3646 réponses à ce sujet

[Frédéric58]

Labit, c'est fini : https://www.lequipe....t-labit/1543520

[Silhouette]

Labit, c'est fini : https://www.lequipe....t-labit/1543520

Lui et Travers, pour un duo qui etait annonce comme si brillant, ils sont un peu dans le dur dernierement 

[steph]

Lui et Travers, pour un duo qui etait annonce comme si brillant, ils sont un peu dans le dur dernierement 

Un duo qui a remporté deux Brennus, avec deux clubs différents. Quand même !
Sauf que c'était maintenant il y a presque une décennie...

[Silhouette]

Un duo qui a remporté deux Brennus, avec deux clubs différents. Quand même !
Sauf que c'était maintenant il y a presque une décennie...

Oui tu as raison, "annonce comme si brillant" n'etait pas une bonne facon de le dire, plutot "qui a eu pas mal de succes"

[Binche63]

Un brin plusse compliqué que ça. Les vieux cons mordus du club comme moi je nous évalue à 2500. Les étudiants bourrés qui viennent pour la bodega sont sans doute 5000. Le reste c'est un mélange d'amateurs de ballon ovale, de mordus de sport, quelques supporters du PSG qui viennent nous faire tartir passqu'on joue en rose et effectivement des expats.

Pour aller plusieurs fois par an à Jean Bouin.
Dans vos mordus vous avez pas mal de footix qui m y connaissent rien.
Sans parler des énergumènes qui se sont trompés de trottoirs qui insultent à tous vas.
La dernière fois j ai quand même du aller voir un mec de 60 ans dans la tribune pour lui dire que supporter c est pas insulter les clermontois.
Surtout quand en plus tu voix le match (si on peux appeler ça un match) qu on avait fait chez vous.

[Lima]

Pour aller plusieurs fois par an à Jean Bouin.
Dans vos mordus vous avez pas mal de footix qui m y connaissent rien.
Sans parler des énergumènes qui se sont trompés de trottoirs qui insultent à tous vas.
La dernière fois j ai quand même du aller voir un mec de 60 ans dans la tribune pour lui dire que supporter c est pas insulter les clermontois.
Surtout quand en plus tu voix le match (si on peux appeler ça un match) qu on avait fait chez vous.

Le rugby a pas attendu le foot pour les insultes en tribune, et à tous les niveaux.

 

Et c'est pas nouveau.

[Binche63]

Le rugby a pas attendu le foot pour les insultes en tribune, et à tous les niveaux.
 
Et c'est pas nouveau.

Les mecs qui insultent les supporters preso j ai rarement vue ça à Clermont.
Genre fils de p de clermontois.
Les doigts d honneur en directions du parcage clermontois

Héla contre les joueurs oui c est pas nouveau même si c est pas trop ma cames.

[Murena]

Les mecs qui insultent les supporters preso j ai rarement vue ça à Clermont.
Genre fils de p de clermontois.
Les doigts d honneur en directions du parcage clermontois

Héla contre les joueurs oui c est pas nouveau même si c est pas trop ma cames.

Oh je me souviens de l'époque de Moscato, chaque fois qu'il venait au Michelin, des petits noms d'oiseau fusaient bien des tribunes ^^

[el landeno]

Hans-Peter Wild sur le départ de Laurent Labit du Stade Français : « Il y avait trop de frictions dans le staff » Le propriétaire du Stade Français s'est confié à « L'Équipe » après la victoire de son équipe face au Stade Rochelais et a justifié les raisons du départ de Laurent Labit.

 

 

 

Fin janvier, après la défaite à Vannes (33-28), le propriétaire-président du Stade Français avait accepté l'idée d'une interview pour évoquer la situation difficile de son équipe. De retour des États-Unis en début de semaine, Hans-Peter Wild (83 ans) avait donné rendez-vous après la rencontre face au Stade Rochelais (22-17). Pendant une trentaine de minutes, dans les bureaux du stade Jean-Bouin, le « docteur » a balayé les sujets chauds en confirmant qu'un accord à l'amiable était en passe d'être trouvé avec Laurent Labit. Un départ dans l'intérêt du club, à l'initiative du directeur sportif, et dont il souligne le travail accompli.

