6054 réponses à ce sujet

[PPR]

Il y a pile un an, j'aurait pété une durite à l'idée de voir TT arriver chez nous ; mais là, vu la saison qu'il fait cette année à LR, vu l'idée géniale de le replacer au centre, il m'a épaté, le gars, lui que je voyais fini, cramé, revient un jouer de premier plan. J'aimais bien Barrassi, mais on ne peut pas garder tout le monde, certains on envie d'ailleurs, ça peut se comprendre. J'aurais bien gardé Retière aussi mais .... 

Du même avis, ça ne m'aurait d'ailleurs pas déplu de le voir arriver chez nous au centre. Et puis Barassi c'est pas mal à l'infirmerie aussi non ?

[Alex chocolatines]

Du même avis, ça ne m'aurait d'ailleurs pas déplu de le voir arriver chez nous au centre. Et puis Barassi c'est pas mal à l'infirmerie aussi non ?

Ah ben il aurait pu rejoindre Fouyssac en club, y avait une sorte de logique au moins 

[PPR]

Ah ben il aurait pu rejoindre Fouyssac en club, y avait une sorte de logique au moins 

C'est moche. 

C'est drôle mais c'est moche. 

 

De toute façon on a dit qu'on ne faisait plus dans le recyclage de toulousains

[Alex chocolatines]

C'est moche. 

C'est drôle mais c'est moche. 

 

De toute façon on a dit qu'on ne faisait plus dans le recyclage de toulousains

Voui j'ai honte ..... Mais j'ai pas mauvais fond, chuis un déconneur compulsif 

[exilé-sud-ouest]

3 ans de contrat quand-même !! 🤨🤔

[Alex chocolatines]

3 ans de contrat quand-même !!

Contrat deux plus un je crois.

 

Ah oui mais chez vous le + 1 est validé dès la signature 

[Bon Chasseur]

de toute façon il faut tjrs renouveler un effectif, c'est connu, tellement d'entraîneurs qui ont gagné le savent et le disent. Il faut apporter une émulation organique (et saine) dans le groupe et intégrer des dynamiques différentes. Je ne vois rien de négatif ici et pour info il a 31 ans donc mm 3 ans de contrat il sera encore en état correct à 34 ans pour un ailier. C'est un mec intéressant Thomas qd on l'écoute, ce n'est pas le pti frimeur qu'on peut penser, et j'espère qu'il découvrira de belles choses au Stade T.

[frednirom]

le plus important est d'avoir un président de la ligue qui avantage son club de coeur.

[el landeno]

« Ce garçon est fait pour jouer au Stade Toulousain » : Teddy Thomas, le joueur « Toulouse compatible » par excellence Auteur d'un début de saison canon avec La Rochelle, Teddy Thomas rejoindra finalement le double champion en titre toulousain la saison prochaine. À 31 ans et 185 matches en Top 14, l'international français s'offre un ultime défi, dans un club qui sied à merveille à ses qualités d'attaquant.

« J'ai l'impression de commencer une nouvelle carrière. » Le 22 octobre, Teddy Thomas, en pleine cure de jouvence après son repositionnement au centre avec La Rochelle, ne croyait pas si bien dire. Un mois plus tard, le voilà qu'il signe un bail de trois ans avec le Stade Toulousain à compter de la saison prochaine, comme annoncé dans nos colonnes ce jeudi. Ce même club Rouge et Noir, à la fois spectateur de l'éclosion au centre de l'international français et martyr de ses coups d'éclat quelques semaines plus tôt à Ernest-Wallon.

 

 

Alors que Thomas était dans les petits papiers des dirigeants toulousains depuis quelques années, il n'en fallait pas plus pour définitivement convaincre Ugo Mola et son staff d'enrôler l'un des plus grands talents de sa génération. Un transfert « surprise » pour l'ancien trois-quarts de Toulouse Eric Bonneval, qui estime « que ce n'est pas dans la culture du club de recruter un joueur français trentenaire ». Il faut dire que le Stade Toulousain s'appuie essentiellement sur son centre de formation pour garnir ses rangs. Seuls quelques illustres internationaux en fin de carrière, à l'image de l'Australien Richie Arnold ou encore du pilier néo-zélandais Owen Franks (2023), sont venus renforcer l'effectif rouge et noir.

