Il va nous peter qui Chalureau ?
Même si celui-ci sera en loges, je le vois bien aller péter Hamdaoui.
Posté hier, 19:28
Il va nous peter qui Chalureau ?
Même si celui-ci sera en loges, je le vois bien aller péter Hamdaoui.
Posté hier, 19:39
Grintapiletta et 14 joueurs autour qui l'écoutent pour son jubilé.
ça tourne à l'obsesión
Posté hier, 20:05
ça tourne à l'obsesión
![]()
Non, c'est du comique de répétition, un peu comme 93 par exemple
Posté hier, 20:23
Non, c'est du comique de répétition, un peu comme 93 par exemple
1993?
Posté hier, 20:33
Non, c'est du comique de répétition, un peu comme 93 par exemple
au fait il devient quoi Maestri ?
Posté hier, 20:37
Il tri...au fait il devient quoi Maestri ?
Posté hier, 20:40
Il tri...
Posté hier, 20:42
1993?
Une sombre histoire. J'te raconterai à l'occasion.
Posté hier, 23:03
Tu es notre maître à tous, respect!
Posté aujourd'hui, 03:37
Il va nous peter qui Chalureau ?
Posté aujourd'hui, 05:39
Posté aujourd'hui, 06:15
Il va péter qui sans prendre un carton
Belle composition pour moi, difficile de faire mieux.
J'aurai mis Bezy en 24eme homme
Il va finir le boulot à moitié fait au match aller sur Simmons...
Bon, il faudrait quelqu'un chez nous pour lui mettre un carton si le corps arbitral n'est pas capable de le faire !
Il va péter qui sans prendre un carton
Belle composition pour moi, difficile de faire mieux.
J'aurai mis Bezy en 24eme homme
Oui mais qui à sa place sur le banc ?...
Posté aujourd'hui, 06:39
"Pour l'ASM, ce match est un vrai révélateur" : l'analyse de Jonathan Wisniewski avant le match à Montpellier
Consultant chez le diffuseur du Top 14, l’ancien ouvreur lyonnais était au micro, samedi dernier, au stade Michelin. Il porte un regard extérieur sur la saison clermontoise.
Que vous inspirent les deux visages montrés par l’ASM lors de sa rencontre face à Paris ?
Déjà, il faudrait être dans les rouages du club et du vestiaire pour connaître les raisons de ce grand écart. Le constat est là : entre les 60 premières minutes à Castres, la première période contre le Stade Français et la fin de match à Castres et la seconde mi-temps samedi dernier, il y a un gap, avec deux visages et des attitudes différentes. J’y vois les symptômes d’une équipe à réaction.
Et qui peut s’expliquer comment ?
Christophe Urios est arrivé à Clermont avec sa méthodologie, avec un cap clair pour son équipe et tout le club. Les fondamentaux et le territoire sont pour lui des notions importantes et je pense que sa volonté était de faire à nouveau du stade Michelin une place forte. Cette saison, j’ai l’impression qu’ils ont surtout du mal à l’extérieur. Samedi dernier, j’ai vu également une équipe dos au mur chez elle, qui doit s’imposer, qui est focalisée fortement sur ses rendez-vous au Michelin. Ce gros focus peut parfois tétaniser les gars une partie du match.
Ancien ouvreur, comprenez-vous la totale confiance du coach à Benjamin Urdapilleta ?
Après le match à Castres, j’avais une interrogation, car Anthony Belleau avait été bon en fin de match pour aller chercher le bonus défensif. Christophe Urios conforte Benjamin Urdapilleta avec qui il a un long vécu et une complicité. C’est un coach qui est prêt à mourir avec ses idées et ses hommes (sourires). Il a surtout l’habitude de s’appuyer sur les hommes clés de son vestiaire et il sait que l’Argentin, même en difficulté, est capable d’une réaction de champion. Donc, son choix s’explique.
Quel est le niveau de l’enjeu pour l’ASM sur ce dernier match ?
Clermont a besoin de revoir le top 6, de briser de nouveau ce plafond de verre, car ça reste un grand club. À Montpellier, on va voir ce que le groupe a dans le ventre. Je pense que c’est un vrai révélateur et un tournant dans le projet de Christophe Urios pour ce club. La prestation de son équipe doit l’amener vers un nouveau cycle pour sa troisième saison pleine à venir.
