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[Alligator427]

Il est pas Malliable.

C'est moche

Dans l action c'est pas comme vu de loin, tu n as pas le temps d'analyser, tu te lances dans un placage ben tu stoppe pas les machines en pleine action si près du but.
Le lurette c'est 3 secondes max, réalisé que le ballon est parti et que tu dois te décaler pour ne pas prendre le mec tout ça en 3 secondes, c'est de la science fiction, j attend toujours un volontaire pour me montrer comment il fait.
Ce qui compte c'est que Curry ne fait pas un placage dégueulasse, il prend bien l adversaire avec les deux bras et il l accompagne au sol bien proprement.
Après comme tu dis, le pied qui reste planté dans le sol c'est pas la faute de Curry.

Je viens de reregzrder les.images. il arrive tête haute regard sur Mallia. Je maintiens qui a le temps de se décaler. Bref

[xdderf63]

Je viens de reregzrder les.images. il arrive tête haute regard sur Mallia. Je maintiens qui a le temps de se décaler. Bref

 

je pense aussi 

Mais sachant qu'il sera là à temps sur le joueur pour que ce soit considéré connecté autant qu'il fasse mal au joueur (par la force je veux dire pas par une blessure comme ça) et pas se faire mal à lui en se décalant (s'il change sa trajectoire à cette vitesse c'est lui qui se fait les croisés...  ) ou prendre une hanche dans la tête s'il se retourne pour éviter 

[el landeno]

Le Racing 92 a du souci à se faire : Antoine Dupont, l'habitué des retours fracassants avec le Stade Toulousain

Près de neuf mois après sa grave blessure au genou droit, Antoine Dupont s'apprête à reprendre la compétition samedi (21 heures), face au Racing à Ernest-Wallon. Et il n'est pas du genre à rater ses retours.

Le grand jour est arrivé. Quasiment neuf mois après la rupture du ligament croisé antérieur de son genou droit, survenue en Irlande dans le cadre du Tournoi des 6 Nations (27-42), Antoine Dupont (29 ans) va rejouer avec son club, samedi soir (21 heures) face au Racing, avec l'appétit du jeune premier qu'il a toujours été. Au Stade Toulousain, en France et même partout ailleurs, le retour du prodige est attendu avec autant d'excitation que d'impatience.

 

 

Parce que c'est Dupont, bien sûr, mais aussi parce que le demi de mêlée n'a pas l'habitude de faire dans la demi-mesure quand il réapparaît, comme ça, après de longs mois d'absence. Ce n'est pas la première fois que l'enfant de Castelnau-Magnoac (Hautes-Pyrénées) revient d'une blessure longue durée. En février 2018, déjà contre l'Irlande, il avait subi une rupture du même ligament croisé qui l'avait contraint à une opération et à une longue convalescence.

Le programme de la 11e journée de Top 14

Il était revenu huit mois après, sous la pluie et dans la boue d'un match de Top 14 face à Agen (10-0, 6 octobre 2018), dont le seul éclair dans l'ennui fut son entrée en jeu à la 59e à la place de Sébastien Bézy. Une semaine plus tôt, il avait joué quarante minutes avec les Espoirs - ce qui ne lui a pas été possible cette année, vu qu'il a dépassé la date de péremption de cette catégorie d'âge depuis un bail -, et était même apparu dans le groupe toulousain face à Castres en Championnat (22-26) comme 24e homme.

 

 

 

Octobre 2018 : précieux en sortie de banc avant un récital à Perpignan

« Je voulais revivre ces moments de communion dans un vestiaire que je n'avais plus connus depuis longtemps, avait-il exprimé à l'époque. Ça m'a permis d'avoir moins d'appréhension. » Ce soir-là, face à Agen, Dupont avait apporté son enthousiasme dans une partie appauvrie par les conditions météo. « Il a encore un peu de spontanéité à aller chercher, mais au moins, il s'est testé sur ce match, c'est bien », avait constaté le manager Ugo Mola après le match.

