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[Gourine63]

Erreur

Ce qui correspond assez bien au sujet cependant.

[Toorop]

pas d'essai sur ballon porté héhé
Et deux jolies réalisations dont surtout le 2éme de Fall via Plumer / Raka / Hamadauoi
 
Oui, ça fait peu   

Le 2e est très beau. Toujours sympa de marquer un essai en première main, avec Plummer à la manuvre. Cela dit, on en a vu l'an dernier aussi avec Urda qui était capable de bien s'engager dans la ligne.
Ce que j'aimerais voir maintenant, c'est plus de continuité et un jeu plus abouti derrière après plusieurs temps de jeu

[Silhouette]

Regarde le tu vas voir un superbe match.
Attention les boks ne sont plus vraiment dans un jeu pré paramétré.

Je pense voir un peu ce que tu veux dire, mais quand meme quand tu les vois jouer et s'organiser, c'est extremement prepare, toutes les cellules sont prevues a l'avance sur ~ 2-3 temps de jeu quand ils ont le ballon (c'est comme ca qu'ils arrivent a ne pas s'epuiser en courant partout). Ils sont aussi assez exceptionnels dans leur prise de decision, ou ils arrivent quasi toujours a anticiper ce que le joueur a cote va faire, et ce qu'il faut faire en fonction du temps, du score, de l'endroit sur le terrain, etc. Ca c'est enormement de travail collectif et au tableau noir. Mais oui ils sont plus dans le casse brique comme ils l'ont ete a un moment c'est clair.

[Alligator427]

C'est ça. Ils savent aussi jouer dans le désordre. Ça devient très complet.

[Toorop]

Tiens, un manager qui parle un peu de jeu et de stratégie

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[pims]

Quelqu'un l'a en intégralité svp ?

https://www.rugbyram...it-12930483.php

[RCV06]

Quelqu'un l'a en intégralité svp ?

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Technique - "Les changements de règle ont remis l'attaque en position dominante" : la chronique de Laurent Labit

Chroniqueur Midi Olympique pour cette saison de Top 14 2024-2025, Laurent Labit analyse comment les nouvelles règles ont nettement favorisé l'attaque, et plus particulièrement les lancements de jeu après touche ou mêlée.

Je voudrais mettre un focus, cette semaine, sur les lancements de jeu après conquête directe, à savoir la touche et la mêlée. Ils sont redevenus des séquences essentielles qui débouchent sur de nombreux essais, parce qu’ils constituent un des rares moments où l’attaque peut imposer sa loi. Ce n’est pas un hasard : les divers changements de règles (ou les applications strictes de règles déjà existantes) ont remis les attaques en position dominante sur ces lancements. Comment ? En redonnant du temps et de l’espace aux attaquants, ce qui leur permet de manœuvrer avec beaucoup de vitesse et peut mettre les défenseurs sur leurs talons, donc à réaction et en retard.

C’était une volonté de World Rugby qui souhaite promouvoir un rugby spectaculaire, offensif, face à des défenses qui s’étaient renforcées et qui, un temps, avaient pris le dessus. Toutes ces règles portent aujourd’hui leurs fruits et ont fait que toutes les équipes, même les mieux organisées en défense, prennent désormais beaucoup de points.
Toulon s’est (aussi) sauvé grâce au 50:22

On parle d’abord des modifications de la règle sur mêlée. Désormais, les numéros 9 défensifs ne peuvent plus suivre l’introduction et mettre la pression sur le lancement adverse. Cela permet, par exemple, au demi de mêlée attaquant de venir se placer directement dans la ligne et de prendre la position d’ouvreur, pour apporter un surnombre (+1). Sans pression, le numéro 8 peut alors lui transmettre le ballon dès qu’il lui arrive dans les pieds, à l’arrière de la mêlée. Cette situation a inspiré le lancement des Montalbanais au Stade français, la semaine dernière, pour l’essai en bout de ligne de Vici. Il est initié par un positionnement décalé du demi de mêlée Powell, après une mêlée offensive.

