77 replies to this topic

[GUY03]

Alors dans l'ordre : 
 
Allez les jaunards  !  
Allez Paris : ne laissez pas d'espoir à Castres sur 80 min. 
Allez Pau : la Ccup c'est sympa
 
Si on voit qu'on perd ce match au GGL : 
 
Allez LR !!!!

Alléluia !

[marco43]

Tintin c'est un peu notre boussole dans un mode désorienté

alors que d'autres sont un peu déboussolés dans un monde orienté

[DOUDOU63]

26éme et dernier épisode de la saison 2025 : STOP où encore pour l'ASM, réponse samedi soir -   Et Merci TINTIN pour ton investissement sur ce topic - 

[el landeno]

Top 14. Pau toujours en course pour un barrage : « ce n’est pas un petit miracle », estime Sébastien Piqueronies

  Lecture 2 min

Accueil Sport Rugby Top14

Depuis son retour de blessure, lors de la 15e journée, le capitaine Luke Whitelock a enchaîné 11 titularisations en autant de matchs. © Crédit photo : Quentin Top/SO

Par Georges Lannessans

Publié le 05/06/2025 à 19h35.

Mis à jour le 05/06/2025 à 19h39.

• Écouter
• Réagir
• Voir sur la carte
• Partager

Après trois succès de rang, un quatrième face à La Rochelle, ce samedi, au Hameau, entérinerait la première participation paloise en Champions Cup. Bien plus incertaine, leur qualification en barrage reste néanmoins atteignable

Assurer ou se sublimer, mais ne surtout pas trébucher sur la dernière marche. Après trois victoires de rang (meilleure série en cours égalée sur l’exercice), la Section Paloise voit se présenter une occasion unique depuis ses retrouvailles avec le Top 14 (2015). Pour assurer sa place parmi le gratin européen, Pau devra endiguer la série de six revers de rang à domicile sur laquelle il reste face aux Rochelais (6e/62 pts). Une revanche (samedi, 21 h 05), qui sous sa forme la plus éclatante (victoire bonifiée et 24 points d’écart), pourrait même ouvrir les portes du top 6 aux hommes de Piqueronies (8e/57 pts). Une perspective également conditionnée par le résultat de Clermont (7e/59 pts) à Montpellier (9e/56 pts).

Sur le même sujet

Top 14. Face à sa bête noire (et jaune), la Section Paloise aspire enfin à se payer

Face à La Rochelle au Hameau, la Section Paloise reste sur six revers de rang. Enrayer cette série reviendrait à se qualifier pour la prochaine Champions Cup. Un succès bonifié de plus de 24 points pourrait même lui ouvrir les portes du top 6

De l’orage à l’étincelle

Toujours est-il que Pau a su rattraper le temps et les points perdus. Au gré de ses 13 unités glanées sur 15 possibles sur une série de deux déplacements (Lyon, 27-29 ; Vannes, 26-52) entrecoupés d’un match à domicile (Toulon, 25-21), la Section a renoué avec ses ambitions de début de saison. Dans des proportions insoupçonnées.

« Ce n’est pas un petit miracle, réfute pourtant Piqueronies. J’ai été fataliste, déçu, fatigué, mais j’ai toujours cru en ce top 8. Je ne me suis jamais dit qu’on n’y arriverait pas ». En dépit « des avaries » recensées par le manager. Comme cette accumulation de blessures déplorées durant les deux premiers tiers de la saison, et les indisponibilités d’ordre extra-sportif qui s’y sont greffées (Auradou, Hewat, Zégueur). « La continuité de notre travail valorise des fondations qui, finalement, sont relativement solides, se félicite le technicien. On se sent forts parce que dans les moments durs, on a gardé le cap. On n’a pas déraillé au moment où on était le plus fragile. C’est le vrai marqueur de notre saison, et c’est ce qui me rend le plus fier. »

Sur le même sujet

Top 14 : Dimitri Szarzewski quitte le Racing 92 après 13 années passées au sein du club

L’ancien talonneur international Dimitri Szarzewski, entraîneur adjoint, et le Racing 92 ont mis fin à leur collaboration d’un commun accord après plusieurs années

Car l’orage a laissé place à l’étincelle, à ce retour de flamme matérialisé par ces trois dernières victoires. « II y a eu plein de petits signes, comme ce match au Stade Français, malgré la défaite (39-37, J. 16) ou celui du Racing (29-47, J. 18), mais à Castres comme à Perpignan, en début de saison, on l’avait aussi. On en revient toujours à cette continuité ». Malgré l’inconstance de la courbe de résultats paloise.

