288 réponses à ce sujet

[Alex chocolatines]

 

Je ne jetterai jamais la première pierre.

 

Les gens peuvent aussi évoluer avec le temps 

Le pastaga t'as pas besoin de le faire vieillir 

[Milian]

J'avoue que si on prend l'eau en mêlée en seconde ça va être dur.
Frisach en esd u20 ma paru encore en grosse difficulté dans ce secteur.
Sinon Dzama lui de son côté fera le taf à mon avis.
Mais ça peut être la faiblesse qui nous coûte le match.

[Tchou]

J'avoue que si on prend l'eau en mêlée en seconde ça va être dur.
Frisach en esd u20 ma paru encore en grosse difficulté dans ce secteur.
Sinon Dzama lui de son côté fera le taf à mon avis.
Mais ça peut être la faiblesse qui nous coûte le match.

 

La faiblesse qui pourrait nous coûter le match me semble plus être l'état de forme de Couilloud....

 

J'espère pour nous qu'il ne sera que sur un petit rythme de reprise.

[Asm77]

Simmons hors groupe pour Michaux cest assez logique, lun est vieillissant quand lautre est mobile et CU a dit que les pelouses synthétiques lui convenait bien lors du déplacement au racing

[sly86]

Une B ( C) de Clermont sortie de XV de congés à Lyon...???? Lapin compris

Arrête le redboul, les neurone sont déjà atteint.

[Babé03]

"On est content d'être ensemble", décryptage d'une mise au vert opportune pour l'ASM Clermont avant le match au LOU Comme la saison dernière, l’ASM Clermont repart en mise au vert avant de retrouver le Top 14 à la suite de la trêve internationale. Un choix opportun et qui répond à certaines logiques. Explications.

L’an dernier, à la même époque, l’ASM se préparait à reprendre le championnat avec un déplacement à Lyon, premier match après la période internationale.

Cette reprise avait coïncidé avec la première victoire de l’ASM à l’extérieur, face à un LOU mal en point. Pour préparer ce rendez-vous important, Christophe Urios avait opté pour une mise au vert dans un vaste hôtel de la campagne lyonnaise, avec terrain de golf et grand parc arboré. Une décision qui s’était avérée payante.

Rebelote cette saison, puisque les joueurs et le staff sont partis dès jeudi soir pour se retrouver dans un autre complexe. En revanche, n’y voyez aucune volonté de reproduire une quelconque recette miracle : c’est le contexte qui a dicté ce rassemblement.

« Je ne suis pas du tout superstitieux, lance Christophe Urios. Je crois en ce que je fais tous les jours. Ce n’est pas parce que l’on a fait une mise au vert avant Lyon, la saison dernière, que l’on refait la même chose cette année. Le moment tombe bien car il y a eu une coupure de dix jours où nous étions tous un peu éparpillés. Sur un match de reprise, c’était donc intéressant de la faire. Je trouvais chouette de partir un jour avant et de se recentrer entre nous. On est content d’être ensemble. J’aime bien le faire une à deux fois par saison. »

Un coût variant de 10.000 à 12.000 euros

Deux mises au vert par saison, c’est effectivement ce qui est budgétisé au prévisionnel. Loger une cinquantaine de personnes dans un hôtel représente, en effet, un coût conséquent, et il s’agit de choisir les moments opportuns.

« Le montage budgétaire se fait toujours en pleine entente avec le sportif, explique le directeur général Benoît Vaz. Deux fois dans l’année, Christophe (Urios) a souhaité des mises au vert avant les matchs avec deux nuits d’hôtel. Ce sont des coûts variant entre 10.000 et 12.000 euros. C'est pas que l’on ne veut pas dépenser, mais on souhaite que les dépenses soient conformes au prévisionnel. Par exemple, nous avons budgétisé trois déplacements en avion. Un voyage, c’est entre 35.000 et 40.000 euros. Si l’on en rajoute un quatrième, ça ne marche pas. Il faut trouver l’économie ailleurs dans le budget. »

Les joueurs, eux, apprécient ces moments où l’on se retrouve pour des parties de cartes ou tout simplement pour discuter de tout et de rien. Des moments de vie qui font le ciment d’un groupe. « Le fait de rester ensemble pendant deux jours nous permet d’être peut-être plus concentrés le jour J. D’être probablement plus en condition pour faire quelque chose à l’extérieur. C’est vrai que des fois le temps peut paraître plus long que lorsque l’on est à la maison. Mais on essaie de trouver des jeux de carte, de regarder des choses à la TV mais aussi des vidéos sur l’adversaire. On trouve toujours quelque chose à faire », décrit Sébastien Bézy.

