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[el landeno]

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Démission refusée pour Laurent Labit qui prend du recul sur le terrain au Stade Français

 

Laurent Labit n'est plus en charge du sportif au Stade Français. (A. Martin/L'Équipe)

INFO L'ÉQUIPE. Après la nouvelle défaite à Toulon (24-6) samedi, synonyme de 14e et dernière place au classement, Laurent Labit a proposé sa démission mais celle-ci a été refusée. Il prend du recul par rapport au terrain mais conserve son poste de directeur sportif.

Maxime Raulinpublié le 24 février 2025 à 15h42mis à jour le 24 février 2025 à 16h48

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La défaite du Stade Français sur la pelouse de Toulon (24-6) samedi a plongé un peu plus le club de la capitale dans la crise. Le onzième revers de la saison consommé, les Parisiens sont rentrés à Paris à la dernière place du Top 14 (à égalité de points avec Vannes). Dimanche, joueurs et staff étaient convoqués pour une réunion. Si Karim Ghezal avait été évincé le 30 septembre à la suite des mauvais résultats, cette fois pas de nouveau départ au sein de l'encadrement technique.

L'ÉQUIPE

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Selon nos informations, le directeur sportif Laurent Labit a proposé sa démission ce dimanche mais celle-ci a été refusée par ses dirigeants. Il conservera son poste et continuera à superviser l'encadrement.

Paul Gustard prend la main

Cependant, il a été acté que l'ancien co-entraineur du quinze de France, arrivé comme patron après la Coupe du monde 2023, allait prendre du recul et n'intervient donc plus sur le terrain. Il reprend de la hauteur, un peu comme la saison dernière. C'est désormais Paul Gustard, nommé entraîneur principal à la suite du départ de Ghezal, qui sera chargé d'unifier le discours auprès des joueurs et de tenter de sauver le club de la relégation. L'Anglais s'occupera des compositions d'équipe chaque week-end. Contacté ce lundi, Labit n'a pas souhaité s'exprimer.

Samedi après-midi (14h30), le Stade Français devra se relancer à Jean-Bouin contre La Rochelle, autre club dans le dur après sa défaite à domicile contre le Racing 92 (21-26) samedi dernier.

[clum63_]

C'était une connerie de laisser partir Ghezal

[Alex chocolatines]

C'était une connerie de laisser partir Ghezal

Ouais bof, faudra woir dans le temps, pas sur que ça marche longtemps au LOU 

[dj0e]

Le Stade Français va-t-il sauver Vannes ?

[el landeno]

« Il est l'heure de se bouger le cul » : retour sur 48 heures mouvementées au Stade Français, lanterne rouge du Top 14 Défaite à Toulon samedi, réunions à gogo dimanche, proposition de démission et prise de recul de Labit, pseudo réorganisation du staff pour la réception du Stade Rochelais. Le Stade Français repique une crise.

 

Avec le Stade Français, le conseil serait d'éviter de prendre des congés. Même quelques jours, sous peine de rater un nouvel épisode croustillant du quotidien d'un club pas comme les autres. Souvent, l'histoire se répète. Mais la dramaturgie de cet opus a atteint son point culminant samedi dernier. En déplacement à Toulon, les Parisiens sont repartis bredouilles (défaite 24-6). Une habitude puisqu'ils n'ont pris qu'un point à l'extérieur (bonus défensif à Vannes) en neuf déplacements. Sauf que cette fois, le club de la capitale se retrouve à la dernière place du Top 14 après 17 journées (28 points). Pour retrouver trace d'un pareil fiasco, il faut remonter cinq ans plus tôt. Le 1er mars 2020 précisément.

 

Les similitudes sont d'ailleurs frappantes. C'était déjà au soir de la 17e journée après une défaite à... Toulon (19-18). Les « soldats roses », qui comptaient seulement 25 points à l'époque, avaient finalement été sauvés par le contexte et la pandémie de Covid-19 qui avait entraîné l'arrêt du Championnat, sans relégation, ni accession. Cette fois, il faudra aller au bout des vingt-six journées pour conserver sa place dans l'élite. Une opération « commando », estampillée « neuf matches pour se sauver », a donc été décrétée dès samedi dans l'intimité du vestiaire.

Une dissonance de discours entre Labit et Gustard selon les joueurs

Le soir même, la rumeur d'une bagarre au sein du vestiaire stadiste a commencé à fuiter. « N'importe quoi, c'est faux », nous a répondu, agacé, par message, un Parisien présent à Toulon. « Il y a eu un discours un peu musclé, mais rien d'autre », a assuré un autre désabusé. Renseignements pris, pas de bagarre donc, ni d'altercation. Place au retour à Paris, têtes basses, avant l'organisation de réunions, le dimanche. Le staff d'abord en début d'après-midi, en présence du directeur général Thomas Lombard. Les joueurs étaient, eux, attendus en fin d'après-midi. Un rendez-vous auquel le troisième-ligne Yoan Tanga a oublié de se présenter, malgré un rappel à l'ordre d'un coéquipier quelques heures plus tôt. Pas du goût de tout le monde pour une recrue débauchée à prix d'or au Stade Rochelais l'été dernier (il lui restait un an de contrat).