Plus de temps et de choix

Plus pragmatiquement, et au-delà du retour de tauliers au meilleur moment, ce redressement est aussi le fruit d’un calendrier plus morcelé, et donc plus propice à ce que la Section n’aligne que ce qu’elle a de meilleur. « Il est évident que la stabilité de notre équipe, due au calendrier, à la baisse du nombre de blessés, favorise notre dynamique. Il est vrai aussi que l’homogénéité et la profondeur de notre effectif devant – car derrière nous avons été moins impactés - fait que nous en sommes là aujourd’hui. On mesure le boulot abattu par les nouveaux que sont Jon (Zabala), Daniel (Bibi-Biziwu), Lekso (Kaulashvili), Rémi (Picquette), Thomas (Jolmes) ou Loïc (Crédoz), quand des cadres comme Lucas (Rey), Hugo (Auradou), Beka (Gorgadze) ou Luke (Whitelock) nous manquaient en début de saison. »

De quoi alimenter la frustration d’un faux départ sans lequel la Section aurait encore mieux soigné sa sortie. « Je n’ai aucun regret. Vous dire le contraire dénoterai d’un manque de lucidité, d’une méconnaissance de mon métier, cingle Piqueronies. Mon job, c’est de m’adapter. Si je faisais le vôtre, je pourrais dire plein de choses. C’est aux autres de commenter ». Le credo du manager est plutôt d’y croire. « Aujourd’hui, le top 6 est accessible, même s’il sera difficilement atteignable. Mais le simple fait d’être en capacité de le jouer à la 26^e journée constitue déjà une fierté, un marqueur d’évolution. On met tous autant d’énergie depuis tant d’années pour que ce ne soit plus un rêve. Il faudra qu’il devienne réalité. Reste à savoir s’il se matérialisera ce samedi, ou pas. »

Simple perspective mais perspective quand même, pour une équipe pas habituée à rêver si grand aussi près de la ligne. Ce qui en soi, constitue déjà une petite victoire.

 

 

[L'Eclair]

Il est temps se rappeler qu au cours de l'histoire les béarnais ont été de terribles guerriers, que Louis XIV a du envoyer la fine fleur de la chevalerie française pour les asservir, que le Béarn a été indépendant pendant 4 siècles et autonome pendant 10.

 

Demain nous serons 15 023 remontés comme des coucous, en mission.

 

Toquey si gauses !

[Parigot_Paris]

Il est temps se rappeler qu au cours de l'histoire les béarnais ont été de terribles guerriers, que Louis XIV a du envoyer la fine fleur de la chevalerie française pour les asservir, que le Béarn a été indépendant pendant 4 siècles et autonome pendant 10.

 

Demain nous serons 15 023 remontés comme des coucous, en mission.

 

Toquey si gauses !

J'irai serrer les coucougnes à la statue du Vert Galant, au Pont Neuf.

[marco43]

J'irai serrer les coucougnes à la statue du Vert Galant, au Pont Neuf.

tu aurais peut être du toucher celles de ravaillac

[L'Eclair]

tu aurais peut être du toucher celles de ravaillac

On se rappellera que c'était un charentais le fourbe !   

Vengeance !

[Parigot_Paris]

Je me sens pas bien. On a Brousset au sifflet, l'homme qui déteste le SF... Et Rugby Rat Mort nous donne gagnants...

[Alex chocolatines]

Je me sens pas bien. On a Brousset au sifflet, l'homme qui déteste le SF... Et Rugby Rat Mort nous donne gagnants...

Le Stade Français a toujours été sauvé dans les moments difficiles, ça va encore passer large ; ils sachent chez rugby ramasse    

[el landeno]

Le Stade Français et l'USAP, une dernière journée pour éviter le barrage

Respectivement opposés à Castres et Toulouse, le Stade Français et Perpignan tenteront samedi soir (21h05) d'éviter cette 13e place du Top 14 qui les condamnerait à jouer un match à quitte ou double dans une semaine chez le perdant de la finale de Pro D2.