Une philosophie qui lui colle à la peau

Si les supporters haut-garonnais encensent l'arrivée d'un « génie », la compatibilité de Teddy Thomas avec le jeu du Stade Toulousain est-elle si évidente ? Arrivé en 2022 à La Rochelle, l'ex-Racingman a dû s'adapter au style de jeu prôné par le coach irlandais Ronan O'Gara. Oubliez les grandes envolées et privilégiez un rugby fait de collisions, de défi physique et d'intelligence tactique. À Toulouse, la philosophie n'est pas loin d'être l'exact opposée. Le champion d'Europe et champion de France en titre incarne la flamboyance offensive, le french flair, cette volonté de faire vivre le ballon à chaque action, comme s'il vous brûlait les doigts.

Pas évident, dès lors, pour Thomas de s'acclimater à ce nouvel ADN. Pourtant, à l'image de Cédric Heymans, le monde de l'ovalie semble unanime : « Ce garçon est fait pour jouer au Stade Toulousain, confie l'ailier international (59 sélections, 16 essais) et ancien joueur du Stade Toulousain. Il me tardait de le voir à Toulouse. Il est destiné à ce jeu-là, de prise d'initiative, de liberté. Ça aurait été dommage pour les deux parties de ne pas se rencontrer. »

« Dans une équipe qui se nourrit des turnovers et qui se complaît dans le désordre, Teddy va s'épanouir »

Vincent Clerc, ancien ailier du Stade Toulousain

 

 

 

 

 

« C'est quelqu'un qui aime le jeu, un passionné. Dans une équipe qui se nourrit des turnovers et qui se complaît dans le désordre, Teddy va s'épanouir », estime Vincent Clerc, ancien Toulousain et meilleur marqueur d'essais du Top 14, avec 101 réalisations. Cette association serait même un mariage idéal pour le vice champion du monde 1987 Éric Bonneval, tant les aptitudes offensives du natif de Biarritz collent à la vision de jeu développée par la maison toulousaine : « Il a des qualités d'attaquant uniques. C'est un joueur, une fois libéré de toutes blessures, qui est hors norme. Il est rapide, il a des crochets irrésistibles, une puissance de Fidjien. » Celui qui a porté le maillot rouge et noir durant 11 saisons rappelle néanmoins que le futur Stadiste ne devra « pas retomber dans ses travers ». « Attention au hourra rugby. Teddy a eu tendance durant sa carrière à jouer tous les ballons, au point, à certains moments, de faire n'importe quoi. »

Toulouse, terre de villégiature pour Thomas ?

Auteur d'un début de saison canon (5 essais en 6 matches) au point de redevenir incontournable avec les Maritimes, Thomas sait qu'il va débarquer dans un club au sommet de son art, un club où la concurrence ne cesse de jalonner matches et entraînements. Mais ne nous y trompons pas : la Ville rose n'a pas été choisie par ce dernier comme terre de villégiature, une destination agréable où se retirer. « Je ne le vois pas venir en retraite à Toulouse. Il aura à coeur de montrer qu'à 31 ans, il est encore un joueur de premier plan », prédit Vincent Clerc, avant d'ajouter : « Il vient libéré, avec l'objectif de prendre beaucoup de plaisir sur le terrain. Il ne débarque pas à Toulouse pour calculer. Attention, il ne manquera pas d'ambitions, ça reste un compétiteur. »

 

Teddy Thomas a disputé 3 matches et inscrit 4 essais sous le maillot rochelais cette saison, dont un lors de la victoire contre le Stade Français (35-18, 9e journée). (R. Perrocheau/L'Équipe)

