Tindall, Spoors et Loffhagen sont tous trois anglais.
Y méritent aussi le bûcher.
Et Wasserman Propaganda c'est pas du bouffeur de dinde ?
Sans eux y'a juste une idée.
Que fait Poutine et la Chine, merde ?
Posté 11 juin 2025 - 22:52
Tindall, Spoors et Loffhagen sont tous trois anglais.
Posté 11 juin 2025 - 22:56
Posté 11 juin 2025 - 23:07
Y méritent aussi le bûcher.
Et Wasserman Propaganda c'est pas du bouffeur de dinde ?
Sans eux y'a juste une idée.
Que fait Poutine et la Chine, merde ?
Posté 11 juin 2025 - 23:59
Ça ne m’en touche ni l’une ni l’autre.
Jouez au rugby à DUBAI…par 45*, .avec Dupont en tête d’affiche…..soyons sérieux 5’
Les anglish il faudrait les mettre en plein cagnard dans le désert saharien avec leur peau de rouquin ….et leur nez de bœuf
MDR
Posté 12 juin 2025 - 00:44
Ça ne m’en touche ni l’une ni l’autre.
Jouez au rugby à DUBAI…par 45*, .avec Dupont en tête d’affiche…..soyons sérieux 5’
Les anglish il faudrait les mettre en plein cagnard dans le désert saharien avec leur peau de rouquin ….et leur nez de bœuf
MDR
Ah non mais ca meme les financiers du Golfe en sont conscients, d'ou les tournois LIV aux US, et ce projet qui doit se tenir dans differentes villes comme "Londres, Barcelone, New York, São Paulo, Tokyo, Paris, Dublin, le Cap". Je pense que le model c'est plus le circuit a VII, mais j'y crois absolument pas pour le XV (s'ils etaient un peu serieux, ils auraient propose de racheter le circuit a VII et ils l'auraient fait monte en attractivite, ca ca me semble possible).
Posté 12 juin 2025 - 05:17
BB est attendu pour traduire l'image, merci
Posté 12 juin 2025 - 07:15
BB est attendu pour traduire l'image, merci
Petite précision:
Je ne suis pas contre l'utilisation de l'Anglais dans un texte dans cette langue , par contre je ne supporte pas l'invasion des anglicismes dans une phrase en Français alors que notre langue propose sans aucun problème un grand nombre de mots qui veulent dire la même chose
Posté 12 juin 2025 - 07:18
Posté 12 juin 2025 - 13:08
Petite précision:
Je ne suis pas contre l'utilisation de l'Anglais dans un texte dans cette langue , par contre je ne supporte pas l'invasion des anglicismes dans une phrase en Français alors que notre langue propose sans aucun problème un grand nombre de mots qui veulent dire la même chose
je sais, je taquine
je m'évertue à en faire de même lors des prez de comm danonesques dans nos réunions de cse locales.
On en est même à devoir se palucher des acronymes
Posté 12 juin 2025 - 13:25
Tremble Stade Toulousain...
Nous on est tranquille à priori !
Posté 12 juin 2025 - 16:09
je sais, je taquine
je m'évertue à en faire de même lors des prez de comm danonesques dans nos réunions de cse locales.
On en est même à devoir se palucher des acronymes
ça c'est une bonne nouvelle
Posté 30 septembre 2025 - 20:40
Personne ne sait vraiment de quoi il retourne, mais tout le monde parle de cette ligue rebelle ou pirate. La plupart du temps comme s'il s'agissait du retour du typhus. Précédé du nom de code R360, ce projet de souche anglaise vise à « créer la version la plus excitante et la plus moderne du rugby (...) faite pour conquérir une nouvelle génération de fans ». Ses cofondateurs - Mark Spoors, Stuart Hooper et le champion du monde 2003 Mike Tindall - promettent « des moments Super Bowl », et le tout premier All-Star Game, avec (pour changer) des règles rafraîchies afin de rendre le jeu plus rapide.
