
Trop d'absences préjudiciables derrière pour Toulouse, un pack muselé et un banc trop léger pour faire la différence.
Difficile de pronostiquer cette finale car Northampton n'est pas un cador et me parait difficilement évaluable.
Northampton a battu un cador, avec un gros volume de jeu. Ça me suffit pour dire que ça sera un match serré. C’est du 50-50
Posté hier, 21:59
Voui. Et on a gagné à Lyon et l'on aurait dû le faire à Bordeaux les 2 autres.On a ramassé à Bath et Northampton,chez 2 finalistes
Posté hier, 22:20
Bon ça fait mal au cul mais on va supporter les anglais histoire que les vinasses nous cassent pas les roustons avec une étoile
Posté aujourd'hui, 06:01
En une action magique de quatorze secondes, avec seulement trois passes données mais plus de quatre-vingts mètres remontés, Louis Bielle-Biarrey, accompagné dans cette charge de Matthieu Jalibert et Pete Samu, a changé dimanche le cours de la demi-finale de Coupe des champions (35-18). Et indirectement appelé son coach à relativiser l'importance de son rôle.
Lorsqu'il a été questionné sur cette séquence de jeu, Yannick Bru a ainsi lâché : « C'est aussi pour ça que nous, les entraîneurs, on se dit qu'on a une prise limitée sur les grands événements. » Le terrain appartient donc aux joueurs et plus encore aux grands joueurs, comme ceux capables de l'avaler à toute vitesse.
La victoire de l'UBB ne peut être uniquement considérée à l'aune du talent de ses trois-quarts, tant les avants ont su les placer dans les meilleures conditions, mais force est de constater que cette chevauchée de Bielle-Biarrey - par ailleurs auteur d'un essai en première période (23e) - a fait figure de tournant majeur de cette rencontre. D'abord parce qu'elle est intervenue à un moment crucial du match, juste après le retour des vestiaires, alors que les Bordelais menaient de sept points (18-11) et avaient difficilement réussi à contenir les Toulousains en fin de première période. Les placer d'un coup, d'un seul, à 14 points d'eux, alors que le match venait seulement de reprendre, a logiquement sonné le champion en titre, d'ailleurs en difficulté durant les dix premières minutes de la seconde période.
« Bravo à Matthieu, pour avoir eu l'idée, à Loulou, pour les jambes et à Pete Samu pour le talent »
Yannick Bru, entraîneur de l'UBB
« Bordeaux a fait la différence avec quelques fulgurances et notamment avec l'essai de retour de mi-temps », a ainsi reconnu Ugo Mola en conférence de presse. Son ouvreur, Romain Ntamack, a confirmé : « Celui-là, il nous fait quand même mal à la tête. Parce qu'on avait bien fini la première mi-temps, on avait à coeur de repartir de l'avant sur la deuxième. » Les Bordelais avaient pourtant habitué leurs supporters à rater ces derniers temps leur retour de mi-temps. Une faiblesse qu'ils avaient notamment affichée face aux Toulousains (32-24) il y a deux mois en Top 14 dans ce même stade.
« On était concentrés par rapport à ça parce que ça fait quelques matches où on prenait l'eau sur les 40es, 50es minutes, a rappelé Matthieu Jalibert. Donc on a essayé de sortir proprement. » L'ouvreur, qui a reçu le ballon sur le renvoi de Ntamack, s'en est chargé. Il a d'ailleurs été le détonateur de cette action, lui qui a alors choisi de crocheter Ange Capuozzo à dix mètres à peine de son en-but contre l'avis de Bielle-Biarrey, placé sur sa gauche. « Après le coup d'envoi, je parle bien à Matthieu en lui disant de taper, et il a bien fait de ne pas le faire et de la jouer », raconte en souriant Bielle-Biarrey.
Jalibert s'explique : « Ange Capuozzo arrivait vite, donc je savais que sur un crochet, ce serait difficile pour lui d'anticiper. Après, les qualités de Louis et de Pete (Samu) ont fait le reste. » Décalé dans le couloir gauche, Bielle-Biarrey réalise alors une action de classe fixant Pita Ahki, avant de déborder le long de la ligne Paul Graou puis trouvant Samu, magnifique relais sur les 40 mètres toulousains, avant de retrouver le ballon pour aller à l'essai. « Bravo à Matthieu, pour avoir eu l'idée, à Loulou, pour les jambes et à Pete Samu pour le talent, résume Bru. Cet essai nous soulage diablement. »
Bielle-Biarrey poursuit donc sa saison stratosphérique, lui qui a depuis septembre inscrit 30 essais toutes compétitions confondues en 26 matches joués. « C'est aussi mon job de débloquer certaines situations, évacue-t-il. Quand j'ai un peu d'espace, ça m'aide. » L'ailier a décidément l'art d'en trouver.
