573 réponses à ce sujet

[Bon Chasseur]

Moi j'veux bien qu'on parle du temps partagé par les inters, mais rappelons (encore) que Galthie bosse dans des conditions bien meilleures que ses prédécesseurs sans pour autant nous apporter grand chose. Alors bien sur on ne parle pas de l'escroquerie Brunel, ni du cirque PSA. (je ne parle meme pas de Guytout qui certes un peu dépassé par le rugby moderne s'est fait savonner la planche par Bernie et son porte flingues). 

*Complètement dépassé tu veux dire, le staff Novès mais bref passons.

 

Ici 2 tournois en 6 ans avec une bonne génération, c'est peu, mais c'est aussi au lendemain de l'ère noire des Bleus et ce staff redresse l'équipe incroyablement. Je m'attends à une victoire au prochain tournoi qui ferait 3 en 7 ans que je trouverais satisfaisant dans l'ensemble. Il y a aussi cette année invaincue et un record pour les Bleus, et toutes les séries négatives pétées (battre les Gallois à Cardiff, les Irlandais à Dublin, les Sudafs 22, les Blacks 21, les Aus en Aus...etc). Galthié a un peu mieux qu'avant, oui, mais c'est insuffisant comme conditions tjrs. Voyons ce qu'il arrive à faire sur les 2 prochaines années. En commençant par les Fidji ce soir

[el landeno]

Tous des monstres les joueurs !

Y en a pas un qui prendrait les bocks d'aujourd'hui

A l'eau claire de la lune !!

 

 

Une ville qui réussit aux Bleus... sauf face à l'Afrique du Sud : ces fois où le quinze de France a joué à Bordeaux

 

Les Bleus entonnent la « Marseillaise » avant de défier l'Afrique du Sud au parc Lescure en 1996. (D. Clément/L'Équipe)

Avant d'y retrouver les Fidji samedi soir (21h10), les Bleus ont déjà joué à onze reprises à Bordeaux dans leur histoire. Ils y affichent un bilan largement en leur faveur... sauf quand il est question d'affronter les Springboks.

 

1913 : France 5 - 38 Afrique du Sud

Pour le premier France-Afrique du Sud de l'histoire, les Bleus reçoivent les Springboks au Bouscat, une commune qui fait désormais partie de la métropole bordelaise, dans le stade Sainte-Germaine. Aujourd'hui, cette petite enceinte est occupée par les Lionnes du Stade Bordelais, triple championnes de France en titre. Le Bouscat n'a pas porté chance aux Tricolores, terrassés dans les grandes largeurs par les Sud-Africains, pour le 22e match officiel du quinze de France.

 

 

 

Un ticket pour le premier France-Afrique du Sud de l'histoire, organisé au Bouscat en 1913. (Association Préservons Lescure)

1957 : France 39 - 0 Roumanie

Cela fait dix ans que les Français et les Roumains ne se sont plus affrontés, mais dans la deuxième moitié du XXe siècle, il s'agissait d'une affiche récurrente (44 confrontations entre 1957 et 1999). Pour leur grande première au parc Lescure (rebaptisé stade Chaban-Delmas en 2001), les Bleus font le spectacle et s'offrent un large succès.

 

1968 : France 9 - 12 Afrique du Sud

Dans le sillage de Walter Spanghero, titulaire au centre de la troisième ligne, les Bleus échouent de nouveau face aux Springboks au parc Lescure. Dix ans après le « Grand combat du quinze de France » et cette tournée victorieuse en Afrique du Sud, une grande rivalité sportive est née. Mais les Bleus, trois fois vainqueurs à l'extérieur (en 1958, 1964 et 1967), n'ont toujours pas battu leurs adversaires au pays.

 

 

 

Les Sud-Africains font tourner en bourrique les Bleus au parc Lescure, en 1968. (L'Équipe)

1973 : France 30 - 18 Japon

C'est la toute première fois que les Bleus affrontent le Japon, un adversaire dont ils ignorent alors tout et qui clôt à Bordeaux une longue tournée européenne du pays du Soleil Levant. Avec une équipe remaniée, et notamment guidée par Jo Maso au centre de l'attaque, les Français s'imposent sans peine. Les Tricolores ne rejoueront plus face aux Brave Blossoms avant 2003.

