6010 replies to this topic

[RCV06]

le sentiment d'injustice que doit ressentir Dupont doit être fort. Très fort. T'es juste devant ton ruck qu'un abruti en face se laisse tomber, légèrement poussé par un autre bourrin à ses côtés, que toi ta saison est terminée voire ta carrière compromise car revenir d'une AUTRE blessure comme ça pour Dupont risque d'être difficile. "Ohh mmerde paaarddonn euhuhhh" ouais mais bon ma saison est finie maintenant. "C'était un accident". Comment un mec arrive à tomber depuis son côté du ruck pour carrément te niquer le genou ? Bref.

A moins de le mettre dans la ouate c'est un risque présent a chaque match et pour tout le monde.

Dupont va avoir ce qui se fait de mieux niveau chirurgie et rééducation, on ne traite pas une Ferrari comme une Clio, donc il reviendra sans problème

[coucouleszouzous]

https://actu.fr/spor...r_62388258.html

 

Le meilleur joueur du tournoi pas dans les 4 meilleurs joueurs (ni Moefana d'ailleurs), que des arrières avec pour raison le nombre de mètres parcourus^^ Bref on sait que c'est pas sérieux ce genre de titre mais là ils font forts.

 

Et ils ont osé cités Mauvaka (assez logique en soit) après cette parodie de non citations des Irlandais, bred World Rugby m'étonnera toujours.

[Fanchic]

Mauvaka ne prend que 3 semaines c'est vraiment sympa cette année world rugby

[HugoltBolt]

https://actu.fr/spor...r_62388258.html

 

Le meilleur joueur du tournoi pas dans les 4 meilleurs joueurs (ni Moefana d'ailleurs), que des arrières avec pour raison le nombre de mètres parcourus^^ Bref on sait que c'est pas sérieux ce genre de titre mais là ils font forts.

 

Et ils ont osé cités Mauvaka (assez logique en soit) après cette parodie de non citations des Irlandais, bred World Rugby m'étonnera toujours.

 

Enorme tournoi de Cros mais pour moi il est même pas le meilleur 3e ligne aile du tournoi.

Je vous laisse aller revoir les matchs de Jac Morgan qui a le seul malheur de naître gallois 10 ans trop tard. Il est monstrueux. Et pour confimer l'impression visuelle, il domine quasi toutes les catégories statistiques importantes pour un 3e ligne.

[Murena]

Retrait de point pour Toulouse ? Interdiction de phase finale ou de recrutement ? Relégation ? Ou seulement pshit ?

Le graaaaand stade toulousain triche allègrement avec le salary cap, et l'affaire jaminet n'est probablement pas la seule, il faudrait être aveugle pour le croire...

Ah non pardon, on me dit dans l'oreillette que Dupond et tout les internationaux jouent tous aux rabais...

[Parigot_Paris]

Didier Lacroix jeta un regard féroce à la loque humaine qui suait de l’autre côté de la table. C’était clairement le moment de porter l’estocade, songeait le féru de courses taurines qui ne remisait son cigare que pour s’enfiler un cassoulet-Gaillac, avec un petit bas-Armagnac pour faire glisser le tout en attendant la victoire du Stade Toulousain.

• Je vois ta pénalité gagnante contre les All-Blacks et je te relance de 450 000€.

Un couinement de douleur suivi d’un vent à l’odeur abjecte servit de première réponse. Melvyn, non content d’avoir un prénom de voleur de scooters devant un juge pour enfants, avait le teint livide et le regard fuyant des losers pris en flagrant délit de bluff.

• Je mets les 450 000€ et je relance d’une paire de crampons de 21 pour quand le terrain est très gras.
• TAPIS !!! hurla Lacroix avec un regard à la Méphistophélès, je vois tes crampons et j’ajoute vingt Brennus !
• Couic ! chuinta Jaminet en fondant en larmes, je rentre à Toulon ! Et le premier que je croise, je… non, rien… Mais…
• Mais ?
• Si jamais les autorités…
• Avec René le Sage aux manettes ? On est à la coule lui et moi, c’est un affranchi ! Aucun risque !

