218 replies to this topic

[Lavande50]

C'etait pas Mey ou Meermans l'histoire de la cheville ?

 

C'était un joueur qu'on voyait jouer des matchs de Top 14, donc...

Mais il me semble vraiment que c'était Tiberghien, et comme on avait à l'époque (plein) d'autres solutions pour buter, on a un peu oublié cette faculté-là.

[lecoon]

LR qui passe par un trou de souris....

[Underscore]

LR qui passe par un trou de souris....

Avec Jégou qui marque ne plus... ça le connait !

[Lavande50]

C'etait pas Mey ou Meermans l'histoire de la cheville ?

 

 

C'était un joueur qu'on voyait jouer des matchs de Top 14, donc...

Mais il me semble vraiment que c'était Tiberghien, et comme on avait à l'époque (plein) d'autres solutions pour buter, on a un peu oublié cette faculté-là.

 

J'ai retrouvé cette interview d'octobre 2023, en fait c'était des blessures au genou : https://www.rugbyram...er-11552923.php

 

Rugbyrama : Butez-vous toujours ?

C. Tiberghien : Oui, je m’entraîne un petit peu. J’avais lâché ça après mes deux opérations du genou. À Clermont, il y avait cinq ou six buteurs de grande classe devant moi. En revenant à Bayonne, “Ged” (Fraser, NDLR) m’a demandé de reprendre l'entraînement.

 

[Ulysse63]

 
Il y a 2 semaines lors du 8ème de Challenge c'était déjà lui qui butait.
 
Mais est-ce que ce n'est pas lui qui s'était blessé à la cheville quand on l'a incorporé chez les grands et qu'il se plaignait de douleurs lorsqu'il voulait retrouver son long jeu au pied (et que c'était l'une des raisons qui l'avaient poussé à mettre de côté le but) ? 

Dommage car il nous aurait fait des "Antony Floch" plus d'une fois.

Envoyé de mon 21081111RG en utilisant Tapatalk

[tekilapaf]

 
 
J'ai retrouvé cette interview d'octobre 2023, en fait c'était des blessures au genou : https://www.rugbyram...er-11552923.php
 
Rugbyrama : Butez-vous toujours ?
C. Tiberghien : Oui, je mentraîne un petit peu. Javais lâché ça après mes deux opérations du genou. À Clermont, il y avait cinq ou six buteurs de grande classe devant moi. En revenant à Bayonne, Ged (Fraser, NDLR) ma demandé de reprendre l'entraînement.
 

5 ou 6 buteurs de grande classe?

[Lavande50]

5 ou 6 buteurs de grande classe?

 

Quand il a démarré chez les pros, on avait (attention pincements au coeur) : Parra, Laidlaw, Lopez, McIntyre... J'en oublie peut-être. 

[clum63_]

 

Quand il a démarré chez les pros, on avait (attention pincements au coeur) : Parra, Laidlaw, Lopez, McIntyre... J'en oublie peut-être. 

 

Donc 2 de grande classe

[ZACH]

J’ai fait une simulation, qui se base sur la logique sportive et surtout l’avantage terrain.

ASM prend 14  points à domicile et 1 points au CO.

A la fin de la J25 Clermont ( 6 eme avec 59 points) serait à la lutte avec LR et CO pour la qualification:

- ASM ( 6 eme    59 points) 

- LR    ( 7 eme     57 points)

- CO   ( 5 eme    61 points)

 

Programme J26:

MHR  ASM

Pau  LR

SF CO

 

Comptablement on devrait finir 6 eme voir 5 eme si on gagne à Montpellier 

Vivre d’espoir ne s’arrête jamais 

[Milian]

J’ai fait une simulation, qui se base sur la logique sportive et surtout l’avantage terrain.

ASM prend 14  points à domicile et 1 points au CO.

A la fin de la J25 Clermont ( 6 eme avec 59 points) serait à la lutte avec LR et CO pour la qualification:

- ASM ( 6 eme    59 points) 

- LR    ( 7 eme     57 points)

- CO   ( 5 eme    61 points)

 

Programme J26:

MHR  ASM

Pau  LR

SF CO

 

Comptablement on devrait finir 6 eme voir 5 eme si on gagne à Montpellier 

Vivre d’espoir ne s’arrête jamais 

ah ouais 2 Bo à domicile et un bd.
Bon y'a plus qu'à...

[tekilapaf]

La simulation de Le Garrec à perpi...

