
Tout est condensé, tout est rapporté.
La vie de la glisse
Posté 04 mars 2006 - 17:10
Posté 05 mars 2006 - 20:33
merci, il y a plus d' info sur ce blog que tous les médias réunisUn blog génial pour continuer à suivre tous ces champions justement!
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Tout est condensé, tout est rapporté.
La vie de la glisse
Posté 09 mars 2006 - 22:21
Posté 09 mars 2006 - 23:22
Posté 10 mars 2006 - 14:26
Posté 11 mars 2006 - 23:18
Jeux Paralympiques - La Fête VA Continuer !
mercredi 8 mars, 11h15
Début des hostilités le 10 mars
Les Jeux Olympiques achevés, les Paralympiques reprennent le flambeau dès le 10 mars, à Turin. Pendant dix jours, les sites de Sestrières (ski alpin), Pragelato (ski de fond et biathlon), Turin (hockey sur luge) ou encore Pinerolo (curling en fauteuil) accueilleront les 486 athlètes venus de 39 pays.
L'Allemagne, qui avait glané 17 médailles d'or à Salt Lake City, ainsi que les États-Unis font figure de favoris. Côté Français, l'objectif est de faire mieux que les deux médailles d'or obtenues par Pascale Casanova (déficiente visuelle) en descente, et Denis Barbet (paraplégique) en slalom, lors des Jeux de 2002.
Ne demandez pas à André Auberger, Président de la Fédération française handisport, combien de médailles sa délégation va ramener de Turin aux Paralympiques. «Je ne suis pas Madame Soleil, dit-il en rigolant. Et puis avec ce qui vient de se passer pendant quinze jours, on a vu que tous les objectifs n'avaient pas pu être atteint.» En 2002, à Salt Lake City, l'équipe de France avait décroché dix-neuf podiums dont deux titres (NDLR : Pascale Casanova en descente et Denis Barbet en slalom). «Nous avions été champions au niveau des médailles d'argent avec onze deuxièmes places, poursuit Auberger. La plupart du temps, cela s'était joué à très peu de choses.» Avec également six médailles de bronze, la France avait fini au treizième rang en tenant compte des titres mais à la cinquième position sur le total de breloques. «Là, à Turin, on espère être dans les huit premiers», détaille le dirigeant.
Nouveau système de classification
Pour ces neuvièmes Jeux Paralympiques, la grande innovation est venue du bouleversement des épreuves. Terminée l'époque où il y avait une multitude de courses pour compétiteurs debouts ou assis selon le degré du handicap. Désormais c'est tout le monde au même niveau. Afin de donner à chacun des chances égales, l'organisation a décider de simplifier les degrés de handicaps en ne les rangeant qu'en trois catégories : une compétition pour les «assis», une autre pour les «debouts» et une dernière pour les personnes visuellement limitées.
En ce qui concerne le ski, le temps de chaque compétiteur sera naturellement pris en compte, chrono auquel sera ajouté un coéfficient relatif au degré de handicap du skieur. «Cela a été fait pour que le public et les médias s'y retrouvent un peu plus facilement, explique André Auberger. Un système de coéfficient a été mis en place à partir de toutes les expérimentations qui datent depuis vingt ans. Celui qui gagnera sera bien évidemment heureux. Les autres pourront toujours contester la formule. Mais c'est la loi du sport.» Enfin, tout comme lors des Jeux Olympiques, des contrôles anti-dopage sont prévus pendant la session Paralympique (280 planifiés à ce jour).