Cette réunion a été l'occasion de se dire les choses et d'évacuer les non-dits qui germaient depuis plusieurs semaines. Les joueurs ont évoqué une dissonance de discours entre le directeur sportif Laurent Labit et l'entraîneur en chef Paul Gustard, et ont pointé que le tout le staff n'était pas sur la même longueur d'onde. Comme révélé lundi, Laurent Labit a proposé de démissionner pour régler le problème. Finalement, une nouvelle organisation a été actée. Ce dernier, qui était revenu au plus près des joueurs en début de saison, en s'occupant notamment du jeu d'attaque, a décidé de prendre du recul avec le terrain. Mais il reste directeur sportif. Paul Gustard, promu entraîneur en chef quinze jours après l'éviction de Karim Ghezal fin septembre, et ses deux adjoints (Julien Tastet et Morgan Parra) ont donc été chargés de préparer la réception du Stade Rochelais (samedi, 14h30) d'une seule et même voix.

« Quand vous jouez à Vannes ou à Perpignan et que vous croisez des supporters les lendemains de défaites, vous comprenez le poids du club. À Paris, les joueurs sont tranquilles »

 

 

 

À la suite de nos révélations, plusieurs messages ont encore fusé, nous assurant que « Laurent Labit n'avait pas posé sa démission mais simplement demandé si son départ pouvait être bénéfique pour le club » et « qu'il n'était pas déchargé du sportif, au contraire, qu'il restait le patron ». Une façon sans doute de jouer sur les mots pour masquer les maux actuels. En tout cas, l'inquiétude planait au sein du groupe parisien, même si la réunion de « crise » a été suivie d'un dîner de groupe. Le club n'a « pas l'effectif et la mentalité pour jouer le maintien » selon certains. Pour d'autres, le contexte parisien n'aide pas non plus : « Quand vous jouez à Vannes ou à Perpignan et que vous croisez des supporters les lendemains de défaites, vous comprenez le poids du club. À Paris, les joueurs sont tranquilles. »

 

Les supporters du Stade Français, habitués aux situations de crise, mais loin d'être les plus virulents, se sont fendus d'un communiqué pour souligner « la situation indigne » du club, mais également « un manque de communication vis-à-vis des supporters ». Ils déplorent notamment « la gestion de l'effectif parfois étrange », s'interrogent « de la véritable stratégie de jeu imposée » et s'inquiètent « quant à l'issue de cette saison ». Le club n'a pas tardé à réagir, par communiqué également, assurant que « joueurs, staffs et dirigeants sont focalisés sur les échéances à venir et travaillent d'arrache-pied pour sortir le club de la zone rouge ». Joints par nos soins, ni Thomas Lombard, ni Laurent Labit n'ont souhaité s'exprimer.

lire aussiLe calendrier du Top 14

La réception du Stade Rochelais (7e, 37 points), dans une situation quasi similaire après une troisième défaite de rang (« On est dans une crise, on se bat pour le maintien » a déclaré le manager sportif Ronan O'Gara après le revers à domicile face au Racing 92), s'annonce électrique. Le propriétaire-président Hans-Peter Wild, de retour des États-Unis depuis dimanche, sera présent. Si l'éviction de Ghezal après seulement quatre journées, n'a rien changé, ce nouveau pseudo-remaniement va-t-il avoir l'effet escompté ? « Il est l'heure de se bouger le cul », glissait un joueur en début de semaine. C'est le cas de le dire.

 

 

[biball]

C'était une connerie de laisser partir Ghezal

Ou Quesada.

[InASMWeTrust]

Ou Quesada.

Se queda Quesada. 

 

Avec toutes ces merdes, Parra va finir entraîneur du SF et on va jamais le récupérer. Ou alors il va faire venir BJ pour l'aider   

[Binche63]

C'était une connerie de laisser partir Ghezal

La connerie c etait les arrivé de Labite et Ghezal en décalage de la saison précédente.

Ça crée forcément des tensions dans le staff

[Parigot_Paris]

Ouais bof, faudra woir dans le temps, pas sur que ça marche longtemps au LOU 

Il va leur sauver le postérieur, et ça ça compte.

[dj0e]

Le calendrier du Stade Français n'est pas facile.
Stade Français - La Rochelle
Stade Français - Bayonne
Montpellier - Stade Français
Stade Français - Toulouse
Racing 92 - Stade Français
Perpignan - Stade Français
Stade Français - Lyon
ASM - Stade Français
Stade Français- Castres

5 matchs à domicile, dont Toulouse.
Des déplacements pas franchement abordables.

Leur fin de saison va être très tendue.

Ils ne vont pas jouer Toulon ou l'UBB, c'est déjà ça.

Leur deux prochains matchs, à domicile, doivent apporter du résultat s'ils veulent y croire. Derrière, il peuvent enchainer 4 défaites

Vannes ne lachera rien.

