Je savais pas ou mettre cet article..
ça dépend des réactions que tu attends ! Ici, c'est le bon endroit pour se prendre un post corsé du gardien des lieux ! On n'est pas à l'abri d'un petit classement.....
Posté 21 avril 2021 - 15:05
Je savais pas ou mettre cet article..
ça dépend des réactions que tu attends ! Ici, c'est le bon endroit pour se prendre un post corsé du gardien des lieux ! On n'est pas à l'abri d'un petit classement.....
Posté 21 avril 2021 - 16:02
Quelle infamie,quand on y pense!
C 'était une époque différente mais bien celles des mafieux en par- dessus de la FFR de tonton Ferrasse et ses sbires flingueurs !
Fallait oser pareille malhonnêteté ce jour de finale pour voler le titre que Ferrasse refusait de donner au FCG de J. Fouroux le fils prodige devenu le répudié à abattre par tous les moyens .
Aujourd 'hui on a Laporte ...Simon et consorts avec le nouveau venu pas du Qatar, mais....c 'est encore autre chose mais pas plus glorieux!
Posté 21 avril 2021 - 17:47
ça dépend des réactions que tu attends ! Ici, c'est le bon endroit pour se prendre un post corsé du gardien des lieux ! On n'est pas à l'abri d'un petit classement.....
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Je l'aime bien CAT...
Posté 21 avril 2021 - 18:37
Je l'aime bien CAT...
Oui c'est un bon gars ! Seul contre tous, il ne se laisse jamais démonter !
Posté 27 avril 2021 - 12:45
Quand Marseille fait tout pour chasser l'excès de touristes, certains font la mendicité !
Posté 06 mai 2021 - 20:32
Pierre-Henry Broncan, l'homme qui a relancé Castres en Top 14
Nommé entraîneur principal de Castres fin décembre, Pierre-Henry Broncan, fou de rugby, être intense, a redonné de l'éclat au club tarnais, passé du bas du classement à candidat au top 6
On pourrait s'en tenir au terrain pour comprendre Pierre-Henry Broncan, demi de mêlée de caractère, « joueur bouillant » d'après son père, Henry, « leader naturel » selon David Darricarrère au côté duquel il a achevé sa carrière, à Mont-de-Marsan, en 2006. On pourrait, oui, imaginer que « l'enfant de Fouroux et de Berbizier », comme il se revendique, l'enfant de Lombez-Samatan, « où tout a toujours tourné autour du rugby », a grandi imprégné de ces valeurs, le combat, la famille, « la révolte » ajoute Henry, le sorcier gersois, qui se souvient qu'un mois seulement après son arrivée au CO, son fils lui avait téléphoné pour lui dire : « Papa, ici, je suis comme à Lombez. Parce que l'on bâtit le match sur la révolte, le petit contre le gros. »
S'il est là aujourd'hui, en route pour la qualification, c'est peut-être parce qu'il n'a pas éprouvé ce même sentiment à Bath, son précédent port d'attache. « De toutes mes expériences, dit-il d'ailleurs, c'est celle de Bath qui m'a le plus frustré et déçu. Bath a des moyens énormes. Mais on perdait toujours en fin de rencontre parce qu'on n'avait pas le bon état d'esprit. Et personne ne réagissait. Personne n'avait envie d'écraser l'adversaire. »
On comprend mieux, alors, pourquoi il aime son aventure en bord d'Agoût, pourquoi le CO a remporté neuf des douze matches disputés depuis son arrivée aux commandes. « Le CO est une équipe de combattants, résume-t-il, souvent un peu dénigrée. Ce n'est pas grave ça. On s'en nourrit. On veut être une équipe dure à jouer. »
C'est sa philosophie, c'est aussi celle du club. « Ici, ajoute Darricarrère, c'est le club d'une petite ville auquel les gens sont très attachés et l'attachement, chez Pierre, est quelque chose de très important. » Attachement à des principes. À des hommes. « Mais l'humain, dit-il, c'est surtout entre les joueurs. Notre rôle à nous, le staff, est de les aider à trouver des solutions, de proposer les meilleures semaines d'entraînement possibles, d'être vigilants. »