Multiplier ce genre de situations n’aurait pas le même effet que des mises au vert ponctuelles et bien choisies. L’efficacité étant dans la rareté et surtout dans le choix du moment. 

[ASM34]

Le déplacement à Montpellier était moins coûteux et nous sommes revenus avec 4 points. Pas certain qu'avec 10.000 à 12.000€ sur celui de Lyon, nous revenions avec plus de points ! Pour battre le LOU chez lui qui a un besoin urgent de points, il faudra mettre autant d'intensité qu'à Montpellier. On traîne nos blessés depuis trop longtemps et nous avons du mal à mettre une grosse équipe en place depuis un moment. Vivement que tout le monde soit sur le pont pour voir de quoi nous sommes capables ! La victoire à Montpellier a fait du bien dans les têtes et pourquoi pas une nouvelle victoire hors Michelin même avec cette compo ? On sera plus libérés que le LOU je pense qui n'a pas le droit de perdre. Une chose est certaine c'est un déplacement à notre portée en comparaison du classement et la mise au vert décidée par le coach n'est sûrement pas un hasard !

[ELSAZOAM]

"Cela modifie la façon de jouer au rugby" : pourquoi le synthétique du LOU un danger pour l'ASM Clermont

 

L’ASM Clermont va disputer cette rencontre sur le terrain synthétique du LOU, ce samedi. Un revêtement qui va obliger les Auvergnats à s’adapter, notamment sur les rucks.

 

Par Arnaud Clergue (La Montagne)

Publié le 22 novembre 2025 à 10h00 

 

C’est une antienne qui revient chaque fois qu’une équipe s’apprête à défier un adversaire sur sa pelouse synthétique : ce type de terrain accélère les phases de jeu et les déplacements, avec notamment des phases au sol plus courtes que sur un revêtement classique.

 

« C’est un jeu qui va effectivement beaucoup plus vite, remarque Christophe Urios. Les rucks sont plus rapides. Cela modifie quand même la façon de jouer au rugby. Sur un synthétique, si tu perds les vingt premiers centimètres à l’impact, sur un maul ou sur une mêlée, c’est très difficile de les reprendre, contrairement aux terrains normaux. »

 

Les Clermontois ont disputé un match en septembre dernier sur une pelouse synthétique, à la Paris La Défense Arena, face au Racing (défaite 43-31). Si les Auvergnats avaient commis énormément d’erreurs individuelles, offrant ainsi des essais aux Franciliens, ils avaient aussi été pris au niveau du jeu au sol. 67 % des rucks offensifs joués par le Racing avaient duré moins de trois secondes, et l’ASM avait logiquement eu du mal à suivre la cadence.

 

Sur un tel terrain, les Clermontois sont donc condamnés à s’adapter à cette forme de jeu plus rapide, notamment lorsqu’on occupe le poste de demi de mêlée.

 

Le danger Baptiste Couilloud

 

« On le sait, les phases de ruck sont totalement différentes, expose Sébastien Bézy. Il faut s’adapter, surtout sur la vitesse de course pour défendre. C’est plus difficile car les adversaires arrivent beaucoup plus vite. C’est cela qui permet d’avoir des rucks un peu plus rapides. Ce sont des matchs où il y a beaucoup d’essais. Mais avec mes vieux genoux, j’avoue que je préfère quand même l’herbe (rires). »

 

« Sur une telle surface, les impacts vont être primordiaux. Il faudra beaucoup courir et se déplacer plus vite. Pour limiter les erreurs, il faudra être bien connectés ensemble. La moindre erreur peut être payée cash sur un synthétique », complète le troisième ligne Killian Tixeront.

 

D’autant plus face à des Lyonnais qui possèdent dans leurs rangs des joueurs capables de faire mal sur un tel revêtement. Si la flèche Jiuta Wainiqolo est retenue avec la sélection des Fidji, le LOU enregistre en revanche le retour de son capitaine, Baptiste Couilloud. Et on le sait, le demi de mêlée se régale lorsqu’il s’agit de dynamiter le jeu.

 

« C’est plus difficile face à ce genre de joueur qui aime coller au ballon et prendre les espaces autour des rucks, prévient Christophe Urios. Si le jeu va vite et si le momentum est présent, c’est très compliqué à arrêter. » 

[ZACH]

"On est content d'être ensemble", décryptage d'une mise au vert opportune pour l'ASM Clermont avant le match au LOU Comme la saison dernière, l’ASM Clermont repart en mise au vert avant de retrouver le Top 14 à la suite de la trêve internationale. Un choix opportun et qui répond à certaines logiques. Explications.

L’an dernier, à la même époque, l’ASM se préparait à reprendre le championnat avec un déplacement à Lyon, premier match après la période internationale.

