1593 réponses à ce sujet

[zeguest]

une sacré belle équipe le CO et globalement dans la durée 
faudra qu'on m'explique la recette ...

« Castres Olympique : L'Art du buzz

Le Castres Olympique (CO) est souvent perçu comme un club atypique dans le paysage rugbystique français. Si l'histoire et la culture du rugby ne sont pas profondément enracinées dans ses fondations, il faut reconnaître au CO une capacité hors norme à se faire un nom rapidement grâce à des coups d'éclat. Que ces actions soient positives ou, majoritairement, négatives, elles ont contribué à forger une véritable culture du buzz médiatique dans le Tarn. C'est ainsi que, tout comme le tee, cet engouement pour le spectaculaire est né dans cette région.

À une époque où le marketing sportif n'en était qu'à ses balbutiements, le CO a su exploiter cette niche de visibilité. Avec des investissements massifs, le club a réussi à attirer de grands noms du rugby, souvent arrachés à des clubs qui ne pouvaient proposer que des défis sportifs et des aventures humaines. La stratégie a souvent payé, propulsant Castres sur le devant de la scène, et pas toujours pour les meilleures raisons.

Les recrues prestigieuses ne manquent pas dans l'histoire du club. Parmi elles, des joueurs venant des terres de Montferrand, tels que Sitiveni Sivivatu, Loic Jacquet ou encore « Rado », ont marqué les esprits. Ces transferts ont souvent suscité la polémique, renforçant l'image d'un club prêt à tout pour briller, même à mettre en uvre des stratégies perçues comme controversées par ses pairs.

Pour certains, cette approche audacieuse et parfois critiquée est ce qui donne au Castres Olympique son charme particulier. Pour d'autres, elle reflète une absence de traditions et de valeurs enracinées, remplacées par une soif insatiable de reconnaissance et de succès immédiat. Quoi qu'il en soit, le CO continue de polariser les opinions, fidèle à sa réputation de club qui ne laisse personne indifférent. »

Article qui date de 2020 mais reste d actualité.

[Buckaroo]

« Castres Olympique : L'Art du buzz

[...]

J'avais lu cet article à l'époque, et l'avait trouvé assez juste. On ne peut qu'être d'accord avec le journaliste qui l'a écrit.

[zeguest]

Il a le mérite d être objectif, ce qui n est pas toujours le cas.

[castrais avant tout]

« Castres Olympique : L'Art du buzz

Le Castres Olympique (CO) est souvent perçu comme un club atypique dans le paysage rugbystique français. Si l'histoire et la culture du rugby ne sont pas profondément enracinées dans ses fondations, il faut reconnaître au CO une capacité hors norme à se faire un nom rapidement grâce à des coups d'éclat. Que ces actions soient positives ou, majoritairement, négatives, elles ont contribué à forger une véritable culture du buzz médiatique dans le Tarn. C'est ainsi que, tout comme le tee, cet engouement pour le spectaculaire est né dans cette région.

À une époque où le marketing sportif n'en était qu'à ses balbutiements, le CO a su exploiter cette niche de visibilité. Avec des investissements massifs, le club a réussi à attirer de grands noms du rugby, souvent arrachés à des clubs qui ne pouvaient proposer que des défis sportifs et des aventures humaines. La stratégie a souvent payé, propulsant Castres sur le devant de la scène, et pas toujours pour les meilleures raisons.

Les recrues prestigieuses ne manquent pas dans l'histoire du club. Parmi elles, des joueurs venant des terres de Montferrand, tels que Sitiveni Sivivatu, Loic Jacquet ou encore « Rado », ont marqué les esprits. Ces transferts ont souvent suscité la polémique, renforçant l'image d'un club prêt à tout pour briller, même à mettre en uvre des stratégies perçues comme controversées par ses pairs.

Pour certains, cette approche audacieuse et parfois critiquée est ce qui donne au Castres Olympique son charme particulier. Pour d'autres, elle reflète une absence de traditions et de valeurs enracinées, remplacées par une soif insatiable de reconnaissance et de succès immédiat. Quoi qu'il en soit, le CO continue de polariser les opinions, fidèle à sa réputation de club qui ne laisse personne indifférent. »

Article qui date de 2020 mais reste d actualité.