Autre sujet réglementaire qui favorise l’attaque, le 50:22, qui amène beaucoup de situations d’essais parce qu’il oblige la défense à faire un choix : soit elle garde un premier rideau fort mais elle s’expose dans le champ profond ; soit elle place un joueur supplémentaire dans le fond du terrain, pour se sécuriser, mais son premier rideau perd alors un défenseur. Ce dernier choix encourage les équipes attaquantes à lancer le jeu depuis leur camp, avec des surnombres qui peuvent être intéressants à exploiter. C’est exactement ce dont Toulon a très bien profité, sur l’essai de Gaël Dréan, consécutif à un lancement depuis son camp où le CO avait choisi de renforcer son champ profond, ne laissant que trois défenseurs serrés pour gérer la ligne d’avantage. Le CO était donc friable sur les extérieurs, ce que le lancement du RCT après mêlée a parfaitement exploité.
Pau, un lancement "à la Leinster"

Enfin, il y a aussi la réglementation sur touche qui ouvre des perspectives de lancements de jeu efficaces, en plaçant l’attaque en situation dominante. On ne parle pas ici d’une règle modifiée mais plutôt d’une meilleure application de la règle : les arbitres ont pour consignes de surveiller de près le maintien à 10 mètres des deux lignes arrières, tant que la touche n’est pas consommée. En clair, entre ces deux lignes qui se font face, il y a désormais un écart minimum de 20 mètres au moment du lancement de jeu, parfois jusqu’à 35 m sur les extérieurs, avec le jeu de la profondeur des attaquants. C’est un espace énorme offert à l’attaque, qui aura tout le temps d’adapter son lancement en fonction des choix de la défense. Parce qu’elle est moins agressée, elle travaillera aussi avec beaucoup de vitesse, ce qui peut mettre la défense en grande difficulté.

De ces avantages, Clermont et Pau, par exemple, ont su tirer un excellent profit ce week-end avec des essais de Fall (Clermont) et Grandidier (Pau). Dans le cas des Béarnais, c’est un lancement "à la Leinster", un mouvement classique des joueurs de Dublin qui a permis la superbe réalisation de l’ancien joueur de France 7 : une touche à 6, qui permet de détacher un avant dans la ligne d'attaque. Il sera utiliser en leurre ou en porteur de balle, pour gagner la première collision, mais quoiqu'il arrive, il va libérer un trois-quarts qui ne sera pas utilisé dans ce rôle. Et ensuite, deux courses en leurre et deux jeux dans le dos, dont le second avec l'ailier côté fermé qui arrive à pleine vitesse. Les défenseurs, s'ils ne se retrouvent pas éliminés, marquent a minima un temps d'arrêt et prennent un retard qu'ils ne peuvent plus combler.
Quelles parades pour les défenses ?

Tous ces avantages réglementaires donnés à l’attaque trouvent donc une concrétisation très claire sur le nombre d’essais et de points inscrits. Les équipes ont réfléchi, travaillé pour s’y adapter et en tirer profit. Pour s’en sortir, les défenses n’ont pas beaucoup de parades. La tendance générale est de presser très fort, une défense presque kamikaze comme a pu l’utiliser l’Afrique du Sud lors de son premier test-match face aux All Blacks, mais vous risquez alors de vous faire prendre dans votre dos par une passe au pied, par exemple (ce qui était justement arrivé aux Springboks). La rush défense, tout le monde l’utilise aujourd’hui, en se disant que ces lancements offensifs nécessitent beaucoup de vitesse et de précision et qu’en imposant une très forte pression, les attaquants vont commettre une faute technique. Cela arrive souvent, car les joueurs à ce niveau ne sont pas tous aussi précis techniquement qu’on pourrait le penser. Mais quand vous tombez sur un grand joueur, il trouve la parade.

L’autre possibilité est de brouiller les cartes. En défense, toutes les équipes cherchent à envoyer une image, quelques faux-indices et quand le jeu se lance, elles changent l’image : elles décalent tous les joueurs de la ligne de deux mètres vers l’extérieur, par exemple. Cela peut créer un effet de surprise, au-delà de l’objectif de ramener l’attaque vers la source, là où il y a une grosse densité de défenseurs. Mais encore une fois, les grands joueurs peuvent trouver la parade. Et il n’y a pas de solution miracle...

[Alligator427]

Après 4 journées on voit des progrès dans le jeu d'attaque notamment grâce à Plummer mais aussi ades attitudes individuelles et collectives, soutiens actifs, souhait de faire vivre la gonflé, etc.

Tout ça est est gâché par des erreurs individuelles récurrentes mais aussi des errements défensifs collectifs, alors qu'on essaie de mettre en place un systeme de défense inversée.

En fait j'ai l'impression qu'on a lancé tous les chantiers en même temps et que l'équipe n'est pas en place pour le moment. Peut-être aurait-il fallu se laisser le temps d'intégrer Plummer et la réforme du jeu d'attaque avant Dr lancer le chantier de la défense, je n'en sais rien.

Toujours est-il qu'avec autant de changement dans le plan de jeu et dans l'effectif cette année, ce n'est pas très étonnant que l'équipe se cherche.

