129 replies to this topic

[Jesus Hans Hubert Vorme]

Ce matin je me suis pris le chou avec un trottinettiste, le mec me met un baffe, ça m a a peine mis les lunettes de soleil de travers comme dans Terminator, quand le mec à vu mon regard doux, il est remonté vite fait sur son engin pour se calter rapidos 
 

Il doit jouer derrière.

[zone et beu]

Fainéants, rien cette nuit!!!

[RCV06]

Lesquels?
Les bars, les casinos, les tabacs, les vendeurs d'écrans ou les pharmaciens (+600 000 morts de surdosage médical volontaire à l'Oxycontin en 25 ans aux USA) ?

Un peu plus de 2,5 millions de morts liés à l'alcool dans le monde et un peu plus d'un demi million dû à la drogue.
Les premiers sont des bons vivants, les seconds des délinquants...

Comme les 10 et les drops.
Il faudrait faire une étude plus poussée.

Tu serais pas de la famille de Pablo par hasard   

[Codorplusàvie]

Tu serais pas de la famille de Pablo par hasard   

Si, c'est ma tante.

[DOUDOU63]

Je ne suis pas sûr que les marseillais disaient la même chose dans les années 70/80.
Il ne faisait pas bon traîner au Bar du Téléphone ou au Tanagra. La Corniche des Crêtes possédait en ce temps là une belle collection de voitures cramées sur les bas côtés.
Et c'était pareil partout.


"Linsécurité augmente-t-elle en France ? La question revient régulièrement au-devant de lactualité. Il est difficile de faire la part des choses entre des inquiétudes réelles et linstrumentalisation de faits divers pour faire de laudience. Tous les jours, notre pays compte trois homicides. Beaucoup moins quil y a 30 ans, mais cela permet de nourrir une chronique médiatique à défaut dautres événements majeurs. Les réseaux sociaux amplifient le phénomène."
(tiré de : L'insécurité n'augmente pas en France - Centre d'observation de la société https://share.google/2ypPd4rb6GzklAInK).

Bonjour  ami Codo - Je viens de lire ton post - Premier point j'utilise le terme c'était mieux avant avec une pointe d'ironie, comme une référence cachée à notre topic, que je fréquente sur le forum ( de point en moins d'ailleurs..)  ....Second point, pour être sérieux, cela m'arrive, le sentiment d'insécurité n'est pas une simple vue de l'esprit pour faire de l'audience...C'est une réalité, et je peux dire pour l'avoir vécu de l'intérieur qu'après  40 ans ce n'est plus un simple sentiment mais un fait avéré.  .Sur la drogue, c'est une catastrophe absolue, même dans les petites communes épargnées durant des années...Et je te l'assure c'est pas pour faire monter la sauce sur les chaînes d'info...où pour cirer les pompes de personne.

 

Salut à toi ami Codo - Petite intervention, très modeste d'ailleurs, concernant le sujet - 

[frednirom]

P...! Je me souviens pendant mes années de fac en 81/84 on traînait jusqu'à point d'heure dans les petites rues, on faisait la fête au Burgy rue du Port et tout se passait bien. Au pire on croisait des mecs dans le même état que nous et on s'achevait ensemble...

C’est pareil un peu partout . Pour les mecs encore ça va mais pour les femmes c’est plus compliqué .

[renardmontferrandais]

 

2 Jeudi 21 AOut 2025 La Montagne
LE FAIT DU JOUR    
La capitale auvergnate frappée par une série de faits sanglants !
Pdd



Clermont dans « l’hyper violence » du narcotrafic

Puy-de-Dôme
Corps calcinés, fusillades, règlements de compte… Le trafic de stupéfiants a toujours existé à Clermont-Ferrand. 
Mais rarement ce type de délinquance aura suscité une telle flambée de violences. 
Comment l’expliquer ? Quel en est le moteur ?

Olivier Choruszko

Triste performance. En quelques mois seulement, la ville de Clermont-Ferrand a fini par intégrer, bien malgré elle, 
la liste des points les plus chauds,en France, en matière de narcobanditisme.
En cause : un brusque enchaînement de faits sanglants dont les auteurs n’ont rien à envier aux bandes criminelles oeuvrant à Paris, Grenoble ou Marseille. 

Une « hyperviolence », décrit Joël Mathurin, préfet du Puy-de-Dôme, qui a sidéré bon nombre de Puydômois et suscité un emballement médiatique inédit, au niveau national.

Combien de victimes du narcotrafic depuis le début de l’année ?

On dénombre quatre morts depuis janvier 2025 ainsi qu’un blessé grave. Ce qui constitue un record. 
Il faut remonter à 2019 pour trouver un homicide, sur fond de trafic de drogue, à Clermont-Ferrand. 
Il s’agissait de l’exécution à l’arme automatique, en pleine rue, dans le quartier de la Gauthière, d’Abderraouf Baiche, une figure des stupéfiants. C’était le premier règlement de compte de ce type dans la capitale auvergnate. Il avait suscité une très vive émotion.
Ensuite, plus rien. Jusqu’aux meurtres par balle d’un Clermontois de 25 ans, le 11 février dernier, rue Poncillon, 
celui d’un jeune Albanais de 19 ans, le 20 avril, avenue Charras. Puis la découverte, dans le quartier de Croix-de-Neyrat, des corps calcinés d’un adolescent de 17 ans, un couteau planté dans la tempe, le 18 mai, et d’un jeune homme de 28 ans, dans une voiture en feu, le 13 août dernier.

