3563 réponses à ce sujet

[Parigot_Paris]

Ce que j avions vu à Limoges : du travail dans l axe de haute qualité avec des charges sans passer par le sol. Des offensives très intéressantes avec notamment ce truc dont je ne me souviens plus comment ça s appelle. Ça va me revenir. Un moment. Ah oui : des passes. Ils en ont fait plein, même dans la zone où on fait les grands coups de pompes et que vous appelez les 22.
Van der Mescht déchaîné. Très bon Carbonel et une mêlée qui a fait mal. Je suis content.

[OliveR]

Ce que j avions vu à Limoges : du travail dans l axe de haute qualité avec des charges sans passer par le sol. Des offensives très intéressantes avec notamment ce truc dont je ne me souviens plus comment ça s appelle. Ça va me revenir. Un moment. Ah oui : des passes. Ils en ont fait plein, même dans la zone où on fait les grands coups de pompes et que vous appelez les 22.
Van der Mescht déchaîné. Très bon Carbonel et une mêlée qui a fait mal. Je suis content.

Et à part ça, toujours des maillots moches ?

[Parigot_Paris]

Et à part ça, toujours des maillots moches ?

Des sommets de style et d élégance ! D ailleurs la DDE gabonaise n en veut pas d autres pour les travaux de nuit sur autoroute !

[Le Marseillais]

Oui, mais.....la saucisse purée dans tout ça ? 

[el landeno]

Léo Barré (arrière du Stade Français) : « Ce n'était pas l'heure de partir » Tenté par le Stade Rochelais, l'arrière a finalement décidé de prolonger au Stade Français jusqu'en 2029. Il l'explique notamment par sa volonté de marquer l'histoire de son club de coeur.

 

Le 4 septembre, à trois jours de l'ouverture de la saison du Top 14, le Stade Français Paris a annoncé la prolongation de Léo Barré. L'arrière international (22 ans, 4 sélections) est désormais lié au club de la capitale jusqu'en juin 2029. Le Parisien explique ce choix fort malgré l'intérêt très prononcé du Stade Rochelais. Il évoque les grandes ambitions parisiennes et ses objectifs plus personnels avec l'équipe de France.

 

 

« Expliquez-nous votre choix de prolonger dans la durée au Stade Français.
Je suis déjà très heureux. Le Stade Français m'a toujours attiré, même si mon père a joué au Racing ! J'ai appris a aimer le Stade Français et cette prolongation prouve que j'aime toujours ce club. J'ai souhaité m'engager sur un projet auquel j'adhère dans la durée afin de me focaliser uniquement sur mon rugby et éviter de me poser la question de mon avenir presque chaque été. De plus, je veux gagner des titres avec le Stade Français où je sens à nouveau une certaine ferveur avec un stade Jean-Bouin qui fait souvent le plein. Enfin, j'ai ma famille à côté, c'est important à mes yeux. J'en ai besoin pour me ressourcer.

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Est-ce que la saison réussie l'an passée (élimination en demi-finales du Top 14 face à Bordeaux) a également conforté votre choix ?
Oui, mais pas que. Même si les résultats de la saison dernière n'avaient pas été au rendez-vous, ça n'aurait pas impacté mon choix. Depuis déjà deux ou trois ans, j'ai la sensation qu'un socle s'est installé. Il y a un collectif fort, avec un esprit très parisien. On joue tous pour les copains, avec cette volonté de se faire plaisir. Même s'il faut reconnaitre que la saison dernière, notre jeu n'était pas plaisant à regarder. Mais on gagnait ! Cette saison, on ne promet rien, mais on veut donner plus de plaisir en attaque. Comme on l'a montré à Bordeaux samedi dernier. Malheureusement, on a oublié de défendre (défaite 46-26). À nous de trouver le bon équilibre. J'ai la certitude que le Stade Français sera compétitif sur les années à venir. À nous de le prouver. C'est ce qui m'attire.

« Si j'avais réagi à chaud après ma rencontre avec le Stade Rochelais, j'aurais signé là-bas. Le temps de la réflexion était nécessaire et mon club de coeur est vite revenu au premier plan »

Léo Barré

 

 

 

 

 

Gagnez un titre avec le Stade Français semble vous tenir à coeur. Tant que ça ne sera pas le cas, nous avons la sensation que votre histoire ici ne sera pas terminée...
Oui, c'est ancré en moi. Mon père a été champion de France avec le Racing (dans les catégories Cadets et Crabos). À Massy (2014 à 2020), on nous inculque la gagne. J'ai grandi là-dedans. Je veux gagner. Je tiens au club. Après, qu'est-ce qui se passera à l'issue de ce nouveau contrat ? C'est trop lointain. Ma volonté est de jouer le plus longtemps possible au sein d'un Stade Français compétitif.