Depuis Blagnac (saison 2006-2007), Broncan traverse les époques avec ces mêmes principes, ceux d'« un mec franc, honnête, juste » selon Darricarrère. Il est dur parfois. Mais ses résultats, la relation qu'il entretient avec les autres, le protègent de la critique. »
« Je donne de l'importance aux joueurs, mais il faut qu'ils la rendent sur le terrain. Si l'un d'eux triche, néglige le club, je peux être intransigeant »
Pierre-Henry Broncan
« Je donne de l'importance aux joueurs, assure-t-il, mais il faut qu'ils la rendent sur le terrain. Si l'un d'eux triche, néglige le club, je peux être intransigeant. C'est pour ça que je mets toujours des barrières. Je peux boire une bière avec eux. Mais ça s'arrête là. »
Ces convictions se sont forgées dans ce Sud-Ouest qu'il a arpenté de long en large, de Lombez-Samatan, où son père était à la fois entraîneur et prof d'histoire-géo au collège, à Tarbes, peut-être sa plus belle vie de coach, en passant par Auch, Montauban, Béziers ou Aurillac. Sa volonté vient de là mais, au fil du temps, elle s'est renforcée du besoin d'aller à sa propre rencontre. Curieux, il a poussé beaucoup de portes, dont celles d'Eddie Jones, avec lequel il est devenu complice en Angleterre.
Au fil des ans, il a mis ses compétences de limier au service de Laurent Marti à Bordeaux-Bègles puis de René Bouscatel à Toulouse, toujours à la recherche de nouveaux talents. Cheslin Kolbe à Toulouse ? C'est lui. Rynhardt Elstadt ? Encore lui. Pierre-Henry Broncan a une connaissance infinie des joueurs et un réseau aussi fourni que celui des agents.
« Quand il est arrivé à Tarbes, il connaissait tous les noms, tous les profils, même ceux des espoirs », sourit Fabien Fortassin, ancien ouvreur, aujourd'hui entraîneur du Stado. « Il sent les bons joueurs, explique son père, c'est d'ailleurs, je crois, sa principale qualité. Et il y a toujours une part d'humanité dans son recrutement. »
Lucas Pointud en est le parfait exemple. « Il a plus cru en moi que je n'ai pu le faire moi-même, reconnaît le pilier du CO. Il m'avait donné rendez-vous dans un café lorsque je jouais à Castanet, en Fédérale 1, pour me faire signer à Tarbes. Je lui ai demandé : "Pourquoi moi ? "Il m'a répondu qu'il avait appelé dix personnes et que les dix lui avaient conseillé de ne pas me prendre et qu'il allait montrer qu'elles s'étaient trompées. J'ai croisé de bons entraîneurs dans ma carrière, c'est de loin le meilleur. Si tu te comportes comme un homme avec lui, tu as face à toi un grand homme. J'avais vraiment cette volonté de finir ma carrière avec lui. Je vendrais ma mère pour être avec lui. »
Pourquoi, d'ailleurs, cette culture encyclopédique des joueurs chez Pierre-Henry Broncan ? « Quand j'étais enfant, dévoile-t-il, je m'amusais à regarder toutes les équipes dans le magazine Rugbyrama, les photos, les noms dessous, les mensurations, les dates de naissance. J'ai fait pareil avec les compos d'équipes sur le Midol. Celles de Fédérale 1, de Fédérale 2. Maintenant que les matches sont télévisés, je regarde tout. Les bons joueurs, tout le monde les connaît. Certains ont un niveau équivalent mais passent souvent inaperçus. »
Ancien gourou d'Auch, Henry Broncan est fier du parcours d'entraîneur de son rejeton. Pas seulement... « Castres est un grand club, murmure-t-il, et je suis admiratif. En plus, je sais qu'il est un vrai papa avec ses deux enfants. C'est difficile d'être un très bon père quand on est entraîneur. Je sais de quoi je parle. Je sais que j'aurais pu m'occuper de lui mieux que je ne l'ai fait. »
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Posté 03 juin 2021 - 10:29
Posté 03 juin 2021 - 10:52
Vaipulu quitte le co pour retourner en nouvelle Zélande ( raison familiale) .