Cette flambée d’extrême violence ne se résume pas à ces homicides. Clermont-Ferrand est aussi secoué, depuis plusieurs mois , par une vague d’agressions d’une brutalité sans nom, notamment aux abords des points de deal : rafales de tirs sur un immeuble de la Gauthière, fusillade à Croix-de-Neyrat  et dans le quartier Saint-Jacques.

Des enquêtes en cours font aussi état de vendeurs de drogues, des charbonneurs, séquestrés dans des caves puis totalement déshabillés, frappés et filmés.


Qui se cachent derrière ces violences ?

Les derniers faits, dans le quartier de Croix-de-Neyrat, offrent un élément de réponse. 
Le jeune homme de 28 ans retrouvé mort dans une voiture a « de lourds antécédents judiciaires, notamment pour trafic de stupéfiants », indique Laurent Béard, vice-procureur au parquet de Clermont-Ferrand. 
Son profil est plutôt celui d’un intermédiaire dans la hiérarchie des réseaux.
Dans la séquence de la fusillade, le jeune homme de 22 ans blessé par balle rue du Torpilleur-Sirocco et qui a été mis en examen pour tentative de
meurtre en bande organisée, est également bien connu de la justice.
Tous deux sont originaires de la région d’Avignon, en proie, elle aussi, à une vague de violences sans précédent, en lien avec le narcotrafic. On y dénombre sept morts et treize fusillades depuis le début de l’année.
Faut-il voir là une tentative, par des narcotrafiquants du sud, de s’implanter à Clermont-Ferrand, celle-ci se retournant contre eux ?
« Pour l’instant, de manière factuelle, nous n’avons aucun élément permettant de considérer que ces faits s’inscrivent dans une logique globale de guerre de territoire au niveau national » , indique Laurent Béard. « Certains éléments d’organisation sont structurés mais nous ne sommes pas face à une chaîne de commandement lissé », appuie Joël Mathurin. 
« Il y a plutôt des approches de type nébuleuses, entrecroisées. » 

À ce stade, il semble encore difficile d’y voir clair.

« Dans la dernière affaire, les personnes viennent du Vaucluse », analyse encore Laurent Béard. 
« Mais nous considérons que ce n’est pas significatif car dans d’autres affaires, on est sur une criminalité très mobile au niveau national, avec des équipes qui peuvent venir de la Nièvre, de la région parisienne, du Nord, sans une occurrence permettant de déterminer une règle
quant à une organisation structurée.» 
Par ailleurs, la première affaire de corps calciné à Croix-de-Neyrat n’aurait a priori rien à voir avec la seconde.

Pourquoi cette escalade intervient elle maintenant ?

Plusieurs facteurs peuvent l’expliquer.
D’abord l’extrême jeunesse des acteurs du trafic. La plupart des dealers ayant récemment pris des responsabilités,
à Clermont-Ferrand, sont de tout jeunes majeurs, ayant déjà de lourds antécédents devant le tribunal pour enfant. 
Ils sont à la tête d’équipes de guetteurs et de vendeurs encore plus jeunes, parfois à peine sortis de l’enfance,
souvent déscolarisés, désocialisés et venus des quatre coins de la France.
Des « cramés », comme les appelle le journaliste Philippe Pujol dans son dernier livre. 
Autrement dit une main-d’oeuvre corvéable à souhait, très tôt plongée dans la violence et prête à accepter tous les risques. Cette désinhibition conduit ces jeunes à reprendre les pires codes en cours au sein des bandes criminelles organisées. Tel la technique du « barbecue », consistant
à brûler un corps après un assassinat. Ou les tentatives de corruption envers un fonctionnaire.
Un jeune homme interpellé dernièrement à Clermont-Ferrand, dans le cadre d’une grosse affaire de stupéfiants, 
est ainsi soupçonné d’avoir proposé un virement au policier qui le gardait, en échange de sa liberté…

Pour les autorités, cette soudaine accélération de la violence est aussi en partie liée au travail mené, ces derniers mois, pour démanteler des réseaux. Deux gros coups de filets ont été réalisés, à la fin de l’année dernière et au cours du premier semestre de cette année. 
Le premier concerne le point de deal de Saint- Jacques. Il a débouché sur une dizaine d’interpellations dont celles d’un chef et de ses lieutenants présumés. 
Le second, avenue Charras, a conduit à l’incarcération provisoire de dix suspects parmi lesquels, là encore,
des organisateurs présumés.
Autant de places à prendre, à conserver, sur un marché du cannabis et de la cocaïne toujours plus lucratifs.