 

 

Peu de temps après son retour de blessure, Antoine Dupont (ballon en mains) était entré en jeu face au Leinster en octobre 2018. (A. Mounic/L'Équipe)

Dupont avait également vécu les deux matches suivants dans la peau d'un remplaçant : à Bath (victoire 20-22) et contre le Leinster (victoire 28-27), en Coupe d'Europe, dans ce qui pourrait être considéré aujourd'hui comme les deux premières grandes victoires de la génération flamboyante actuelle du club rouge et noir. À chaque fois, il avait suppléé l'Australien Zack Holmes au poste d'ouvreur, gérant parfaitement des fins de match plutôt oppressantes à la charnière avec Bézy.

Et puis vint sa première titularisation post-blessure à Perpignan (18-36, en Top 14), le 27 octobre 2018. Un chef-d'oeuvre. Aligné en 9, il avait terrassé les Catalans presque à lui tout seul en seconde période, en plantant trois essais magnifiques en vingt-sept minutes (48e, 65e, 75e) grâce à ses jambes de feu et à son sens de l'anticipation.

Octobre 2024 : un triplé express pour prolonger l'ivresse

Dupont est revenu une deuxième fois d'une longue absence, plus récemment. Pas après une blessure, cette fois, mais après la parenthèse qui l'avait consacré champion olympique avec France 7 en juillet 2024, et les dix semaines de vacances dont il a bénéficié juste après. Ainsi, lorsqu'il a rendossé le maillot toulousain pour défier Clermont en Top 14 (48-14), le 12 octobre 2024, le stratège n'avait plus évolué avec son club depuis la finale du Championnat contre l'UBB (59-3, 28 juin 2024), soit depuis trois mois et demi.

Une seule semaine d'entraînement collectif lui avait suffi pour s'incruster sur la feuille de match comme remplaçant face à l'ASM. Résultat ? Encore un triplé. En neuf minutes, ce coup-ci (49e, 55e et 58e), alors qu'il avait remplacé Naoto Saito à la 45e. « C'est anecdotique, avait-il réagi après coup. J'essaie d'être au bon endroit au bon moment. Parfois, ça sourit plus que d'autres. Ce ne sont pas les essais les plus durs que j'aie marqués dans ma carrière, mais ça fait cinq points à l'arrivée. » Cette fois-là, Dupont n'avait attendu qu'une semaine pour redevenir titulaire. Et le match d'après, à Pau (victoire 14-22), il avait poursuivi son récital en offrant notamment une passe décisive à Guillaume Cramont d'une chistera à l'aveugle. Bluffant.

[RCV06]

C'est moche

Je viens de reregzrder les.images. il arrive tête haute regard sur Mallia. Je maintiens qui a le temps de se décaler. Bref

Non 
 

[el landeno]

Asmaa Niang, coach mental pour athlètes de haut niveau, sur le retour d'Antoine Dupont à la compétition : « Il va devoir assumer un égoïsme positif »

Coach mentale et thérapeute auprès d'une trentaine d'athlètes de haut niveau, Asmaa Niang analyse les enjeux intimes qui vont occuper la tête d'Antoine Dupont.

Rompue aux situations d'urgence, Asmaa Niang a été sapeur-pompier à la BSPP (Brigade de sapeurs-pompiers de Paris) pendant dix ans, entre 2005 et 2015. Parallèlement, cette judokate fut quintuple championne d'Afrique (-70 kg) et a représenté le Maroc aux Jeux Olympiques de Rio en 2016, puis à Tokyo en 2021. Aujourd'hui âgée de 42 ans, elle est devenue coach mentale et thérapeute, auprès d'une trentaine d'athlètes de haut niveau : footballeurs de Ligue 1 et de Ligue 2, boxeurs, kayakistes, tennismen, golfeurs ou cyclistes. On a voulu savoir quel discours elle livrerait à Antoine Dupont 

« Mille pensées peuvent assaillir Antoine Dupont ce samedi soir, du genre "j'espère que mon genou va tenir". Comment y faire face ?
Dire "n'y pense pas" serait du déni. Plutôt que d'occulter, je lui recommanderais de se connecter intensément à cette partie de lui-même, de parler à son genou : "Tu es fort", "tu es solide." C'est une réalité car il a bossé dur pour ça. Notre corps nous écoute, des travaux de la Harvard Medical School ont démontré l'impact positif des pep talks, des dialogues intérieurs valorisants. Une rééducation ne doit pas se contenter de remettre le corps en état mais aussi de permettre de se reconnecter avec une partie de soi.

