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JO 2024


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#571 el landeno

el landeno

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Posté 04 août 2024 - 08:42

Pour les Bleus, une finale par équipes d'anthologie en conclusion d'une moisson record sur des JO Au terme d'une finale dantesque et renversante face au Japon, les Bleus ont remporté samedi le titre par équipes mixtes et conclu de la plus belle des façons une semaine olympique record où ils ont amassé dix médailles.

 

 
 
 

Il y a là Teddy Riner, allongé de tout son long aux côtés de l'énorme carcasse de Tatsuru Saito. Derrière lui pointe une masse bleue et blanche informe, composée de ses coéquipiers alignés en finale et des entraîneurs présents sur la chaise, déjà regroupés dans l'allégresse et aussitôt rejoints par les autres membres de l'équipe, arrivés en sprintant depuis le premier rang des gradins. Et tout autour d'eux, une foule en liesse, colorée, bruyante, hurlant sa joie d'avoir assisté à une finale irrespirable et renversante où la France a été menée 1-3 par le Japon avant de s'imposer (4-3).

 
 

Ce tableau de maître peut directement entrer au panthéon du sport olympique français et restera comme l'une des images fortes de ces Jeux qui n'en manquent pas. Ses protagonistes en ont rapidement pris conscience, à l'image de Riner, à peine redescendu de son nuage en zone mixte : « Je crois que ce sont des JO particuliers. Je n'ai même pas envie de me réveiller, j'ai envie que ce soit vrai », a soufflé le géant, déjà héros de la journée de vendredi et désormais sept fois médaillé olympique (cinq or, deux bronze).

Tous les ingrédients d'une journée mémorable pour le judo tricolore étaient réunis samedi à l'Arena Champ-de-Mars : une équipe de France riche de talents et haute en couleur. Et en face, le Japon, pays du judo, sélection constellée d'athlètes multimédaillés, privée par les Bleus d'un sacre annoncé à la maison il y a trois ans pour l'introduction de l'épreuve par équipes aux Jeux. Restait aux Bleus à se hisser en finale du tournoi.

 

Les trois matches qu'ils ont disputés dans la journée pour y parvenir, face à Israël (4-0), la Corée du Sud (4-1) et l'Italie (4-1) ont déjà charrié leur lot d'histoires et d'émotions, de la victoire initiale d'une Sarah-Léonie Cysique pourtant rapidement menée par Timna Nelson-Levy à cet improbable combat entre Riner et un adversaire de 60 kg de moins que lui, le valeureux Coréen Lee Joo-hwan (-81 kg). Des images balayées par celles d'une finale qui a tenu toutes ses promesses et plus encore.

Riner mobilisateur

Un match au sommet dans lequel Riner a joué un rôle central et pas uniquement sur le tapis. Plusieurs de ses coéquipiers ont insisté sur le poids du discours qu'il a délivré avant d'entrer dans la salle. « Je leur ai dit qu'ils allaient devoir s'arracher les uns pour les autres. Que je voulais qu'ils ressentent la même joie que j'ai ressentie hier (vendredi, pour son titre en individuel). Qu'il fallait être prêts à mourir sur le tapis... Putain, j'ai retenu tout ce que j'ai dit ! »

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Teddy Riner a battu le Japonais Tatsuru Saito au golden score pour offrir le titre olympique à l'équipe de France. (S. Mantey/L'Équipe)

Dans un premier temps, les Français ont pourtant tremblé et même chuté, parfois piégés tactiquement, pris par des Japonais plus légers mais aussi plus précis. Maxime Gaël Ngayap-Hambou n'a pas duré longtemps dans le golden score face à Sanshiro Murao. Plus surprenant, Romane Dicko (+ 78 kg) a été piégée par une -78 kg, Rika Takayama. Un premier tournant du match a alors eu lieu avec la victoire de Teddy Riner (+ 100 kg) contre Saito après sept minutes de combat. Mais la défaite de Cysique (-57 kg) contre Natsumi Tsunoda a poussé les Français au bord du précipice (3-1). Et semé quelques doutes. « On s'est dit qu'ils avaient un ascendant sur nous, que ça allait être compliqué », se rappelle Cysique.