Ça mérite jaune une mascarade comme ça.

[el landeno]

Stade Français-Stade Toulousain : le Clasico a perdu de sa saveur La 21e journée se referme dimanche (21h15) sur l'affrontement entre la capitale et le Capitole, rivalité relancée en 1998 et qui trouva son acmé en 2005 au Stade de France pour un match record. Vingt ans après, le Clasico est moins glamour.

Pas de karaoké géant, ni d'animaux en laisse ou de démonstrations acrobatiques. « Il y aura un spectacle traditionnel d'avant-match. L'affiche se suffit à elle-même, assure l'ancien centre international Thomas Lombard, directeur général du Stade Français. On n'a pas besoin d'annoncer le Clasico : un match contre le Stade Toulousain, c'est l'assurance de remplir le stade. » À guichets fermés, 19 800 spectateurs sont attendus. Mais ce prime time qui referme la 21e journée est loin de concurrencer l'événement qui fit basculer, le 15 octobre 2005, le rugby français dans une nouvelle ère à l'initiative d'un homme, Max Guazzini, président du club parisien et du directoire du groupe NRJ.

 

 

« Durant ces années 2000, dans l'imaginaire du Sud-Ouest, ce qui se passait à Paris autour de Max était intrigant, se souvient le demi de mêlée Jérôme Fillol, passé par la Ville rose avant de porter le maillot fuchsia entre 2002 et 2015. En 1999, pour recevoir Paris en quarts de finale (51-19), notre capitaine Émile Ntamack avait eu des mots très durs, qui ne sortaient pas habituellement de sa bouche, pour parler des Parisiens et nous motiver. » Le Stadium est noyé sous les fumigènes. « C'est le match le plus intense et le plus abouti que j'ai joué avec le Stade Toulousain », se souvient papa Ntamack.

« C'est en cassant leur hégémonie qu'on a fait d'eux nos meilleurs ennemis »

Sylvain Marconnet, ancien pilier du Stade Français

 

 

 

Un an plus tôt, à Brive en demi-finales, les Toulousains ont été éparpillés (39-3) par la constellation du Stade Français (Simon, Moscato, Marconnet, Roumat, Auradou, M. Lièvremont, Dominguez, Dominici...), électrisée par la férule de son coach, l'incontrôlable Bernard Laporte. L'antagonisme entre les deux clubs remonte à ce 9 mai 1998. D'autant que les Parisiens, dans la foulée, iront décrocher contre l'Usap le bouclier de Brennus au Stade de France (34-7), le premier de l'ère pro dans l'enceinte dionysienne nouvellement inaugurée. Les Toulousains sont détrônés.

« C'est en cassant leur hégémonie qu'on a fait d'eux nos meilleurs ennemis, analyse Sylvain Marconnet, l'ancien pilier parisien (1997-2010). Forcément, une rivalité s'est instaurée. Mais, entre joueurs, il n'y avait pas d'animosité, on était même plutôt potes. Au moment de se mettre des "bouffes", on les appuyait moins (rires). »

 

 

 

En 2005, Stade Français-Toulouse avait donné lieu au Stade de France, devant 79 502 spectateurs, à un véritable show en avant-match. (P. Rondeau/L'Équipe)

Entre présidents (Guazzini et Bouscatel), en revanche, les fleurets ne sont pas mouchetés. La presse, gourmande, relaie leurs répliques : « mercenaires à paillettes » dit l'un, « mangeurs de magret » réplique l'autre. 2005, année charnière : à Édimbourg, en finale de Coupe d'Europe, le Stade Français mène 12-9, mais Frédéric Michalak frappe trois fois, avant et pendant la prolongation. Toulouse l'emporte, 18-12. Douze jours plus tard, en demi-finales du Top 16 à Bordeaux, Jérôme Fillol cueille d'une cuillère Florian Fritz lancé vers l'essai de la victoire à trois minutes de la fin. Succès parisien, 23-18.

Guazzini, ses idées, ses paillettes séduisent du monde

Le vétuste stade Jean-Bouin n'est plus adapté à ses ambitions. « J'étais ami avec le président du PSG, Francis Graille, précise Guazzini. Et on a organisé notre quart de finale de Coupe d'Europe contre Newcastle au Parc des Princes. » Places à cinq et à dix euros. 48 000 spectateurs assistent, ce 1er avril 2005, à la victoire parisienne (48-8) face au club de Jonny Wilkinson. Bis repetita devant Biarritz en demi-finales (victoire, 20-17). Dans la foulée, une troisième délocalisation permet d'affronter Toulouse en Top 16 (victoire, 40-19). « On avait rempli trois fois le Parc en avril et ça a interpellé tout le monde », se souvient Guazzini.