1975 : France 36 - 12 Roumanie

Deux ans avant le Grand Chelem de 1977, l'équipe de France cornaquée par le demi de mêlée et capitaine Jacques Fouroux prend forme. La première ligne Cholley-Paco-Paparemborde et la troisième ligne Rives-Bastiat-Skrela donnent sans conteste le pack roumain. Les Bleus passent six essais à leurs adversaires et enthousiasment le parc Lescure.

 

1976 : France 18 - 15 Australie

Avec la même colonne vertébrale qu'un an plus tôt, les Bleus régalent de nouveau le public bordelais face à un adversaire plus prestigieux encore, l'Australie. L'équipe de France inscrit trois essais, par Roland Bertranne, Robert Paparemborde et Gérard Cholley, et conserve son en-but inviolé. Mais la botte de Paul McLean, auteur de quatre pénalités et un drop, maintient le suspense jusqu'au bout.

1993 : France 16 - 13 Australie

Il faut attendre dix-sept ans pour voir les Bleus jouer de nouveau à Bordeaux. Et ils reprennent le fil de l'histoire là où ils l'avaient laissé, face à ces mêmes Wallabies, devenus champions du monde entre-temps (en 1991). Contre le cours du jeu, l'équipe de Pierre Berbizier s'impose grâce à un essai d'Aubin Hueber et deux drops, signés Alain Penaud et Jean-Luc Sadourny, pour le plus grand désarroi de David Campese et ses coéquipiers.

 

Les Bleus d'Alain Penaud s'en sortent bien face aux Australiens de Tim Horan (à droite), en 1993. (N. Luttiau/L'Équipe)

1996 : France 12 - 22 Afrique du Sud

Champions du monde chez eux un an plus tôt, les Springboks reviennent jouer un sale tour aux Bleus. Après 1913 et 1968, ils s'imposent une troisième fois à Bordeaux malgré les douze points au pied de Richard Dourthe. Plus puissante et efficace, l'équipe de Joost Van der Westhuizen et du capitaine Gary Teichmann fait taire le parc Lescure, grâce à deux essais aplatis par James Small et André Joubert en première période.

1999 : France 47 - 13 Namibie

À l'occasion de la Coupe du monde 1999, l'équipe de France a la chance de jouer ses matches de poule à la maison. Malgré de nombreuses approximations et quelques péchés d'orgueil, les Bleus s'imposent sans peine face à la Namibie devant le public du parc Lescure. Titularisé à l'arrière, Ugo Mola, l'actuel entraîneur du Stade Toulousain, claque un triplé en douze minutes chrono.

 

Vincent Clerc plonge dans l'en-but irlandais à Chaban-Delmas, en 2011. (L. Argueyrolles/L'Équipe)

2011 : France 19 - 12 Irlande

Avant-dernier arrêt avant le décollage vers la Coupe du monde en Nouvelle-Zélande pour les Bleus. À Chaban-Delmas, les coéquipiers de Thierry Dusautoir reçoivent l'Irlande pour leur premier match de préparation, juste avant de s'imposer à Dublin une semaine plus tard (22-26). Avant de briller à l'autre bout du monde, Vincent Clerc aplatit l'unique essai de la rencontre pour offrir un minimum de confiance aux Français.

2021 : France 40 - 15 Géorgie

Dernier passage en date des Bleus à Bordeaux. Après avoir vaincu l'Argentine (29-20) et juste avant de terrasser les All Blacks (40-25), ils reçoivent la Géorgie au Matmut Atlantique, construit à l'occasion de l'Euro de foot en 2016. Matthieu Jalibert (à l'ouverture) et Romain Ntamack (au centre) sont associés, alors qu'Antoine Dupont fête seulement son deuxième capitanat. Les Français inscrivent six essais dont un doublé de Damian Penaud.