 

[Alex chocolatines]

Didier Lacroix jeta un regard féroce à la loque humaine qui suait de l’autre côté de la table. C’était clairement le moment de porter l’estocade, songeait le féru de courses taurines qui ne remisait son cigare que pour s’enfiler un cassoulet-Gaillac, avec un petit bas-Armagnac pour faire glisser le tout en attendant la victoire du Stade Toulousain.

• Je vois ta pénalité gagnante contre les All-Blacks et je te relance de 450 000€.

Un couinement de douleur suivi d’un vent à l’odeur abjecte servit de première réponse. Melvyn, non content d’avoir un prénom de voleur de scooters devant un juge pour enfants, avait le teint livide et le regard fuyant des losers pris en flagrant délit de bluff.

• Je mets les 450 000€ et je relance d’une paire de crampons de 21 pour quand le terrain est très gras.
• TAPIS !!! hurla Lacroix avec un regard à la Méphistophélès, je vois tes crampons et j’ajoute vingt Brennus !
• Couic ! chuinta Jaminet en fondant en larmes, je rentre à Toulon ! Et le premier que je croise, je… non, rien… Mais…
• Mais ?
• Si jamais les autorités…
• Avec René le Sage aux manettes ? On est à la coule lui et moi, c’est un affranchi ! Aucun risque !

Fumier ! 

[el landeno]

« Voir d'autres gagner nous donne des boutons » : les confidences de Romain Ntamack face aux lecteurs de « L'Équipe » Face aux abonnés « L'Équipe », Romain Ntamack s'est confié sur sa soif de gagner avec les Bleus et le Stade Toulousain, sur son avenir malgré les blessures et sur la paternité.

 

Le rendez-vous avait été fixé jeudi à 15 heures, à l'Appart Toulouse, niché en plein coeur de la Ville rose, à deux pas de la cathédrale Saint-Étienne. Au moment où Romain Ntamack (25 ans) a poussé la porte d'entrée, avec cinq minutes d'avance, le silence a pris le pas sur le bourdonnement ambiant. Accompagné de son agent image Frank Hocquemiller (VIP Consulting) et de son agent sportif Stéphane Dray (SD Management), l'ouvreur du Stade Toulousain a pris le temps de saluer nos dix abonnés. La volonté de proposer une rencontre avec Ntamack germait depuis de longs mois. Et plus particulièrement après l'essai du demi d'ouverture du Stade Toulousain en finale du Top 14 offrant le bouclier de Brennus à son équipe face au Stade Rochelais (29-26, le 17 juin 2023).

 

Malheureusement, quelques semaines plus tard, en pleine préparation à la Coupe du monde 2023 en France, le numéro 10 de l'équipe de France (40 sélections) s'est gravement blessé au genou gauche. Le projet a été mis entre parenthèses. Il a été relancé au moment de son retour sur les terrains en mars 2024. Mais la naissance de son premier enfant, courant juillet, a une nouvelle fois repoussé l'éventualité de ce moment de partage. Comme sa blessure au mollet qui l'a privé des trois tests de l'automne avec les Bleus. Pour son grand retour sous le maillot tricolore et la victoire finale dans le Tournoi, les planètes étaient alignées. L'Équipe est venue à la rencontre de Ntamack à Toulouse. Dix abonnés (sur près de 400 inscriptions) ont eu le privilège d'échanger avec le champion. Enfin.