Avec ces sales histoires de Covid , ça parait quand même compliqué pour les familles , d'être coupées aussi longtemps des racines !
Posté 03 juin 2021 - 11:03
Vaipulu quitte le co pour retourner en nouvelle Zélande ( raison familiale) .
Posté 03 juin 2021 - 11:06
Je croyais que ça n'arrivait qu'à Clermont qui n'est plus un club attractif.
Oui mais l'ASM n'est plus (pour le moment) alors que le CO n'a jamais été !!! Suffit d'aller dans une école de rugby pour comprendre ! On y vois à peu près toutes les couleurs sauf ........ le CO !!!!
Posté 03 juin 2021 - 11:16
Je croyais que ça n'arrivait qu'à Clermont qui n'est plus un club attractif.
Posté 03 juin 2021 - 12:06
Pierre-Henry Broncan, l'homme qui a relancé Castres en Top 14
Nommé entraîneur principal de Castres fin décembre, Pierre-Henry Broncan, fou de rugby, être intense, a redonné de l'éclat au club tarnais, passé du bas du classement à candidat au top 6
On pourrait s'en tenir au terrain pour comprendre Pierre-Henry Broncan, demi de mêlée de caractère, « joueur bouillant » d'après son père, Henry, « leader naturel » selon David Darricarrère au côté duquel il a achevé sa carrière, à Mont-de-Marsan, en 2006. On pourrait, oui, imaginer que « l'enfant de Fouroux et de Berbizier », comme il se revendique, l'enfant de Lombez-Samatan, « où tout a toujours tourné autour du rugby », a grandi imprégné de ces valeurs, le combat, la famille, « la révolte » ajoute Henry, le sorcier gersois, qui se souvient qu'un mois seulement après son arrivée au CO, son fils lui avait téléphoné pour lui dire : « Papa, ici, je suis comme à Lombez. Parce que l'on bâtit le match sur la révolte, le petit contre le gros. »
Frustré à Bath, épanoui à CastresS'il est là aujourd'hui, en route pour la qualification, c'est peut-être parce qu'il n'a pas éprouvé ce même sentiment à Bath, son précédent port d'attache. « De toutes mes expériences, dit-il d'ailleurs, c'est celle de Bath qui m'a le plus frustré et déçu. Bath a des moyens énormes. Mais on perdait toujours en fin de rencontre parce qu'on n'avait pas le bon état d'esprit. Et personne ne réagissait. Personne n'avait envie d'écraser l'adversaire. »
On comprend mieux, alors, pourquoi il aime son aventure en bord d'Agoût, pourquoi le CO a remporté neuf des douze matches disputés depuis son arrivée aux commandes. « Le CO est une équipe de combattants, résume-t-il, souvent un peu dénigrée. Ce n'est pas grave ça. On s'en nourrit. On veut être une équipe dure à jouer. »
lire aussiLe classement du Top 14C'est sa philosophie, c'est aussi celle du club. « Ici, ajoute Darricarrère, c'est le club d'une petite ville auquel les gens sont très attachés et l'attachement, chez Pierre, est quelque chose de très important. » Attachement à des principes. À des hommes. « Mais l'humain, dit-il, c'est surtout entre les joueurs. Notre rôle à nous, le staff, est de les aider à trouver des solutions, de proposer les meilleures semaines d'entraînement possibles, d'être vigilants. »
Depuis Blagnac (saison 2006-2007), Broncan traverse les époques avec ces mêmes principes, ceux d'« un mec franc, honnête, juste » selon Darricarrère. Il est dur parfois. Mais ses résultats, la relation qu'il entretient avec les autres, le protègent de la critique. »
« Je donne de l'importance aux joueurs, mais il faut qu'ils la rendent sur le terrain. Si l'un d'eux triche, néglige le club, je peux être intransigeant »
Pierre-Henry Broncan
« Je donne de l'importance aux joueurs, assure-t-il, mais il faut qu'ils la rendent sur le terrain. Si l'un d'eux triche, néglige le club, je peux être intransigeant. C'est pour ça que je mets toujours des barrières. Je peux boire une bière avec eux. Mais ça s'arrête là. »
Ces convictions se sont forgées dans ce Sud-Ouest qu'il a arpenté de long en large, de Lombez-Samatan, où son père était à la fois entraîneur et prof d'histoire-géo au collège, à Tarbes, peut-être sa plus belle vie de coach, en passant par Auch, Montauban, Béziers ou Aurillac. Sa volonté vient de là mais, au fil du temps, elle s'est renforcée du besoin d'aller à sa propre rencontre. Curieux, il a poussé beaucoup de portes, dont celles d'Eddie Jones, avec lequel il est devenu complice en Angleterre.
