573 réponses à ce sujet

[Maury]

A fond derrière Sowakula

[ELSAZOAM]

On sait si Raka a envisagé de postuler pour la sélection fidjienne ? 

Les conditions sont-elles réunies pour qu'il puisse postuler ?...  

[julien]

Meafou blessé, remplacé par Tao.

 

malade plus précisément

[Néophyte]

Les conditions sont-elles réunies pour qu'il puisse postuler ?...  

 

 

Il me semble que oui. Sa dernière sélection avec l'EDF remonte à la préhistoire. 

[Bon Chasseur]

 

 

Il me semble que oui. Sa dernière sélection avec l'EDF remonte à la préhistoire. 

La préhistoire, c'est pas qd Saint-André était sélectionneur, ça ?

[Néophyte]

La préhistoire, c'est pas qd Saint-André était sélectionneur, ça ?

 

Il n'a pas été sélectionné depuis la CDM 2019. Brunel, donc, un dinosaure. 

 

Et qui dit "dinosaure" dit "préhistoire". 

[Alex chocolatines]

 

Il n'a pas été sélectionné depuis la CDM 2019. Brunel, donc, un dinosaure. 

 

Et qui dit "dinosaure" dit "préhistoire". 

Ouais fossile ça marchait aussi . 

[Ptolémée]

Victoire nécessaire pour le moral de l'équipe 

[Milian]

Les conditions sont-elles réunies pour qu'il puisse postuler ?...  

Et puis il a subi un tel deferlement de haine quand il a postulé en EDF, peut etre qu'il a peur de nouveau d'etre la cible des réseaux sociaux si il changeait de selection...
Le climat est pas tres facile en France pour les naturalisés, je pense qu'il le prend en compte.

[el landeno]

La claque de 2018 face aux Fidji : le jour où le XV de France a été « plus nul que nul »

Il y a sept ans, les Bleus touchaient le fond en s'inclinant piteusement à domicile face aux Fidjiens (14-21). Un échec historique en forme de climax de la décennie noire du quinze de France.

C'est un cri dans la nuit. Celui de Mathieu Bastareaud, dépité et en colère, au milieu de cette équipe de France réunie en cercle, sous les poteaux. « On s'est pris pour qui, les gars ? On s'est pris pour qui ? Ça y est, on bat l'Argentine et on se prend pour d'autres. Alors maintenant, on va redescendre sur Terre et on va manger de la merde ! Parce que là, on fait pitié, on fait honte les gars ! Faut qu'on ait conscience de ça... »

 

 

L'ire de l'ancien centre trouve sa source dans le grand vide proposé par le quinze de France ce 24 novembre 2018. Complètement à côté de leurs pompes, les Bleus du sélectionneur Jacques Brunel viennent d'offrir aux Fidjiens une victoire de prestige (14-21) dans un Stade de France à moitié vide (42 200 spectateurs) et de conclure une triste tournée d'automne, commencée par un revers de dernière minute face à l'Afrique du Sud (26-29) et rehaussée d'un succès en trompe-l'oeil sur les Pumas (28-13).

« On passe d'une tournée qui aurait pu être exceptionnelle à une tournée catastrophique et historique. Des fois, ça joue à pas grand-chose, rejoue Louis Picamoles, numéro 8 des Bleus ce soir-là. Mais ce pas grand-chose, il est abyssal quand tu reprends un peu tout ce qui n'allait pas. »

Un an après le match nul face au Japon (23-23) qui avait scellé le destin de Guy Novès à la tête du quinze de France, son successeur Jacques Brunel n'est pas parvenu à redresser la barre. Les mauvais résultats et la rotation permanente au sein de l'équipe entraînent alors les Bleus dans une spirale négative dont on ne voit pas le bout. Et l'humiliation fidjienne en constitue le paroxysme.

« La France a touché le fond, mais ça fait si longtemps qu'elle s'y maintient qu'on a plutôt la désolante impression qu'elle est désormais engagée dans des canalisations qui mènent aux égouts de l'histoire », défouraillait notre estimé confrère Pierre-Michel Bonnot dans L'Équipe le lendemain du désastre.

Totalement battus dans le défi physique, les Bleus perdent tous les contacts, notamment face aux boules de démolition Semi Radradra et Josua Tuisova, chacun auteur d'un essai (20e, 30e). « Ce jour-là, on a été dominés physiquement. Les un-contre-un, on les a quasiment tous perdus, se souvient Jean-Baptiste Élissalde, alors entraîneur des arrières tricolores. Je pense qu'on les a pris de haut. On pensait s'en sortir parce que les Fidji n'ont pas une bonne conquête, n'ont pas ci ou ça. Mais sur ce match-là, ça n'était pas arrivé. »

« Les Fidjiens avaient vraiment envie d'en découdre »

Yoann Huget, ailier titulaire ce soir-là

 

 

 

Devant à la pause (14-12) grâce à deux essais sur ballon porté aplatis par le capitaine Guilhem Guirado (25e, 40e), les Français subissent dans tous les domaines et payent leur impuissance par les points au pied de Ben Volavola. Trois pénalités, neuf points, les seuls d'une seconde période désolante.

