Alors dans l'ordre :
Allez les jaunards !
Allez Paris : ne laissez pas d'espoir à Castres sur 80 min.
Allez Pau : la Ccup c'est sympa
Si on voit qu'on perd ce match au GGL :
Allez LR !!!!
Alléluia !
Posté 03 juin 2025 - 08:56
Alors dans l'ordre :
Allez les jaunards !
Allez Paris : ne laissez pas d'espoir à Castres sur 80 min.
Allez Pau : la Ccup c'est sympa
Si on voit qu'on perd ce match au GGL :
Allez LR !!!!
Posté 03 juin 2025 - 09:30
Tintin c'est un peu notre boussole dans un mode désorienté
alors que d'autres sont un peu déboussolés dans un monde orienté
Posté 03 juin 2025 - 17:46
26éme et dernier épisode de la saison 2025 : STOP où encore pour l'ASM, réponse samedi soir - Et Merci TINTIN pour ton investissement sur ce topic -
Posté aujourd'hui, 06:10
Après trois succès de rang, un quatrième face à La Rochelle, ce samedi, au Hameau, entérinerait la première participation paloise en Champions Cup. Bien plus incertaine, leur qualification en barrage reste néanmoins atteignable
Assurer ou se sublimer, mais ne surtout pas trébucher sur la dernière marche. Après trois victoires de rang (meilleure série en cours égalée sur l’exercice), la Section Paloise voit se présenter une occasion unique depuis ses retrouvailles avec le Top 14 (2015). Pour assurer sa place parmi le gratin européen, Pau devra endiguer la série de six revers de rang à domicile sur laquelle il reste face aux Rochelais (6e/62 pts). Une revanche (samedi, 21 h 05), qui sous sa forme la plus éclatante (victoire bonifiée et 24 points d’écart), pourrait même ouvrir les portes du top 6 aux hommes de Piqueronies (8e/57 pts). Une perspective également conditionnée par le résultat de Clermont (7e/59 pts) à Montpellier (9e/56 pts).
Toujours est-il que Pau a su rattraper le temps et les points perdus. Au gré de ses 13 unités glanées sur 15 possibles sur une série de deux déplacements (Lyon, 27-29 ; Vannes, 26-52) entrecoupés d’un match à domicile (Toulon, 25-21), la Section a renoué avec ses ambitions de début de saison. Dans des proportions insoupçonnées.
« Ce n’est pas un petit miracle, réfute pourtant Piqueronies. J’ai été fataliste, déçu, fatigué, mais j’ai toujours cru en ce top 8. Je ne me suis jamais dit qu’on n’y arriverait pas ». En dépit « des avaries » recensées par le manager. Comme cette accumulation de blessures déplorées durant les deux premiers tiers de la saison, et les indisponibilités d’ordre extra-sportif qui s’y sont greffées (Auradou, Hewat, Zégueur). « La continuité de notre travail valorise des fondations qui, finalement, sont relativement solides, se félicite le technicien. On se sent forts parce que dans les moments durs, on a gardé le cap. On n’a pas déraillé au moment où on était le plus fragile. C’est le vrai marqueur de notre saison, et c’est ce qui me rend le plus fier. »
Car l’orage a laissé place à l’étincelle, à ce retour de flamme matérialisé par ces trois dernières victoires. « II y a eu plein de petits signes, comme ce match au Stade Français, malgré la défaite (39-37, J. 16) ou celui du Racing (29-47, J. 18), mais à Castres comme à Perpignan, en début de saison, on l’avait aussi. On en revient toujours à cette continuité ». Malgré l’inconstance de la courbe de résultats paloise.
Plus de temps et de choixPlus pragmatiquement, et au-delà du retour de tauliers au meilleur moment, ce redressement est aussi le fruit d’un calendrier plus morcelé, et donc plus propice à ce que la Section n’aligne que ce qu’elle a de meilleur. « Il est évident que la stabilité de notre équipe, due au calendrier, à la baisse du nombre de blessés, favorise notre dynamique. Il est vrai aussi que l’homogénéité et la profondeur de notre effectif devant – car derrière nous avons été moins impactés - fait que nous en sommes là aujourd’hui. On mesure le boulot abattu par les nouveaux que sont Jon (Zabala), Daniel (Bibi-Biziwu), Lekso (Kaulashvili), Rémi (Picquette), Thomas (Jolmes) ou Loïc (Crédoz), quand des cadres comme Lucas (Rey), Hugo (Auradou), Beka (Gorgadze) ou Luke (Whitelock) nous manquaient en début de saison. »
De quoi alimenter la frustration d’un faux départ sans lequel la Section aurait encore mieux soigné sa sortie. « Je n’ai aucun regret. Vous dire le contraire dénoterai d’un manque de lucidité, d’une méconnaissance de mon métier, cingle Piqueronies. Mon job, c’est de m’adapter. Si je faisais le vôtre, je pourrais dire plein de choses. C’est aux autres de commenter ». Le credo du manager est plutôt d’y croire. « Aujourd’hui, le top 6 est accessible, même s’il sera difficilement atteignable. Mais le simple fait d’être en capacité de le jouer à la 26e journée constitue déjà une fierté, un marqueur d’évolution. On met tous autant d’énergie depuis tant d’années pour que ce ne soit plus un rêve. Il faudra qu’il devienne réalité. Reste à savoir s’il se matérialisera ce samedi, ou pas. »
Simple perspective mais perspective quand même, pour une équipe pas habituée à rêver si grand aussi près de la ligne. Ce qui en soi, constitue déjà une petite victoire.
Posté aujourd'hui, 09:27
Il est temps se rappeler qu au cours de l'histoire les béarnais ont été de terribles guerriers, que Louis XIV a du envoyer la fine fleur de la chevalerie française pour les asservir, que le Béarn a été indépendant pendant 4 siècles et autonome pendant 10.
Demain nous serons 15 023 remontés comme des coucous, en mission.
Toquey si gauses !
Posté aujourd'hui, 09:32
Il est temps se rappeler qu au cours de l'histoire les béarnais ont été de terribles guerriers, que Louis XIV a du envoyer la fine fleur de la chevalerie française pour les asservir, que le Béarn a été indépendant pendant 4 siècles et autonome pendant 10.
Demain nous serons 15 023 remontés comme des coucous, en mission.
Toquey si gauses !
J'irai serrer les coucougnes à la statue du Vert Galant, au Pont Neuf.
Posté aujourd'hui, 09:49
J'irai serrer les coucougnes à la statue du Vert Galant, au Pont Neuf.
tu aurais peut être du toucher celles de ravaillac
Posté aujourd'hui, 10:00
tu aurais peut être du toucher celles de ravaillac
On se rappellera que c'était un charentais le fourbe !
Vengeance !
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