11

Le Stade Français a remporté 11 de ses 20 derniers matches contre Toulouse en Top 14 (8 défaites, 1 nul).

Mais le nouveau président du PSG, Pierre Blayau, ne veut pas de rugby sur sa pelouse. Guazzini tente alors un coup de folie : jouer au Stade de France. Même si Guy Novès, « pour gâcher la fête parisienne », dixit son capitaine Jean Bouilhou, aligne une équipe allégée (huit changements, Bru et Jauzion remplaçants), le pari est gagné. 79 502 spectateurs restent encore aujourd'hui le record pour un match de phase régulière de Championnat de France.

Parti de Troisième Division en 1993, le Stade Français a gravi une marche chaque saison jusqu'au titre de 1998. « De zéro spectateur au stade des Fontaines (à Meudon, Hauts-de-Seine), nous voilà à 80 000 au Stade de France... », précise Guazzini, comblé. « C'est une affaire médiatique et de storytelling. Max et (René) Bouscatel avaient surjoué pour monter l'événement, parce que le Championnat avait besoin d'un rendez-vous récurrent, comme peut l'être un Marseille-PSG », analyse Sylvain Marconnet. D'où la référence footballistique du Clasico, le sommet de la Liga entre le Barça et le Real Madrid, mentionnée dans L'Équipe du 15 octobre 2005.

lire aussiJelonch court après le temps perdu

Guazzini annonce une deuxième délocalisation au Stade de France pour le printemps 2006 à l'occasion de la venue du Biarritz Olympique. « C'est là où j'ai scénarisé l'arrivée du ballon, sur un char romain au son de Carmen », sourit-il. Tigres, taureaux, lions, éléphant, chameaux : le bestiaire parisien n'en finira pas de rugir. « Sous ma présidence, on a disputé vingt matches au Stade de France. J'ai calculé, ça fait 1,4 million de spectateurs. » Guazzini sait compter. Mais un recrutement XXL, un budget pharaonique et des idées marketing (pom-pom girls, calendrier dénudé, places bon marché, tee télécommandé, feux d'artifice, démonstrations acrobatiques, etc.) ne peuvent empêcher la dégringolade d'un Stade Français à court de cash. « À partir de 2009, quand nous sommes devenus moins compétitifs, le Clasico a perdu de son lustre », souligne l'ailier Julien Arias. En 2011, Guazzini démissionne de ses fonctions. Au bord de la banqueroute, le club parisien, repris par Thomas Savare, rejoindra en 2017 le giron du multimillionnaire suisse-allemand Hans-Peter Wild.

« Le Clasico a perdu de sa saveur, constate Sylvain Marconnet. Mais ça reste le match qu'il faut gagner, dans un Jean-Bouin qui sera comble. Ne serait-ce que pour montrer que le club peut encore rivaliser avec le champion de France et d'Europe. » Cette saison, le match aller (38-23) était l'affiche du Boxing Day. En retour, le Stade Français (12e du Top 14) ne mettra pas les petits plats dans les grands. « Nous sommes dans l'urgence de résultats. On n'est pas là pour célébrer quoi que ce soit, lâche Thomas Lombard. On essaye plutôt d'aborder ce match avec le plus de sérénité possible et un focus sportif. »

Les Toulousains, eux, continuent de dominer le rugby français, qualifiés en demi-finales de Coupe des champions et leaders du Top 14. « Aujourd'hui, la jeune génération ne vit pas le Clasico comme ce fut le cas pour nous, ce n'est pas le même environnement, conclut l'entraîneur Jean Bouilhou. Il y aura de la rivalité, bien sûr mais, par rapport à mes souvenirs d'il y a vingt ans, ça n'a rien à voir... »

[frednirom]

je suis sur le match sf st et je viens de voir que le st n'avait que 4 blessés à l'infirmerie... zont tout pour eux.

[PPR]

je suis sur le match sf st et je viens de voir que le st n'avait que 4 blessés à l'infirmerie... zont tout pour eux.

ouais mais ya super Toto, ça compte pour 15

[pims]

encore un qui se rappellera pas de son match