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Dopage et rugby (92)


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#5146 inASMweTrust

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Posté 20 mars 2022 - 10:44

Les infiltrations sont un fléau, ce dire que certains athlètes sont constamment infiltrés ca fait peur

en général, je crois (le marseillais nous précisera) qu'il s'agit de corticoïdes, qui ont des effets en terme d'ostéoporose, de glaucome ou d'hypertension. Sur le long terme, avec une multiplication des infiltrations, je ne sais pas quel peut être l'impact. 



#5147 el landeno

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Posté 15 avril 2022 - 10:42

Comment la cocaïne gangrène le monde du rugby À l'image de la société, la consommation de cocaïne dans le rugby, pro comme amateur, s'est banalisée. Un recours qui peut s'expliquer par un besoin de décompresser mais aussi d'absorber les chocs et la rudesse de ce sport.

 
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« Personne ne se cache », dit un joueur pro. Il assure en avoir vu, des coéquipiers, quitter la piste de danse pour les toilettes de la boîte de nuit du coin ou la salle de bains de l'appartement. « La cocaïne est devenue banale », prétend l'un de ses confrères. « Quand j'ai commencé, certains fumaient leur petit bédo de cannabis, poursuit-il. Ça a été remplacé par la cocaïne. » Une pratique banale, ou plutôt commune dans le rugby d'aujourd'hui ? « Réveillez-vous, ça fait un moment qu'elle circule, depuis que le rugby est devenu professionnel... » Bernard Dusfour, ancien président de la commission médicale de la Ligue nationale de rugby (LNR), a le ton badin lorsqu'il évoque cette drogue dure.

 
 

Vingt ans que « la coke » fait partie du paysage, à l'écouter. Le contrôle positif à la cocaïne, le 27 février, de la star australienne du rugby à XIII James Maloney, ancien des Dragons Catalans, aujourd'hui sous le maillot de Lézignan (le demi d'ouverture a été suspendu provisoirement et mis à pied à titre conservatoire par son club dans l'attente de la fin de la procédure engagée par l'AFLD) est l'exemple le plus récent : « Oui, ça circule », confie un ancien international, fraîchement retraité.

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Le 27 février, James Maloney (en vert), star du rugby à XIII, a été contrôlé positif à la cocaïne. (Clementz Michel/L'Indépendant/Maxppp)

Il a arrêté, lui, de consommer, et donc de contacter ses fournisseurs, ceux de monsieur et madame Tout-le-Monde. « En soirée, à la cité... », explique-t-on ici et là. « Quand on sort, vraiment, ce n'est pas très compliqué », lance un autre pro. Plus facile en tout cas que d'en parler. Discuter cocaïne avec les joueurs revient à raviver le souvenir de plusieurs anciens : l'ex-pilier international français Pieter de Villiers, positif en 2002 après un contrôle inopiné, frappé ensuite de nullité pour vice de forme ; ou les stars néo-zélandaise Ali Williams (77 sélections) et australienne James O'Connor (59 sélections), arrêtées en possession de cocaïne en février 2017 à proximité d'une boîte de nuit de l'ouest parisien.

Convoqué devant le tribunal pour « achat de stupéfiants », le premier avait été condamné à une amende de 1 500 euros puis licencié par son club, le Racing 92. Lors de sa comparution, il avait plaidé coupable. Le Toulonnais James O'Connor s'était, lui, vu notifier une amende pour « usage » dans le cadre d'une ordonnance pénale. « J'ai vraiment l'impression, et ça n'engage que moi, que dans beaucoup de clubs, la cocaïne s'est un peu invitée dans le milieu festif », racontait alors Mourad Boudjellal, l'ex-président du RC Toulon.

« Des joueurs du Top 14, actuellement en activité, en tapent »

Un joueur pro toujours en activité

 
 
 

C'est aussi s'ouvrir à quelques rumeurs que de questionner la cocaïne auprès des rugbymen actuels. Un ancien champion de France, dont le palmarès commence à dater, est cité. Il le reconnaît d'emblée : il a franchi la ligne blanche. « J'en ai pris de la coke, et alors ? Je n'ai rien à cacher. Ça n'a rien d'exceptionnel. Tout le monde en consomme dans le milieu. Des joueurs du Top 14, actuellement en activité, en tapent », assure-t-il. Et de poursuivre, tantôt agressif, tantôt rigolard : « Comme par hasard, c'est à moi que vous posez ces questions... » Le propos est décousu, l'entretien, très tendu : il se terminera d'ailleurs par un « va te faire foutre ! » L'interview est entrecoupée de rires sardoniques, d'insultes et de moqueries. Mais aussi d'un début d'explication.