L'homme aux 28 sélections pour 15 essais avec le XV de France pourra notamment s'appuyer sur une polyvalence dont est friand le club toulousain, notamment en période de doublons. Habitués à être décimés quand les échéances internationales arrivent, les Rouges et Noirs cherchent à densifier leur effectif (seuls le Japonais Naoto Saito et le jeune Léo Banos ont intégré les rangs du Stade en 2024). Avec un joueur pour qui l'aventure en équipe de France semble terminée - sa dernière sélection remonte au 17 juillet 2021 lors d'une défaite en Australie (33-30) -, le pari est à plusieurs égards gagnant pour les dirigeants toulousains. « Il peut jouer ailier, arrière, et désormais centre. S'il montre de l'endurance dans la motivation et dans la performance, alors il s'inscrira dans le projet du Stade », assure Cédric Heymans.

D'autant plus qu'avec Ugo Mola, aucun statut n'est gravé dans le marbre. Le coach de 51 ans est un adepte de la politique de l'homme en forme, privilégiant l'émulation collective à la performance individuelle. « À Toulouse, c'est le joueur qui joue, pas un nom. Rappelez-vous l'an dernier, Thomas Ramos était remplaçant, un joueur qui est désormais le taulier à l'ouverture en équipe de France », souligne Heymans.

Alors que les contrats des centres Pierre-Louis Barassi (26 ans) et Santiago Chocobares (25 ans) arrivent à leur terme en fin de saison, Teddy Thomas pourrait se frayer un chemin à ce poste. « Il peut avoir une fin de carrière comme Sofiane Guitoune, faite de rotations », admet Vincent Clerc, pour qui Teddy Thomas pourrait devenir au fil des années un grand frère, aidant les jeunes à progresser. Qu'il soit titulaire, sur le banc ou illustre professeur pour les jeunes pousses rouges et noires, Thomas polarisera toujours l'attention des amateurs de rugby. Pour l'heure, le futur pensionnaire du Stade Toulousain, sur le banc avec le Stade Rochelais ce samedi pour la réception de Vannes (16h30), poursuit son retour en grâce, l'énième d'un génie inconstant.

 

 

[el landeno]

Ugo Mola, avant les débuts du Stade Toulousain en Coupe des champions : « Ici, c'est la cage aux lions » Le Stade Toulousain, champion en titre, recevra l'Ulster pour lancer sa campagne européenne (dimanche à 16h15). Le manager sportif donne les clés de la réussite de son groupe.

Mardi, en début d'après-midi, Ugo Mola a reçu L'Équipe au centre d'entraînement du Stade Toulousain. À quelques jours du retour de la Coupe des champions, le manager des Rouge et Noir évoque cette soif de victoires et de trophées toujours intacte au sein de son groupe et de son staff. Il évoque également comment l'émulation, et non la concurrence, fait grandir ses joueurs et son équipe. Avec toujours cette obsession : produire le meilleur rugby possible.

 

 

« La Coupe des champions démarre un nouvel opus et un format qui laisse peu de place aux ratés...
Il y a deux manières de l'aborder. Réaliser un bon parcours ne nécessite pas l'obligation de faire un carton plein. Tu peux te qualifier pour les huitièmes de finale avec seulement une victoire. Mais si tu veux la gagner, ton parcours, et donc un sans-faute, est souvent gage de trophée à la fin. L'histoire récente montre que la réussite de ta phase de poules et la réussite de ta phase finale sont fortement liées. Il faut démarrer pied au plancher.