L'appréhension peut-être plus présente quand on a été blessé deux fois au même endroit...
Deux blessures dans la même zone, ça crée un ancrage de fragilité car par deux fois votre corps vous a lâché. "Est-ce que je vais me reblesser ?" est une pensée évidente. Je travaille avec des d'athlètes qui se sont pété deux, trois fois, quatre fois le genou... Ces blessures sont provoquées par un choc ou un déséquilibre fonctionnel mais ont souvent une dimension de somatisation. Le genou, c'est lié à la relation du moi et des autres, du "je" et du "nous", le "genou" phonétiquement. Une bonne rééducation se doit de prendre en compte la mécanique autant que le pilote avec des exercices de conscientisation. Par exemple, face à un miroir, c'est important et souvent délaissé chez les hommes.

 

 

 

Si cette appréhension s'invite dans sa tête, que faire au sortir des vestiaires ?
Je dirais à Antoine de se poser trois questions : "où es-tu ?", "quelle heure est-il ?", "qui tu es ?" : ici, maintenant, toi dans ce moment. Revenir à la réalité de l'instant, voilà tout ce qui doit compter. Tout le reste n'est que supputation et n'a pas d'importance.

 

« Trois cycles peuvent suffire pour envoyer à l'amygdale l'information que le corps est en sécurité. "Tu es gentil, je n'ai pas besoin de ton adrénaline. Ni de ton cortisol. Merci. Je suis bien." »

 

 

 

Tant de pensées peuvent s'incruster sous son crâne dans la même minute : "Va falloir que j'assure pour l'équipe"...
Antoine va devoir assumer un "égoïsme positif", se focaliser sur sa performance individuelle. Cette approche personnelle l'aidera à se centrer et le rendra mieux disponible pour les autres. C'est l'hôtesse de l'air dans une cabine dépressurisée qui doit penser à son propre masque à oxygène si elle veut être utile aux passagers. Certaines techniques de respiration permettent d'opérer une régénération profonde en quelques secondes. Je m'en servais durant ma carrière de judokate ou dans des situations de tension comme lorsque j'enchaînais des gardes de 72 heures au sein des sapeurs-pompiers.

Concrètement ?
Expirer. Poumons vidés. Rétention. Inspiration, se remplir d'oxygène en pleine conscience. Revenir en soi, sentir ce qui se passe. Trois cycles peuvent suffire pour envoyer à l'amygdale l'information que le corps est en sécurité. "Tu es gentil, je n'ai pas besoin de ton adrénaline. Ni de ton cortisol. Merci. Je suis bien." Du pep talk, toujours. Ça se travaille autant qu'une série d'haltères. Sur un terrain de rugby, à son boulot, Antoine Dupont va être confronté à la situation d'anonymes qui, en situation de stress, réactivent leur mémoire archaïque : j'ai perdu mon téléphone, mon collègue m'a mal parlé, je suis en retard. Tant d'agitations intérieures qui provoquent des apnées toxiques. Par une respiration adéquate, on parvient à abaisser son taux de cortisol et on a accès à des hormones magnifiques : la sérotonine, la dopamine. La pleine conscience de soi apporte lucidité et clarté, elle s'exerce. "Je relâche les épaules.""Je détends ma mâchoire.""Je ne suis pas en danger de mort." Calme intérieur. "Je redeviens fluide."

Le programme de la 11e journée

Le stress peut se cacher dans le SMS d'un proche ou d'un sponsor qui se veulent sympas mais qui, par des mots maladroits, accentuent le poids de leur attente...
Si ton but est de faire plaisir à d'autres, tu n'as plus la place pour jouer. À l'égoïsme positif j'ajouterais "l'intention juste". Seule la pensée du "jeu" peut t'amener à cet état de flow où tu excelles. Ne t'encombre pas des bagages des autres. Si tu portes les attentes du public, d'un pays ou de sponsors, tu deviens extérieur à toi-même. Et si tu n'es pas là, présent au coeur de toi-même, à quoi bon ? Souviens-toi d'une image forte, enfant, à rigoler dans la boue avec un ballon. Trouve-toi une image suffisamment puissante qui se superposera aux ruminations toxiques.