Posté aujourd'hui, 06:06
Bon ça fait mal au cul mais on va supporter les anglais histoire que les vinasses nous cassent pas les roustons avec une étoile
Non.
tu te rends compte de ce que tu écris parfois ?
supporter des anglais quelle idée incongrue !
Posté aujourd'hui, 06:11
Il n'y a peut-être qu'un moment où leur connexion s'est brièvement interrompue, dimanche, une seconde de brouillage furtif pour laisser un espace à Pierre-Louis Barassi, mais qu'est-ce que ça pèse quand, tout le reste d'une après-midi pour l'histoire, celle de leur club, Maxime Lucu et Matthieu Jalibert ont su rester sur la même longueur d'onde et mettre leurs coéquipiers de Bordeaux au diapason ? Sous leur conduite, leur exemple, parce que leur rôle de chefs d'orchestre le veut, une branche girondine a vibré d'audace, l'autre a palpité de détermination.
On pourrait ressortir pour le demi de mêlée comme pour l'ouvreur un instant de grâce, un de ceux qui font les destins des matches de phase finale. Pour Lucu, ce serait ce coup de pied, du genre monumental, une pénalité de 58 m. Pour Jalibert, on choisirait un crochet et une passe qui ont pris tout leur sens 80 m plus loin sur le deuxième essai de Louis Bielle-Biarrey (41e).
« Je me suis dit, grattage récompensé, il faut qu'on tente quelque chose, racontait le neuf sur son but de la 28e. Hier (samedi), elles passaient à l'entraînement, alors je ne me suis pas posé la question. J'ai regardé Matthieu direct et je lui ai dit : "je la sens !" » Jalibert aussi, a dû le sentir, ce ballon capté sous le coup d'envoi toulousain de la seconde période, pour l'exploiter aussi bien. « Les Toulousains avaient ciblé la montée avec Ange Capuozzo, il arrivait vite, donc je savais que sur un crochet, ce serait difficile pour lui d'anticiper, décrivait le dix sur cette esquive décisive où il avait décalé son ailier. Après, les qualités de Louis et de Pete (Samu) ont fait le reste. »
Jalibert n'oublie pas de distribuer les lauriers à ses coéquipiers et il louait d'ailleurs « le travail magnifique des gros » girondins. Le pack de l'UBB a rivalisé dans le combat physique, et même a fini par y prendre le dessus sur Toulouse mais, même dans cette bataille où on ne l'attend pas toujours, la paire de demis a été à la hauteur. On dira que, là, c'était à eux de s'accorder sur l'engagement de leurs troupes, et Jalibert ne s'est jamais échappé, se confrontant à l'une de ses limites, quand Lucu s'est toujours accroché, fidèle à l'une de ses forces. Car le capitaine a même fini meilleur plaqueur du match (16 plaquages !).
« C'est un mec (Maxime Lucu) qui nous met tout le temps dans l'avancée, qui est à la pointe du combat et nous fait encore du bien »
Maxime Lamothe, talonneur de l'UBB
« Ce n'est pas étonnant, replaçait l'un des autres suractifs de la soirée, Maxime Lamothe. Max, on ne le présente plus, il a une activité assez incroyable et c'est souvent un de nos meilleurs plaqueurs. C'est un mec qui nous met tout le temps dans l'avancée, qui est à la pointe du combat et nous fait encore du bien. » Le talonneur aurait pu aussi embrayer sur le leadership, mental comme tactique, de Lucu, si palpable sur l'UBB. Lui qui a enfin brillé avec les Bleus dans le Tournoi voulait que son club ait son moment, aussi, il disait que dimanche Bordeaux avait « décidé de refuser de perdre » et il a diffusé ça dans l'esprit de Jalibert. « Avec un match comme ça, quand il fait beau, je lui ai dit : "carte blanche, ne te prends pas la tête, fais du Jalibert". »
L'ouvreur s'est fait un plaisir de lui répondre, mais pas que dans la prise d'initiative, l'intuition à outrance. Non, le dix a aussi joué juste, comme sur cette pénaltouche d'une longueur phénoménale qui a directement amené l'essai de Bochaton (64e). « J'ai voulu être fort sur les basiques, sur le plan qu'on avait établi, tentait-il d'analyser sur sa propre performance. Honnêtement, je pense que j'ai eu très peu de déchets. »
« Je le sentais nerveux (Matthieu Jalibert) avant le match, il savait qu'il allait être évalué, épié »
Yannick Bru, entraîneur de l'UBB
Il y avait quelque chose de désarmant dans cette auto-évaluation délicate, qui traduisait peut-être sa prudence après tant de critiques qui ont pu l'accabler depuis l'automne. Elles ont dû trotter dans sa tête avant un tel rendez-vous. « Je le sentais nerveux avant le match, il savait qu'il allait être évalué, épié, confirmait Yannick Bru. Je suis content parce qu'il a montré qu'il était important pour nous dans la conduite du match. » L'entraîneur évoquait aussi le « travail sur lui-même » entamé par son joueur, « en termes de leadership, d'autorité sur le groupe, de capacité à être un bon guide ». Comme s'il lui fallait aller au-delà des fulgurances de soliste qui le distinguent et qu'il était parvenu, sur la scène du Matmut, à jouer de sa baguette de chef autant que de ses inspirations.