C. Buron (LM - 06/06/25)
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"Il n’y a plus de place pour le doute et les questions" : à Montpellier, l'ASM Clermont doit s'imposer pour espérer
Alors qu’ils n’ont pas leur destin en mains, les joueurs clermontois n’ont déjà pas d’autre alternative que de s’imposer, ce samedi soir, à Montpellier, pour espérer grimper dans le top 6. Il va leur falloir l’énergie et l’envie qu’ils n’affichent, jusque-là, que de manière intermittente.
Elle est proche, l’heure d’analyser et de décortiquer les raisons et les dessous d’une saison clermontoise jusque-là chaotique, jalonnée de hauts et de bas, de trous d’air jamais expliqués, de quelques traits de lumière et de l’énorme sentiment qu’il y avait sans doute un peu mieux à faire pour s’éviter les tensions de fin de saison. En attendant ce bilan à venir, alors que l’ASM est à deux doigts de clore une quatrième année consécutive sans phases finales, joueurs et staff ont envie d’en repousser le moment. Au moins d’une semaine, avec un barrage à la clé.
Pour cela, le prérequis n’est rien d’autre qu’une troisième victoire à l’extérieur cette saison (après Lyon et Vannes), ce samedi soir à Montpellier. Gagner et espérer que les planètes sur les autres terrains s’alignent. La situation de l’ASM avant cette ultime journée n’est pas vraiment confortable, elle a néanmoins le mérite d’évacuer tous les parasites liés aux calculs.
Christophe Urios ne dit pas autre chose quand il déclarait, vendredi : « On n’a pas le choix, il n’y a qu’une seule issue possible et il n’y a plus de place pour le doute et les questions. Il faut y aller et conclure ». Il sera temps ensuite, et peut-être un peu pendant le match, de regarder ce qui se déroule sur les autres pelouses du Top 14 ; plus particulièrement du côté du Hameau à Pau et de Jean-Bouin à Paris.
Une semaine après une victoire face au Stade Français plus large sur le papier (55-20) que dans les faits, les Clermontois vont vivre ce samedi une longue journée. Avec en tête l’idée de réaliser le match que l’on attend encore de cette formation, à savoir une performance aboutie de l’entame au coup de sifflet final. Pour Christophe Urios, il n’y aura sans doute point de salut, ce soir à Montpellier, si son équipe est à nouveau transpercée par ces trous d’air qui lui ont coûté tant de points cette saison.
« On a besoin d’être connecté tout le match. Maintenant, c’est 80 minutes d’efforts, sinon ça ne marchera pas ! ».
Alors, coup de chaud ou coup de froid pour Clermont ? Au-delà de cette saison qui va donc livrer ses dernières vérités ce samedi soir, l’ASM de Christophe Urios version 2024-2025 doit apporter des éléments sur son évolution dans le temps. 10e du Top 14 avec 56 points en 2023, après six mois de mandat de l’ancien manager bordelais, 8e en 2024 et 61 points engrangés, il sera intéressant de situer cette équipe qui attaque le dernier virage à la 7e place et 59 points au compteur.
Beaucoup de scénarios sont mathématiquement possibles, ils vont d’un improbable barrage au Michelin à une sortie du top 8. Rater le top 6 serait un échec regrettable, ne pas se qualifier pour la prochaine Champions Cup serait carrément un recul sur l’échelle des performances. Une image également un peu écornée, une crédibilité entamée auprès des supporters et des partenaires.
Mais, à en croire les acteurs clermontois, la semaine a été riche en énergie emmagasinée. Christophe Urios l’assure :
« Il y avait longtemps que je n’avais pas vu une semaine comme on l’a vécu. La semaine dernière, j'avais parlé de flamme dans les yeux que je n’avais pas vue aux entraînements et en première période contre le Stade Français. Là, j’ai trouvé que c’était bien. Mais le juge de paix, c’est samedi soir à 21 h 05 ! ».
Malmenés et battus (18-22) au match aller juste après Noël, les Clermontois auront accessoirement une petite revanche à prendre. S’appuyer et s’inspirer de la seconde mi-temps réussie face aux Parisiens serait une riche idée afin de ne nourrir aucun regret, ce samedi soir vers 23 heures, à l’heure du verdict.
C. Buron (LM - 07/06/25)
Posté aujourd'hui, 06:40
Babé puni....Méchant CU
ilaimepaléjeunes
Posté aujourd'hui, 07:36
on peut compter combien de jaune et bleu en tribune......... un millier ?
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