 

 

Bien sûr, il reste encore une chance minime que Vannes sauve sa peau en Top 14. Mais enfin, personne n'y croit, sans doute même pas lui-même. Non, le scenario le plus probable est évidemment que seuls le Stade Français et l'USAP se disputent à distance une 12e place qui leur éviterait de passer par la case barrage, dans une semaine, face au finaliste malheureux de la Pro D2 (Grenoble ou Montauban).

 

 

Les deux joueront leur salut à domicile. Le club parisien défiera Castres, qui cherchera à valider sa place en phase finale (il est actuellement 5e), quand le club catalan affrontera un Stade Toulousain déjà qualifié, qui viendra chercher à Aimé-Giral une bonne préparation à sa demi-finale du Championnat. Avec un point d'avance au classement (41-40) et une différence de points particulière avantageuse (5-4), le Stade Français à toutes les cartes en mains pour se sauver dès samedi soir. Mais si les chiffres parlent pour lui, l'expérience de ces luttes d'en bas plaide davantage pour l'USAP. Alors, pour qui le ouf de soulagement ?

lire aussiLe classement de Top 14

Le joueur à suivre

Stade Français : Zack Henry (30 ans, anglais, 90 kg, ouvreur), le maintien à ses pieds

Titulaire pour la cinquième fois de rang, Zack Henry aura un rôle prépondérant face à Castres. L'ouvreur devra bien entendu animer le jeu parisien, mais l'Anglais devra surtout ne pas trembler face aux perches dans son rôle de buteur. S'il a connu quelques ratés et notamment une balle de match sur la pelouse de Perpignan à la 78e minute de jeu lors de la 23e journée (défaite 20-18), qui aurait permis au Stade Français d'être déjà sauvé, Henry s'est rattrapé la semaine suivante lors de la réception du LOU en passant cette fois la pénalité de la gagne (79e, victoire 31-30). Avec 85 % de réussite cette saison (61/72), le Stadiste reste un buteur fiable. À noter qu'à titre de comparaison, le Castres Olympique est seulement à 75 % de réussite dans l'exercice des tirs au but. Un écart qui pourrait avoir son importance.

 

 

lire aussiPodcast Crunch : Qui terminera à la 13e place ?

Perpignan : Posolo Tuilagi (20 ans, 5 sélections, 145 kg, deuxième-ligne)

Le jeune n° 5 d'origine samoane a beaucoup manqué à l'USAP durant cette saison. Victime d'une double fracture tibia-péroné de la jambe gauche le 28 septembre contre Clermont (33-3, 4e j. du Top 14), il n'a pas joué pendant sept mois. Mais il est revenu à temps pour le sprint final et l'opération sauvetage du club catalan.

 

Face au Racing 92 (28-24, le 19 avril), pour son retour, il n'avait disputé que quelques minutes à cause d'un carton jaune pour un plaquage dangereux écopé juste après son entrée en jeu (74e). Mais depuis, son temps de jeu et son impact sur le jeu de son équipe ne cessent de croître. Titulaire lors des deux derniers matches perdus à Clermont (31-13) et à La Rochelle (38-15), il le sera encore samedi soir contre Toulouse et ses coriaces avants. Un défi à sa démesure.

Le secteur porteur

Stade Français : une touche marquante

Si le Stade Français vit une saison compliquée, un secteur de jeu n'en reste pas moins convaincant. À savoir celui de la touche. Les Parisiens gagnent 82 % de leurs touches offensives (le 4e meilleur total du Top 14). Avec en fer de lance Romain Briatte. Le troisième-ligne est le meilleur preneur en touche de son équipe (107 ballons, soit 29 % du total). Castres n'est que 11e (77 %).