C'est précisément à ce moment que l'incroyable Joan-Benjamin Gaba a fait une entrée fracassante en finale, venant à bout de Hifumi Abe après un combat de près de neuf minutes pour ramener la France à un point (3-2). Restait à Clarisse Agbégnénou à égaliser contre Miku Takaichi, l'un de ses grandes rivales en -63 kg. La sextuple championne du monde s'est alors sentie portée par l'élan de Gaba. « Quand il a gagné, j'ai senti comme une vague de chaleur, assure-t-elle. Puis je me suis dit : "bon, c'est à moi maintenant." Il faut y aller pour l'équipe, et j'ai pu remettre la balle au centre. »

« C'est ça le vrai champion : le seul fait qu'il soit tiré au sort nous a rassurés »

Walide Khyar

 
 
 

Son succès comme celui de ses coéquipiers a été célébré comme un but égalisateur dans le temps additionnel au foot par un public debout, entonnant spontanément des Marseillaises survoltées. Il a fêté de la même façon le tirage au sort désignant la catégorie appelée à disputer l'ultime combat. Qui a comme un symbole désigné les + 90 kg, celle de Riner et Saito. « En voyant ça, tout le monde a réagi comme si on avait déjà gagné, hallucine le - 66 kg Walide Khyar, installé en gradins pour la finale. C'est ça le vrai champion : le seul fait qu'il soit tiré au sort nous a rassurés. »

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Face à la Japonaise Miku Takaichi, Clarisse Agbegnenou a apporté le point de l'égalisation pour les Bleus. (P. Lahalle/L'Équipe)

Le Guadeloupéen pressentait ce dénouement et se préparait déjà à remonter sur le tapis, moins de quarante minutes après son premier duel face à Saito. « Vous regarderez les images, j'étais déjà devant l'escalier (du podium), j'étais prêt pour l'équipe, lance-t-il. Je m'en serais passé. C'est la destinée, c'est un film. C'est un script, il fallait le réaliser, aller chercher dans ses tripes pour smatcher notre ami Saito qui est très costaud, pas facile à faire chuter. » Riner y est pourtant parvenu une deuxième fois en moins d'une heure, pliant le match et son adversaire de 172 kg d'un o-uchi-gari (fauchage de jambes) rageur.

Ne lui restait qu'à s'allonger, presque paisiblement, à saluer son adversaire et à rejoindre la fête. Avec ce titre olympique, l'équipe de France termine les Jeux avec un total record de dix médailles (dont deux d'or), dépassant celui établi à Tokyo (huit, deux d'or). Pour les Bleus passés à côté cette semaine, le sacre avait aussi valeur de consolation, à l'image de Madeleine Malonga : « Ça met un petit pansement sur la douleur de l'individuel, estime-t-elle avant de regarder sa médaille. Je repars avec un petit bout de Paris avec moi. » Elle n'est pas la seule.

 

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#572 el landeno

el landeno

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Posté 04 août 2024 - 09:25

« Que je t'aime » de Johnny Hallyday, la folie Marchand, une chenille pour la bande à Riner, Dupont et Laporte qui se jettent dans la foule, des champions déguisés : l'incroyable ambiance du Club France Au fil des jours, le Club France est devenu « the place to be ». Il y règne une ambiance bouillante et le site affiche complet depuis jeudi. Les athlètes médaillés y sont accueillis en rock stars, et Léon Marchand et Teddy Riner sont les rois de l'applaudimètre.

Cette semaine, l'épicentre de Paris se situait peut-être à la piscine de La Défense Arena ou au dojo de l'Arena Champ-de-Mars. Mais s'il y avait un autre endroit où il fallait se presser, c'est bien au Club France, situé à la Villette, dans le nord de Paris, le QG des supporters de la délégation française. Dans cette immense fan-zone, se mêlent stands des sponsors proposant des initiations sportives (tir, escrime, haltérophilie, trampoline, etc.), buvettes, studios télé et radio, et surtout deux écrans géants - l'un dans la halle, l'autre à l'extérieur - pour ne rien rater de l'avalanche de médailles tricolores. Au total, le Club France peut accueillir 25 000 personnes en même temps - 5 000 dedans, 20 000 dehors. L'entrée coûte 5 euros et il vaut mieux réserver : le lieu affiche complet jusqu'à mardi prochain.
 
 

À l'intérieur, les supporters les plus investis s'organisent pour être le plus près possible. Tant pis pour les plus de 30 degrés qui font dégouliner tout le monde et régner une odeur de vestiaire jamais aéré. Au premier rang, mercredi, jour de double finale de Léon Marchand, il y avait par exemple Christiane, 74 ans, maillot du quinze de France sur le dos, qui a passé son après-midi à l'initiation touch-rugby du Club France. Pour avoir la meilleure place, elle a « un peu poussé tout le monde ». Une mission accomplie.

Elle a l'habitude, puisqu'elle vient ici tous les soirs depuis le début des Jeux. À côté d'elle, un groupe de copains, déjà présents la veille, se demande si les Bleus peuvent terminer ce jour-là en tête du classement des médailles (la réponse est non...). Sur l'écran géant, alors que l'on stresse encore devant les handballeurs qui ont beaucoup de mal à égaliser contre l'Égypte (score final 26-26), des « Léon ! Léon ! Léon ! » résonnent déjà.