Urios a du taf.

[cocotte 63]

Prendre plus de 30 points à chaque match annihile tous les progrès entrevue dans le jeu de 3/4 ces dernières semaines. Oui Plummer amène plus de variétés, plus de danger dans sa zone, plus de rapidité dans les lancements, MAIS, tu ne peux viser les sommets avec une telle défense, de telles bévues, ces fautes de concentration grotesques !

 

On prend des points trop facilement depuis des années, et je ne vois pas de progrès là dessus, c'est assez dingue en fait !

 

Et je n'aime toujours pas notre jeu pour nos sorties de camp, c'est très (trop) basique et en plus loin d'être récité à la perfection, le jeu au pied des uns et des autres (Jauneau, Bezy, Plummer) est encore trop aléatoire, et je pense aussi, que l'on pourrait amener plus de variétés, car on récite toujours les mêmes lancements, positionnements, etc...il n'y a rien qui peut un tant soit peu surprendre nos adversaires... et à la fin tu redonnes le ballon, et tu reprends la pression, et malheureusement souvent des points.

[Alligator427]

Un des points qui ne me semble pas clair c'est le fait de rendre beaucoup trop le ballon au pied.
J'ai l'impression qu'on se bride offensivement, tout en redonnant le ballon à l'adversaire alors qu'on est fébriles en défense.

Pas logique.

[Toorop]

Un des points qui ne me semble pas clair c'est le fait de rendre beaucoup trop le ballon au pied.
J'ai l'impression qu'on se bride offensivement, tout en redonnant le ballon à l'adversaire alors qu'on est fébriles en défense.

Pas logique.

 

Très net pendant la première mt samedi. Mauvaise gestion de la charnière selon moi, mais je ne connais pas les consignes.

Moins de jeu au pied après la pause (consignes du staff ?).

Clairement, on est pas en place

[l'ours des tavernes]

prendre 30 point n'a aucune forme d'importance si tu est capable d'en mettre entre 25 et 29.

 

on as rarement vu des équipe en fin de championnat être départagé grâce au goal-average particulier.

 

l'objectif a l’extérieur devrait être a minima le points de bonus défensif.

 

comment expliqué que toulouse est transparent a Montpellier et la semaine suivante utilise les castrais comme des plots d'entrainement ?

 

Urios a pour moi du travaille sur la défense et sur la capacité a scorer de l'équipe

 

on sais tous que pour être dans les 6 c'est 13 victoires. l'asm a perdu contre Toulouse il va donc falloir recuperais 1 victoire a l'exterieur 

[jongo]

De ce que je vois depuis 1 an c'est que les matchs de l'ASM sont tous les mêmes, ils sont ceux d'une équipe à réaction.

A la maison on fait généralement le boulot, face à des concurrents c'est serré mais on finit par s'en sortir et d'autres fois les scores sont plus larges à la faveur d'une seconde mi-temps prolifique (baisse de régime des équipes en face qui sont moins bien sur les 30 dernières minutes et qui viennent avec un banc moins profond). Parfois on perd mais c'est à cause de l'arbitre ou de la météo : on trouve souvent ce genre d'excuses.

A l'extérieur, on prend moins les roustes d'il y a quelques temps mais on court après le score, on laisse les autres marquer facilement, les joueurs font de belles boulettes chacun leur tour.

Et on saupoudre tout ça du complot anti-ASM (Canal, l'arbitrage, la commission de discipline, les appels à la vidéo), du syndrome de l'imposteur (club d'une ville ouvrière, avec pas beaucoup de moyens, sans la mer, sans l'océan, sans les millions opaques de mécènes) et de nos historiques défaites encourageantes (le petit poucet qui est à 2 doigts de faire tomber Goliath, le beau jeu non récompensé de victoires) et on obtient notre équipe actuelle.

On est coincé entre audace, initiatives et pragmatisme, réalisme. Et ça transpire dans les performances je trouve.

[Babé03]

Plaquages, temps de jeu, nouveau système... Décryptage des problèmes défensifs de l'ASM Clermont La défense est le mal de l’ASM Clermont depuis le début de saison. Diagnostic des choses à régler impérativement avant de recevoir Montauban, ce samedi (16 h 35), au Michelin.

Point positif, la défaite face au Racing n’a pas nécessité des heures et des heures de visionnage. En début de semaine, les joueurs ont été mis face à leurs erreurs. Des scories manifestes qui ont incontestablement coûté la rencontre sur le synthétique de Nanterre (43-31).