 

Romain Ntamack avec les lecteurs de l'Équipe. (A. Mounic/L'Équipe)

lire aussiRomain Ntamack, au sujet de la blessure d'Antoine Dupont : « Il y a beaucoup de rage et de frustration »

Sur ses blessures : « Ces pépins me frustrent »

Rémy a pris le premier intervalle pour poser la première question et entrer directement dans le vif du sujet, celui des blessures, récurrentes chez l'ouvreur depuis près de deux ans. « J'ai connu pas mal de pépins, a reconnu d'emblée Ntamack. Au genou, au mollet, etc. Je n'ai que 25 ans mais j'enchaîne les blessures. J'essaie de profiter de mes temps d'arrêt pour m'améliorer. Pendant une rééducation, on a le loisir de travailler plein de choses qu'on n'a pas le temps de faire sur une saison normale. Je me suis renforcé, mais je sens que je ne suis pas encore revenu à mon potentiel maximum. J'ai encore des petits bouts de cartilage qui traînent dans le genou. » Jean-Louis l'interroge alors sur la façon de gérer cette contrainte, notamment vis-à-vis du staff du Stade Toulousain et de l'équipe de France. « Je fais des choses simples, mais qui sont efficaces sur le terrain, explique le numéro 10. Fabien (Galthié) et Ugo (Mola) me font confiance, mais je sais que je peux faire beaucoup mieux. Ces petits pépins me frustrent. »

 

Rémy lui demande comment y remédier. Ntamack fait alors une confidence : « Parfois, je sens que ça bloque derrière le genou, que ça ne coulisse pas aussi bien que je le voudrais. Une fois le dernier match de cette saison joué, il faudra que je me nettoie le genou pour repartir sur de bonnes bases la prochaine. Si j'arrête maintenant, c'est cinq ou six semaines d'arrêt, donc pas question. » Jonathan, kiné, qui avait tenté de contacter Ntamack après sa rupture des ligaments croisés, avance que dans un futur proche, les sportifs n'auront plus forcément besoin de passer par la case opération. Est-ce que cette option a traversé l'esprit de Ntamack pour participer au Mondial en France ? « Je me suis demandé si ça valait le coup de passer sur le billard, avoue-t-il. Mon petit frère (Théo), qui était dégoûté que je ne fasse pas la Coupe du monde, me disait de mettre un petit strap (sourire), mais je ne sais pas si j'aurais été vraiment à l'aise pour jouer, car mon genou était instable. Dès que je restais dans l'axe, ça allait. Mais je me souviens qu'une fois, en descendant du vélo, j'avais senti le genou partir et ça m'avait fait vraiment bizarre. Depuis cette blessure, j'écoute beaucoup plus mon corps. Je préfère prendre le temps de revenir comme il faut, plutôt que de précipiter mon retour. »

 

Romain Ntamack sort face à l'Écosse en août 2023. Il va manquer la Coupe du monde en France sur blessure. (A. Martin/L'Équipe)

lire aussiNtamack, Penaud, Skrela... : les dynasties du XV de France

Sur sa soif de gagner : « Être la plus grande génération du Stade Toulousain »

Les questions sur les blessures et sa force mentale pour toujours revenir plus fort évacuées, les abonnés étaient très curieux de savoir comment Ntamack gardait cette soif de victoires alors qu'il a déjà remporté de nombreux titres, aussi bien avec l'équipe de France (2 Tournois dont un Grand Chelem) et avec le Stade Toulousain (4 Brennus et 2 Coupes d'Europe). « Comment gardez-vous cette motivation intacte saison après saison ? », lance Abdelghani. « Elle vient de l'envie d'être avec les meilleurs, souligne le Tricolore. Au Stade Toulousain, on a un groupe qui a l'habitude d'arriver en phase finale au maximum de son potentiel. Chaque saison, on a la peur et la crainte de voir quelqu'un d'autre soulever les trophées. On sait l'adrénaline que ça procure. En 2022, le fait de voir d'autres équipes gagner à la fin, ça nous a donné des boutons. L'objectif, c'est de gagner tout le temps. On trouve des leviers de motivation où on peut. Ça peut être aussi de devenir la génération du Stade Toulousain qui a le plus gagné. Le jour où on n'aura plus cette flamme, je pense que certains mecs partiront. Là, il n'y a aucune raison d'aller voir ailleurs, ou alors pour de mauvaises raisons. »