R360 cite ses références et reconnaît vouloir dupliquer le modèle de la Formule 1, en créant un circuit itinérant s'arrêtant dans des « stades et villes iconiques » qui pourraient être le Camp Nou, le Parc des Princes, Tokyo, Munich, Los Angeles, São Paulo, Dubaï, Buenos Aires, Hongkong... L'arc narratif du projet consiste à organiser peu de matches (16 au début puis 20) mais avec plus de stars, en regroupant dans huit franchises privées pour les hommes (puis dix) et quatre pour les femmes, toutes celles qui sont éparpillées aujourd'hui entre l'Europe, le Japon et l'hémisphère sud. Pour schématiser, R360, qui table sur un lancement pile dans un an, rêve d'une rencontre entre les Amazon d'Antoine Dupont et les Pepsi de Cheslin Kolbe, au Metlife Stadium de New York.
Calendrier : le poids des promesses, le choc des faitsR360 pose un regard de Génération Z sur le rugby-boomer tel qu'il existe. Il le décrit comme un « produit daté », « un business model intenable au niveau des clubs » et ne cache pas - c'est formulé tel quel - vouloir se positionner au-dessus du rugby de clubs. Cette ligue sécessionniste a fait savoir qu'elle ne voulait pas chevaucher les fenêtres réservées au rugby de sélections, dont elle sait l'importance pour n'importe quel joueur (valeur sportive, prestige, exposition...).
Pas question de braquer la Fédération internationale (World Rugby), ni de concurrencer le Six Nations ou la Coupe des nations, qui remplacera bientôt les tournées d'automne et d'été. R360 a donc choisi deux créneaux : le premier d'avril à juin, le second d'août à septembre (grosso modo six mois de mise à disposition).
L'argument de vente calendaire ne résiste pourtant pas à l'épreuve des faits puisque, aux dates qu'il a choisies, R360 mord sur les plates-bandes du Rugby Championship (la Fédération néo-zélandaise qui tire une importante partie de ses revenus de cette compétition l'acceptera-t-elle ?), du Six Nations féminin, tout comme du Women XV Global Series, la nouvelle compétition ambitieuse adoubée par World Rugby.
Dans le dossier de candidature de R360, dont L'Equipe a pu avoir connaissance, le calendrier 2027 exposé par la ligue rebelle elle-même prévoit de réquisitionner les joueurs d'avril à fin août sans discontinuer, ce qui sera inenvisageable pour les staffs des équipes nationales dont la Coupe du monde commencera le 1er octobre.
« C'est un projet que j'exècre et que je combattrai résolument »
Laurent Marti, président de l'UBB
En dépit de ses promesses, R360 percute le calendrier international. Mais son attaque la plus frontale vise les grands Championnats européens, étant donné que le nouvel acteur se positionne pile au moment de la fin de leur saison régulière et de leur phase finale. Dans les rêves les plus fous de messires Tindall, Hooper et Spoors, la fuite des talents transformerait le Top 14 en équivalent du Championnat des provinces néo-zélandais (NPC), un Championnat local que ne disputent pas les meilleurs joueurs locaux. « Il faut regarder l'économie rugbystique de ces pays qui ont perdu un championnat fort, fait remarquer Laurent Marti, président de l'UBB. C'est un projet que j'exècre et que je combattrai résolument. Ces gens veulent faire de l'argent sur le dos d'un sport et de ses joueurs, rien de plus. Pour eux, les joueurs, les clubs, les supporters sont des produits desquels ils veulent tirer des bénéfices. C'est une vision opposée à la mienne. C'est aussi une insulte à la formation, au monde amateur et à ses bénévoles. On leur dit : continuez de former, nous, on vient prendre la crème de la crème. »
Le sujet n'est pas que mercantile. Il est philosophique. Peut-on manufacturer la passion pour un sport ? Peut-on modéliser l'attachement à une équipe ? Propriétaire de Toulon, Bernard Lemaître avoue « ne pas voir ce projet d'un bon oeil. » « Ce projet ne correspond pas à notre vision de l'esprit rugby, fondé sur le partage, la solidarité et l'ancrage territorial, indique Florian Grill, président de la FFR. Il représenterait un appauvrissement du rugby amateur que le monde professionnel doit soutenir, comme nous y travaillons en France avec la Ligue nationale. » Président de la LNR, Yann Roubert affirme « prendre ce projet au sérieux », le qualifie d' « aberration (...) potentiellement mortifère pour le rugby tel qu'on le connaît. » Contacté, Mark Spoors, un des cofondateurs du projet dissident, nous a assuré qu'il reviendrait vers nous « quand il sera en mesure de partager plus d'informations ».
