Le CO c'est pas le club de voleurs de titre 
Le CO n'est pas responsable de la guerre ouverte entre la FFR et Fouroux, qui a injustement privé Grenoble de Brennus en 1993, avec pourtant le CO qui avait largement dominé la saison régulière. Combien de temps encore allons-nous nous reprocher cet épisode dont le CO n'est pas responsable ? Contrairement à celui de 95, qui nous revenait de droit, mais passé sous silence par la mafia Toulousaine, jalouse de son valeureux voisin, qui le bat si souvent en phases finales. Le champion de France 2013, et 2018 avec Christophe Urios, toujours dans le trio de tête des différents classements statistiques depuis le passage au professionnalisme, est encore une fois bien parti cette année pour imposer sa suprématie sur son envieux voisin, avant de mettre définitivement sa patte sur le top14, dès ce week-end, où il n'y aura "que des victoires à domicile, sauf le CO à l'extérieur".