Après la motivation, Rémy évoque « la concurrence » au sein du groupe toulousain. « Comment garder près de 60 joueurs en alerte ? » Ntamack assure : « Dans le groupe, il y a une super relation entre les plus jeunes et les plus vieux. Le staff procède à beaucoup de turnovers. La saison où on perd en demi-finales du Top 14 et de la Coupe des champions (2021-2022), l'équipe avait très peu tourné et ça avait marqué l'esprit du staff. À partir de cette année-là, beaucoup de joueurs du centre de formation ont commencé à s'entraîner avec nous, ça a créé une super émulation. D'ailleurs, on ne parle même pas de concurrence mais d'émulation. Ça pousse les moins jeunes à se battre pour gagner leur place, ça tire tout le monde vers le haut. »

Alex en profite pour savoir où se situe Ntamack au sein du groupe toulousain. « Je suis entre deux générations, sourit l'intéressé. J'essaie de plus montrer l'exemple sur le terrain plutôt que de faire des grandes phrases. Les jeunes sont tellement pros dès qu'ils arrivent qu'il n'y a pas grand-chose à leur dire, sinon pour leur enlever un peu de stress. C'est fou de les voir aussi prêts à cet âge-là. » Alex questionne alors Ntamack sur son frère Théo (22 ans) qui évolue au poste de troisième-ligne. Joue-t-il le « grand frère » ? « C'est plus facile de dire à Théo ce qui va ou ce qui ne va pas, précise l'aîné. Mais je n'ai pas envie de faire le grand frère un peu lourd en lui disant quoi faire. J'ai très vite compris qu'il n'avait pas besoin de ça. S'il a des questions, il me les pose. » Léo en profite pour savoir si Ntamack a joué un rôle dans la prolongation récente de Théo (jusqu'en 2028) : « Il a resigné parce qu'il le mérite et parce qu'il deviendra un cadre de cette équipe très bientôt. Je le compare un peu à Ardie Savea sur sa capacité à faire jouer autour de lui. Quand il aura 100 % confiance en lui, il sera encore plus fort. »

 

Le Stade Toulousain a remporté les deux derniers Top 14. (F. Faugère/L'Équipe)

Sur sa paternité : « Être papa a changé mon approche du rugby »

La récente paternité de Ntamack, dont le fils Noah est né l'été dernier, a également été très abordée. « Qu'est-ce que cela a changé ? », voulait savoir Julien. « Être papa a changé mon approche du rugby. Je me prends moins la tête dans les matches à gros enjeux, je me dis qu'il y a des choses plus importantes dans la vie, que le rugby n'est qu'un jeu. Sur certains matches, il arrive que je ne sois pas content de moi, mais une fois rentré à la maison, tout s'efface vite quand je retrouve mon fils. Je suis content de rentrer de l'entraînement pour m'occuper de lui. »

Rémy questionne l'ouvreur du Stade Toulousain sur la nouvelle organisation et la fatigue engendrée. « Ce n'est pas toujours évident mais ma compagne m'aide, elle ne veut pas que me lève la nuit, elle me soulage beaucoup, apprécie-t-il. En ce moment, mon fils est à la crèche, donc c'est plus facile de faire la sieste en journée pour récupérer d'une nuit difficile. » Jonathan aborde la question de l'éloignement pendant les périodes internationales. « Au début, je l'ai mal vécu malgré quelques face time. Un petit gars de huit mois, ça manque forcément au quotidien. » Le poussera-t-il vers le rugby questionne Valentin. « Sa mère ne veut pas, coupe Ntamack tout sourire. S'il s'épanouit en jouant au rugby, ça sera avec plaisir que je l'accompagnerais. Mais s'il n'en fait pas, ça sera la même chose. Mon père ne m'a jamais poussé à jouer au rugby, il ne nous a jamais mis la pression. S'il l'avait fait, ça nous aurait peut-être dégoûté. »

lire aussiCe que change le retour de Romain Ntamack pour le XV de France en Irlande