Où en sont les différentes enquêtes policières ?

Cette vague d’actes violents a grandement mobilisé les policiers de la division de la criminalité spécialisée et organisées (DCOS, ex-PJ). Deux semaines après les coups de feu qui ont mortellement blessé le jeune homme de 25 ans, le 11 février, rue Poncillon, un Haïtien de 24 ans, 
soupçonné d’être le tireur, et un Clermontois de 28 ans, qui l’aurait véhiculé, ont été interpellés. 
Le premier a été mis en examen pour assassinat et écroué.
Deux interpellations ont aussi suivi le meurtre du jeune Albanais de 19 ans, le 20 avril. 
Le ou les meurtriers de l’adolescent de 17 ans retrouvé mort, le 18 mai, sur les hauteurs de Croix-de- Neyrat, n’ont toujours pas été retrouvés. Quant aux derniers événements ayant secoué ce quartier, le 13 août, 
ils ont conduit le parquet à ouvrir une information judiciaire pour un homicide et deux tentatives de meurtre sur deux victimes différentes, le tout en bande organisée.
Cette affaire a débouché sur la mise en examen, assortie d’un placement en détention provisoire , du jeune homme de 22 ans blessé à la jambe lors de la fusillade la rue du Torpilleur- Sirocco. Il est suspecté de tentative de meurtre. 
D’autres personnes sont recherchées. La difficulté, pour les enquêteurs, est que dans toutes les investigations ayant trait au trafic de stupéfiants, aussi bien les suspects que les témoins sont souvent peu diserts, par peur des représailles.


Quelle est la réponse des autorités face à ce fléau ?
Les policiers clermontois mènent depuis longtemps des actions pour déstabiliser ou assécher le trafic de drogue, 
aussi bien à travers des opérations de voie publique que des enquêtes au long cours. 
Mais la récente spirale meurtrière a poussé les autorités à passer à la vitesse supérieure. 
Il y a quelques semaines,François Bayrou, le Premier ministre, a annoncé que Clermont-Ferrand allait rejoindre le dispositif « ville de sécurité renforcée ».
Le principe ? « Des moyens supplémentaires mis à la disposition de la police afin d’accentuer notre présence et compléter notre action de démantèlement de réseaux », affirme Joël Mathurin.
Les unités d’investigations locales pourraient aussi bénéficier de renforts nationaux.
Les détails du dispositif devraient être dévoilés à la rentrée de septembre.
« La loi narcotrafic nous donne aussi des moyens complémentaires d’action. 
J’ai déjà pris des mesures d’interdiction de paraître pour des personnes considérées comme complices ou impliquées dans le trafic de stupéfiants, sans qu’ils aient de la drogue sur eux, comme les guetteurs. Nous avons aussi engagé une action à l’encontre d ’ un propriétaire privé qui louait son appartement à une personne qui s’en servait pour stocker de la drogue. »
Les violences sur la voie publique n’ont pour l’heure touché que des personnes concernées par le trafic. 
La crainte, partagée par un grand nombre de Clermontois, est de voir un jour un passant ou l’occupant d’un appartement atteint par une balle perdue. Depuis les derniers événements sanglants, les policiers clermontois sont appuyés par des effectifs de la CRS 83 de Chassieu.

Ceux-ci sont régulièrement appelés en renfort pour des opérations spécifiques ou
après un nouveau coup dur. « Ils resteront le temps nécessaire », précise Joël Mathurin. 

[Very Good Eshvili]

on va pouvoir regarder les Grenoblois dans les yeux!

[Parigot_Paris]

À côté de mon point de deal, ça fait quand même province !

[Velveteethol]

on va pouvoir regarder les Grenoblois dans les yeux!

Va falloir descendre en Prod2 pour çà.   

[Very Good Eshvili]

Va falloir descendre en Prod2 pour çà. 

Faut être de sacrés dindons pour perdre en finale contre Montauban

[Codorplusàvie]

Va falloir descendre en Prod2 pour çà.   

Ça vient.
C'est le projet du club paraît-il.
Pas de panique.

[Parigot_Paris]

Faut être de sacrés dindons pour perdre en finale contre Montauban

ON N'A PAS ENCORE JOUE !!!

[RCV06]

Clermont que des drogués, d'ailleurs ça se voit quand on lit les commentaires ici   

[Le Marseillais]

Honnêtement, j'ai découvert Clermont il y a une petite vingtaine d'année, ou je n'avais jamais mis les pieds auparavant.

C'était vraiment un havre de paix, quand on quittait Marseille pour quelques jours de vacances, un vrai ballon d'oxygène.

Et j'ai donc pu voir l'évolution, surtout depuis 2/3 ans, et ça fait froid dans le dos.

La place de Jaude le soir par exemple est devenue méconnaissable.

Vous étiez épargnés jusqu'à présent, mais vous ne l'êtes plus.

Et ce n'est que le début, parole de marseillais.

Je suis triste pour vous mes auvergnats que j'aime tant.