Tu mélanges tout mon ami!
Les recrues prestigieuses, c'était au début des années 1990 avec l'arrivée de Carminati en 1991 puis de Whetton en 1992, de Castaignède et de Bunce en 1997, de Botica en 1998.
Si ça n'a pas donné les résultats escomptés. le titre volé aux Grenoblois (par la FFR et non le CO) a même accentué le déficit d'image du club.
On nous traitait de Ferrari bleu qui ne savait pas gagner..

Mais ensuite, le CO a massivement investi dans la formation où il a obtenu rapidement de bons résultats (Champion Reichel 2003, 2008 et 2009)

Et puis avec les arrivées en Top 14 des Montpellier, Toulon, Lyon, Racing et Bordeaux entre le milieu des années 2000 et le début des années 2010, le CO n'arrivait plus à suivre l'escalade des budgets et a recruté surtout de jeunes espoirs parfois issues de Pro D2 tout en perdant ses nouveaux internationaux (Dupont, Jelouch et maintenant Barlot annoncé à Bordeaux).

On a été Champion de France contre toute attente en 2013 et en 2018 ainsi que vice-champion de France en 2014 et 2022 alors même que 10 clubs ont des budgets plus élevé que celui du CO depuis 2010.

[Buckaroo]

Tu mélanges tout mon ami!
Les recrues prestigieuses, c'était au début des années 1990 avec l'arrivée de Carminati en 1991 puis de Whetton en 1992, de Castaignède et de Bunce en 1997, de Botica en 1998.
Si ça n'a pas donné les résultats escomptés. le titre volé aux Grenoblois (par la FFR et non le CO) a même accentué le déficit d'image du club.
On nous traitait de Ferrari bleu qui ne savait pas gagner..

Mais ensuite, le CO a massivement investi dans la formation où il a obtenu rapidement de bons résultats (Champion Reichel 2003, 2008 et 2009)

Et puis avec les arrivées en Top 14 des Montpellier, Toulon, Lyon, Racing et Bordeaux entre le milieu des années 2000 et le début des années 2010, le CO n'arrivait plus à suivre l'escalade des budgets et a recruté surtout de jeunes espoirs parfois issues de Pro D2 tout en perdant ses nouveaux internationaux (Dupont, Jelouch et maintenant Barlot annoncé à Bordeaux).

On a été Champion de France contre toute attente en 2013 et en 2018 ainsi que vice-champion de France en 2014 et 2022 alors même que 10 clubs ont des budgets plus élevé que celui du CO depuis 2010.

Zeguest ne faisait que citer un article. Ne tire pas sur le messager !

[Bad Zé]

Tu mélanges tout mon ami!
Les recrues prestigieuses, c'était au début des années 1990 avec l'arrivée de Carminati en 1991 puis de Whetton en 1992, de Castaignède et de Bunce en 1997, de Botica en 1998.
Si ça n'a pas donné les résultats escomptés. le titre volé aux Grenoblois (par la FFR et non le CO) a même accentué le déficit d'image du club.
On nous traitait de Ferrari bleu qui ne savait pas gagner..

Mais ensuite, le CO a massivement investi dans la formation où il a obtenu rapidement de bons résultats (Champion Reichel 2003, 2008 et 2009)

Et puis avec les arrivées en Top 14 des Montpellier, Toulon, Lyon, Racing et Bordeaux entre le milieu des années 2000 et le début des années 2010, le CO n'arrivait plus à suivre l'escalade des budgets et a recruté surtout de jeunes espoirs parfois issues de Pro D2 tout en perdant ses nouveaux internationaux (Dupont, Jelouch et maintenant Barlot annoncé à Bordeaux).

On a été Champion de France contre toute attente en 2013 et en 2018 ainsi que vice-champion de France en 2014 et 2022 alors même que 10 clubs ont des budgets plus élevé que celui du CO depuis 2010.

Quel titre volé ?

[zeguest]

Cest de cet article dont tu me parlais Buckaroo?

Castres Olympique : L'ombre dune influence politico-economique

Le Castres Olympique (CO) est souvent perçu comme un acteur singulier dans le paysage du rugby français. Bien plus quun simple club, il a su tisser des liens profonds avec les sphères économiques et politiques, exploitant un réseau dinfluence qui effraie ses concurrents. Derrière les performances sportives, ce sont des forces invisibles qui opèrent, consolidant la position du CO dans lélite du rugby français. Si certains titres, comme celui de 1993, ont été fêtés avec éclat, ils ont aussi révélé une réalité plus obscure : des manuvres tellement flagrantes à lépoque quelles ont exposé la face cachée du pouvoir du club.