Des espoirs de médailles en ski alpin et nordique
La délégation française alignée à Turin sera composée de quarante-cinq membres. En ski alpin, les espoirs de médaille reposent à nouveau sur Pascale Casanova, même si cette dernière revient tout juste d'une opération de la clavicule. On retient aussi le nom de Solène Jambaqué et chez les hommes, de Denis Barbet, champion olympique en titre, Lionel Brun, Nicolas Béréjny, Romain Riboud ou encore Yohann Taberlet. Rien que ça ! En ski nordique, les principaux espoirs reposent sur Anne Floriet, triple championne du monde et porte-drapeau de la délégation, mais aussi sur Émilie Tabouret, Yannick Boursaux et Alain Marguerettaz. En revanche, l'équipe de France n'est pas engagée dans les épreuves de hockey et de curling en fauteuil. «Chez nous, nous avons pour habitude de composer une sélection à partir du moment où il y a un nombre suffisant de pratiquants, avoue André Auberger. Je le regrette parce que le hockey, notamment, est une discipline spectaculaire. Cela viendra un jour mais pas tout de suite.»
Enfin les Jeux de Turin sont aussi porteur d'espoirs pour tout le camp paralympique au niveau de la communication. «Il y avait eu une explosion médiatique en 2004 à Athènes, déclare Auberger. Nous nous sommes rendus compte que les handicapés étaient de plus en plus suivis dans leurs compétitions. Bon, à la télévision, c'est vrai que les résumés passaient tard dans la nuit mais ça doit être normalement corrigé.» À Turin, la deuxième mission d'importance est de convaincre, de faire prendre conscience aux handicapés qu'ils peuvent faire du sport.
LES DISCIPLINES PARALYMPIQUES D'HIVER
Ski alpin : Descente, super-G, slalom et slalom géant.
Ski de fond : distances courtes et longues en style classique ou libre, relais.
Biathlon : distances courtes et longues.
Hockey sur luge : tournoi (*).
Curling sur luge : tournoi (*).
(*) Équipe de France non engagée
LA DÉLÉGATION FRANÇAISE
45 personnes.
Ski alpin : 10 athlètes, 2 guides, 7 dirigeants.
Ski nordique : 9 athlètes, 4 guides, 6 dirigeants.
Plus 7 membres d'encadrement.
LES PARALYMPIQUES EN CHIFFRES
10 jours de compétition (10-19 mars 2006).
58 médailles d'or distribuées.
4 sites de compétition (Turin, Pinerolo, Sestrières, Pragelato).
1 village olympique (Sestrières).
41 pays participants.
40 Comités nationaux paralympiques présents.
1 000 représentants du Comité international paralympique.
1 000 représentants des médias.
1 200 invités, sponsors et partenaires.
1 300 athlètes, guides, techniciens et responsables.
6 000 bénévoles.
250 000 spectateurs attendus.
Posté 11 mars 2006 - 23:21
Posté 11 mars 2006 - 23:30
Neuvièmes Jeux Paralympiques d'hiver - 2006
Déjà deux médailles d'or pour la France
Avec deux médailles d'or dès la première journée des Paralympiques, la France a déjà fait aussi bien qu'en 2002.
La Française Solène Jambaqué (à droite) avec le président Chirac
et la capitaine de l'équipe de France de ski Anne Floriet, le 3 mars.
(AFP/DAMIEN MEYER)
La France, qui n'avait remporté que deux médailles d'or (sur 19, au total) à Salt Lake City (États-Unis, Utah) en 2002, décroche sa première récompense suprême dès la première épreuve de ce matin du samedi 11 mars sur la piste de Sestrières en Italie.
En effet, la benjamine tricolore (elle aura 18 ans le 14 avril), Solène Jambaqué a remporté la médaille d'or dans l'épreuve de descente à ski. Quant à la porte-drapeau et capitaine de l'équipe de France, Anne Floriet (42 ans), elle a été également couronnée dans l'épreuve de biathlon longue distance (12,5 km) décrochant ainsi une deuxième breloque pour la délégation tricolore. L'athlète de Villard-de-Lans avait déjà été médaillée d'argent à Salt Lake City.
Avec un temps de 1 min 28 sec, Solène Jambaqué a devancé les doyennes de la compétition, l'Allemande Reinhild Moeller, 50 ans (1 min 30 sec), et la Slovaque Iveta Chlebakova, 43 ans (1 min 30 sec 43). Au total, treize skieuses ont pris part à la course.