 
 
 
L'hystérie à chaque victoire de Léon Marchand

Il est 20 h 37 et le Français de 22 ans va s'élancer pour une course dont il est l'outsider, face au recordman du monde Kristof Milak. Le niveau sonore de la salle augmente au fil du retour de Marchand sur le Hongrois, pour atteindre un niveau complètement fou sur la dernière longueur. On n'entend plus que des hurlements. Dehors, dans une ambiance de festival, la foule secoue ses drapeaux français et explose.

Une finale de Coupe du monde de football ? Non, le 200 m papillon des JO de Paris. Grâce à un dernier 50 mètres d'anthologie, celui que l'on n'appelle plus que par son prénom est sacré champion olympique. « Il l'a fait ! »« c'est un malade », « comment c'est possible ? ». Les supporters n'en reviennent pas, dans un mélange de joie ultime et de stupéfaction. La chaîne américaine NBC, qui suit de près le nageur français, est venue avec un gros dispositif pour retransmettre la ferveur des supporters et ne rate rien.

Il faut quelques minutes pour que tout le monde reprenne ses esprits, et patienter un peu moins de deux heures pour voir le nageur revenir dans l'arène. Le temps d'une brève critique : « Ça manque un peu de pintes qui volent, comme dans les pubs anglais », dit un supporter. Mais la bière ici coûte 9 euros et l'attente à la buvette est longue, alors restons raisonnables. Pour l'entracte, l'organisation du Club France a préparé une surprise : le rappeur Vegedream, chanteur de l'hymne non officiel des Bleus à la Coupe du monde 2018, débarque sur la scène en forme de podium de fashion week. On espérait une nouvelle version de « Ramenez la Coupe à la maison », avec Florent Manaudou ou Pauline Ferrand-Prévôt à la place des Umtiti, Griezmann et Mbappé. Il faudra visiblement attendre.

Pour le 200 m brasse, la folie Marchand reprend. Moins de suspense cette fois, mais autant de décibels. Le public crie « ouais ! » à chaque fois que le nageur sort la tête de l'eau. Les coulées sont si longues que les supporters finissent par perdre le rythme. Quand Léon Marchand s'impose, c'est l'hystérie. Le Toulousain est devenu la star des Jeux. La scène se reproduira deux jours plus tard pour le 200 m quatre nages. Pour la millième fois de la semaine, on entend Que je t'aime de Johnny. Le public chante et ne s'arrête plus de sourire. « Vous pensez qu'il va venir ce soir ? », s'interroge une nouvelle fan. Non, le Toulousain a encore du travail avec le relais 4 × 100 m 4 nages et est espéré pour ce soir ou lundi.

Danses, « Marseillaise » et chenille pour fêter le titre des judokas

Teddy Riner, ou « Ted » pour certains supporters, était lui aussi très, très attendu. Il devait arriver tard dans la nuit de samedi avec ses coéquipiers vainqueurs de l'or par équipes. Jamais, dans la semaine, la foule ne s'est autant pressée au Club France samedi soir, et la file d'attente pour entrer dans la halle ne cessait de s'étirer. Le titre individuel de Riner avait déjà déchaîné la foule vendredi, dans une journée mythique pour le camp français, avec neuf médailles remportées. « Il a gagné avec classe », analysait Guillaume en hurlant. « Vivre ça ici, on ne pouvait pas faire mieux », ajoutait son amie Lucie.

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Le titre individuel de Teddy Riner a été célébré. (J.-B. Autissier/L'Équipe)

Comme les judokas en ont remis une couche samedi, tout le Club France a exulté, dansé, spontanément chanté La Marseillaise, et même lancé une chenille sur le parvis. Vers 22 h 30, toute l'équipe de France a fait un premier passage sur la scène extérieure. Et quand la foule les a vus arriver au loin, une partie d'entre elle a couru vers eux pour tenter de décrocher un selfie ou une vidéo. Si toute l'équipe a été applaudie, évidemment, à ce jeu là aussi, c'est Teddy Riner qui a gagné. Une deuxième apparition était prévue très tard dans la soirée, cette fois à l'intérieur.

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Sylvain André, 2e du triplé en BMX a lui fait le show en débarquant avec une tête de coq. (J.-B. Autissier/L'Équipe)

Au fil des jours et des podiums, les athlètes médaillés ont donc défilé : Anthony Jeanjean est entré sur scène en BMX, Charline Picon et Sarah Steyaert ont montré leurs nouvelles bagues de fiançailles en... bout nautique, le sabreur Sébastien Patrice a jeté son tee-shirt dans la foule, puis son short mais gardé son caleçon qui n'était pas floqué OM. On a aussi vu les archers en argent, Jean-Charles Valladont, Thomas Chirault et Baptiste Addis, arriver sur le parvis extérieur. Des spectateurs se sont précipités pour prendre des selfies, puis se sont retournés vers leurs amis : « Ils s'appellent comment déjà ? C'est bien les mecs du tir aux pigeons ? » De quoi relativiser sa récente notoriété.