Ce sont en quelque sorte les premiers matches couperets, ceux que vos joueurs préfèrent, et qui engendrent aussi les premières frustrations...
Évidemment, tout le monde veut jouer ce genre de match, notamment au regard de notre poule très relevée (Ulster, Exeter, Leicester et Sharks). Mais il ne faut pas se tromper de guerre. Nous devons aligner une équipe très performante pour attaquer la compétition. Il y a aussi les matches suivant en Top 14 jusqu'au début du Tournoi, fin janvier. C'est souvent le moment charnière de ta saison. Sur la quinzaine qui arrive, joueront ceux qui ont un statut international, mais aussi ceux qui ont marqué des points depuis le début de saison. Avec toujours le même objectif : avoir la meilleure équipe du moment et une qualité de jeu.

lire aussiCalendrier de la Coupe des champions

Le Stade Toulousain sort d'un doublé, comment maintenez-vous l'appétit de votre groupe et de votre staff ?
Nous sommes obsédés par le niveau du contenu que nous proposons. Nous entraînons l'intention. Le résultat n'est que la conséquence de nos intentions. Notre principale préoccupation est : quel niveau d'éveil ? Quel niveau d'envie ? Quel niveau d'énergie ? Qu'est-ce que cette génération est-elle prête à fournir pour continuer de gagner ? Le bilan est très positif avec six titres en cinq saisons (4 titres de Top 14 et deux de Coupe d'Europe). Ce groupe a déjà marqué l'histoire du club. En gagnant encore quelques titres, ils pourraient se démarquer des précédentes générations. On souhaite tirer le meilleur de ce groupe sur une dizaine d'années. On sait ce que coûte un titre, en termes d'implication, de travail, de blessures, ce que ça engendre aussi comme frustration au sein d'un groupe. Quand le résultat est là, les émotions sont extraordinaires. Mais le doublé est déjà loin derrière nous. Nous sommes passés à autre chose. C'est la clé. Quand je vois comment nos adversaires évoluent, se renforcent, tu n'as pas le temps de te reposer. Regardez les deux derniers matches du promu Vannes (défaite 29-37 face à Bordeaux, victoire 14-23 au Stade Rochelais). Tu comprends que le niveau se resserre.

 

 

« Par notre formation et notre recrutement ciblé, nous cherchons à bouleverser en permanence les ordres établis »

 

 

 

Dans une interview (voir L'Équipe du 5 septembre), Laurent Labit, directeur sportif du Stade Français, expliquait que lors du titre gagné avec le Racing 92 en 2016, son erreur avait été de ne rien changer la saison suivante...
Ce qui te permet de gagner devient obsolète le jour où tu gagnes. Bien sûr que tu conserves des choses qui fonctionnent. Mais le changement ne passe pas uniquement par le renouvellement des hommes. Ça doit aussi être le cas des habitudes, des routines, savoir se réinventer dans la manière de jouer. On innove régulièrement. Notamment sur la manière de présenter les choses au groupe. C'est un chemin initiatique qui doit nous permettre de devenir l'équipe idéale qu'on souhaiterait être. Il faut continuer de bosser, se remettre en question et accepter l'émulation qui est féroce au Stade Toulousain. C'est ici que jouer doit être le plus dur. Mais tout ça ne nous empêchera pas d'être moins performant, de passer au travers ou de vivre des saisons blanches ou... noires.

La concurrence, les choix à effectuer, avec les titres qui s'accumulent, n'est-ce pas de plus en plus compliqué de garder tout le monde en éveil...
Claude Onesta (ancien sélectionneur de l'équipe de France de handball) m'a dit : "Ne te trompe pas, le meilleur des coaches, ce n'est pas la concurrence, mais l'émulation. " Quand tu as du monde au poste, tu finis toujours par avoir des mecs performants. Quand un joueur s'installe, naturellement, ses performances baissent. Il se prend pour un autre. Par notre formation et notre recrutement ciblé, nous cherchons à bouleverser en permanence les ordres établis. La preuve : nous avons gagné six titres en cinq saisons et pourtant, il n'y a que trois joueurs qui ont disputé les six finales comme titulaires (Akhi, Cros et Dupont). La force du groupe a pris le pas sur l'individu. L'émulation permet d'être meilleur.