Sur les touches défensives, les Stadistes ne sont pas en reste avec 76 ballons volés à l'alignement adverses (soit 20 %). La touche du Stade Français est surtout une arme offensive avec 34 % des essais inscrits (25/73) qui en ont une pour origine. Enfin, le mouvement privilégié après un lancement en touche est un maul ou un maul furtif (184 fois sur 368 touches, soit 45 %). Seul petit ombre au tableau, Sekou Macalou, très habile en touche, est absent.

lire aussiLe programme de la dernière journée de Top 14

Perpignan : une défense de fer à Aimé-Giral

Quand on s'apprête à recevoir l'équipe qui vient tout juste d'établir un nouveau record du nombre de points marqués dans une saison régulière (856), mieux vaut disposer de bons plaqueurs, de gratteurs émérites dans les rucks et de joueurs globalement engagés et agressifs dans le combat. C'est le cas de l'USAP, surtout à Aimé-Giral. Avec seulement 215 points encaissés en 12 matches, le club catalan détient ainsi la 2e meilleure défense du Top 14 à domicile, juste derrière son adversaire du jour toulousain (194).

Il sait aussi défendre proprement, comme l'atteste sa place de dauphin de ce même Toulouse au classement des équipes qui reçoivent le moins de cartons jaunes (15). Autant de stats flatteuses qui tranchent un peu avec le faible rendement offensif des joueurs de Franck Azéma. Avec seulement 34 essais marqués, l'USAP est de loin la pire équipe de l'élite dans ce domaine.

La stat

Stade Français : 0

Comme le nombre de défaite du Stade Français face au Castres Olympique à Jean-Bouin lors des dix dernières saisons. Soit un total de 9 victoires en autant de rencontres (le match entre les deux équipes a été annulé lors de la saison 2019-2020 en raison de la pandémie de Covid). Le score moyen entre les deux formations est de 32 à 12 en faveur du Stade Français. La plus large victoire remonte à la saison 2014-2015 : 49-13.

Le plus court succès date lui de la saison 2016-2017 : 29-25. La saison passée, le club de la capitale s'était largement imposé 39 à 16, bonus offensif en prime (6 essais à 1). Enfin, le Stade Français a remporté quatre de ses cinq derniers matches à domicile (défaite contre Toulouse). À l'inverse, Castres ne compte qu'une victoire (Racing 92) et deux nuls (Perpignan et Stade Rochelais) à l'extérieur cette saison.

 

Posolo Tuilagi est l'un des joueurs à suivre côté Perpignan samedi soir. (S. Bellaval/Presse Sports)

Perpignan : 100 %

L'USAP a l'habitude de terminer fort sur ses terres, quel que soit son adversaire. Depuis son retour dans l'élite, en 2021, elle a ainsi toujours remporté son dernier match de la saison régulière à Aimé-Giral. Elle avait dompté Bordeaux-Bègles en 2022 (22-15, 26e j.), le futur champion de France toulousain en 2023 (26-21, 25e j.) et encore l'UBB - futur finaliste - la saison dernière (37-30, 25e j.). Autant dire que le club catalan, porté par ses supporters, n'a pas pour habitude de flancher dans les moments décisifs.

Il a fait de la lutte pour le maintien son quotidien de ces dernières années et en tire forcément un réel savoir-faire. Rappelons que l'USAP a également disputé deux des trois derniers barrages chez le finaliste perdant de Pro D2 et qu'elle en est toujours sortie gagnante. Elle s'était imposée à Mont-de-Marsan en 2022 (16-41) et à Grenoble en 2023 (19-33).

 

 

[Mikasm]

Canal qui diffuse sur Cstar Lyon - Racing, le seul match où il ny a aucun enjeu.

[Eastern Outpost]

Je me sens pas bien. On a Brousset au sifflet, l'homme qui déteste le SF... Et Rugby Rat Mort nous donne gagnants...

 

Bonne chance Parigot.

 

Même si mon prono n’est pas pour ton équipe, je serais pas du tout déçu si je me trompe.

 

Quoique le résultat, j’espère que tu auras la sourire et le bonheur ce soir après avoir terminé en 12eme place.

Au Royaume-UNi, Premier Sports diffuse Bayonne v Toulon - un choix très prévisible mais pas vraiment que je veux regarder. J’espère qu’il y’aura un autre choix sur son streaming mais c’est improbable.

[Ptolémée]

J'irai serrer les coucougnes à la statue du Vert Galant, au Pont Neuf.

 

ça va le faire 

[Alex chocolatines]

Lyon Racing diffusé sur Cstar gratos. le match moisi qui n'a quasiment aucun intérêt et qui ne sert à rien dans la course au maintien ni l'accès aux phases finales...

Merciiiiiii  canaaaaaaal !