Les chars d'assaut devant pour ouvrir la voie aux fantassins !
Oui mais quand les 3/4 jouent aussi comme des tanks ...
Posted 26 March 2025 - 14:23 PM
Les chars d'assaut devant pour ouvrir la voie aux fantassins !
Oui mais quand les 3/4 jouent aussi comme des tanks ...
Posted 27 March 2025 - 18:24 PM
Oui mais quand les 3/4 jouent aussi comme des tanks ...
ou des vélociraptors...
étonnant que ce topic, sans aucune utilité ni aucun lien avec ce club, subsiste encore ici...
c'est très vrai on pas de combinaisons , de jeu que l'on cherche encore a percevoir, oui rien a faire là...
Posted 27 March 2025 - 19:47 PM
Posted 27 March 2025 - 20:26 PM
Le prochain AsM LR promet peut être, un déluge de jeu comme ces deux équipes l'affectionnent. Attendons samedi pour fermer.Bon , on ferme ?
Et on re ouvre dici trois ans histoire de voir.
Posted 05 May 2025 - 19:21 PM
Un article partagé par Rugbyasm77 :
https://www.francebl...n-porte-6182343
---
L'ASM Clermont est le club le plus efficace des quatre grands championnats sur ballon porté selon le site de données Opta Analyst. Les Clermontois sont à la fois l'équipe qui parcourt le plus de mètres par match mais aussi une des équipes qui marque le plus d'essais par match sur ballon porté.
C'est un des gros point fort de l'ASM et ce n'est pas qu'une impression. Les ballons portés sont bien une arme fatale pour les Clermontois. Selon le site d'analyse de données Opta Analyst, Clermont est l'équipe la plus efficace sur ballon porté des quatre grands championnats (Top 14, Premiership, URC et Super Rugby Pacific) cette saison.
Des 51 équipes, l'ASM est celle qui parcourt le plus de mètres par match en maul, avec 22,4 m. Une statistique qui place Clermont juste devant le Stade Français, les Sale Sharks et le Stade Toulousain. Mais surtout, ces ballons portés se transforment en essai. En moyenne depuis le début de la saison, l'ASM marque 0,67 essai par match sur maul, ce qui en fait la deuxième meilleure équipe derrière les Australiens de la Western Force (0,89 essai par match). Encore une fois Clermont est plus efficace que les Sale Sharks et le Stade Toulousain.
Une arme à double tranchant
Cela se vérifie d'ailleurs quand on regarde les meilleurs marqueurs d'essais du club. Le talonneur Barnabé Massa est le deuxième meilleur marqueur du club avec 8 essais cette saison. Ses coéquipiers au poste Folau Fainga'a (6 essais) et Etienne Fourcade (4 essais) ne sont pas en reste. Certains matchs comme la réception du Castres Olympique le 30 novembre dernier en ont été le meilleur exemple, avec quatre essais marqués sur maul.
Mais cette arme s'est parfois retournée contre Clermont, comme lors de la réception du Racing 92 en mars. Malgré un essai de Folau Fainga'a après un groupé pénétrant, l'équipe a multiplié les échecs dans ce secteur de jeu alors que prendre les points sur pénalité aurait probablement permis de sécuriser une victoire. Un défaut depuis corrigé sur les dernières rencontres de l'ASM. En cette fin de saison les adversaires de l'ASM défendent de mieux en mieux les ballons portés clermontois, prévenus de l'efficacité du club. Mais ces statistiques montrent que ce secteur de jeu reste le gros point fort des Jaune et Bleu.
Posted 05 May 2025 - 19:24 PM
Posted 06 May 2025 - 13:32 PM
Posted 06 May 2025 - 13:47 PM
Pour ma part, je trouve que l'on arrive pas a bien gérer la verticalité et que l'on attaque trop souvent avec une seule ligne. Et pourtant techniquement cela ne demande pas de grande qualité mais cela permet d'avoir des choix de jeux adaptés à la défense adverse et favoriser le jeu sur les extérieurs quand il est favorable.