Le Stade Rochelais et son manager Ronan O'Gara vous ont fait une cour assidue. Comment l'avez-vous vécue ?
J'ai eu plusieurs sollicitations, mais le Stade Rochelais est la seule qui m'ait fait réfléchir. J'ai toujours vu ce club d'un bon oeil. Un club très famille qui a beaucoup prouvé ces dernières saisons. Le contact avec Ronan O'Gara a été bon aussi. C'est un passionné, il te pousse à la performance, à l'excellence. L'équipe est compétitive, le cadre de vie très sympa, donc le projet m'a attiré. Si j'avais réagi à chaud après ma rencontre avec le Stade Rochelais, j'aurais signé là-bas. Le temps de la réflexion était nécessaire et mon club de coeur est vite revenu au premier plan. J'ai hésité, je ne vais pas le cacher. Mais ce n'était pas l'heure de partir.

 

Léo Barré lors de la défaite du Stade Français face à Bordeaux-Bègles. (N. Luttiau/L'Équipe)

Le fait que Laurent Labit, le directeur sportif du Stade Français, se rapproche du terrain et s'occupe du jeu d'attaque a-t-il eu un impact ?
C'était un plus. C'est un passionné qui veut nous faire progresser quotidiennement. L'avoir sur le terrain nous fait un bien fou. Il a connu le plus haut niveau avec l'équipe de France. On a envie de le suivre et d'apprendre. Il n'y a pas eu que ça, mais ç'a joué dans ma décision.

Nolann Le Garrec, dont vous êtes proche, s'est engagé au Stade Rochelais à partir de 2025 (il était également pisté par le Stade Français). Avez-vous chacun essayé d'influencer l'autre ?
(Il sourit.) non, non ! On s'est mis des pièces, on s'est tenu au courant du choix de chacun, mais comme vous avez pu le constater, ça n'a pas joué dans nos décisions respectives.

« J'espère me démarquer et être à nouveau appelé (en équipe de France). Mais comme je veux aussi disputer la phase finale de Top 14 et de Coupe des champions avec mon club, je n'ai pas d'autre choix que d'être performant.

 

 

 

Votre prise de décision a-t-elle perturbé votre quotidien ?
Non, pas du tout, je dormais bien la nuit ! (il se marre). Que ce soit le Stade Français ou le Stade Rochelais, le choix était bon. J'ai échangé avec mes parents, pour poser le pour et le contre. Ils m'ont beaucoup aidé. Antoine Ratinaud, mon conseiller, m'a également bien guidé. Ça n'a engendré aucun stress. Peu importe le choix, il faut être bon sur le terrain.

Justement, après une saison réussie avec le Stade Français et vos premières sélections en équipe de France, n'est-ce pas le plus dur qui arrive... A savoir l'année de la confirmation... 
Je ne le vois pas comme ça. Oui, il y aura plus d'attente. Mais à chaque fois que j'entre sur un terrain, c'est pour donner le meilleur de moi-même. Mon état d'esprit est le suivant depuis toujours : être meilleur à chaque match. Je me remets beaucoup en question. Mon père et Antoine (Ratinaud) sont là pour me remettre sur le droit chemin. Laurent (Labit) aussi. Il sait revenir vers moi pour me dire ce qui ne va pas. L'objectif est d'être performant pour l'équipe.

L'équipe de France est-elle une ambition affirmée ?
Je veux y regoûter. Mais ça passe par des performances de haut niveau. Il y a tellement de joueurs de talent à mon poste... J'espère me démarquer et être à nouveau appelé. Mais comme je veux aussi disputer la phase finale de Top 14 et de Coupe des champions avec mon club, je n'ai pas d'autre choix que d'être performant.

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Vous avez pris près de 50 points pour l'ouverture de la saison (défaite 46-26 face à Bordeaux). Ça calme ?
Forcément ! On a pris une belle déculottée. Mais il faut avancer et remédier à ça très rapidement, à commencer par la réception de Vannes.

Le Stade Français est-il déjà sous pression ?
Non, c'est trop tôt pour se mettre le feu. Gagner à Bordeaux est très difficile, même si on ne pensait pas prendre autant de points. Place à Vannes, un club ambitieux qui cherchera à nous titiller à la maison. À nous de faire le nécessaire pour décrocher notre première victoire à Jean-Bouin et lancer notre saison.

 

 

[steph]

Pas de langue de bois, c'est rafraîchissant !