 

Antoine Dupont ressort le ballon de la mêlée toulousaine contre Toulon (57-5), le 27 octobre. (F. Lancelot/L'Équipe)

Est-ce qu'un Antoine Dupont, qui prend de plus en plus de place, peut devenir un problème ?
Oui, Antoine prend de plus en plus de place, mais il joue de moins en moins pour le Stade Toulousain ! Comme Ange Capuozzo, Juan Cruz Mallia, Blair Kinghorn, tous très sollicités par leur sélection, ont besoin d'être gérés pour continuer d'être performants et jouer ce jeu de l'émulation. C'est le cas à tous les postes. Regardez en troisième-ligne, les jeunes Léo Banos, Mathis Castro-Ferreira, Théo Ntamack rongent leur frein. Si un jour, un joueur veut partir car il est trop impatient et veut tenter sa chance ailleurs, il faut l'accepter.

lire aussiToute l'actualité du Stade Toulousain

Le quinze type n'existe pas au Stade Toulousain...
Imaginer cette équipe type ne serait pas honnête. Elle insinuerait que tu ne prends pas en compte les performances ou l'évolution de tes joueurs. C'est une spécificité du Stade Toulousain. Nous avons l'un des trois meilleurs talonneurs au monde, et pourtant, il ne commence pas tous les matches... La concurrence tue ton partenaire, l'émulation le tire vers le haut. Je donne souvent l'exemple du 100 mètres à mes joueurs. Si un mec à 9''50 affronte des adversaires à 10'', un 9''80 va lui suffire pour gagner. En revanche, si tu affrontes des mecs à 9''70 ou 9''60, il devra donner le meilleur de lui pour faire 9''50. Le sport de haut niveau nécessite qu'on repousse nos limites.

« Le pire ennemi du Stade Toulousain reste le Stade Toulousain. C'est mon rôle et mon obsession de l'éviter »

 

 

 

Depuis le début de saison, il faut gérer pas mal de renouvellements de contrat. Par ailleurs, deux recrues ont déjà été annoncées (Georges-Henri Colombe et Teddy Thomas). Cela peut-il perturber l'équilibre du groupe ?
Non. Les grands joueurs veulent jouer aux côtés de leurs pendants. J'aime l'exemple de la cage aux lions. Ils ne s'agressent pas tant qu'ils se reconnaissent. Dès qu'il y en a un plus faible, il est mort. Au Stade Toulousain, c'est la cage aux lions. Si je prends Antoine Dupont et son ami Paul Graou, ils se tirent la bourre. Venez à une séance de jeu au pied, c'est féroce.

Le risque de voir le niveau de performance baisser au Stade Toulousain existe-t-il ?
L'embourgeoisement nous pend au nez tous les jours, même si avec Didier (Lacroix, le président) et Jérôme (Cazalbou, le responsable du haut niveau) nous y sommes très vigilants. Le pire ennemi du Stade Toulousain reste le Stade Toulousain. C'est mon rôle et mon obsession de l'éviter.

Pourtant, de l'extérieur, nous avons la sensation que tout va bien...
Tout va bien, oui, mais c'est d'une fragilité absolue. J'ai des doutes, des peurs, des angoisses et des faiblesses. Les identifier, les comprendre et savoir où tu veux aller t'aide à les surmonter. Quand tu alignes cette équipe avec autant de grands joueurs, quel niveau de rugby tu proposes ? Sur ce niveau d'exigence, je suis intransigeant. Encore une fois, pour l'intention, pas le résultat. Tu as le droit de perdre. La difficulté est d'être en phase avec ce que tu as entre les mains. L'an dernier, à chaque fois qu'on faisait un choix, on avait la sensation d'être des génies car tout fonctionnait. Mais après, sans carton rouge (Atonio et Wardi) en demi-finale du Top 14 (victoire 39-23 face au Stade Rochelais), ou si le drop du Leinster passe en finale de Coupe des champions à 15-15 (80e), c'est le Leinster gagne (victoire 22-31 de Toulouse en prolongations).