Sur le premier temps de jeu vu qu'il faut qu'on prenne l'axe du terrain (dixit le chef) ça peut se comprendre.... Par contre sur les relances de jeu ensuite il est vrai qu'on est nuls sur le jeu dans le dos ou les cellules de joueurs ..pourtant ça doit pouvoir se travailler.
Posted 06 May 2025 - 13:48 PM
Est-ce que les performances et surtout le jeu de Northampton et de l'UBB peuvent influer/infuser sur notre propre rugby ???
En plus une telle qualité de rugby pour presque deux fois moins de sous dépensés en salaire (max 6.4 millions de livres de masse salariale) ...du côté des anglais... ça laisse pantois?!
Posted 06 May 2025 - 15:10 PM
Est-ce que les performances et surtout le jeu de Northampton et de l'UBB peuvent influer/infuser sur notre propre rugby ???
En plus une telle qualité de rugby pour presque deux fois de sous dépensés en salaire (max 6.4 millions de livres de masse salariale) ...du côté des anglais... ça laisse pantois?!
On a quand même eu des 1/2 et une finale de très haute volée, avec de l'affrontement dédié à la création d'espaces et de jeu. Ca faisait longtemps qu'on n'avait pas eu cette qualité globale sur les 3 matchs de phase finale. Et les 1/4 avaient aussi été à la hauteur en termes de jeu. Je trouve ça intéressant de façon globale, car le jeu est séduisant. Et en effet le rugby anglais a beaucoup de talents et n'a pas besoin de stars étrangères pour jouer un beau rugby. 4 non-anglais dans les 15, 5 au total sur la feuille.
Posted 06 May 2025 - 15:14 PM
et les joueurs peuvent pratiquer un excellent rugby tout en gagnant 150/200 ke par an...
des idées, de la vitesse, beaucoup de vitesse, du collectif, et le respect des basiques...et un excellent jeu au pied !
Posted 22 May 2025 - 06:09 AM
Selon Noel McNamara, une équipe a 15 ou 20 secondes pour bonifier un ballon de contre-attaque. Golf, basket, foot, rugby à XIII… L’entraîneur de l’attaque de l’UBB évoque les sources d’inspiration qui ont contribué à faire de l’UBB une équipe redoutable en la matière
Vous l’avez déclaré avant la demi-finale face à Toulouse, une équipe a 15 ou 20 secondes pour exploiter un ballon perdu par l’adversaire. Comment préparez-vous vos joueurs à le faire ?
Dans le jeu, il y a les moments d’organisation offensive, les moments d’organisation défensive et le moment où tu es entre les deux. Ces 15 ou 20 secondes existent parce qu’une équipe qui tient le ballon, avant de le perdre, est dans son système d’attaque. C’est pour ça que l’Afrique du Sud a l’habitude de dire que son attaque doit « parler » avec sa défense, ou que la défense doit « parler » avec son kicking game : c’est plus facile pour eux de retrouver leur système lorsqu’ils passent d’une phase d’attaque à une phase de défense. Je dis souvent qu’il faut la compétence, les structures et l’état d’esprit en attaque. Il est clair que nous avons beaucoup de compétences. Il faut donc créer l’envie de jouer dans ces moments. Ça se fait grâce aux structures et aux principes de jeu.
Quels sont ces principes justement ?
Ils sont simples. En premier lieu, il faut réagir : un ballon perdu, il faut d’abord être capable de le gagner. Ensuite, tout le monde doit trouver la bonne profondeur : il faut être « vivant » des deux côtés du ballon. Enfin, il faut chercher l’espace. On a la capacité de jouer dans la défense, à l’extérieur ou au-dessus. Il n’y a pas de secret : il faut être toujours en vie, scanner ce qu’on a en face de soi, communiquer. Après, il faut aussi avoir la capacité de lire le langage corporel des uns et des autres. Chaque entraînement en donne l’opportunité. Dans le vocabulaire du golf, il y a un concept qui s’appelle le Mulligan : si tu fais une erreur, tu peux retenter un coup. Au rugby, ça n’existe pas. Donc même si tu fais un mauvais choix, il faut le jouer à fond.
