322 réponses à ce sujet

[Ptolémée]

On fait 5 points à chaque match Épicétout.
Et si on arrive à faire gamelle à Castres et au MHR, on leur enlève un point chacun.
A nous les barrages.

 

çà en fait des si ..

[Ulysse63]

On fait 5 points à chaque match Épicétout.
Et si on arrive à faire gamelle à Castres et au MHR, on leur enlève un point chacun.
A nous les barrages.

J'y croive

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[Underscore]

Oh non, faudrait pas que les charentais marquent le bonus offensif

[tekilapaf]

La Rochelle va finir par faire BO. On les remontera pas.

Yapluka gagner à Castres.

[Codorplusàvie]

 
çà en fait des si ..

La gamelle, c'est dans la tête.

[Pilou]

La Rochelle et l'arbitrage...

[Codorplusàvie]

J'y croive

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Alors je te mets sur la feuille de match.

[tekilapaf]

Ils ont complètement lâché le morceau le MHR.

Ils font même rentrer Chalureau, c'est dire.

[gregouarrrr]

Eh ben mes cadets, ça va être compliqué d'aller chercher des points à Montpellier...

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tu crois qu ils vont etre champions ?  

[Pilou]

Le troisième essai rochelais n'est clairement pas valable, avec Skelton qui fait écran.

On a perdu un bo contre Bordeaux pour moins que ça.

Entre les scandales des cartons rouges oubliés contre nous et Toulouse, ça fait quand même beaucoup de décisions très litigieuses en leur faveur. Et au final dans un championnat aussi serré, ça vaut cher.

[Ulysse63]

Alors je te mets sur la feuille de match.

Ça marche.
Remplaçant de Jauneau stp.

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[RUGBY93]

Incroyable, Canal qui ne montre aucun bon ralenti (celui du direct) pour voir si Leyds n'est pas hors jeu sur le petit coup de pied de Hastoy ...

[Pilou]

Pau regarde vers le haut dans le sprint final du Top 14 Victorieuse de Toulon (25-21) samedi après-midi au Hameau, la Section paloise, neuvième au classement, peut encore viser une sixième place qualificative pour la phase finale. Mais le chemin paraît périlleux, avec un déplacement à Vannes et la réception de la Rochelle.

 



 


Dix ans. Depuis sa remontée dans l'élite à l'été 2015, la Section paloise s'est abonnée aux places que les observateurs résument d'un sobriquet : le ventre mou. Si leur ambition affichée a toujours été de disputer la phase finale du Top 14, le moins qu'on puisse dire, c'est que les Béarnais n'ont pas atteint leur objectif, oscillant au fil des dernières saisons entre la douzième à la huitième place. Avec la perspective d'un déplacement à Vannes puis la réception, corsée, du Stade rochelais lors de la dernière journée, Pau risque fort, une fois encore, de manquer la dernière marche.
 

 

« Cette saison a été très dure, constate l'entraîneur palois, Sébastien Piqueronies, entre les blessés, les défaites à domicile (Bordeaux-Bègles, Racing 92) et les points laissés en route à l'extérieur (Castres, Stade Français, Perpignan), nous abordons maintenant un moment de vérité. » En résumé, pour Pau, ça passe ou ça casse. « Je ne vois pas les choses de cette façon, modère le coach béarnais. Compte tenu de la densité de ce Top 14, sachant qu'il y a six ou sept clubs aux moyens financiers presque illimités, je serais très heureux si nous terminons à la huitième place. » Synonyme de participation à la Coupe des champions.


lire aussiPau se défait de Toulon


S'annonce donc « une mini-phase finale sur deux journées », prédit-il, « et ce money-time prouve au moins que nous sommes toujours vivants. » D'autant qu'entre La Rochelle et Montpellier (ce dimanche soir, 21h05) et les rencontres à venir entre le Racing 92 et Montpellier (25e journée), puis Montpellier-Clermont et Stade Français-Castres (26e et dernière journée), plusieurs prétendants au top 6 resteront sur le carreau.


Onzième au classement des budgets de l'élite, la Section paloise pourrait s'enorgueillir, au pire, d'être mieux lotie sportivement que certains de ses concurrents. Mais ce baume virtuel ne peut pas satisfaire un club qui dispose d'un sponsor-titre - TotalEnergies - à grande surface financière. « Disons que nous avons accéléré, note Piqueronies, mais pendant ce temps, les autres ont avancé... »

 
 

 

« Nous n'avons plus aucun calcul à faire »

Sébastien Piqueronies, l'entraîneur palois

  
 


Au-delà d'un bilan comptable qui n'est pas vraiment à la hauteur des espérances nourries depuis une décennie, Pau est parvenu à s'ancrer dans une région qui a vu Tarbes, Lourdes, Bagnères-de-Bigorre et Auch disparaître des radars. « Nous sommes un bastion historique (champion de France en 1928, 1946 et 1964, Coupe de France en 1997, Challenge européen en 2000), l'un des rares à être encore dans le Top 14. Il ne faut pas oublier que nous sommes une ville de moyenne importance au milieu de mégalopoles et de clubs d'élite soutenus par des mécènes. Notre budget reste limité », reconnaît Piqueronies.


Derrière les projections purement sportives de ces deux prochaines journées, qui ne lui offrent pas une voie royale pour décrocher une sixième place synonyme de phase finale au coeur d'un peloton particulièrement compact (quatre points seulement séparent - ce dimanche avant La Rochelle-Montpellier - le onzième, Lyon, du cinquième, Castres), la Section paloise vise à moyen terme un rayonnement régional, entre le Béarn, la Bigorre, le sud-Landes et le sud-Gers. « Soixante pour cent des joueurs du XV de France sont nés sur ce territoire, précise le coach palois, et c'est sur ce bassin que nous voulons nous appuyer. »


lire aussiLe classement du Top 14


Pour autant, l'objectif du top 6 n'est pas, pour les Palois, une chimère, un but inatteignable, « mais notre sport amène à l'humilité, ce qui n'est pas incompatible avec l'ambition qui est la nôtre », glisse l'ancien trois-quarts centre d'Aurillac et de Clermont. Comme l'UBB avant elle, la Section paloise n'a pas abdiqué toute volonté d'habiter à terme dans le haut du tableau.


Mais dans l'immédiat, cette ambition passe deux résultats lors des deux dernières rencontres. « Nous n'avons plus aucun calcul à faire », lance l'ancien entraîneur de l'équipe de France jeunes (U17, U19, U20) entre 2015 et 2019.


En difficulté face à des équipes de bas du tableau, Pau sait que son déplacement à Vannes (25e journée) s'annonce d'autant plus compliqué que les Bretons, eux, jouent leur maintien dans l'élite. « Et je n'oublie pas que depuis que je suis à la Section (quatre saisons), jamais je n'ai battu le Stade rochelais au Hameau... ». Des Rochelais qui viendront le dernier jour en Béarn jouer leur qualification en phase finale.
 
 

Exaspérant ce discours du petit club face aux clubs aux moyens quasi illimités. Mais il parle de quels clubs en fait ?

Surtout que Pau a attiré de grands noms ces dernières saisons.

[zebdomes]

Sans jeu déloyal, je veux bien...

[Codorplusàvie]

Ça marche.
Remplaçant de Jauneau stp.

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T'es un deuxième ligne australien en pré retraite ?