1690 réponses à ce sujet

[Toorop]

Les handballeurs sont en train de pendre une gros coup sur le carafon

[Gourine63]

J'ai zappé vite fait à la vingtième environ, y'avait 14 ou 15 à 12 pour les bleus... ils ont dû prendre une cuite à la mi-temps pour s'écrouler comme ça.

[gregouarrrr]

Les Danois sont en train de se prendre le ciel sur la gueule.

Et nous ? On a pris quoi ?

[l'exil]

29-37 c'est lourd mais logique au vu de la 2nde mt. Gidsel et son alter ego n'ont jamais été contrés et notre jeu a manqué de beaucoup de choses.

La poule est costaude donc il faut vite rebondir.

[tekilapaf]

Et nous ? On a pris quoi ?

Une sorte de mal récurrent à ne pas vouloir se faire mal tant que cest pas The Big Match, comme pas mal d'équipes de sport co: Les françaises du foot qui s'arrêtent de jouer à 3-0 contre la Colombie... les basketteurs si jouent s'arrêtent, rejouent, contre un petit Brésil...

[ELSAZOAM]

J'ai voulu regarder France / Brésil en basket, mais je n'ai pas pu aller au bout tellement je m'ennuie en regardant ce sport...  

Les arrêts de jeu, les temps morts, ce chrono qui donne l'impression de ne pas tourner, des mecs qui mettent deux plombes pour tirer un lancer franc ; 30 secondes de jeu effectif pour 3 minutes écoulées, c'est vraiment chiant, alors non merci, pas pour moi !  

[Le Marseillais]

C'est quoi ces espèces d'écrans posés au fond du bassin de natation ? 

De grands rectangles blancs reliés à un câble électrique

[steph]

C'est quoi ces espèces d'écrans posés au fond du bassin de natation ? 
De grands rectangles blancs reliés à un câble électrique

Un "tableau" oublié lors de la cérémonie d'ouverture ? Un hommage à Cloclo ?

[darkminimouf]

Pas très esprit judo la célébration du français, mais cest malheureusement de plus en plus fréquent.

[el landeno]

Le Club France a connu une première soirée inoubliable avec les médaillés français Pour sa première soirée, le Club France, situé à la Villette à Paris et rebaptisée parc des Nations pour les JO, a fêté les premières médailles françaises dont l'or des rugbymen du 7, dans une atmosphère de doux dingues.

Comment toute cette histoire va-t-elle se finir ? Celle de la bande à Dupont, on s'imagine facilement le déroulé, vu la forme qu'ils affichaient encore ce samedi soir sur les coups de 1h30. Mais la grande, celle qui a débuté par une cérémonie dont tout le monde se souviendra, jusqu'où va-t-elle aller ? Une chose est sûre, vu le rythme affiché dès le premier jour, les deux semaines qui arrivent peuvent devenir mythiques, à l'image de cette soirée inaugurale au Club France.

 

 

 

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Niché en plein coeur du parc de la Villette, le lieu a pour mission de rassembler les sportifs français et leur public. Ce samedi soir, la magie n'aurait pas pu mieux prendre. À 19h30, alors que la Grande Halle affiche déjà complet depuis les deux premières médailles décrochées par les judokas Shirine Boukli et Luka Mkheidze, c'est au tour d'Auriane Mallo-Breton d'entrer en piste pour sa demi-finale. L'épéiste est en bonne voie quand sonne l'heure (19h45) de la finale du rugby à 7. Des premiers supporters se mettent à quémander le rugby et l'escrime laisse son tour pour mieux revenir.

 

 

 

Alors que dehors, les ateliers de portage de flamme, de tir au pistolet laser et de courses de home-trainer ne trouvent plus preneurs, la bascule se fait pour le coup d'envoi devant les yeux du Premier ministre, Gabriel Attal.

Après le premier essai fidjien, les Bleus, déchaînés, attaquent tous les ballons pour le grand plaisir d'une foule venue clairement pour un shoot de bonheur. Alors, quand la star du rugby français Antoine Dupont prend le petit côté pour l'essai d'Aaron Grandidier puis lorsqu'il aplatit dans les arrêts de jeu pour sceller le destin doré des Bleus, la foule explose. Une ambiance parfaite pour Marie Martinod, l'ancienne skieuse acrobatique devenue chauffeuse de salle pour l'occasion.

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Il n'est que 21h, et la soirée est loin d'être finie. Si la superbe entame de Mallo-Breton en finale de l'épée laissait penser que tout ce qui est bleu se transformerait en or, la Française laissera pourtant filer la chance d'une vie. Mais il en fallait plus ce samedi pour doucher la folie douce du Club France.

« Cette folie, il faut la garder pour la suite. Ce n'est pas fini, ne vous arrêtez pas ! »

Shirine Boukli au public au Club France

 

 

 

De toute façon, le rythme de la soirée ne permettait pas de poser les mains sur les genoux. Quelques minutes plus tard, alors que les judokas Shirine Boukli et Luka Mkheidze entamaient leur parcours médias dans les arrière-salles du Club France, Bob Sinclar envoyait son classique « World Hold On » plein les ballons pour une salle transformée en boîte de nuit.