« Je souhaite à n'importe quel mec lambda d'être un jour sportif professionnel, de gagner plein d'argent et d'être sous pression du matin au soir. C'est compliqué à vivre au quotidien. Personne ne peut comprendre tant qu'il ne l'a pas vécu, tant qu'il n'a pas joué et été applaudi par des milliers de personnes. Quand tu dois bien manger toute ta vie, t'entraîner, faire tout ce qu'on te dit, être à 800 % du matin au soir, sept jours sur sept, à un moment, il faut sortir, s'amuser, relâcher la pression. Certains font de la marche, d'autres prennent de la drogue. Pareil quand tu te retrouves en tribunes et que tu ne joues pas : tu retrouves cette adrénaline avec la coke. »

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La rudesse des contacts est une des causes mises en avant pour expliquer la consommation régulière de cocaïne dans le rugby pro comme amateur. (Alex Martin/L'Équipe)

Le joueur n'a jamais été contrôlé positif. Il savait à quels moments de la semaine il pouvait se droguer. « Ça ne reste que 36 heures (48 heures maximum) dans les urines », assure-t-il, avant cette déroutante confidence : « Et puis, il suffit de regarder la liste des produits dopants : il est autorisé de prendre de la cocaïne à l'entraînement, pas les jours de match. » Toujours en activité, le joueur assure qu'il n'en consomme plus depuis qu'il n'évolue plus en Top 14.

Le sujet demeure sensible et les rares qui acceptent d'en parler le font sous couvert d'anonymat. Peur d'être suspendu et de prendre pour les autres. Peur d'être marginalisé. Peur, enfin, d'être poursuivi. L'usage de stupéfiants est un délit en France, puni d'une amende forfaitaire d'un montant de 200 euros, inscrite au casier judiciaire, pouvant être accompagnée d'une peine d'emprisonnement d'un an maximum. « Quand j'évoque le sujet, par exemple avec mes potes en Top 14, non, personne n'en parle, répond un trois-quart de Pro D2. C'est vraiment tabou. »

Un à trois mois de suspension pour un usage hors compétition
Depuis le 1er janvier 2021, la cocaïne est considérée comme une substance d'abus dans le code antidopage de l'Agence mondiale antidopage (AMA), au même titre que le cannabis, parce que ces drogues sont souvent consommées en dehors du contexte sportif. Elle n'est donc pas interdite hors compétition. « Si un sportif est testé positif à la cocaïne en compétition et qu'il établit que la prise de cette substance est hors compétition et qu'elle est sans lien avec la performance sportive, la suspension est réduite, explique Jérémy Roubin, de l'AFLD. Il encourt deux ans, sinon. C'est un allégement significatif. »
Selon l'article 10.2.4.1 du code, la sanction est de trois mois. La période de suspension peut même être ramenée à un mois si le sportif suit un programme de traitement contre les substances d'abus. L'AFLD effectue rarement des signalements auprès des autorités en cas de contrôle positif. « Il n'y a pas de suite judiciaire étant donné que les parquets ne poursuivent pas les consommateurs, détaille Jérémy Roubin (les parquets peuvent décider de faire des rappels à la loi ou contraindre à des injonctions de soins). On procède désormais à des signalements à l'autorité judiciaire quand on n'est pas simplement face à une consommation individuelle, mais à quelque chose de plus organisé. Le dossier est ensuite entre les mains du procureur de la République. À lui de choisir d'engager des poursuites. »

L'histoire d'un autre champion de France des années 2010 est aussi évoquée. « Il a bouffé tout son argent dans la came, raconte, anonymement, l'un de ses anciens présidents. Celui qui aime sortir, picoler, qui n'a pas envie d'avoir une vie stable, bah voilà, c'est assez simple de tomber là-dedans. Certains deviennent agressifs également. En quittant un de ses clubs précédents, il n'avait plus de pognon - et même des dettes. Ça coûte cher, la came ! » Une grosse écurie du Championnat lui avait offert jusqu'à 20 000 euros par mois de salaire mais il était ruiné. Lui non plus n'a jamais été contrôlé positif.