« Il y a beaucoup de moments où on aurait pu jouer à la main, comme on sait et comme on aime le faire, mais on avait décidé de mettre du jeu au pied de pression, de renverser un peu, de ne pas amener Toulouse dans du jeu complètement débridé. Là, il a été bon, il a fait la copie conforme de ce qu'on avait dit », le complimentait Lucu. Lui et son compère venaient de mener l'équipe comme de s'y inscrire pleinement, de dépasser la tête et, en même temps, de se fondre totalement dans le collectif. Le match rêvé d'une charnière.
Posté aujourd'hui, 06:20
Si en finale les Bordelais refont le même qu'hier, les Angliches de Northampton s'inclineront et la Ccup restera en France !
Posté aujourd'hui, 06:35
Posté aujourd'hui, 07:25
L'essai exploit de LBB sur le coup d'envoi de la seconde mi temps fait basculer le match.
A la mi temps on sentait que bien que l UBB avait dominé, l'écart semblait insuffisant. D'ailleurs le ST se rapproche et, serait revenu à égalité. La fin de match aurait pu être compliquée.
Après il y a quand même deux trois grattages décisifs qui font très mal, plus Tameifuna epatant dans un forme de junior.
Cette victoire fera du bien à tout le monde. Au rugby d'abord avec une finale toute fraîche qui évite un énième ST Leinster. A Toulouse aussi qui comprend que même si tu as trois équipes A, si tu dépends trop de 2/3 joueurs dans les top matchs, t'es pas sûr. A Bordeaux aussi, qui efface presque l'humiliation de l'an passé.
Mais puisque NTMK te dit qu'ils ont pas été dominés, vas-tu le comprendre ?
Si en finale les Bordelais refont le même qu'hier, les Angliches de Northampton s'inclineront et la Ccup restera en France !
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Et si Northampton refait son match de samedi, ils peuvent emmener la coupe en Angleterre !
Posté aujourd'hui, 07:50
ce matin, je ne suis pas mécontent, la suffisance toulousaine enfin mise à mal. jalibert supérieur à Ntamak, va t on enfin le reconnaître, ça crève les yeux depuis pas mal de temps. Ntamak n'est rien sans dupont les absences n'expliquent pas tout, l'esprit revanchard de l'UBB a sauté aux yeux, jamais toulouse n'a semblé être capable de prendre le dessus.
j'ai regardé les 2 demies franco/ française est il faut reconnaître que c'est quand même pas le même niveau de jeu.
Posté aujourd'hui, 08:38
On a qu'à le faire signer 😉Et la saison où il joue au Racing, ils sont en finale. Incroyable.
Posté aujourd'hui, 08:40
Mais le glorieux Stade Français se prépare à un recrutement majeur à l'aile. Non, pas louis Bielle-Barrey mais son cousin, Louis Bière-Balai, 1m62 pour 122 kilos, redoutable au roulé-boulé, et dont l'absence de cou empêche tout plaquage litigieux.
Bon sinon j'ai peu entendu parler de Racigne, de Lorenzebi et de balayette dans ce topic !
Posté aujourd'hui, 08:43
Trop con ! 🤣🤣Mais le glorieux Stade Français se prépare à un recrutement majeur à l'aile. Non, pas louis Bielle-Barrey mais son cousin, Louis Bière-Balai, 1m62 pour 122 kilos, redoutable au roulé-boulé, et dont l'absence de cou empêche tout plaquage litigieux.
Bon sinon j'ai peu entendu parler de Racigne, de Lorenzebi et de balayette dans ce topic !
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