«C'est merveilleux, je ne réalise pas ce que j'ai fait. J'ai réalisé mon plus grand rêve. Nous avons travaillé dur avec un grand groupe. Je dédie cette victoire à mon père qui n'est plus là et à tous ceux qui n'ont pas pu venir», a indiqué cette lycéenne de Saint-Mamet (Haute-Garonne) qui prépare un Bac S.
La jeune Française doit encore participer à trois autres épreuves (super-G, slalom géant et slalom) pendant ces Jeux Paralympiques d'hiver d'ici le 19 mars.
Hémiplégique, Solène Jambaqué a remporté l'épreuve de descente «debout», par opposition aux épreuves des compétiteurs «assis» (en fauteuil), qui commence dimanche.
Le Directeur Technique Fédéral Yves Maréchal ne cache pas son admiration envers les deux Françaises, et notamment la biathlète, maman de deux enfants dont d'une petite fille de dix-huit mois. «Anne était là pour une médaille, ce n'est pas le genre de fille à faire de la figuration. La façon dont elle est allée chercher sa médaille est remarquable.»
Posté 12 mars 2006 - 10:13
Posté 12 mars 2006 - 19:45
Neuvièmes Jeux Paralympiques d'hiver - 2006
La France 5ème avec trois médailles d'or
dimanche 12 mars, 15h06
Casanova en or. La moisson continue pour l'équipe de France. Après les deux titres obtenus samedi, la skieuse Pascale Casanova, a remporté la médaille d'or de descente (déficients visuels) avec sa guide Bénédicte Sainas dimanche.
(AP Photo/Claudio Scaccini)
SESTRIÈRES (AFP) - La France occupe la cinquième place au classement des Jeux Paralympiques d'hiver de Turin en Italie, avec trois médailles d'or et trois de bronze, après la fin des compétitions pour les Français dimanche.
La skieuse toulousaine Pascale Casanova, 32 ans, a facilement conservé son titre paralympique en descente (catégorie déficients visuels) conquis il y a quatre ans à Salt Lake City (États-Unis), malgré une très récente blessure à la clavicule.
La Française, âgée de 32 ans, a obtenu le temps de 1'28"79, devançant la Belge Sabine Gasteiger (1'32"61) et l'Italienne Silvia Parente (1'34"37). «La piste était dure. La seule solution consistait à attaquer tout du long, ce que l'on a fait», a déclaré Casanova.
Casanova et sa guide Bénédicte Sainas ont apporté de l'or pour la troisième fois dans la besace de l'équipe tricolore, après la victoire la veille de la skieuse de 17 ans, Solène Jambaqué (descente, catégorie «debout»), et de la capitaine de l'équipe, Anne Floriet (biathlon 12,5 km, «debout»).
En ski alpin, Denis Barbet a décroché la médaille de bronze dans l'épreuve de descente «assis» (le skieur paraplégique est assis dans une sorte de fauteuil - ou de coque - fixé sur un seul ski par l'intermédiaire d'un châssis articulé).
Le Landais Nicolas Béréjny a aussi obtenu du bronze dans la descente en ski, catégorie déficient visuel avec sa guide Sophie Troc, de même que le Savoyard Alain Marguerettaz (ski de fond «assis», cinq kilomètres).
Au tableau, la France comptabilise le même nombre de médailles d'or - trois - que les quatre pays en tête : la Russie, l'Ukraine, l'Allemagne et les États-Unis.
Lundi, la skieuse Solène Jambaqué - hémiplégique - espère décrocher un nouveau podium dans l'épreuve du Super géant, après l'or de la descente.
Posté 12 mars 2006 - 19:55
Posté 12 mars 2006 - 22:19
Posté 12 mars 2006 - 23:38
Dès aujourd'hui, France Télévisions, partenaire média de la Délégation française à Turin, vous permet de suivre en direct et en intégralité les épreuves paralympiques sur internet.
Pour ne rien rater, 4 canaux sont disponibles.
Rendez-vous sur : sport.france2.fr
Vous y retrouverez également les résumés quotidiens diffusés sur France 3 à 11h50.
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Posté 15 mars 2006 - 19:06