Le titre de 1993 reste à ce jour un exemple de ce que lon peut appeler une victoire en coulisses. Porté par le soutien économique massif de la famille Pierre Fabre et des liens politiques influents, ce sacre a laissé un goût amer dans la bouche de nombreux clubs. Les ficelles tirées à lépoque étaient si grosses quelles en sont devenues embarrassantes, exposant la nature des rouages politico-économiques qui semblaient entourer le club. Ce fut peut-être la seule véritable erreur du CO : montrer trop vite et trop ouvertement quil pouvait compter sur bien plus que ses seuls talents sportifs pour gagner.

Depuis, le Castres Olympique a appris à être plus discret, maîtrisant lart dinfluencer sans trop se faire remarquer. Les réseaux sont toujours là, bien huilés, et les succès se succèdent sans heurts. Mais ce qui fait peur, aujourdhui, cest linfluence du CO sur le reste du championnat. Nombreux sont les clubs du Top 14 qui se plaignent en privé de se voir régulièrement dépouillés de leurs meilleurs talents par Castres. Pourtant, peu osent le dénoncer publiquement. Pourquoi ? Parce quils craignent des représailles, craignent que se lever contre cette machine bien rodée nentraîne des conséquences, sur le terrain comme en dehors.

Lemprise du CO est telle que le silence sest imposé. Mieux vaut accepter la situation, se laisser piller discrètement, que de risquer dattirer lattention des puissants alliés du club. Les décisions arbitrales douteuses ou les transferts suspects, tout passe sous silence, tant la crainte de représailles domine les esprits. Dans ce contexte, écrire cet article est un véritable acte de bravoure. Il ne fait aucun doute que le CO garde un il sur ceux qui osent critiquer ou exposer ses rouages. Lanonymat du journaliste ici est donc vital.

Le Castres Olympique, plus quun simple club, est devenu une institution politique et économique à part entière, jouant un jeu subtil entre le pouvoir et le sport. Ses rivaux le savent, et cette crainte alimente un silence lourd. Mais cette fois-ci, le silence est brisé. Que se passera-t-il après ?

[castrais avant tout]

Cest de cet article dont tu me parlais Buckaroo?

Castres Olympique : L'ombre dune influence politico-economique

Le Castres Olympique (CO) est souvent perçu comme un acteur singulier dans le paysage du rugby français. Bien plus quun simple club, il a su tisser des liens profonds avec les sphères économiques et politiques, exploitant un réseau dinfluence qui effraie ses concurrents. Derrière les performances sportives, ce sont des forces invisibles qui opèrent, consolidant la position du CO dans lélite du rugby français. Si certains titres, comme celui de 1993, ont été fêtés avec éclat, ils ont aussi révélé une réalité plus obscure : des manuvres tellement flagrantes à lépoque quelles ont exposé la face cachée du pouvoir du club

Les 《manuvres》 dont tu parles sont le fait de la FFR dont le manager de Grenoble voulait accéder à la Présidence et non le fait du CO qui n'a rien à reprocher dans cette histoire.
Et quand tu parles de titre fêté avec éclat, le grand public et même la presse ne savait rien de ces 《manuvres》..
https://fr.wikipedia...oux?wprov=sfla1

[Vynce]

Même monté gros, ça mord toujours aussi bien.

[Alex chocolatines]

Même monté gros, ça mord toujours aussi bien.

Le poisson chat mord à tous les appâts     

Les 《manuvres》 dont tu parles sont le fait de la FFR dont le manager de Grenoble voulait accéder à la Présidence et non le fait du CO qui n'a rien à reprocher dans cette histoire.
Et quand tu parles de titre fêté avec éclat, le grand public et même la presse ne savait rien de ces 《manuvres》..
 

Y a rien de plus sourd que quelqu'un qui veut pas entendre, tout le monde a fait semblant de ne rien voir pensant que les autres se laisseraient endormir.

La presse savait mais ils faisaient partie de l'embrouille... 

