Il faut rappeler qu'à cette période, le stade a des résultats plutôt merdiques. Guazzini convoque les joueurs et leur propose une baisse salaire. Papé, Parisse et d'autres (Rabadan, Arias) se concertent et décident de prolonger au club. Ce sont eux les sauveteurs du club sur le plan sportif. La DNACG renifle cependant que ça sent le pourri. L'argent "canadien" de Bernard Laporte n'arrive pas et on arrête même les fameux donateurs pour escroquerie (comme quoi à escroc, escroc et demi). Arrive la famille Savare, les poches emplies d'euros. Rachat, nomination d'un nouvel entraîneur.
Nous sommes encore à Charléty. Charléty ! Que l'architecte de ce tombeau glacé aie le nez enfoncé dans le rectum du chameau pétomane ! Qu'il lui vienne les bras courts, les ongles mous et le cul qui démange !
Les bons jours on devait être 5000. Ma proposition de création d'un ordre avec médaille "j'étais abonné à Charléty" n'a pas été suivie d'effet mais sachez que je ne comprend toujours pas pourquoi.
Toujours est-il que les Savare héritent bientôt d'un stade mhâgnifik (!!!) le nouveau Jean Bouin. Certes, le renard Montferrandais n'a plus le droit d'y courir, oui ils mettent une mi-temps à servir une bière et oui, les chiottes sont étroits. Mais bordel de couille imberbe, quel stade ! Pool Jones viré faute de résultat, Cheika pour les même motifs, arrive un ancien de l'équipe de France et du Racigne (et de Narbonne et de plusieurs écoles et séminaires plutôt calés dans le management et la science du sport), un puma du nom de Quesada.