[Parigot_Paris]

Pas de langue de bois, c'est rafraîchissant !

C'est grâce à mon media-training : quand je me frotte à leur bas de survêt' en ronronnant, ils apprennent des mots simples et directs, tels que par exemple : "dégage de là sale groupie où je t'urine sur la tête."

 

C'est sans langue de bois et proche des préoccupations immédiates de l'auditoire !

[Alex chocolatines]

Moi j'en ai plein le cul du Stade Français !   2 fois que vous me chiez mes pronos, y en a marre ! 

 

Je vous pronostiquerai perdants à Pau, venez pas pleurer 

[el landeno]

Le délicat début de saison du Stade Français qui peine à retrouver les ingrédients de la saison passée Défait à domicile dimanche par Toulon (10-14), le Stade Français démarre sa saison sans beaucoup de certitudes. Plusieurs secteurs de son jeu posent problème.

 

 

Juste avant le coup d'envoi de ce nouvel opus du Top 14, dans un long entretien sur les étapes clés pour réussir une belle saison, Laurent Labit avait insisté sur le fait d'attaquer fort. Le directeur sportif du Stade Français expliquait : « Si je prends notre exemple, sur les cinq premiers matches, nous allons recevoir trois fois (Vannes, Toulon et Montpellier) pour seulement deux déplacements (Bordeaux et Pau). Ce début de saison est très important. On n'a pas le droit à l'erreur dès l'ouverture de la saison. On doit attaquer fort. »

 

 

C'est raté ! Avec une première défaite à domicile (10-14 face à Toulon), le club de la capitale est déjà en retard sur son tableau de marche. Rien de rédhibitoire, bien sûr. Pas encore. Mais ce revers sonne comme un signal négatif. La dernière défaite concédée à Jean-Bouin remontait à la mi-novembre 2023, face au Racing 92 la saison passée (9-13). Une série de dix matches sans défaite (9 victoires, 1 nul) qui vient de prendre fin. « On est très déçus de perdre à la maison, glissait le capitaine Paul Gabrillagues, à chaud, dimanche soir. On connaît le Top 14. Il faut se taire et travailler. »

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Un jeu au pied en souffrance

Oui, il y a du boulot. Si, lors des deux premières rencontres (défaite à Bordeaux 46-26 et victoire face à Vannes 34-31), la défense parisienne a été pointée du doigt (77 points, 11 essais encaissés), face au RCT, elle a été moins à la peine (14 points, 1 essai). En revanche, sous une pluie continue, le Stade Français a failli au pied. « Stratégiquement, Toulon a été meilleur », posait Gabrillagues. « En première période, nous avons perdu la bataille du jeu au pied et de l'occupation », insistait Labit.

Une défaillance symbolisée par Louis Carbonel. L'ouvreur a raté son match, même s'il n'est pas l'unique responsable du revers de son équipe. Ses sorties de camp ont manqué de puissance et sa précision face aux perches l'a abandonné. Il a manqué ses trois tentatives, dont deux largement dans ses cordes. La première à 30 mètres face aux poteaux (31e), ce qui aurait permis à son équipe de revenir au score (0-8). La deuxième juste avant la mi-temps (38e), cette fois à 22 mètres légèrement à gauche des poteaux. « On a été défaillants dans le jeu au pied. On a laissé au moins 6 points en route », appuyait Labit. « On a été un peu indisciplinés en première période, heureusement, Carbo (Carbonel) n'a pas mis les points », glissait l'entraîneur des avants varois Sergio Parisse.

 

 

Conséquence ? Carbonel est resté au vestiaire au moment de reprendre la seconde période, remplacé par Zack Henry. Un choix assumé par Labit : « À la mi-temps, il nous a semblé opportun de changer trois joueurs (Tanginoa Halaifonua à la place de Juan John Van der Mescht, Yoan Tanga de Sekou Macalou et donc Henry de Carbonel) pour amener de la puissance et plus de longueur au pied. On a fait une meilleure seconde période. Mais on a laissé trop de points, ça fait très lourd à la fin. »

lire aussiCarbonel, une faillite qui coûte cher au Stade Français

Carbonel n'est pas l'unique fautif. Si le demi de mêlée Brad Weber est un animateur qui colle mieux au jeu plus offensif souhaité par Labit, son jeu au pied est lui aussi perfectible. Dimanche soir, la présence d'un Rory Kockott, qui a refusé de prolonger, ou d'un Joris Segonds, parti à Bayonne, n'aurait pas été de trop. Le staff parisien avait de toute façon déjà conscience des carences au pied de son effectif. Comme révélé dans nos colonnes, le Stade Français a sollicité Philippe Doussy, spécialiste du jeu au pied, pour intervenir auprès des Stadistes. L'actuel membre du staff italien devrait être présent une à deux fois par mois.