[clum63_]

Le calendrier du Stade Français n'est pas facile.
Stade Français - La Rochelle
Stade Français - Bayonne
Montpellier - Stade Français
Stade Français - Toulouse
Racing 92 - Stade Français
Perpignan - Stade Français
Stade Français - Lyon
ASM - Stade Français
Stade Français- Castres

5 matchs à domicile, dont Toulouse.
Des déplacements pas franchement abordables.

Leur fin de saison va être très tendue.

Ils ne vont pas jouer Toulon ou l'UBB, c'est déjà ça.

Leur deux prochains matchs, à domicile, doivent apporter du résultat s'ils veulent y croire. Derrière, il peuvent enchainer 4 défaites

Vannes ne lachera rien.

Stade Français - La Rochelle, match vengeur des rochelais: 0-4
Stade Français - Bayonne, Bayonne voudra se racheter de leur défaite à domicile la semaine précédente: 1-4
Montpellier - Stade Français, Montpellier ils sont pas gentil: 4-0
Stade Français - Toulouse, en prime time: 0-4
Racing 92 - Stade Français, le derby: 2-2
Perpignan - Stade Français, là ça commence à faire un peu  loin pour un prono mais mettons: 4-1
Stade Français - Lyon, idem mais Ghezal voudra punir son ancien club: 1-4
ASM - Stade Français, no comment: 5-0
Stade Français- Castres, on va être gentil pour finir: 4-1

 

voilà donc encore 9pts possible pour eux et je vois bien Vannes en prendre au moins autant, je dirais même entre 9 et 14

[Parigot_Paris]

Je note un truc : ouais ouais si t'es à Bayonne ou à Perpignan tu comprends ta douleur quand tu perds alorsse qu'à Paris c'est la douceur tendre des câlins capitonnés des supporters bisounours. Cette couillonnade de croire que les supporters peuvent influer sur le destin de leur klube en traitant les joueurs de mouille-colle, de va-de-la-gueule et de bons à nibbe, ça me fait marrer.

 

Que je sache, Bayonne et les Parpinÿhüs sont bien descendus malgré les lazzis et autres quolibets. Mon naturel de groupie fait que je communique fréquemment avec les joueurs. La SEULE chose qui a une quelconque utilité et encore pas beaucoup c'est de garder une distance respectueuse et de les encourager.

 

DONC

 

Le Président tranche

Le DG instruit

Les côtches font bien ce qu'ils veulent y compris traiter leur troupe de mauvais joueurs

Les joueurs jouent

les supporters soutiennent.

 

Bon, nous on a un président qui gère ses différents business depuis le Z'Antilles. d'où un retard à l'allumage qui peut nous coûter cher ! Mais le seul discours possible c'est "Oué les mecs, allé les mecs, oué les mecs !" Allé Pôrih !

[kennaugh]

C'était une connerie de laisser partir Ghezal

A partir du moment où la moitié de l'effectif avait envie de s'expliquer autrement qu'avec des mots (dira t-on) avec lui. C'était compliqué de continuer l'aventure.

[Binche63]

Je note un truc : ouais ouais si t'es à Bayonne ou à Perpignan tu comprends ta douleur quand tu perds alorsse qu'à Paris c'est la douceur tendre des câlins capitonnés des supporters bisounours. Cette couillonnade de croire que les supporters peuvent influer sur le destin de leur klube en traitant les joueurs de mouille-colle, de va-de-la-gueule et de bons à nibbe, ça me fait marrer.
 
Que je sache, Bayonne et les Parpinÿhüs sont bien descendus malgré les lazzis et autres quolibets. Mon naturel de groupie fait que je communique fréquemment avec les joueurs. La SEULE chose qui a une quelconque utilité et encore pas beaucoup c'est de garder une distance respectueuse et de les encourager.
 
DONC
 
Le Président tranche
Le DG instruit
Les côtches font bien ce qu'ils veulent y compris traiter leur troupe de mauvais joueurs
Les joueurs jouent
les supporters soutiennent.
 
Bon, nous on a un président qui gère ses différents business depuis le Z'Antilles. d'où un retard à l'allumage qui peut nous coûter cher ! Mais le seul discours possible c'est "Oué les mecs, allé les mecs, oué les mecs !" Allé Pôrih !

AB et USAP ils ont des terrains bien hostile pour les visiteurs alors que Jean Bouins c est un peu la succursale des provinciaux vivant à Paris qui vont venir voir jouer leur club de coeur

[Parigot_Paris]

AB et USAP ils ont des terrains bien hostile pour les visiteurs alors que Jean Bouins c est un peu la succursale des provinciaux vivant à Paris qui vont venir voir jouer leur club de coeur

Un brin plusse compliqué que ça. Les vieux cons mordus du club comme moi je nous évalue à 2500. Les étudiants bourrés qui viennent pour la bodega sont sans doute 5000. Le reste c'est un mélange d'amateurs de ballon ovale, de mordus de sport, quelques supporters du PSG qui viennent nous faire tartir passqu'on joue en rose et effectivement des expats.