[zeguest]

Les 《manuvres》 dont tu parles sont le fait de la FFR dont le manager de Grenoble voulait accéder à la Présidence et non le fait du CO qui n'a rien à reprocher dans cette histoire.
Et quand tu parles de titre fêté avec éclat, le grand public et même la presse ne savait rien de ces 《manuvres》..
https://fr.wikipedia...oux?wprov=sfla1

Je ne parle de rien, je partage un article.

[castrais avant tout]

https://www.rugbyram...er-12258494.php

[xdderf63]

https://www.rugbyram...er-12258494.php

 

Qu'est ce que vous reprochez à Davidson ?

Il a eu accès à certains dossiers et il faut mieux l'écarter afin qu'il arrête de fouiner ? 

[castrais avant tout]

Arata reste au CO!
https://www.lequipe....ympique/1513966

[el landeno]

« Pas quelque chose qui nous ronge l'esprit » : au milieu des rumeurs de transferts, Castres doit avancer Mathieu Babillot, le capitaine du CO, assure que les bruits de transferts ne perturbent pas les joueurs, qui comptent bien rebondir après le match raté à Pau.

Il paraît que cette semaine, dans les vestiaires du Lévezou, le centre d'entraînement de Castres, les joueurs ont beaucoup commenté l'actualité rugby du club tarnais. Les sujets de discussion ne manquaient pas. Il y a évidemment la réception du Stade Français, un club malade et qu'ils n'ont pas envie de relancer.

 

 

Ce qui s'est passé à Pau samedi fut aussi abordé et analysé après cette première période complètement ratée (0-20). « Il faut qu'on trouve des clés, et je pense qu'on les a trouvées pour mieux attaquer ces matches, a assuré le troisième-ligne Baptiste Delaporte. Mais je ne vous les donnerai pas. On a essayé de parler de ça, de construire sur ce match. C'est vraiment frustrant de rentrer sans rien ramener. » En seconde période, les Castrais ont réagi, mais ont perdu 26-33. Ils n'ont donc toujours pas gagné à l'extérieur, ce qui les oblige à ne pas se tromper à domicile.

lire aussiJean-Noël Spitzer, cible principale de Castres pour l'an prochain ?

Ces derniers jours, il fut aussi question de l'avenir du demi de mêlée Santiago Arata. Après avoir annoncé son départ et sa volonté d'aller voir du côté du Racing 92, l'Uruguayen (28 ans) a changé d'avis et poussé la porte du bureau de Pierre-Yves Revol, le président. Les négociations ont débouché sur une prolongation de quatre ans : « C'est un message fort pour le club, estime Delaporte. On était un peu inquiets de perdre un élément de ce niveau-là... »« C'est super pour le club, se félicite Jeremy Davidson, le manager, Santiago Arata est un enfant du club (présent depuis 2020). Je suis certain qu'il va apporter de la sérénité et beaucoup de joie aux supporters. »

Davidson, stop ou encore ?

L'autre grand sujet de discussion concerne justement le futur du manager irlandais (50 ans, en poste depuis 2023), qui arrive en fin de contrat. Rien n'est tranché, mais les décideurs du CO réfléchissent et étudient toutes les possibilités. L'une mène à une prolongation, une autre à Jean-Noël Spitzer, l'entraîneur de Vannes. Ce qu'a d'ailleurs expliqué Revol dans les colonnes de La Dépêche :« Jeremy Davidson, pour lequel j'ai beaucoup d'estime, est en fin de contrat en juin prochain et pour l'instant l'important est qu'il remplisse sa mission efficacement jusqu'à son terme. Nous n'avons rien décidé pour la suite et nous examinons plusieurs options et cela dans la plus grande sérénité. »

 

 

lire aussiGaëtan Barlot (Castres) à l'UBB

Tous ces bruits ne perturbent pas les joueurs, c'est en tout cas ce qu'affirme Mathieu Babillot, le capitaine, joint au téléphone vendredi. « Honnêtement, on en parle, mais ce n'est pas quelque chose qui nous ronge l'esprit. Ce genre de sujet, on connaît et on a su faire par le passé, avec des départs de managers, des prolongations de joueurs. Cela revient assez souvent, c'est pas notre job, on est au courant, on fait confiance au club, un club costaud, qui existe dans une ville de 45 000 habitants. Par le passé, on a perdu des bons joueurs, on a perdu Dupont (2017), Jelonch (2021) ou Tekori (2013). Si le club n'était pas costaud, et pas bien dirigé, on ne s'en sortirait pas. »