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le projet de jeu, les combines, rien que le jeu !


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153 réponses à ce sujet

#151 Vynce

Vynce

    faux supporter

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Posté 01 octobre 2025 - 04:08

Ce qui est important c'est que le projet de jeu semble avoir l'adhésion des joueurs et que le staff est prêt à évoluer et ne campe pas sûr des certitudes. Il faudra certainement du temps pour que l'on soit parfaitement en place et ça pourrait bien coûter les 6 premières places mais on semble enfin construire sur du solide.

#152 Alligator427

Alligator427

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Posté 01 octobre 2025 - 09:46

On essaie de construire, pour la solidité on jugera sur pièce à la fin de la saison.

#153 sly86

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Posté 02 octobre 2025 - 11:07

Intéressant mais j'aimerais bien qu'on nous explique pourquoi on veut mette en place une défense inversée.
Sauf erreur on n'était pas si mauvais en défense les 2 saisons précédentes mêmesil y avait deja des essais casquettes. C'était plutôt en attaque qu'on était à pleurer

Je ne vais pas râler sur le fait qu'on cherche à améliorer nos systèmes de jeu, pour une fois que le staff en parle, mais vu de l'extérieur on chamboule tout en très peu de temps + beaucoup de nouveaux joueurs, normal que l'intersaison n'ait pas suffit à mettre tout ça en place.

Je pense qu'on va galérer un moment et j'espère que le staff sait ce qu'il fait.

Mais car il n’y a plus de vrait jeu d’attaque efficace en top 14, mais du jeu de contre attaque.

et que nos difficultés d’attaque découlait de notre défense trop en contrôle et qui n’offrait pas de situation ou on récupérai le ballon avec une équipe adverse pas en position.

la on met en place une défense ou l’adversaire doit soit nous rendre le ballon au pied sous pression, soit on lui gratte le ballon, et ou les qualités d’un jauneau doivent s’exprimer pour Brecher l’adversaire.

seulement le joueur clef recruter pour cela, loaloa, n’a pas pu s’intégrer car blesser, alors il faudra encore un peut de patience pour voire cela.



#154 el landeno

el landeno

    Champion d'Europe

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Posté 04 octobre 2025 - 13:30

« Le coaching est devenu grotesque dans le Championnat français » : des entraîneurs du Top 14 critiquent l'utilisation du banc
Pas convaincus par la spécificité française d'autoriser 12 remplacements, des techniciens du Top 14 plaident pour une modification des règles d'utilisation du banc.

L'enjeu sportif de la demi-finale de Coupe des champions à venir était tellement fort, ce jour-là, que personne n'avait songé à rebondir sur la petite phrase lâchée par Ugo Mola dans la salle de conférence de presse du Stade Atlantique de Bordeaux. « Le banc est devenu quelque chose de stratégique dans le rugby moderne, avait lancé le coach de Toulouse, à la veille d'affronter l'UBB. Je suis un fervent militant de faire évoluer les règles pour avoir un peu plus de ressources sur le banc, mais moins d'entrants. Je pense qu'on finira par arriver, un peu comme au foot, avec un parterre de remplaçants, et stratégiquement, en fonction des besoins, un nombre de changements qui pourra évoluer. »

 
 

Le contexte pouvait se prêter à la remarque : Toulouse allait disputer un match dans une compétition qui, comme au niveau international, autorise huit changements, avec, bien entendu, les petits alinéas pour les cas spécifiques dont le rugby est si friand (notamment pour les joueurs de première ligne), quand, d'ordinaire, en Championnat, il pouvait, avec ses huit remplaçants, effectuer quatre retours au jeu, donc douze changements.

Le Top 14 a adopté cette spécificité au lancement de la saison 2018-2019, suivant une préconisation de l'Observatoire médical du rugby pour améliorer la prévention et la prise en charge des blessures. World Rugby avait alors accordé aux Championnats français une dérogation pour cette expérimentation, qui, depuis, a été reconduite chaque année. Mais qui ne semble plus satisfaire les techniciens de l'élite française.

