Posted 08 September 2010 - 14:05 PM
Avant d'aller plus loin sur ce sujet(si tant est que cela soit intéressant, et j'en doute fortement) il faudrait se pencher sur l'identité exacte et les origines du Berbizier .
Une longue et patiente observation nous amène à nous poser une première question : Le Berbizier est-il humain ?.
Au sens philosophique du terme nous devons bien admettre, mais seulement à priori, que oui, il l'est.
Je dis bien à priori car en effet à y regarder de plus près (pas trop quand même, la contagion étant toujours possible) on remarque que le Berbizier rit, rarement certes mais quand même. Hors selon le proverbe universellement connu « Le rire est la distinction entre l'homme et l'animal ». Ce qui après vérification scientifique s'avère faux pour certaines espèces, principalement la Hyène.
En réalité le Berbizier ne rit pas vraiment, il grimace des rictus. Ce qui se rapproche on ne peut plus près de l'expression affichée par l'animal cité plus haut.
On peut donc en conclure que Le Berbizier est un animal né sous le signe de l'hypocrisie ascendant Hyène très prononcé, doté d'une apparence humaine courte sur pattes.
Ceci nous amène donc à mieux percevoir les agissements et comportements incontrôlés du phénomène.
La hyène, souvent putride, est un charognard. Cela signifie qu'elle ne se nourrit uniquement que du restant des proies victimes de vrais chasseurs. Elle est donc par conséquent dans l'incapacité totale de subvenir à ses propres besoins par ses propres moyens. Qui plus est nul n'ignore que chez les Hyènes la femelle est l'élément dominant.
A la lumière de ces quelques éclaircissements nous devinons aisément l'identité problématique et conflictuelle du Berbizier.
Ramenée au niveau du sujet qui nous préoccupe en ce jour(qui même s'il n'est pas du Seigneur ne vous empêche pas d'aller vous confesser et de participer aux Vêpres. Je soupçonne d'ailleurs fortement les Bourrin, Tyrex, AlexBangkok, Dungannon92 et autres Jacob, Mouss ou Morphée aux enfers de ne pas être particulièrement assidus à l'office. Mais cela nous éloigne du sujet et devrait bientôt faire l'objet d'une intervention autant radicale que coercitive ici-même de la part de Monseigneur des Monts de Valmore, pour ceux qui connaissent Saint Michel, ou dit Coluche pour les ignares ici présents), ramenée donc au niveau du sujet qui nous préoccupe ici disais-je, Le Berbizier rugbystique ne peut espérer ramener de ses campagnes que des restes de trophées déjà conquis par d'autres. Si cette conquête nécessite du courage et un tant soit peu de dignité Le Berbizier crie alors à l'injustice et à la trahison, considérant que son rôle n'est surtout pas de monter au front, mais plutôt de le baisser afin de mieux déceler les morceaux dont il va se repaître.
Ajouter à cela la domination féminine à laquelle il est quotidiennement soumis permet d'expliquer également les profondes et irréversibles frustrations qu'il n'est pas en mesure d'assumer et révèle son incompréhension et sa totale aversion de toute éthique.
En conclusion nous pouvons donc affirmer que le Berbizier est un animal dénué de tout sentiment et de tout comportement nobles… qu'il serait bon d'ignorer ici et à tout jamais.
Sauf à accepter le risque de pollution galopante.