Des doutes peuvent se repointer au cours du match...
Se façonner une petite maxime aide à se recentrer. Je travaille avec un défenseur de Ligue 1 qui accumulait les cartons rouges. Depuis un an, il n'en a plus pris un seul. Il a élaboré une maxime qui lui convient : "Je scanne, je prends, je redonne." J'avais la mienne en judo, "Je monte, j'arrache, je mets l'épaule" pour me recentrer sur mon bras droit, très puissant. À Antoine de se trouver sa petite formule magique pour évacuer les pensées d'enjeux et de conséquences. Les attentes des autres peuvent faire déjouer. On ne "fait" pas du rugby, on joue au rugby. Regarde Teddy (Riner). S'il a autant gagné, c'est parce qu'il a su s'extraire de la pression de son statut. Dix fois champion du monde, c'est très dur. Bien plus qu'être outsider. Il faut garder une âme d'enfant.

Être champion, c'est refuser de grandir ?
Pas de grandir, mais refuser de devenir un adulte névrosé, prisonnier de sa propre exigence et de celle des autres. La volonté de signifier aux autres "je suis là", "j'existe", ça peut être libérateur ou très toxique. Démultiplié quand on se sait scruté, attendu. Ce sont des pensées trop lointaines. Il faut être dans l'instant et savourer. Le reste n'existe pas »

 

[Alligator427]

Non

Mais ça c'est parce que toi en tant qu'ailier tu plaquais les yeux fermés. Alors que nous autres aux postes un peu plus sérieux nous sachions conserver l'il vif et le cerveau allumé !😁

[Alex chocolatines]

Non 
 

Pffff, t'y connais rien, tu plaquais pas 

[InASMWeTrust]

C'est qui ce Dupont dont tout le monde parle ? 

[Maury]

C'est qui ce Dupont dont tout le monde parle ?

Le pendant de Dupond

[Buckaroo]

"Ces blessures sont provoquées par un choc ou un déséquilibre fonctionnel mais ont souvent une dimension de somatisation. Le genou, c'est lié à la relation du moi et des autres, du "je" et du "nous", le "genou" phonétiquement."

 

On vit vraiment une époque formidable.

[Alligator427]

"Ces blessures sont provoquées par un choc ou un déséquilibre fonctionnel mais ont souvent une dimension de somatisation. Le genou, c'est lié à la relation du moi et des autres, du "je" et du "nous", le "genou" phonétiquement."
 
On vit vraiment une époque formidable.

Gorafi ?

[ZACH]

"Ces blessures sont provoquées par un choc ou un déséquilibre fonctionnel mais ont souvent une dimension de somatisation. Le genou, c'est lié à la relation du moi et des autres, du "je" et du "nous", le "genou" phonétiquement."

 

On vit vraiment une époque formidable.

Oui on assiste depuis une dizaine d’années à l’émergence de ramassis de conneries dans ce domaine, avec des « coachs »  qui compilent des mots, des verbes pour aboutir à une diarrhée verbale .

Il y en a qui tiennent la route mais c’est 10% du lot, peut être….

Apres tout, pourquoi pas, il y a bien des imbéciles qui se déclarent candidat à la présidentielle 2027.

Nous vivons une époque formidable 

[InASMWeTrust]

"Ces blessures sont provoquées par un choc ou un déséquilibre fonctionnel mais ont souvent une dimension de somatisation. Le genou, c'est lié à la relation du moi et des autres, du "je" et du "nous", le "genou" phonétiquement."

 

On vit vraiment une époque formidable.

 

Oui on assiste depuis une dizaine d’années à l’émergence de ramassis de conneries dans ce domaine, avec des « coachs »  qui compilent des mots, des verbes pour aboutir à une diarrhée verbale .

Il y en a qui tiennent la route mais c’est 10% du lot, peut être….

Apres tout, pourquoi pas, il y a bien des imbéciles qui se déclarent candidat à la présidentielle 2027.

Nous vivons une époque formidable 

Là je pense que le mec a dû faire un stage un peu trop long chez Galthé. Ou au centre de visionnage. 

[Alligator427]

Quelqu'un a réellement dit ça ?

[InASMWeTrust]

Quelqu'un a réellement dit ça ?

lis l'article posté juste au dessus ! Et encore Buckaroo n'a pas cité toutes les merdes qui y sont..