
JO 2024
#451
Posté 02 août 2024 - 22:05
- leberger aime ceci
#452
Posté 02 août 2024 - 22:11
Étrange équipe argentine. On se demande ce qu'ils ont pour eux.Y'a un petit France-Argentine quand meme aussi
#453
Posté 02 août 2024 - 22:12
#454
Posté 02 août 2024 - 22:12
Leurs joueurs de rugby sont très respectables. Mais on dirait que tous leurs débiles jouent au foot.Bravo les petits, toujours plaisant de sortir les argentins et leur superbe état d'esprit
- twiX aime ceci
#455
Posté 02 août 2024 - 22:15
Leurs joueurs de rugby sont très respectables. Mais on dirait que tous leurs débiles jouent au foot.
là c'est clair que la comparaison entre ces types et les pumas fait très mal
#456
Posté 02 août 2024 - 22:15
#457
Posté 02 août 2024 - 22:16
Un but refusé de façon surnaturelle, dix minutes d'arrêts de jeu auxquels on a ajouté encore deux minutes, une gestion des bleus qui semblaient menés au score à leur façon de jouer, un coup de sifflet final qui pue du cul. Bref, du foot.c'est quoi ces arrêts de jeu ? C'est pour faire pire que le mondial ?
#458
Posté 02 août 2024 - 22:30
Signé: un footeux.
- Jesus Hans Hubert Vorme et Kestandi aiment ceci
#459
Posté 02 août 2024 - 22:33
ya eu quoi ?
#460
Posté 02 août 2024 - 22:35
le cyclisme sur piste même si c'est moins bien depuis quelques temps, l'effet domicile peut ramener quelques breloques.
L'escrime, il reste quoi ?
Demain le sabre par équipes F avec médailles d'or et d'argent pour la France en individuelle
- Bart Simpson aime ceci
#461
Posté 02 août 2024 - 22:43
Du footya eu quoi ?
#462
Posté 02 août 2024 - 22:52
Beau Marchand X fois medaillé !
- Jesus Hans Hubert Vorme aime ceci
#463
Posté 02 août 2024 - 22:55
ya eu quoi ?
Des cons qui se mettent sur la gueule en fin de match et qui se court après et finissent leur échauffourées jusque dans les vestiaires.
#464
Posté 02 août 2024 - 23:05
BMX
Beau Marchand X fois medaillé !
Marchand a une destinée.
#465
Posté 03 août 2024 - 04:24
Excellent article sur le florilège des excuses fournies par les athlètes convaincus de dopage...
EPO, hormones de croissance, testostérone, anabolisants, corticoïdes, il y en a pour tous les goûts. Pris la main dans le sac, les athlètes se sont souvent cherché des excuses. Vraies ou fausses, qu'importe : voici un florilège des plus ébouriffantes.
Le nombre de substances permettant le dopage sont légions et les athlètes doivent fournir des explications quand des anomalies dans les prélèvements faits lors des contrôles antidopage apparaissent, s'ils espèrent pouvoir s'en tirer. Certains des argumentaires avancés peuvent alors avoir quelque chose de surprenant. Ainsi de la raison alléguée par les autorités chinoises au moment de blanchir deux de leurs nageurs dont l'un est présent aux Jeux olympiques contrôlés positifs aux stéroïdes en 2022 : ils auraient consommé des hamburgers contaminés.
Que les arguments utilisés par les mis en cause soient valides ou pas, ils permettent en tout cas de découvrir l'autre vie des athlètes - ou leur imagination débordante Sexe, famille, bouffe, tout est bon : c'est sûr, non non, ce n'est pas du dopage ! Cest hot !
C'est chaud dans les chambres des dieux du stade. Épouses, rencontres d'un jour, les ébats dopent apparemment les sportifs. Si du moins on les croit.
La palme de la justification indélicate revient en 1996 au coureur de fond espagnol Daniel Plaza. Médaillé d'argent lors des 20 km d'Atlanta et contrôlé positif à la nandrolone, un stéroïde que l'homme ne sécrète pas mais que l'on retrouve chez les femmes pendant leur grossesse, il explique qu'il a été contaminé en faisant des cunnilingus à sa femme enceinte La justification sera reprise en 2007 par le footballeur Marco Boriello qui expliquera que, si des traces de cortisone ont été trouvées les prélèvements, c'est que sa sa femme, victime d'une infection vaginale, a utilisé une crème qui en contient.
Le sprinteur américain Dennis Mitchell avoue, lui, en 1998 que le taux de testostérone trop élevé présent dans son sang est le fruit d'une nuit torride passée avec sa femme. Il aurait remis quatre fois le couvert la nuit avant le contrôle antidopage. « C'était son anniversaire, elle méritait bien de telles faveurs », s'est-il justifié. Choupinou
Les justifications en 2009 du tennisman Richard Gasquet n'atteignent pas de telles sommets de romantisme. Contrôle positif à la cocaïne, il affirme ne pas avoir touché à la poudre. S'il est positif, c'est à la suite des baisers langoureux échangés avec une inconnue rencontrée dans une boîte de nuit : c'est elle qui avait pris des substances. Et un grand pharmacologue commandité par l'équipe Lagardère l'affirme : c'est possible ! Affaires de famille
Se défausser de sa faute sur un membre de sa famille est aussi pratique courante. Je vous jure, ce n'est pas moi, c'est mon frère, ma mère, ma belle-mère Famille, je vous hais, sauf si ça m'arrange !