Son poste d'ouvreur : « La défense prend de plus en plus de place »

Il a finalement fallu attendre une grosse demi-heure pour que soient abordées des questions plus techniques. Jean-Louis aimerait savoir comment le poste de 10 va évoluer dans les années à venir. L'ouvreur, surpris, félicite : « Bonne question ! La défense prendra de plus en plus de place au niveau international. Sur ces matches-là, c'est difficile de se cacher. La défense est un point essentiel qui peut nous faire gagner des matches. » Léo est lui admiratif de sa lecture du jeu. « D'où vient-elle ? »« Quand j'étais petit, déjà, j'avais cette capacité à voir avant tout le monde. Mais c'est aussi à force d'enchaîner les matches, on anticipe sur des situations qu'on maîtrise bien. Il y a aussi des ateliers un peu spécifiques à l'entraînement qui te confrontent à des choix. Après, en tant qu'ouvreur, il y a beaucoup de situations à gérer en même temps et ça ne se passe pas toujours comme on le souhaiterait. C'est important aussi d'avoir des coéquipiers autour qui nous aident. »

Caroline s'interroge-t-elle sur sa sérénité à toute épreuve : « Ça fait partie de mon caractère, de mon éducation. Quand j'étais petit, je ne manifestais pas tellement mes émotions, peut-être que j'ai gardé ça. Pour un ouvreur, c'est bien. Plus la personne en face a dû mal à te lire, mieux c'est. » Caroline enchaîne sans filtre : « Sur la finale du Top 14 en 2023, après votre coup de pied direct en touche, vous avez montré vos émotions... »« Là, pour le coup, j'ai cru que c'était plié, mort, coupe Ntamack. Pour être honnête, j'avais baissé les bras complètement. C'est Thomas Ramos, François Cros et Pita Ahki qui m'ont remis dans le match en venant me trouver pour me dire que rien n'était perdu, qu'il restait trois ou quatre minutes à jouer. Et le scénario a fait que j'ai eu l'opportunité de marquer l'essai de la victoire. Sans cette cohésion, on n'aurait pas gagné ce match. »

 

Romain Ntamack, ici face au Stade Français, en 2025. (F. Lancelot/L'Équipe)

lire aussi« 42 plaquages à eux deux » : comment Lucu et Ntamack ont gagné leur place ?

Son Tournoi et l'avenir : « Les JO, c'est non ! »

Comment ne pas terminer par la victoire des Bleus dans le Tournoi. Jean-Louis s'y colle et lui demande son bilan. « Je suis satisfait malgré mon carton rouge (lors du match d'ouverture contre le pays de Galles). Pendant ma suspension, j'ai continué à m'entraîner, parce que je savais que j'allais démarrer en Irlande. Le staff m'avait prévenu, je savais que je devais être prêt. C'était un risque pour eux aussi de me faire jouer après quatre ou cinq semaines sans match. Franchement, gagner trois matches sur trois pour mon retour en sélection, c'était dur de rêver mieux. Je savais que ma défense serait un point essentiel. En Irlande, j'étais aussi attendu là-dessus. Contre elle (27-42), l'équipe a montré une grande sérénité. On savait que si on tenait les vingt premières minutes, on leur mettrait un coup au moral. » Question de Rémy sur une éventuelle frustration de louper le Grand Chelem : « Je n'étais pas en Angleterre (26-25), mais ceux qui y étaient ont ressenti de la frustration, oui. Mais si tu gagnes à Twickenham, est-ce que tu as cette rage pour aller gagner en Irlande ? Au final, on ne le saura jamais. On est contents d'avoir gagné ce Tournoi. »