Sur la plaquette commerciale de R360, un seul joueur est en photo : Antoine Dupont, avec la tenue de la sélection. Faut-il en déduire que le capitaine du quinze de France promeut la ligue rebelle ? « Antoine n'a rien à voir avec ce projet », répond son agent. Une autre plaquette commerciale circule, toujours avec Dupont, avec le maillot du Stade Toulousain cette fois, Jack Willis, Siya Kolisi, Maro Itoje ou Finn Russell. Ont-ils tous consenti à ce que leur image soit utilisée ?
Toujours est-il que dans ses supports marketing, R360 annonce la couleur et prétend vouloir/pouvoir recruter le Top 300 des joueurs/joueuses du monde. Aucune communication de telle ou telle prise de guerre n'a été formulée de manière officielle, mais la presse anglaise a fait état de plus de 160 précontrats signés. Il s'agirait de déclarations d'intention ou d'intérêt qui n'engageraient pas réellement les joueurs. Les postulants ne signeraient pas avec une franchise mais avec l'organisation-mère.
Il se dit que les trois-quarts de ces signataires mystères ont oeuvré au niveau international ces deux dernières années, et parmi eux il s'en trouverait dix ayant joué pour l'Angleterre. Pour la viabilité de son projet, R360 a besoin d'attirer de grands noms, mais pour des raisons pratiques il piste en priorité des joueurs arrivant en fin de contrat. « Pas mal d'Argentins ont signé, des Îliens aussi, possiblement quelques gros joueurs de la NRL (la ligue treiziste océanienne), indique un agent. Mais si les joueurs y vont et que la compétition ne se lance pas, ils deviennent quoi ? Ils pourront peut-être retrouver un club plus tard mais à un tarif bien moins élevé. »
Président du syndicat des joueurs pros français (Provale), Malik Hamadache invite à la plus extrême des prudences : « La semaine dernière, à notre réunion de l'IRPA (association de tous les syndicats nationaux de joueurs), nous avons listé toutes les questions cruciales à poser à ceux qui portent ce projet. D'où viennent les fonds (1) ? Quel est le business plan ? Avec quelle garantie ? Que se passe-t-il pour un joueur parti là-bas et qui se blesse ? Il faut que les joueurs prennent en compte toutes ces inconnues, mesurent la possible insécurité de l'emploi. Se pose aussi la question de la santé du joueur : d'accord, il y aura moins de matches mais beaucoup de voyages dans des laps de temps courts, et tout ça avec quel suivi médical ? Quel suivi de préparation physique ? Certains l'ont déjà fait, mais j'invite les joueurs tentés à m'appeler. »
Grill partage cette inquiétude : « Ce projet mettrait en danger la santé des joueurs, tout comme le suivi médical et athlétique par la fédération ». « Le top 300, c'est une grande illusion, assure un autre agent. Ils auront quelques noms, attireront certains de ceux qui jusqu'ici s'exilaient au Japon, et risquent de se retrouver avec beaucoup de deuxièmes ou troisièmes couteaux. » Au moins quatre joueurs du RC Toulon ont été approchés, dont Baptiste Serin et Ben White, avec des propositions « entre 500 000 euros et 1,5 M€ la saison », nous dit une source. « Je constate qu'un projet extérieur perturbe certains de nos joueurs qui ont reçu des offres, nous signale Lemaitre. Les chiffres annoncés sont affolants, encore que rien n'est affolant dans le monde d'aujourd'hui. »
La non-concurrence avec le niveau international - qui, on l'a vu, n'est que de façade - est un argument de vente auprès des joueurs. L'argent en est un autre, plus important encore. Les gens de R360 pensent que les joueurs de rugby d'aujourd'hui sont sous-payés par rapport à leurs collègues des autres grands sports pros et que le calendrier actuel ne leur laisse pas le temps de faire fructifier leur image. C'est un discours que certains agents français partagent.