 

« Comment vous sentez-vous après cette victoire face au Stade Rochelais ?
Je me sens bien (il le répète deux fois). Quand on gagne, je me sens bien. Après plusieurs changements à la tête de l'équipe depuis que j'ai acheté le club en 2017, c'était l'une des premières fois que nous nous retrouvions à la dernière place du Top 14, avant ce match. J'ai tenté d'analyser les raisons de ces échecs. Nous avions pourtant recruté deux très bons entraîneurs de l'équipe de France (Karim Ghezal et Laurent Labit). Mais ça n'a pas fonctionné. Une fois de plus nous devons reconstruire l'équipe. Mais comme nous avons pu le constater aujourd'hui, nous avons un bon état d'esprit. L'équipe a bien joué face à La Rochelle, nous avons plusieurs joueurs issus de notre formation qui étaient sur le terrain. Malheureusement, comme souvent, nous fixons des objectifs, mais nous n'arrivons pas à être consistants sur le long terme. Mais quand je vois l'ambiance dans le stade, qui était presque plein, je me dis que nous sommes sur le bon chemin. Je le répète, il était très important de gagner ce match pour sortir de cette dernière place.

lire aussiLe Stade Français se donne de l'air face au Stade Rochelais

Avez-vous eu peur que le match vous échappe à la fin de la rencontre, quand le Stade Rochelais marque deux essais dans les dix dernières minutes ?
Totalement. Nous avons eu un peu de chance. Je n'oublie pas que deux essais ont été refusés aux Rochelais car nos défenseurs ont réussi à passer leurs bras sous le ballon (69e et 70e). Dans le cas contraire, nous aurions perdu.

« Dans l'intérêt du club, Laurent Labit a décidé de prendre du recul et nous avons trouvé un accord à l'amiable avec lui »

 

 

 

Comment expliquez-vous que le Stade Français, demi-finaliste la saison passée (défaite 22-20 face à Bordeaux-Bègles), se retrouve en bas de classement ?
L'an dernier, nous avons aussi eu un peu de chance. Nous avions bien débuté la saison avec trois victoires sous la direction de Paul (Gustard). Puis après la Coupe du monde, Laurent (Labit) et Karim (Ghezal) ont pris en main l'équipe. Mais certains joueurs parlaient à Paul, d'autres à Karim ou Laurent et d'autres encore directement à Thomas (Lombard, le directeur général), ce qui a amené beaucoup de confusion. Puis à l'intersaison, nous avons perdu quelques très bons joueurs : Rory Kockott, Mickaël Ivaldi, Joris Segonds et Giovanni Habel-Küffner à Bayonne. D'ailleurs, pour ce dernier, je ne souhaitais pas son départ. Dans le même temps, le recrutement n'a pas été bon et nous avons payé très cher certains joueurs...

 

Il a été décidé que Laurent Labit prenne du recul avec le terrain en début de semaine. Un départ du club a-t-il été acté ?
C'est fini entre Laurent Labit et le Stade Français. Dans l'intérêt du club, il a décidé de prendre du recul et nous avons trouvé un accord à l'amiable avec lui. Il a fait ce choix pour le bien de l'équipe et je le respecte pour ça. C'est important de le souligner. Il y avait trop de frictions au sein du staff. Depuis huit ans que je suis à la tête du club, je dois gérer des frictions...

lire aussiLe Stade Français se sépare de Laurent Labit

Est-ce votre décision ?
Non, c'est une décision collégiale. Et c'est d'abord une proposition venant de Laurent.

« J'aimerais trouver un partenaire français, pour construire les prochaines années »

 

 

 

Avez-vous fait une erreur en recrutant Laurent Labit et Karim Ghezal, qui ne sont désormais plus au club ?
Oui, c'était une erreur.

Pourquoi ?
Parce que ça n'a pas fonctionné. À ce moment, j'aurais dû nommer Paul Gustard directement.

Paul Gustard est annoncé à Leicester la saison prochaine...
J'ai entendu les rumeurs. Si c'était le cas, j'en serais désolé et je le regretterais. J'ai une très haute estime pour Paul. J'ai constaté que les joueurs étaient à son écoute. Après, Laurent était son supérieur et il ne souhaitait pas entrer en conflit avec lui, même s'ils avaient des idées différentes. S'il devait saisir cette opportunité, je le comprendrais, mais je souhaite qu'il reste. Il est d'ailleurs sous contrat (jusqu'en 2026) et on ne veut pas le laisser partir.