Bordeaux réussit plutôt bien aux Bleus

Matches disputés : 11
Victoires : 8
Défaites : 3
Score moyen : 25-15
Equipes affrontées : Afrique du Sud (3 fois), Australie (2), Roumanie (2), Irlande (1), Japon (1), Géorgie (1), Namibie (1).

[Fanchic]

Le rendement de Galthier est faible 
Jamais un sélectionneur na eu autant de moyen et de talent à sa disposition.
Avec son énorme boulard il en fait de la merde 

Peut-être que la recette à 75% toulousaine n'est pas la bonne

[Alex chocolatines]

Peut-être que la recette à 75% toulousaine n'est pas la bonne

Ouais t'as raison, ils gagnent rien nos gars, que Galthie les laisse végéter en club 

 

A aucun moment tu te poses la question du management Mola vs le management Galtie ?  

[Vynce]

Il a signé à Toulouse?

Avec Camille Chatte.

[Alligator427]

Et sinon Moefana il en est où ?

[Fanchic]

Ouais t'as raison, ils gagnent rien nos gars, que Galthie les laisse végéter en club 
 
A aucun moment tu te poses la question du management Mola vs le management Galtie ?  

Non je pose la question arbitrage Toulouse vs arbitrage équipe de France

[Alex chocolatines]

Non je pose la question arbitrage Toulouse vs arbitrage équipe de France

Ah oui, j'oubliais, toi et ta lubie de l'arbitrage    

Parler du coaching et de l'impact psychologique des coachs sur un groupe ça t'intéresses pas    

[jose5]

Je suis curieux de voir ce que vont donner les groupés pénétrants, les fijiens en avaient fait de très beaux face à l'Angleterre, et avec notre 2ème ligne bricolée, il ne faudrait pas se laisser surprendre.

[el landeno]

De Flanker à deuxième-ligne, Charles Ollivon, un nouvel hybride à la française

Charles Ollivon est le quatrième troisième-ligne de métier à être titularisé en numéro 4 par Fabien Galthié. Explications d'une tendance forte en équipe de France depuis 2020.

Dans l'immense lignée des 1 202 joueurs de l'équipe de France, rejointe samedi dernier par Guillaume Cramont, les cumulards sont trop nombreux pour être répertoriés. Pour aller vite, on a cherché le plus ancien d'entre eux -Marcel Communeau, 21 sélections entre 1906 et 1913- et le plus récent -Joshua Brennan, 2 capes en 2025-, puis on a textoté avec deux grands anciens de L'Équipe, en leur posant cette question : qui sont les Bleus à avoir été titulaire à au moins trois postes ?

 

 

Ceux-là sont les plus rares, presque une caste. On savait à peu près que Walter Spanghero, Thomas Castaignède, Emile Ntamack et Abdelatif Benazzi en faisaient partie. On a découvert que Communeau aussi. Puis un profane a pensé à Sébastien Chabal. Et les anciens nous ont soufflé les noms de Philippe Sella, Patrick Salas, Roger Martine, Marc Cécillon, René Biénès, Jean Barthe, Olivier Roumat, François Moncla ou Jean Gachassin, ce dernier ayant même débuté à quatre postes différents.

 

Pourquoi cet intérêt d'archiviste pour les Tricolores les plus polyvalents ? Parce que Charles Ollivon (32 ans) s'apprête à rejoindre ce groupe samedi, face aux Fidji. Flanker pour sa première titularisation (Australie 2016), troisième-ligne centre à trois reprises sous Fabien Galthié (Japon 2020 et Argentine 2024), le Basque se retrouve cette fois dans la « cage », en numéro 4. Soit la même « montée » de l'arrière au milieu de la mêlée que celle effectuée par Chabal et Benazzi en leur temps. « C'est quelqu'un qui sur une fin de carrière peut très bien jouer à ce poste-là, parce qu'en prenant de l'âge, tu peux y être très performant, on l'a vu avec d'autres joueurs », notait d'ailleurs récemment son manager au RCT, Pierre Mignoni.