« Nous avons bien conscience qu’aujourd’hui, nous donnons trop de points aux équipes adverses pour gagner les matchs, abonde l’entraîneur de la défense, Julien Laïrle. Il faut qu’il y ait une prise de conscience du groupe et du staff. Elle doit être surtout individuelle. S’il faut mettre 50 points pour gagner, ce ne sera pas possible. »

Avec 34,5 points encaissés par match et 4,25 essais concédés, Clermont fait clairement figure de cancre. Seul le promu montalbanais fait pire. Diagnostic d’un mal récurrent depuis le début de saison.

Trop de plaquages manqués

Lorsque l’on évoque la porosité clermontoise, Julien Laïrle pointe quasi immédiatement les plaquages ratés par ses joueurs.

« Quand tu fais des matchs à 75 % de plaquages réussis, voire 80 %, ce n’est pas acceptable. En Top 14, si l’on regarde bien, les grandes équipes tournent entre 88 et 90 % de plaquages réussis. Aujourd’hui, ce ratio est beaucoup trop faible. »

Lors des quatre premiers matchs, l’ASM affiche un taux moyen de 82 % de plaquages réussis. Si l’on compare avec les équipes du haut de tableau, la performance défensive auvergnate est bien en deçà. Les données des six premiers du classement sont éloquentes, surtout concernant le podium : Toulouse 89 %, Pau 90 %, Lyon 88 %, Racing 85 %, Bayonne 85 % et La Rochelle 85 %.

Pour viser plus haut, les Clermontois doivent absolument progresser dans ce domaine. Le staff a augmenté la charge de travail en début de semaine en intégrant davantage de phases techniques individuelles autour des collisions. « On travaille à haute intensité en essayant de mettre les joueurs sous pression, sous fatigue, pour reproduire les conditions d’un match. C’est là où on doit progresser », explique Julien Laïrle.

Comment l’ASM concède des essais ?

C’est la première chose qui vient à l’esprit du staff. Là aussi, les statistiques sont parlantes : sur 17 essais concédés en quatre matchs, 12 l’ont été sur le premier temps de jeu. On pense en premier lieu à celui de Nathan Hugues le week-end dernier, où le deuxième ligne francilien a profité de la réception manquée par Folau Fainga’a pour aller derrière la ligne.

« Il n’y a pas tellement d’énergie dépensée, ironise Julien Laïrle. Les Racingmen jouent une pénalité à 5 mètres de la ligne, ils marquent. Ils font une passe, ils marquent. Un coup d’envoi récupéré, ils marquent… Je n’ai pas énormément de séquences où l’on encaisse des essais à plus de cinq temps de jeu. C’est juste une question d’être focus sur les instants importants du match. Être concentré, être en maîtrise à l’instant T. »

Un nouveau système perturbant ?

En début de saison, les Clermontois ont travaillé un nouveau système défensif basé sur la "rush défense", avec des montées rapides et rectilignes, et surtout des plaquages hyper agressifs. Comme écrit plus haut, cela n’est pour l’heure pas suffisant. Les joueurs sont-ils gênés par cette nouveauté ? Pas le moins du monde, assure Kylan Hamdaoui. « On a changé de système défensif. Cela nous correspond mieux et on s’y plaît. Il y a encore quelques réglages à faire bien évidemment. Mais je pense que le week-end dernier ce n’était pas un problème de système défensif. C’était surtout un problème d’engagement dans les un contre un, et de volonté d’être plus agressif que l’adversaire. »

« Nous avons beaucoup d’échanges avec les joueurs, abonde Julien Laïrle. Et je les sens beaucoup plus réceptifs à ce nouveau système. Je le répète, quand tu prends quatre essais à zéro ruck contre le Racing, c’est compliqué… Ce qui me dérange, c’est que si le système est agréable pour tous, il faut que cela se ressente sur les plaquages. Et aujourd’hui, ce n’est pas le cas. »

[Alligator427]

Intéressant mais j'aimerais bien qu'on nous explique pourquoi on veut mette en place une défense inversée.
Sauf erreur on n'était pas si mauvais en défense les 2 saisons précédentes mêmesil y avait deja des essais casquettes. C'était plutôt en attaque qu'on était à pleurer

Je ne vais pas râler sur le fait qu'on cherche à améliorer nos systèmes de jeu, pour une fois que le staff en parle, mais vu de l'extérieur on chamboule tout en très peu de temps + beaucoup de nouveaux joueurs, normal que l'intersaison n'ait pas suffit à mettre tout ça en place.

Je pense qu'on va galérer un moment et j'espère que le staff sait ce qu'il fait.