Le directeur général de la fédération internationale a bien pris garde de ne pas insulter l'avenir. Alan Gilpin a plutôt rappelé que le rugby avait besoin d'argent, donc d'investisseurs. Mais il a prévenu que les joueurs « voteraient avec leurs pieds » s'ils rejoignaient une ligue rebelle qui les privait de leur éligibilité à la sélection. Ce sujet pourrait constituer le nerf de cette guerre. À deux ans de la Coupe du monde en Australie, le timing n'est pas favorable à R360.
Il l'est d'autant moins que la création d'une Coupe du monde des clubs, dont la première édition est programmée pour 2028, vient tout juste d'être approuvée. Tous les quatre ans, cette compétition appelée à remplacer la phase finale de la Coupe d'Europe des champions s'installera tout le mois de juin, donc en conflit avec le planning de R360.
Le projet rebelle devait être audité par le Conseil de World Rugby lors de sa session du 23 septembre à Dublin. Spoors, Tindall and co avaient transmis un dossier d'une centaine de pages, mais lorsque le Conseil a demandé certains éclaircissements, ils ont déclaré avoir besoin d'un délai supplémentaire. Résultat : il faudra attendre le prochain Conseil, en juin. Malgré ce contretemps, Mike Tindall a scandé le message suivant : « C'est vraiment parti ! », dans une vidéo se voulant rassurante.
« On se donnera la possibilité de ne pas sélectionner une joueuse ou un joueur qui rejoindrait ce projet
Florian Grill, président de la FFR
R360 a-t-il besoin de la ratification de World Rugby ? Ce n'est pas indispensable, mais cela pourrait donner accès à des arbitres officiels, à une structure antidopage, pourquoi pas à un cadre assurantiel. Il existe forcément un plan parallèle sans le coup de tampon de World Rugby, où R360 pourrait dès lors choisir n'importe quelles dates, mais ce projet ne survivra jamais sans le pouce levé des « grandes » fédérations. L'Angleterre, l'Irlande ou la Nouvelle-Zélande sont des pays qui ne sélectionnent que ceux qui jouent le Championnat maison - à quelques exceptions près. Cette doctrine ne les rend a priori pas R360-compatibles. Des piges d'une saison de-ci, de là, pourraient-elles se négocier ? Difficile à dire. « Si un vote est organisé en juin, nous voterons contre, indique Grill. Et oui, on se donnera la possibilité de ne pas sélectionner une joueuse ou un joueur qui rejoindrait ce projet. »
Sans remonter au projet Packer-Murdoch qui a poussé le rugby dans les bras du professionnalisme en 1995, celui dénommé World 12s, adossé à un consortium financier prêt à injecter 290 millions d'euros sur cinq ans, prévoyait de lancer une compétition mondiale de rugby à 12. De grands noms (l'ancien coach des All Blacks Steve Hansen, Kieran Read, Schalk Burger...) promettaient déjà beaucoup d'argent pour les stars de ce jeu ainsi qu'un calendrier allégé. La non-ratification par World Rugby a torpillé à jamais ce projet qui devait voir le jour en août 2022.
Posté 30 septembre 2025 - 20:50
C’est d’la merde
Pire que 1993
Posté 01 octobre 2025 - 06:42
Cest dla merde
Pire que 1993
Posté 01 octobre 2025 - 10:06
Les vautours, tournent autour ; toujours ...
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