« C'est entièrement notre faute, juge l'ailier Yoann Huget. On a essayé de jouer de notre camp alors que les conditions climatiques ne le permettaient pas. On subissait aussi en attaque, les Fidjiens avaient vraiment envie d'en découdre. Quand on les joue, il ne faut pas tomber dans un ''hourra rugby''. Il aurait fallu avoir un jeu structuré jusqu'à la fin et exploiter leurs moindres erreurs. On se disait qu'ils allaient faire une faute, quelque chose qui nous permettrait de repasser devant ou de tenir le ballon. Mais à chaque fois, on commettait un petit en-avant qui venait briser notre dynamique. »

« On était sans solution, reconnaît Picamoles. À la fin du match, on avait du mal à se regarder dans les yeux parce que personne n'était fier de ce qu'on venait de montrer. Il y avait un mélange de déception, de tristesse, de honte, de frustration, de colère... Même si je trouve le mot ''honte'' un peu fort parce que, quand on a honte, ça veut dire que l'adversaire est clairement mauvais. Or, l'équipe des Fidji ce soir-là avait fait un très bon match. »

 

Jefferson Poirot (de dos) et Sébastien Vahaamahina tentent de mettre au sol le capitaine fidjien Dominiko Waqaniburotu. (F. Seguin/L'Équipe)

Pour la première fois en dix confrontations, les joueurs du Pacifique déplument le frêle coq. « Ce match de 2018 a été le meilleur que nous ayons joué », assure le troisième-ligne Bill Mata, qui défiera de nouveau les Bleus à Bordeaux ce samedi. « On savait qu'une victoire nous permettrait d'entrer dans l'histoire, souriait le sélectionneur fidjien de l'époque, John McKee, dans les entrailles du Stade de France. Beaucoup de nos joueurs évoluent dans le Top 14 et fréquentent les joueurs français, ils connaissent certaines de leurs faiblesses. Ça nous a donné la foi. »

À moins d'un an du Mondial japonais, le chantier autour de l'équipe de France est tellement grand qu'on peine à voir par quel bout le prendre. Mais du tas de fumier que constitue cette historique défaite ont émergé quelques jolies fleurs selon Picamoles : « Dans un sens, je me dis que ce match et tous les événements qu'on a vécus ont aussi permis de prendre conscience qu'il fallait se mettre autour d'une table et réfléchir à ce qu'on pouvait faire pour que ce genre de choses n'arrive plus. »

Après un Tournoi des Six Nations 2019 peu reluisant mais marqué par la prise de pouvoir d'une nouvelle génération - Dupont, Ntamack et Penaud s'installent dans le quinze de départ, Alldritt et Ramos émergent dans le paysage -, « l'adjoint pas comme les autres » Fabien Galthié intégrera le staff de Brunel. Avant de prendre le poste de sélectionneur et de disposer d'un confort sur la mise à disposition des internationaux dont ses prédécesseurs osaient à peine rêver.

[Alex chocolatines]

C'est bien de nous rappeler que Galthie dispose de moyens et d'un confort jamais vu en EDF. Maintenant regardons son bilan    

[coucouleszouzous]

Cette seconde ligne est dégueulasse, et je dis pas ça parce qu'elle est pas Toulousaine.

Y'a moyen qu'on le perde ce match.

Les Fidjiens se démerdent de mieux en mieux devant, et derrière suffit que leurs monstres soient dans un bon jour pour nous éclater.

[Alex chocolatines]

Cette seconde ligne est dégueulasse, et je dis pas ça parce qu'elle est pas Toulousaine.

Y'a moyen qu'on le perde ce match.

Les Fidjiens se démerdent de mieux en mieux devant, et derrière suffit que leurs monstres soient dans un bon jour pour nous éclater.

Tao est complètement roti est Olivon n'est pas un "vrai" seconde latte, ceci dit il a été mon au RCT contre LR. Mais je le préfère troisième latte . Et puis Auradou, bah surcoté à mon avis

[Parigot_Paris]

C'est bien de nous rappeler que Galthie dispose de moyens et d'un confort jamais vu en EDF. Maintenant regardons son bilan    

Quand je me regarde je me désole. Quand je me compare je me console.

[ZACH]

C'est bien de nous rappeler que Galthie dispose de moyens et d'un confort jamais vu en EDF. Maintenant regardons son bilan    

Le rendement de Galthier est faible 

Jamais un sélectionneur n’a eu autant de moyen et de talent à sa disposition.

Avec son énorme boulard il en fait de la merde