« Il est où Antoine Dupont ? », s'inquiète pourtant un petit bout de 8 ans, suppliant sa maman de lui trouver le numéro 11 de l'équipe de France de rugby à 7.

 

 

 

Shirine Boukli fendant la foule au Club France. (E. Garnier/L'Équipe)

À 23h30, il n'est pas encore l'heure de « Toto » mais bien de Shirine Boukli, première médaillée de ces Jeux de Paris et donc la première à fouler la scène, seule, filant les bras baissés pour taper toutes les mains possibles sur un podium plongeant vers la foule, façon défilé de mode.

Rejointe par son pote Luka, la Française lâchait alors un présage, que personne ne voudra contredire. « Le public nous a donné cette force en plus pour aller chercher des médailles. Merci beaucoup ! On a lancé le compteur, mais il en reste encore. Cette folie, il faut la garder pour la suite. Ce n'est pas fini, ne vous arrêtez pas ! »

Le message était compris 10/10 puisqu'il était alors l'heure de la tournée des rock stars du ballon ovale. Attendus comme le soleil en ce début de JO, les rugbymen, tardaient pourtant à arriver, devant notamment convenir à un contrôle antidopage au Stade de France. Certains doux dingues avaient déjà quitté les lieux, mais les autres ne voulaient pas rater ça.

À 23h54, les attachés de presse du CNOSF détalaient, l'air presque paniqué, laissant facilement imaginer que du lourd était en approche. Et il suffisait de voir le contingent qui les suivait dont David Lappartient - président du CNOSF - et Florian Grill - président de la Fédération française de rugby - pour comprendre que les dorés du jour débarquaient.

Les rugbymen portés par la foule

Peu avant minuit, l'une des grilles du Club France s'ouvrait effectivement sur Rayan Rebbadj et Nelson Epee, parés de grosses lunettes de soleil, suivis de près par Antoine Dupont et tous les autres. Le groupe en or entrait alors dans le Club France par l'entrée médias, filant entre les fans dans les coulisses des studios d'Eurosport, l'une des diffuseurs des Jeux et dont le plateau est situé au pied du grand écran. Après une pause pipi, Antoine Dupont rattrapait le groupe, slalomant entre les tentatives de selfies d'une vie.

Puis, alors que la petite bande prenait place sur le plateau - littéralement situé à un mètre de la foule - une folie s'emparait des lieux. Plein de jus sur le terrain, Andy Timo était le premier à dégainer, sautant dans le public pour un premier slam. Rebbadj l'imitait, avant que Dupont, bien chauffé par ses potes, se lance à son tour. On imagine bien ceux et celles qui rentrèrent ensuite chez eux, glissant à leurs proches qu'ils venaient de porter Dupont en héros, et se voir rétorquer qu'ils avaient probablement trop bu.

 

Les rugbymen français sur le plateau d'Eurosport au milieu du Club France. (E. Garnier/L'Équipe)

Le soufflé était monté trop haut pour le laisser retomber. Une fois le passage, ce coup-ci, sur France Télévisons bouclé, avec sa fameuse chorégraphie réalisée debout sur la table, le Boys band retraversait le Club France sur le balcon, agitant les mains comme le Prince Charles - en plus costaud - salue son peuple.

Il était temps de rejoindre la grande scène. L'indémodable « Que je t'aime » de Johnny Hallyday permettait d'accompagner les derniers pas jusque derrière les murs. Puis le « Wati by Night » de Sexion d'Assaut emportait ce qu'il restait de timides, alors qu'Epee, Rebbadj et les autres déboulaient sur le podium. Le reste leur appartenait entre confettis dorés venus du ciel, photos magnifiques pour l'éternité et chants plus ou moins maîtrisés.

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Toujours alerte, Dupont s'emparait de son smartphone pour une petite story sur laquelle il faudra apparaître pour avoir la classe ce dimanche, malgré des yeux cernés. Un petit bisou à la maman et il était déjà le temps de quitter la lumière, lui qui ne s'y attarde jamais mais dont le talent l'y renvoie toujours.

Mais dans cette nuit de folie, il forçait sa nature, courant, dansant, redevenant peut-être juste un joueur content de partager avec ses nouveaux potes, un moment qui restera gravé. « Veuillez quitter la scène » lançait alors le speaker voyant bien que les gusses pouvaient y rester toute la nuit. À 1H30, après 20 minutes de show, les Bleus du rugby, laissaient la place.

« Les soirées d'samedi soir, quelques fois, ça m'déçoit », continuait de cracher Gims dans l'enceinte. « Pour quelques médailles d'or, ça part en giclée de kiff » pouvait-on presque entendredans ce Club en transe.

 

[tekilapaf]

Va falloir tenir pour PFP. C'est tôt pour se lancer. Faut que le public la porte, c'est chouette un champion au RDV.

[Boulard]

Elle est au-dessus du lot, la balade...

[tekilapaf]

Plus la crevaison de la poursuivants...

On pourrait faire 3 Or de plus aujourd'hui 🤗

[marco43]

gros coup de bol, j'ai suivi en direct les deux médailles d'or françaises. normal, j'aime le cyclisme et le rugby 

[ELSAZOAM]

Pauline est coquette...
Bravo à elle pour son titre olympique !

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