« La cocaïne ne reste dans les urines que 48 heures maximum. Les joueurs en prennent en début de semaine, par exemple, décrypte Christian Bagate, en charge de la lutte antidopage à la FFR pendant des années. Il n'y a plus de traces de drogue les jours de match. Nous n'avons d'ailleurs eu aucun cas de contrôle positif à la cocaïne en compétition, même si on sait très bien que les joueurs en prennent. » Ils seraient même de plus en plus nombreux à le faire, selon l'Agence française de lutte contre le dopage (AFLD).

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L'année dernière, l'AFLD a été saisie de sept rapports d'analyse anormaux comportant de la cocaïne. Cinq concernaient des rugbymen, dont un international. (Franck Faugère/L'Équipe)

« On s'aperçoit qu'il y a une augmentation du nombre de cas ces dernières années, détaille Jérémy Roubin, le secrétaire général de l'organisation. On sent bien qu'il se passe quelque chose. Il y a une tendance. On la constate uniformément, aussi bien au niveau professionnel qu'amateur. » L'année dernière, l'AFLD a été saisie de sept rapports d'analyse anormaux comportant de la cocaïne. Cinq concernaient des rugbymen, dont un international.

Trois dossiers ont été classés sans suite en raison du seuil fixé par l'agence mondiale antidopage (50 ng/mL). Les deux derniers concernent des joueurs évoluant au niveau amateur, en Fédérale. « Dans certains coins de France, après un match, c'est cocaïne party », selon un joueur de Pro D2. Au niveau fédéral, certains derbys très chauds peuvent aussi être l'occasion de dérives.

Comment expliquer le fait que certains se fassent attraper ? « Lorsqu'il y a un test positif à cette substance en compétition, cela signifie qu'il y a un usage régulier et conséquent, poursuit Jérémy Roubin. Avec le seuil de détection, ça ne peut pas être un accident. » Il n'y a que du jeudi au dimanche que les pros jouent, le calendrier se prête donc aux tours de passe-passe. « La cocaïne, on l'appelle "le dopage du lundi, mardi, mercredi" », dévoile Christian Bagate. « Ceux qui en consomment ne sont pas fous : ils font attention au moment où ils en prennent, confirme une source. Ils attendent que le match soit passé. »

« La connerie, l'effet de groupe, le relâchement, dans un sport très "troisième mi-temps" peuvent t'amener à consommer »

Un joueur de Pro D2

 
 
 

Un contrôleur de l'AFLD confie qu'un changement « d'habitude » a été opéré pour attraper ceux qui franchissent la ligne. « Avant, nous arrivions avant le début du match, précise-t-il. Du coup, les joueurs étaient alertés et ne prenaient rien. Maintenant, nous devons, dans la mesure du possible, nous présenter en début de deuxième mi-temps car on sait que certains attendent la mi-temps pour en prendre. »

Il y a quatre ans, après l'affaire Williams-O'Connor, Robins Tchale-Watchou, le président de Provale, le syndicat des joueurs, avait lancé l'alerte. « Les joueurs prenaient de la cocaïne, oui, c'était l'un des principaux enseignements d'une étude sociologique consacrée au rugby professionnel, explique-t-il aujourd'hui. Et certains étaient addicts. »

« Il s'agit d'un problème de santé publique majeur donc il est évident qu'on le retrouve dans le rugby aussi », avance le docteur Dusfour. En France, selon l'Observatoire des drogues et toxicomanies (OFDT), la cocaïne fait partie des substances illicites dont la diffusion a le plus progressé ces dernières années. Elle est aujourd'hui la deuxième drogue la plus utilisée avec 600 000 consommateurs en 2021, la plus grande proportion étant la tranche des 26-34 ans.