Une tendance de l'ère Galthié

Les blessures de Thibault Flament et Mickaël Guillard sont évidemment les premières explications de la titularisation d'Ollivon en deuxième-ligne gauche. Mais c'est aussi un choix qui correspond à une tendance forte de l'ère Fabien Galthié. Sur les 62 tests qu'il a dirigés, l'ancien demi-de-mêlée a titularisé 50 % des fois un troisième-ligne de métier en numéro 4 : Bernard Le Roux au début (10 capes en 2020-2021), Cameron Woki ensuite (19 entre 2021 et 2024), puis Alexandre Roumat (2 en 2025). Et même le taulier, Flament, n'a longtemps pas été un « 4 » à part entière puisqu'entre 2021 et 2024, près d'un tiers de ses titularisations avec Toulouse a été au poste de flanker.

 

 

 

Pourquoi cette mode très française, alors qu'aucune autre nation majeure n'a aligné un troisième-ligne dans la cage en ce mois de novembre ? Dès sa prise de fonction, connaissant la différence d'intensité entre le Top 14 et le niveau international, Galthié a tout mis en oeuvre pour accroître la mobilité de l'équipe de France, afin qu'elle court plus et accélère mieux. En visant surtout deux postes. « Nous avons des lacunes persistantes en première ligne et en deuxième ligne, notamment sur le nombre d'accélérations et les distances d'accélération, disait en 2022 l'ancien directeur de la performance des Bleus, Thibault Giroud. Il faut que l'on ait des garçons capables d'augmenter leur pic d'accélération. »

Ollivon comme Woki ?

Titulaire à l'époque, Cameron Woki répondait exactement à cette attente. « Il est très performant dans l'intensité courue et dans l'intensité combattue, précisait Giroud. Il a une mixité des régimes de contraction musculaire qui lui permet, après beaucoup de combats, d'accélérer sans déperdition d'explosivité. » À part Le Roux, Galthié a aussi trouvé dans ces troisième-ligne reconvertis, de bons manieurs de ballons capables de changer la face d'une action sur un simple geste. Conséquences, avec ces deuxième-ligne gauche hybrides, la différence traditionnelle avec le rôle de flanker s'est atténuée. Lors du dernier Tournoi, les numéros 4 (Flament, Roumat et Hugo Auradou) ont plaqué quasiment autant que les flankers (Cros, Jegou et Boudehent) en moyenne (8 contre 11) et réalisé plus de passes dans le jeu courant (8,4 contre 4,8).

Charles Ollivon peut-il s'inscrire dans la lignée des numéros 4 « Galthiéen » ? Physiologiquement, il semble fait du même bois que Woki, en témoigne cette capacité à changer de rythme qui en a fait le meilleur marqueur des avants français de l'histoire (16). Il est lourd, par ailleurs (114 kg), presque autant que Le Roux et Flament (116), ce qui devrait bien l'aider en mêlée. Pour lui, comme pour Woki à l'époque, la question est celle de leur dureté au combat, surtout dans un match où il faudrait beaucoup batailler. À ce jour, il semble moins armé pour cet exercice que des vrais « 4 » comme le Bok Eben Etzebeth, le Néo-Zélandais Scott Barrett ou l'Anglais Maro Itoje. Mais c'est peut-être en ferraillant que l'on devient ferrailleur...

 

[Tchou]

Il faut gagner ce soir, qui plus est suite à la victoire des Anglais.

 

Allez les Bleus.

[gregouarrrr]

je vois le rapport avec les anglais ...

 

quelques soient les autres résultats, si on ne gagne pas ce soir, c est hyper inquietant, mais je ne me fais pas de soucis 

[Very Good Eshvili]

Ah oui, j'oubliais, toi et ta lubie de l'arbitrage    

Parler du coaching et de l'impact psychologique des coachs sur un groupe ça t'intéresses pas    

Ouais mais Mola et ses causeries à base de développement personnel seconde zone / 2ème langue bof bof

[Alex chocolatines]

Ouais mais Mola et ses causeries à base de développement personnel seconde zone / 2ème langue bof bof

C'est pas pire que Jean Claude Van Galthie hein .

[Alligator427]

Toujours aussi nulle la réalisation de tf1 avec l'interview de Galthié coupée au milieu de tout