Cette reprise avait coïncidé avec la première victoire de l’ASM à l’extérieur, face à un LOU mal en point. Pour préparer ce rendez-vous important, Christophe Urios avait opté pour une mise au vert dans un vaste hôtel de la campagne lyonnaise, avec terrain de golf et grand parc arboré. Une décision qui s’était avérée payante.

Rebelote cette saison, puisque les joueurs et le staff sont partis dès jeudi soir pour se retrouver dans un autre complexe. En revanche, n’y voyez aucune volonté de reproduire une quelconque recette miracle : c’est le contexte qui a dicté ce rassemblement.

« Je ne suis pas du tout superstitieux, lance Christophe Urios. Je crois en ce que je fais tous les jours. Ce n’est pas parce que l’on a fait une mise au vert avant Lyon, la saison dernière, que l’on refait la même chose cette année. Le moment tombe bien car il y a eu une coupure de dix jours où nous étions tous un peu éparpillés. Sur un match de reprise, c’était donc intéressant de la faire. Je trouvais chouette de partir un jour avant et de se recentrer entre nous. On est content d’être ensemble. J’aime bien le faire une à deux fois par saison. »

Un coût variant de 10.000 à 12.000 euros

Deux mises au vert par saison, c’est effectivement ce qui est budgétisé au prévisionnel. Loger une cinquantaine de personnes dans un hôtel représente, en effet, un coût conséquent, et il s’agit de choisir les moments opportuns.

« Le montage budgétaire se fait toujours en pleine entente avec le sportif, explique le directeur général Benoît Vaz. Deux fois dans l’année, Christophe (Urios) a souhaité des mises au vert avant les matchs avec deux nuits d’hôtel. Ce sont des coûts variant entre 10.000 et 12.000 euros. C'est pas que l’on ne veut pas dépenser, mais on souhaite que les dépenses soient conformes au prévisionnel. Par exemple, nous avons budgétisé trois déplacements en avion. Un voyage, c’est entre 35.000 et 40.000 euros. Si l’on en rajoute un quatrième, ça ne marche pas. Il faut trouver l’économie ailleurs dans le budget. »

Les joueurs, eux, apprécient ces moments où l’on se retrouve pour des parties de cartes ou tout simplement pour discuter de tout et de rien. Des moments de vie qui font le ciment d’un groupe. « Le fait de rester ensemble pendant deux jours nous permet d’être peut-être plus concentrés le jour J. D’être probablement plus en condition pour faire quelque chose à l’extérieur. C’est vrai que des fois le temps peut paraître plus long que lorsque l’on est à la maison. Mais on essaie de trouver des jeux de carte, de regarder des choses à la TV mais aussi des vidéos sur l’adversaire. On trouve toujours quelque chose à faire », décrit Sébastien Bézy.

Multiplier ce genre de situations n’aurait pas le même effet que des mises au vert ponctuelles et bien choisies. L’efficacité étant dans la rareté et surtout dans le choix du moment. 

 

12 k€ un hébergement de 2 jours pour 50 personnes - 2 fois / saison 

30k€ pour un déplacement en avion.

Respect de l’enveloppe prévisionnelle 

 

Aujourd’hui les charges sont bien gérées….quand je pense à l’époque Dekro - Franky c’était open bar ….

[samsara]

L'entrée de Moukouro, Gomes Sa, Marchand, le manque de vitesse de Jurand, Belaubre sur du synthétique, rentrée de Couilloud,  the odds are low comme on dit en Eire - les chances sont faibles pour BB. Dans les plus, la mise au vert opportune, la dynamique de victoire, Guillard out, Couilloud qui revient de blessure, la troisième ligne, Muarua qui doit se montrer enfin, Tix et Dessaigne parfaits sur terrain rapide. Il ne faut pas se rater dans le combat, et ne pas hésiter si on passe au large. Tauzin et Newsome nous doivent bien un bon match aussi. 

FORZA   ASM

[Néophyte]

Je ne trouve pas Jurand lent. Il court moche, mais il court plutôt vite. 

[Eria]

Il est où Simmons ??

et Ceyte ? 

 

 

dans l'Hérault ...

[P'tit Jaune (et bleu)]

Quelques fusées chez leurs arrières : danger ++?

[F@b]

Match de reprise avec lignes arrières artisanales, si on ramène un point, c'est bien
M'étonnerait que le staff ait ciblé ce match

[el landeno]

Match de reprise avec lignes arrières artisanales, si on ramène un point, c'est bien
M'étonnerait que le staff ait ciblé ce match

alors ça fait cher la mise au vert, à moins que ça soit une mise au verre pour gouter le beaujolais nouveau ?

mon ami Rado m'a dit qu'il aurait le gout de banane