Une mêlée qui patine

Si le jeu au pied inquiète, il y a un autre secteur clé qui grince en ce début de saison : la mêlée. Point fort de la précédente campagne, le pack parisien n'a pas encore trouvé la bonne carburation. La faute à plusieurs blessures. Quand vous perdez vos deux piliers droits (Paul Alo-Émile et Giorgi Melikidze) et votre pilier gauche (Sergo Abramashvili), tous les trois montés sur des pneus « monster truck », difficile d'exister.

« On a beaucoup d'éléments contre nous, mais ce n'est que la troisième journée. On va faire le dos rond. »

Laurent Labit, directeur sportif du Stade Français.

 

 

 

Le jeune Hugo Ndiaye (24 ans) et le vétéran Francisco Gomez-Kodela (39 ans) ont patiné terriblement lors des deux derniers matches. La mêlée a ainsi été pénalisée à onze reprises. Ce qui n'inquiète pas outre mesure Labit, même si le club de la capitale s'est mis en quête d'un joker médical en renfort. Pourtant, juste avant le début de saison, le directeur sportif assurait : « L'autre facteur qu'on ne maîtrise pas, ce sont les blessures. Elles peuvent être très préjudiciables, voire gâcher une saison. » On n'en est pas encore là. « Il n'y a que trois matches, il est beaucoup trop tôt pour tirer des bilans », balayait Gabrillagues. Un sentiment partagé par Labit : « On a beaucoup d'éléments contre nous, mais ce n'est que la troisième journée. On va faire le dos rond. »

Le prochain déplacement sur la pelouse de la Section Paloise (samedi, 21 h 05), qui sort d'une lourde défaite à La Rochelle (49-25), s'annonce bien périlleux. Hasard du calendrier, l'an dernier, après sa première défaite à domicile de la saison (9-13 face au Racing 92, 7e journée), le Stade Français s'était déplacé à Pau... Pour un lourd revers (30-6). S'en était suivie une sortie nocturne non autorisée pour une dizaine de joueurs et la mise à pied de Giovanni Habel-Kuffner pour deux semaines (pour une bagarre avec un membre du staff palois). Il serait opportun cette fois de ne pas reproduire le même schéma...

 

 

[Fanchic]

J'ai comme l'impression que la saison passée était un accident. Le Stade Français avait gagné des matchs au forceps notamment grâce a un arbitrage favorable (je pense notamment au nul face a nous).

Cette année avec un grain de sable (blessure) et une identité plus tournée vers l'attaque ça pourrait ne pas suffire

[InASMWeTrust]

J'ai comme l'impression que la saison passée était un accident. Le Stade Français avait gagné des matchs au forceps notamment grâce a un arbitrage favorable (je pense notamment au nul face a nous).

Cette année avec un grain de sable (blessure) et une identité plus tournée vers l'attaque ça pourrait ne pas suffire

Oui, je les sens aussi basculer vers le milieu de tableau et être trop justes dans les fondamentaux pour exister dans les 6. 

Pour avoir vu des bouts de matchs uniquement, j'ai trouvé le ST, l'UBB et LT bien au-dessus, avec des certitudes dans le jeu, un effectif costaud et homogène. Derrière ces trois là, c'est encore tâtonnant ou insuffisant dans certains domaines pour pas mal de clubs qui vont viser les 6-8 : R92, Clermont, SF, RCT (je pense qu'ils seront dans les 6) voire MHR et CO. Le LOU est toujours aussi inconsistant, et les autres me semblent peu armés pour tenir une saison entière. Point de vigilance quand même : la Coupe d'Europe, qui peut bouffer de l'énergie, du mental et amener des blessés. 

[Lima]

Personnellement, avant la saison, je voyais le Stade Français étoffer son jeu basé sur une grosse défense et un pack très organisé pour devenir un vrai prétendant au titre (derrière Toulouse Bordeaux et La Rochelle).

Pour le moment les faits me donnent torts mais nous ne sommes que à la 4ème journée.

[diomedea]

https://www.rugbyram...is-12230232.php

Pôôvre Stade Français.....

[Luernios]

Pour Ghezal ça aurait pu être pire

 

Il fait un match de préparation à Limoges contre Castres un mois après il est limogé heureusement que ce n'était pas un match à Castres contre Limoges

[cocotte 63]

Sa situation était bien tendax l'an dernier, les très bons résultats lui permirent de s'en sortir... aujourd'hui plus de résultats, le couperet est tombé.