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L'ex-deuxième-ligne Robins Tchale-Watchou, président de Provale, a mis en place une cellule psychologique et un numéro vert pour aider les joueurs concernés. (Sébastien Boué/L'Équipe)

Certaines mesures visent à aider les joueurs. Robins Tchale-Watchou, encore : « Un numéro vert ; la mise en place d'une cellule psychologique ; de la sensibilisation, notamment au fait qu'il ne faut pas voir la cocaïne comme quelque chose de ludique, que sa consommation peut avoir des conséquences et, surtout, comment repérer un copain en détresse, la façon d'agir pour l'aider, les personnes à contacter. Il y a eu beaucoup d'appels au numéro vert. Et il y en a toujours. »

Certains joueurs pros avancent que le problème est peu pris au sérieux. « Certains clubs voient leurs joueurs comme de la chair à canon », gronde un dirigeant. Un joueur de Pro D2 assure ne jamais avoir eu de réunion sur le sujet depuis le centre de formation : « Les données du problème sont censées être acquises. Mais la connerie, l'effet de groupe, le relâchement, dans un sport très "troisième mi-temps", et une hygiène de vie bancale peuvent t'amener à consommer. »

Selon Robins Tchale-Watchou, la consommation de cocaïne répond aussi « à un mal-être ». La pression du très haut niveau peut être un facteur. Pour certains, le produit libère l'esprit, rompt la solitude. Offre au corps un répit face aux chocs et aux excès du rugby moderne. « L'utilisation de la cocaïne dépend vraiment des individus, résume Bernard Dusfour. Pour certains, elle va les stimuler. Pour d'autres, elle est à usage récréatif. » Un jeune pro témoigne : « De ce que j'ai vu, c'est très troisième mi-temps. Et ça se voit dans le comportement. Je pense que le phénomène est beaucoup plus fréquent maintenant. »

« Le joueur est tellement désinhibé et excité qu'il en devient incontrôlable »

Jérémy Roubin, secrétaire général de l'AFLD

 
 
 

Un autre concède que le produit « fait un peu office d'anti-inflammatoire ». « Avec le médecin d'un club, on avait remarqué que les joueurs en consommaient pour adoucir les chocs et les douleurs », précise Jean-Pierre Verdy, directeur des contrôles de l'AFLD entre 2006 et 2015, qui confirme la singularité du rugby face au phénomène : « On ne l'a pas perçu [l'usage de la cocaïne] à ce niveau-là dans d'autres sports. » « La cocaïne, ça fait du bien, hein, s'étend un dirigeant. Du moins, ils le croient. Ça améliore la performance, l'état psychologique, tout. » Cela fait beaucoup de mal, surtout. « Cela pose aussi des problèmes de sécurité, rappelle Jérémy Roubin, de l'AFLD. Le joueur est tellement désinhibé et excité qu'il en devient incontrôlable. »

La plupart de nos interlocuteurs insistent sur ce point : la cocaïne n'est pas réservée au monde pro. « Ils achètent la semaine, puis consomment le week-end en soirée, explique un demi de mêlée amateur. Ils en prennent dans la rue, parfois. » Lui joue près de Bordeaux, mais le phénomène touche aussi les campagnes. Certains consomment à l'apéro, prennent le volant, parfois, ensuite. « Chez moi, c'est surtout les plus vieux, ceux qui ont côtoyé le plus haut niveau », dit un joueur de Fédérale 2. Dans un club du sud-ouest, c'est le Covid qui aurait engendré des « vocations »« Des joueurs faisaient des soirées clandestines, ça a commencé comme ça », confie-t-on. Jusqu'au jour où la fête s'arrête.

« La cocaïne peut entraîner la mort subite »
Spécialiste en médecine interne et addictologue, le docteur William Lowenstein est depuis 2013 le président de SOS Addictions. Le pneumologue de formation alerte sur les risques graves pour la santé liés à la prise de cocaïne.

« La prise de cocaïne s'est banalisée dans la société et dans certains sports, comme le rugby. Peut-elle aider à supporter les charges d'entraînement ?
La cocaïne étant un neuro-excitant, elle permet de s'entraîner davantage et de se donner à fond. D'aller au choc car elle est hypo-anesthésiante : on sent moins les coups dans l'immédiat. Il y a une moindre sensibilité à la douleur, associée à la désinhibition et à l'agressivité, ce qui permet de moins sentir les contacts. En résumé, la cocaïne permet de supporter les charges d'entraînement, de diminuer la douleur, d'augmenter l'agressivité et la motivation. C'est un produit dopant idéal.