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Christophe Laporte s'est lui jeté dans la foule pour fêter sa médaille de bronze à l'image d'Antoine Dupont plus tôt dans la semaine. (J.-B. Autissier/L'Équipe)

Dehors, les supporters ont appris à prendre leurs aises et le Club France ressemble à une immense colonie de vacances. Certains font la sieste dans l'herbe, mains croisées sur le ventre, d'autres se baladent pieds nus. Les plus organisés ont leur serviette de plage. Ils sont nombreux à découvrir avec enthousiasme le kayak- cross - « c'est Intervilles ou quoi ? » - et a applaudi le podium de Valentin Madouas et Christophe Laporte en cyclisme, passés à quelques centaines de mètres de là.

Évidemment, il y a aussi quelques approximations rigolotes : celle qui cherche les frères Philippe au lieu des frères Patrice, celui qui encourage Léon Marchand alors que David Aubry cravache sur son 800 m, ou celui qui lève les bras de la victoire sur la demi-finale de Maxime Grousset pensant qu'il est champion olympique du 100 m pap. Qu'importe, c'est beau les gens heureux, qui crient leur bonheur, et qui aiment le sport. Même si ce n'est qu'une fois tous les quatre ans.

 
 


#573 Babé03

Babé03

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Posté 04 août 2024 - 10:11

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Hervé n'aurait pas du lancer sa gamme de vêtements en fin d'apéro à la fan zone... :D  :D  :D


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#574 Rugby ?

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Posté 04 août 2024 - 10:26

attachicon.gif Beaulon.jpg

 

 

Hervé n'aurait pas du lancer sa gamme de vêtements en fin d'apéro à la fan zone... :D  :D  :D

En même temps, c'est le Bourbonnais. ^_^



#575 Boulard

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Posté 04 août 2024 - 11:30

Ça y est, on est parti avec les grandes désillusions de l'athlétisme français. Heureusement qu'ils ont inventé ces histoires de repêchage pour que les athlètes ne courrent pas qu'une seule fois...

Et on ne sent pas grand chose venir derrière non? Très frustrant quand on voit les perfs des autres sports avec une vraie émulation collective

#576 Bart Simpson

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Posté 04 août 2024 - 13:03

Putain le gamin de 17 ans au tennis de table il est incroyable
Félicitations Felix
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#577 F@b

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Posté 04 août 2024 - 13:17

Bien le gamin
Et ils ont leur chance de médaille en double.

#578 Underscore

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Posté 04 août 2024 - 13:18

Bravo au plus jeune des Lebrun.

C'est mérité !



#579 Kestandi

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Posté 04 août 2024 - 13:18

Félix il a un gros kiki ‼️
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#580 tekilapaf

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Posté 04 août 2024 - 15:45

Pas encore bien huilée l'équipe de hand Masculine. Il a moyen de plier le match et ne pas se faire peur.

#581 tekilapaf

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Posté 04 août 2024 - 16:05

Maintenant ça sent pas bon du tout...

#582 ELSAZOAM

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Posté 04 août 2024 - 16:10

Ça y est, on est parti avec les grandes désillusions de l'athlétisme français. Heureusement qu'ils ont inventé ces histoires de repêchage pour que les athlètes ne courrent pas qu'une seule fois...

Et on ne sent pas grand chose venir derrière non? Très frustrant quand on voit les perfs des autres sports avec une vraie émulation collective

Pour moi, il n'y aura pas de désillusions en athletisme aux JO, je m'y attends, par contre on pourrait avoir une ou deux bonne surprise, va savoir...

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Pas encore bien huilée l'équipe de hand Masculine. Il a moyen de plier le match et ne pas se faire peur.

Si la mécanique est bien au point pour la finale contre le Danemark, ça ira... (à condition de ne pas sortir de la compétition dès aujourd'hui... )

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#583 tekilapaf

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Posté 04 août 2024 - 16:21

Il fait du bien ce 5/0

#584 Very Good Eshvili

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Posté 04 août 2024 - 16:30

J’dis’qu’ils font les cons pour se foutre de la gueule des allemands

 

 

bon je sais mais on va le prendre comme ça



#585 tekilapaf

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Posté 04 août 2024 - 16:32

6/1 à partir de 18/19 quand les hongrois ont commencé à prendre le score.

Ils font exprès ou quoi?




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