Avez-vous déjà imaginé des pistes pour renforcer le staff la saison prochaine ?
C'est un peu tôt. Je suis rentré des États-Unis lundi. Nous n'avons pas encore eu le temps d'échanger là-dessus. Nous avons déjà une saison à terminer et surtout à sauver le club de la relégation. C'est la priorité. Mais quand je vois notre match face à La Rochelle, je ne suis pas inquiet. Par contre, je m'étais trompé en pensant que le club pourrait gagner rapidement un titre...

lire aussiToute l'actualité du Stade Français

On entend encore régulièrement que vous seriez prêt à vendre le club...
J'aimerais trouver un partenaire français. Un peu comme la famille Arnault, qui va partager le stade Jean-Bouin avec nous. Mais regardez mon âge... Ma fondation me demande si c'est nécessaire de perdre autant d'argent chaque année. Voilà pourquoi j'aimerais trouver un partenaire français, pour construire les prochaines années. Mais il doit s'agir d'un partenaire qui a de l'argent et qui ait bien conscience qu'on ne peut pas faire de bénéfices avec un club de rugby.

Avez-vous des pistes ?
Non. Mais je suis ouvert à la discussion. Par contre, je resterai le président ! »

Stade Français

[depassage]

Merci papi Wild, la bonne nouvelle c'est que dans 2 ou 3 ans il n'y aura plus de stade français

[Parigot_Paris]

Merci papi Wild, la bonne nouvelle c'est que dans 2 ou 3 ans il n'y aura plus de stade français

On parie, bien sûr !

 

Bon, comme je suis magnanime et à la demande de Buckaroo, je vais vous expliquer la vie (merci Tonton Parigot ! )

Tout d'abord un visionnaire, Max Guazzini, qui récupère un truc genre champignon de Paris (du potentiel gustatif mais végète au fond d'un souterrain tant qu'on l'a pas cueilli et de toute façon moinsse goûteux qu'un cèpe). Madonna, la robe à Dalida, les pom-pom girls vous connaissez. Ce que vous savez moinsse c'est que dès la deuxième division viennent plein d'expats à l'accent rocailleux au stade Jean-Bouin (le vieux Jean Bouin comme disent les ceusses qui l'ont connu avant 2010 et les travaux).

Max se lie d'amitié avec des gars du métier (non, il ne les encule pas, non ils ne l'enculent pas) qui lui explique deux trucs : paye tes mecs (pas d'avoine, pas de cheval comme disait le très regretté Domi), trouve des mecs qui ont faim.

 

Et là c'est le miracle, ça marche : le professionnalisme qui perce encore difficilement sous les bérets basques du Sud ouest (où on aime bien les traditions) prend tout de suite à Paname, ville où tout s'oublie vite. On attire des ignoramus du rugby qui viennent (gratoche) pour voir des victoires. Parmi ces ignorants votre serviteur, Parigot en personne qui ne pige rien à rien à part une chose : quand le mec en vert lève le bras, il faut crier Dieeeego et on ajoute trois pointsse au planchot, malgré les protestations véhémentes des Narbonnais, Palois et autres Catalans.

Entraîneurs ? Un aboyeur de vestiaire mais obsédé de la gagne et surtout des vengeances : Laporte. Un fin technicien rongeur d'ongles et d'une dureté presque méchante avec la troupe Galthié. Une brute épaisse au cœur d'or : Mallett (Je passe sur l'épisode Costes et l'autogestion)

Première crise : le départ de Galthié. il faut dire et je me répète, tout ça tient du miracle, infrastructures pourries, salles et terrains répartis au petit bonheur à Paname et banlieue où on ne sait jamais si les scolaires n'ont pas réservé. Plus les multiples tentations qui s'offrent à des joueurs anonymes à Paris.

Je continue mercredi, mon boss m'appelle !

[Alex chocolatines]

Est ce que Stade Français CASG ça veut dire Stade Français se casse la gueule ? 

[Buckaroo]

On parie, bien sûr !

 

Bon, comme je suis magnanime et à la demande de Buckaroo, je vais vous expliquer la vie (merci Tonton Parigot ! )

Tout d'abord un visionnaire, Max Guazzini, qui récupère un truc genre champignon de Paris (du potentiel gustatif mais végète au fond d'un souterrain tant qu'on l'a pas cueilli et de toute façon moinsse goûteux qu'un cèpe). Madonna, la robe à Dalida, les pom-pom girls vous connaissez. Ce que vous savez moinsse c'est que dès la deuxième division viennent plein d'expats à l'accent rocailleux au stade Jean-Bouin (le vieux Jean Bouin comme disent les ceusses qui l'ont connu avant 2010 et les travaux).