Au fil des ans, il a mis ses compétences de limier au service de Laurent Marti à Bordeaux-Bègles puis de René Bouscatel à Toulouse, toujours à la recherche de nouveaux talents. Cheslin Kolbe à Toulouse ? C'est lui. Rynhardt Elstadt ? Encore lui. Pierre-Henry Broncan a une connaissance infinie des joueurs et un réseau aussi fourni que celui des agents.
« Quand il est arrivé à Tarbes, il connaissait tous les noms, tous les profils, même ceux des espoirs », sourit Fabien Fortassin, ancien ouvreur, aujourd'hui entraîneur du Stado. « Il sent les bons joueurs, explique son père, c'est d'ailleurs, je crois, sa principale qualité. Et il y a toujours une part d'humanité dans son recrutement. »
Une culture rugby encyclopédiqueLucas Pointud en est le parfait exemple. « Il a plus cru en moi que je n'ai pu le faire moi-même, reconnaît le pilier du CO. Il m'avait donné rendez-vous dans un café lorsque je jouais à Castanet, en Fédérale 1, pour me faire signer à Tarbes. Je lui ai demandé : "Pourquoi moi ? "Il m'a répondu qu'il avait appelé dix personnes et que les dix lui avaient conseillé de ne pas me prendre et qu'il allait montrer qu'elles s'étaient trompées. J'ai croisé de bons entraîneurs dans ma carrière, c'est de loin le meilleur. Si tu te comportes comme un homme avec lui, tu as face à toi un grand homme. J'avais vraiment cette volonté de finir ma carrière avec lui. Je vendrais ma mère pour être avec lui. »
lire aussiLe calendrier de la 23e journéePourquoi, d'ailleurs, cette culture encyclopédique des joueurs chez Pierre-Henry Broncan ? « Quand j'étais enfant, dévoile-t-il, je m'amusais à regarder toutes les équipes dans le magazine Rugbyrama, les photos, les noms dessous, les mensurations, les dates de naissance. J'ai fait pareil avec les compos d'équipes sur le Midol. Celles de Fédérale 1, de Fédérale 2. Maintenant que les matches sont télévisés, je regarde tout. Les bons joueurs, tout le monde les connaît. Certains ont un niveau équivalent mais passent souvent inaperçus. »
Ancien gourou d'Auch, Henry Broncan est fier du parcours d'entraîneur de son rejeton. Pas seulement... « Castres est un grand club, murmure-t-il, et je suis admiratif. En plus, je sais qu'il est un vrai papa avec ses deux enfants. C'est difficile d'être un très bon père quand on est entraîneur. Je sais de quoi je parle. Je sais que j'aurais pu m'occuper de lui mieux que je ne l'ai fait. »
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j'ai bien ce coté latin, passionné et intuitif du rugby français. Pour moi il aurait été un complément parfait de Jono Gibbes à l'asm.
Posté 20 octobre 2021 - 20:55
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