Caroline s'interroge alors sur une éventuelle participation aux JO 2028 à 7. « Non, parce qu'il faudra passer après l'équipe qui a gagné les JO à Paris ! sourit-il. On verra d'ici là, mais non. On a l'impression que c'est facile parce qu'Antoine (Dupont) l'a fait, mais je ne suis pas certain que tout le monde soit capable de faire ça. » La dernière question revient à Eline : « Vous imaginez-vous ailleurs qu'à Toulouse ? »« En France, non, assure-t-il. Mais à l'étranger, ça me plairait bien. Le rugby aux États-Unis va sûrement se développer encore plus avec l'organisation de la Coupe du monde 2031. J'aime bien aussi l'Australie et le Japon. Mais je suis loin d'avoir commencé les démarches (rires). » Après une heure d'échanges, Ntamack a encore pris du temps pour signer quelques autographes sur des photos, mais aussi des petits ballons aux couleurs du Stade Toulousain que l'ouvreur a offert à chaque invité. L'heure était venue de rentrer à la maison rejoindre sa femme Lisa et donner le bain à son fils Noah.

[Eastern Outpost]

• Je mets les 450 000€ ………...

 

J’espère que ton club rencontrera les Scarlets dans la Challenge la semaine prochaine et qu’on peut se voir. 

 

Tu serais le bienvenue et mon invité en hospitalité aux Scarlets.

[Parigot_Paris]

 
Jespère que ton club rencontrera les Scarlets dans la Challenge la semaine prochaine et quon peut se voir. 
 
Tu serais le bienvenue et mon invité en hospitalité aux Scarlets.

Diolch !!!

[jm12]

Retrait de point pour Toulouse ? Interdiction de phase finale ou de recrutement ? Relégation ? Ou seulement pshit ?

Le graaaaand stade toulousain triche allègrement avec le salary cap, et l'affaire jaminet n'est probablement pas la seule, il faudrait être aveugle pour le croire...

Ah non pardon, on me dit dans l'oreillette que Dupond et tout les internationaux jouent tous aux rabais...

Evidemment le Grand Avocat et ex président du Stade et de la ligue n 'était pas au jus , ça va de soi et laisse son fauteuil avant d'une manière ou l 'autre se trouver au milieu de ce binz et j 'ajouterais de Ligue de faux culs et d'égos surdimensionnés !

 

Qui peut croire un instant que ttes ces écuries ne flirtent pas avec la ligne jaune quand on voit les effectifs...mais comme on dit , pas vu pas pris et Mourad, Mohed , et consorts , ont montré la voie des vides juridiques à l 'heure de la Mondialisation!

 

Faut être dans le déni ou de gros naïfs pour avaler que ces effectifs pléthoriques entrent dans le SC sauf si les mecs jouent bénévolement mais parait que même ça c 'est interdit !

 

En marge de ces ressentis , la Stade n 'avait pas besoin de magouiller pour être Champion de France , c 'est dommageable pour l 'image...

[Good Shvili]

Evidemment le Grand Avocat et ex président du Stade et de la ligue n 'était pas au jus , ça va de soi et laisse son fauteuil avant d'une manière ou l 'autre se trouver au milieu de ce binz et j 'ajouterais de Ligue de faux culs et d'égos surdimensionnés !

 

Qui peut croire un instant que ttes ces écuries ne flirtent pas avec la ligne jaune quand on voit les effectifs...mais comme on dit , pas vu pas pris et Mourad, Mohed , et consorts , ont montré la voie des vides juridiques à l 'heure de la Mondialisation!

 

Faut être dans le déni ou de gros naïfs pour avaler que ces effectifs pléthoriques entrent dans le SC sauf si les mecs jouent bénévolement mais parait que même ça c 'est interdit !

 

En marge de ces ressentis , la Stade n 'avait pas besoin de magouiller pour être Champion de France , c 'est dommageable pour l 'image...

Garcès bénévole en 2019?

[Murena]

Quelqu'un a l'article du président de la FFR ?

[frednirom]

Oui , il dit que le stade toulousain devrait regarder Aurillac les yeux dans les yeux dans pas si longtemps.

[Murena]

Oui , il dit que le stade toulousain devrait regarder Aurillac les yeux dans les yeux dans pas si longtemps.

Alors là bizarrement j'y crois pas une seconde ^^