Doit-on s'inquiéter pour la santé des rugbymen ?
Absolument. La cocaïne fait partie de ces substances dont la dangerosité a toujours été sous-estimée. Cette drogue est entourée d'un côté paillettes et festif, alors que c'est aussi dangereux que l'héroïne, dont l'image a toujours été terrible dans l'imaginaire collectif. Il y a pourtant beaucoup plus d'hospitalisations et de complications avec la cocaïne qu'avec l'héroïne. Il y a une vraie sous-estimation des risques physiques et neuropsychiatriques. En ce qui concerne les risques physiques, la prise de cocaïne va entraîner une augmentation importante de la fréquence cardiaque et de la tension artérielle, ce qui peut conduire à des AVC (accidents vasculaires cérébraux). Étant donné que cette drogue est vasoconstrictrice, c'est-à-dire qu'elle ferme les vaisseaux, elle peut entraîner des accidents cardiaques, des infarctus. Cette vasoconstriction peut aussi entraîner des insuffisances rénales aiguës. Cette substance est également génératrice de troubles du rythme cardiaque, surtout à l'effort, donc sa prise peut générer des tachycardies ventriculaires qui peuvent mener à la mort subite. Ces effets sont souvent ignorés et sous-estimés en France.

Et les risques neuropsychiatriques ?
Ce qui au début est vécu comme de la convivialité et une atténuation de la fatigue peut se transformer en mégalomanie, en baisse de la perception du risque, en agressivité, voire en paranoïa.
 
 

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#5148 Rugby ?

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Posté 15 avril 2022 - 11:13

Certains dirigeants constatent benoitement "que ça fait du bien".

D'autres sont plus à cheval sur l'hygiène de vie, ce me semble.



#5149 pims

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Posté 15 avril 2022 - 11:31

C'est qui à votre avis l'intellectuel anonyme cité dans l'article ?



#5150 Jicé

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Posté 15 avril 2022 - 12:01

C'est qui à votre avis l'intellectuel anonyme cité dans l'article ?

Va te faire foutre ! 

P Papé



#5151 Gourine63

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Posté 15 avril 2022 - 12:03

C'est qui à votre avis l'intellectuel anonyme cité dans l'article ?


Moi je mettrais une pièce sur Cudmore personnellement, mais c'est vraiment histoire de médire un peu.

#5152 pims

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Posté 15 avril 2022 - 12:30

Chais pas on dirait qu'il joue encore mais plus en top 14



#5153 Sushi

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Posté 15 avril 2022 - 15:50

Chais pas on dirait qu'il joue encore mais plus en top 14

Julien Caminati ?



#5154 Silhouette

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Posté 15 avril 2022 - 16:09

 

Doit-on s'inquiéter pour la santé des rugbymen ?

 

Oh bin non, j'imagine que la cocaine en complement d'un sport de haut niveau et avec des chocs comme le rugby pro actuel, ca doit passer nickel... Non mais serieusement, comment on peut presenter ca sous forme de question ?!  :blink:



#5155 Good Shvili

Good Shvili

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Posté 15 avril 2022 - 16:44

Julien Caminati ?


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#5156 zone et beu

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Posté 15 avril 2022 - 17:18

vous reprendrez bien une petite ligne (des 22)


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#5157 Pâquerette

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Posté 15 avril 2022 - 17:57

C'est qui à votre avis l'intellectuel anonyme cité dans l'article ?

 BHL.


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#5158 Good Shvili

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Posté 15 avril 2022 - 18:17

BHL.


Bernard Henri Laporte
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#5159 Gourine63

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Posté 16 avril 2022 - 05:57

Obi-Wan Kenobi

#5160 steph

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Posté 16 avril 2022 - 06:50

Quand je pense comment on voyait la cocaïne quand j'etais jeune ! C'était presque un passeport pour la mort à court terme. Grandeur et décadence...




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