Votre début de saison, quasi idéal (1er avec 39 points), mis à part la défaite à domicile face à Bordeaux (12-16), permet-il de bosser dans le confort ?
J'ai beaucoup parlé d'intention. Elle était du côté de Bordeaux et leur succès est logique. Mais cette défaite me motive pour la suite. Je remarque aussi que la saison durant laquelle nous avons eu le plus de confort est 2021-2022. Celle où nous n'avons rien gagné, alors que nous sortions d'un doublé... Nous avons tout mis sur la table et la principale question a été de savoir : à quel niveau et pendant combien de temps sommes-nous disposés à faire des efforts pour être en mesure de gagner de nouveaux titres ? Mon rôle a beaucoup évolué en ce sens : être vigilant à la moindre défaillance personnelle ou collective afin de pouvoir combattre avec toutes nos armes. C'est finalement un éternel recommencement. Quand tu gagnes souvent, le plus difficile est de trouver l'énergie nécessaire pour remettre le bleu de chauffe. »

 

 

[jm12]

de toute façon il faut tjrs renouveler un effectif, c'est connu, tellement d'entraîneurs qui ont gagné le savent et le disent. Il faut apporter une émulation organique (et saine) dans le groupe et intégrer des dynamiques différentes. Je ne vois rien de négatif ici et pour info il a 31 ans donc mm 3 ans de contrat il sera encore en état correct à 34 ans pour un ailier. C'est un mec intéressant Thomas qd on l'écoute, ce n'est pas le pti frimeur qu'on peut penser, et j'espère qu'il découvrira de belles choses au Stade T.

Ben avec le jeu Toulousain que ce soit à l 'aile , ou au centre , il  va faire de gros dégâts et exploser son compteur en nombre d'essais ; pas fini de percer au ras , au large , sur les coups de pied millimétrés de N'Tamack ou Ramos , ça va swinguer !....Normalement ...

[Bon Chasseur]

Ben avec le jeu Toulousain que ce soit à l 'aile , ou au centre , il  va faire de gros dégâts et exploser son compteur en nombre d'essais ; pas fini de percer au ras , au large , sur les coups de pied millimétrés de N'Tamack ou Ramos , ça va swinguer !....Normalement ...

oui le collectif aide largement l'individu à s'exprimer comme c'est bien connu, NOTAMMENT l'ailier. Surtout l'ailier, le plus de tous les postes je pense. Huget était très performant sur les duels qd on l'observait bien mais ne marquait pas bcp en edF car il y avait zéro fond de jeu sous Lagisquet.

 

Le tout pour Thomas va être son tps de jeu.

[HugoltBolt]

oui le collectif aide largement l'individu à s'exprimer comme c'est bien connu, NOTAMMENT l'ailier. Surtout l'ailier, le plus de tous les postes je pense. Huget était très performant sur les duels qd on l'observait bien mais ne marquait pas bcp en edF car il y avait zéro fond de jeu sous Lagisquet.

 

Le tout pour Thomas va être son tps de jeu.

 

Huget le joueur le plus surcôté des 10/15 dernières années pour moi. Et je pourrais en débattre longtemps.

[Bon Chasseur]

 

Huget le joueur le plus surcôté des 10/15 dernières années pour moi. Et je pourrais en débattre longtemps.

moi aussi. Mais je pense que ni l'un convaincra l'autre ni l'inverse ! Ce n'était qu'un exemple. L'ailier est sans doute le poste bénéficiant le plus de la bonne forme d'un collectif. Les ailiers All Blacks sont parmi les meilleurs marqueurs d'essais, certes car ils sont superbes individuellement les Rockoco Savea Sivivatu etc... mais parce que les AB sont un modèle de structure offensive sur cette période.

[exilé-sud-ouest]

 

Huget le joueur le plus surcôté des 10/15 dernières années pour moi. Et je pourrais en débattre longtemps.

Surcoté par rapport à quoi???

Perso je ne suis fan ni du joueur ni du bonhomme mais bon le bilan c'est :

3 titre champion France

1 titre champion d'Europe

1 titre champion ProD2

Une quarantaine d'essais en Top14

Et au niveau inter il est à plus de 40 sélections