Le mieux est quand même de faire porter le chapeau à un mort. C'est ce que choisi de faire en 2004 le coureur cycliste américain Tyler Hamilton, accusé d'avoir eu recours à une transfusion sanguine. Pour justifier la présence dans son sang de deux types de populations de globules rouges, cas rarissime lié à la gémellité, il arguera du fait que ces cellules « étrangères » proviennent de son frère jumeau mort avant la naissance.
Ah, les belles-mères ! Autant les sacrifier, c'est plus simple ! En 2022, la compagne du cycliste lituanien Raimondas Rumsas est interpellée en voiture près du tunnel du Mont-Blanc en direction de lItalie où le couple réside : dans le coffre, EPO, hormones de croissance, testostérone, anabolisants, corticoïdes. Le coureur laffirme à la Gazetta dello Sport : « Ces médicaments étaient pour ma belle-mère ». Elle a dû alors en décrocher, des records, belle-maman !
Testée positive au létrozole, l'Italienne Sara Errani explique, elle, que sa mère, atteinte d'un cancer du sein, prend du Femara, médicament qui en contient. Or, celle-ci en aurait fait tomber une pilule quand elle préparait un plat de tortellini, plat dont la tenniswoman s'est délectée la veille du contrôle antidopage. Si on ne peut plus faire confiance aux plats de la mama (qui va bien actuellement) ! Malbouffe
Manger de la viande rouge, oui, mais de la viande de qualité ! C'est ce que ne cesse de répéter dans nos colonnes Périco Légasse mais il faut croire que les athlètes ne lisent pas assez Marianne. Mal leur en prend, car ils ne cessent d'être accusés de dopage alors qu'ils ne font que se bâfrer d'un bon steack, les malheureux !
Première victime, le tennisman tchèque Petr Korda, testé positif à la nandrolone en 1998. Dopé ? Non Lui, son truc, c'est la barbaque. Il adore les steaks, il pourrait manger un buf ! C'est ça, l'explication : trop de viande rouge. Malheureusement pour lui, l'enquête qui sera faite montrera que ce n'est pas un buf qu'il lui aurait fallu manger pour atteindre un tel taux de nandrolone, mais plus de quarante, par jour, et pendant vingt ans.
Les deux autres « victimes » ont, elles, le malheur de ne pas manger de la bonne viande de France, élevée au champs, sans anabolisants ou autres substances déconseillées. Ainsi du malheureux cycliste Alberto Cantador dans le sang duquel du clenbutérol a été détecté en 2010. Fidèle à sa patrie, il a mangé la veille du contrôle un steak importé d'Espagne. Et le buf dont a été tiré le steak était « dopé » par son éleveur afin d'augmenter sa masse maigre. C'est du moins ce qu'il dit. La même année, c'est le pongiste allemand Dimitrij Ovtcharov qui est testé positif au clenbutérol. Cette fois, ce sont les Chinois qui sont mis sur la sellette : lors d'un tournoi dans l'Empire du milieu, il a lui aussi mangé un steak de buf dopé. Pas de chance ! Corps de rêve
Tout est bon pour se trouver des justifications quand on se fait pincer. Leurs corps vont rêver dans les chaumières, mais eux n'en sont pas satisfaits. Alors comme le font les midinettes, ils prennent petits cachets et pommades, poudres et pilules. Puis, malheur, on les croit dopés...
Pour le rugbyman japonais Ryohei Yamanaka en 2011, la coupable de ses analyses bien étranges? Une pommade qu'il utilisait pour mieux faire pousser sa moustache. Pour le footballeur brésilien Romário de Souza Faria, un traitement utilisé contre la calvitie.
Mais ce n'est pas tant avec leurs poils et cheveux que certains athlètes ont des problèmes à régler, mais avec leur pénis. C'est qu'on peut avoir les muscles du David de Michel-Ange et son tout petit attribut. C'est du moins ce que l'on peut penser quand on écoute les explications de deux athlètes.
Ainsi, en 2010, le coureur américain LaShawn Merritt est suspendu à titre provisoire après avoir été contrôlé positif à trois reprises en 2009 et 2010 à la DHEA, un stéroïde anabolisant. Il explique alors via son avocat avoir utilisé un produit dans le but d'agrandir la taille de son pénis. « Quelle que soit la sanction qu'on m'inflige, elle ne sera rien en comparaison de l'humiliation et de l'embarras que je ressens aujourd'hui », déclare-t-il alors.
Même explication fournie par le basketteur américain Roburt Sallie qui aurait pris lui aussi des pilules censées agrandir le sexe masculin. Mais lui arguera du fait qu'il voulait booster son potentiel sexuel et que cette médication n'était aucunement liée à un problème de taille de la chose. On a sa dignité ! Vraiment pas de chance
Quoi qu'il en soit, la médaille d'or de la justification la plus abracadabrantesque revient à une Française ! En 2012, l'athlète Fatima Yvelain est contrôlée positive à l'EPO après un semi-marathon à Perpignan.
Que dire ? Que des fortes pluies s'étaient abattues sur la ville, que de l'eau contaminée par les déchets hospitaliers d'un établissement bordant le parcours de la course ruisselait, que des projections d'eau ont alors imbibé les sous-vêtements de la coureuse et atteint ses organes génitaux ? Oui. Et voilà, Madame la Marquise, pourquoi votre fille est positive à l'EPO !
Superbe 😅😅😅
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