« La vitesse est plus importante que les structures dans ces 15 secondes »
Quelles structures imaginez-vous pour mettre en place ces principes ?
C’est vraiment une question d’état d’esprit. La vitesse est plus importante que les structures dans ces 15 secondes. En anglais, il y a une petite phrase, c’est « speed over shape » (NDLR, la vitesse plutôt que la forme). Il faut aller vite pour jouer le meilleur espace. De toute façon, si on parvient à créer du désordre, ça sera plus difficile pour la défense adverse de retrouver sa structure. À l’issue des 15 secondes, on va nous aussi essayer de remettre en place nos structures de jeu.
Fixez-vous les mêmes missions à des joueurs tels que Romain Buros, Louis Bielle-Biarrey ou Damian Penaud ?
La seule consigne, c’est de jouer sur nos points forts. C’est d’ailleurs l’un de nos principes : agrandir nos points forts, réduire nos points faibles. Contre le Stade Français (19-46, en janvier), par exemple, Romain (Buros) a pris un ballon haut - c’est une opportunité de désordre - qu’il a ensuite donné à Maxime Lamothe. Ce dernier a servi Louis Bielle-Biarrey qui a décidé de taper au pied (NDLR, il a marqué à l’issue de l’action). Mais s’il a fait ça, c’est parce qu’il avait identifié que l’espace était à cet endroit-là ! Gary Player (NDLR, un golfeur sud-africain considéré comme l’un des grands de son sport) a dit : « the harder i practice the luckier i get » (NDLR, plus je m’entraîne, plus j’ai de chance). C’est notre deuxième saison ensemble, on a plus de solutions et de facilité pour se comprendre.
L’essai marqué par Pete Samu en demi-finale face à Toulouse, après une perte de balle de Meafou et une contre-attaque de Matthieu Jalibert, ne constitue-t-il pas l’exemple parfait de vos principes ?
C’est un bon exemple. Mais si on regarde bien cette action, après la perte de balle de Meafou, c’est Mahamadou Diaby qui fait la première passe à Nicolas Depoortere qui a ensuite réussi à trouver Matthieu d’une belle passe. Matthieu a regardé ce qu’il y avait en face de lui, il y avait deux de leurs joueurs du cinq de devant. Dans cette action, il n’y a pas de structure. C’est juste la vitesse qui fait la différence : Pete a su lire la course de Matthieu.
« Le meilleur exemple du concept des moments de transition, c’est le basket à mes yeux »
Quelles sont vos sources d’inspiration dans la construction de vos systèmes ?
La première, ce sont les joueurs. L’inspiration, après, c’est partout. Le meilleur exemple du concept des moments de transition, c’est le basket à mes yeux. C’est à ce moment où les équipes sont les plus faibles dans ce sport. C’est adapté au foot également. Il y a ce que fait Pep Guardiola (NDLR, le manager de Manchester City) aujourd’hui, mais aussi avant au Bayern. Bien avant cela, il y avait ce que faisait Alex Ferguson à Manchester United. Il y a un bon exemple avec un but marqué contre Arsenal, en demi-finale de la Ligue des champions, par Cristiano Ronaldo après une contre-attaque avec Ji-sung Park et Wayne Rooney (NDLR, l’action était partie de la surface de réparation adverse). Je regarde aussi beaucoup de rugby à XIII. On s’est beaucoup inspiré des défenses, mais on n’a pas encore assez cherché les clés qu’ils utilisent pour les déjouer. Mais le Top 14 est dur et long. C’est difficile d’introduire de nouvelles idées. Or le succès est une cible mobile.
Posted 16 June 2025 - 18:38 PM
0 members, 1 guests, 0 anonymous users