« Théoriquement, quand le joueur re-rentre, il devrait y avoir une blessure... mais il n'y en a jamais. Ce sont des changements pour raisons techniques, physiques ou athlétiques, pas de blessure »

Yannick Bru, entraîneur de l'UBB

 
 
 
 
 

« Le coaching est devenu grotesque dans le Championnat français, s'emporte Mola. Tu es quasiment à 14 retours en jeu qui n'ont plus besoin d'être signifiés comme blessure. L'impact psychologique et physique n'a plus lieu. L'effet tactique et stratégique des coaches non plus. Tu arrives à compenser les faiblesses que tu rencontres grâce aux retours en jeu. » Le coach des champions de France pointe là un souci apparu dès les premières semaines de la mise en place de la règle : la justification médicale pour ces remplacements supplémentaires a très vite été contournée par les staffs techniques.

 

« Tu joues avec la règle, destinée à protéger des blessures : tout le monde sait qu'on fait des retours au jeu pour préserver l'énergie des joueurs, se prémunir de la fatigue, abonde Yannick Bru. Théoriquement, quand le joueur re-rentre, il devrait y avoir une blessure... mais il n'y en a jamais. Ce sont des changements pour raisons techniques, physiques ou athlétiques, pas de blessure. »

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Karim Ghezal à l'entraînement avec les joueurs du LOU. (P. Lahalle/L'Équipe)

L'entraîneur de Bordeaux relève une difficulté supplémentaire induite par cette spécificité : la gymnastique qu'elle cause quand les clubs français disputent la Coupe des champions et le Challenge. « À chaque fois qu'on a un match de Coupe d'Europe ou de Top 14, on doit s'entraîner différemment », confirme Karim Ghezal, au LOU. Pour ceux qui fréquentent les sélections, le problème est le même : au niveau international, les pensionnaires des Championnats pros français peuvent connaître des soucis physiques de réadaptation, eux qui ont l'habitude d'être plus gérés au cours d'un match de club.

Pour Sébastien Piqueronies, ce système Top 14 « ne correspond plus à l'essence de ce jeu, qui est un sport de combat collectif, où, au-delà de la stratégie, il doit y avoir un phénomène de résistance ou d'usure physique qu'il ne faut pas dévaluer. Récompenser le plus fort, le plus endurant et le plus résistant, c'est se rapprocher du rugby ». Si le Palois semble pencher pour un retour au banc classique, certains de ses collègues ont d'autres propositions à faire. « Est-ce qu'on ne pourrait pas augmenter le nombre de joueurs sur les feuilles de match ? Jusqu'à 25 ou 26, plaide Mola. Et d'avoir toujours 8 remplaçants. En fonction des matches, en fonction de la compo adverse, tu pourrais retrouver de l'impact. »

Pas assez de place dans les vestiaires ?

L'idée fait aussi son bout de chemin via Tech XV, l'association des entraîneurs français. « Pourquoi ne pas faire comme au football ? propose son président, Didier Nourault. Toutes les équipes se préparent à 30 joueurs. L'idée, c'est d'avoir 27 ou 28 joueurs sur une feuille de match et continuer à avoir 8 remplacements. Il y a plein d'avantages : on pourrait faire un remplacement poste pour poste. La qualité du jeu resterait la même. »

« Pourquoi pas ? Comme le coaching revêt une dimension tactique cruciale, avoir plus de joueurs à disposition, ça va dans le bon sens. Et peut-être que ça protège mieux les joueurs : tu les fais évoluer à leur poste. Je demande à voir avec l'application, mais ça mérite la réflexion », approuve Bru. Avant de s'interroger, dans un sourire : « Ça générerait peut-être un problème logistique tout bête : il y a pas mal de vestiaires du Championnat où tu aurais du mal à débarquer à 27-28 au lieu de 23 ! »






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