Max se lie d'amitié avec des gars du métier (non, il ne les encule pas, non ils ne l'enculent pas) qui lui explique deux trucs : paye tes mecs (pas d'avoine, pas de cheval comme disait le très regretté Domi), trouve des mecs qui ont faim.

 

Et là c'est le miracle, ça marche : le professionnalisme qui perce encore difficilement sous les bérets basques du Sud ouest (où on aime bien les traditions) prend tout de suite à Paname, ville où tout s'oublie vite. On attire des ignoramus du rugby qui viennent (gratoche) pour voir des victoires. Parmi ces ignorants votre serviteur, Parigot en personne qui ne pige rien à rien à part une chose : quand le mec en vert lève le bras, il faut crier Dieeeego et on ajoute trois pointsse au planchot, malgré les protestations véhémentes des Narbonnais, Palois et autres Catalans.

Entraîneurs ? Un aboyeur de vestiaire mais obsédé de la gagne et surtout des vengeances : Laporte. Un fin technicien rongeur d'ongles et d'une dureté presque méchante avec la troupe Galthié. Une brute épaisse au cœur d'or : Mallett (Je passe sur l'épisode Costes et l'autogestion)

Première crise : le départ de Galthié. il faut dire et je me répète, tout ça tient du miracle, infrastructures pourries, salles et terrains répartis au petit bonheur à Paname et banlieue où on ne sait jamais si les scolaires n'ont pas réservé. Plus les multiples tentations qui s'offrent à des joueurs anonymes à Paris.

Je continue mercredi, mon boss m'appelle !

"Si on veut faire une tarte aux pommes, il faut commencer par inventer l'univers" disait, je crois, Françoise Sagan.

 

Merci beaucoup Parigot ! Hâte de lire la suite.

[Parigot_Paris]

N'empêche, quand ça gagne tout va : 2004 les maillots roses, le calendrier dénudé depuis les débuts de Max qui fait le bonheur du quartier gay de Paris (ah bon ? Je l'ignorais...). Mais après le départ de Galthié les choses se compliquent et la valse des entraîneurs commence. McKenzie le champion du World australien. Un cadre me dira plus tard : "c'est des Vikings, ils pillent ton coffre, ils baisent ta femme et ils foutent le camp après avoir mis le feu à ta barraque... " Une demie-finale en 2009 (oui Porical avait mis le pied en ballon mort, non son essai n'était pas valable) et rien à se mettre sous la dent. Vient la catastrophe : la faillite de la régie publicitaire Sportsys : le club a un trou de 6 millions d' à combler. Heureusement Bernard Laporte est là et une ONG pour enfants canadienne se propose d'investir 12 M, tout ce qu'ils demandent c'est la mise en place d'une garantie bancaire de 150 000€... Bon on ne peut pas dire que Laporte s'est enrichi pour le coup, on ne peut pas dire non plus qu'il est le clown le mieux maquillé de la Piste aux Etoiles (RCV06 a la référence). En sus de son action charitable, Laporte a monté une maison de retraite des grands noms du rugby : Kelleher, Sackey et autres. Les joueurs français tirent la tronche. Seul point positif : on fait monter quelques espoirs pour remplacer les poils dans la main. Maiiiiiis le gendarme financier veille : aboule des millions ou descend en Fédérale. La suite quand j'aurais fini ma journée de dur labeur !

[Binche63]

N'empêche, quand ça gagne tout va : 2004 les maillots roses, le calendrier dénudé depuis les débuts de Max qui fait le bonheur du quartier gay de Paris (ah bon ? Je l'ignorais...). Mais après le départ de Galthié les choses se compliquent et la valse des entraîneurs commence. McKenzie le champion du World australien. Un cadre me dira plus tard : "c'est des Vikings, ils pillent ton coffre, ils baisent ta femme et ils foutent le camp après avoir mis le feu à ta barraque... " Une demie-finale en 2009 (oui Porical avait mis le pied en ballon mort, non son essai n'était pas valable) et rien à se mettre sous la dent. Vient la catastrophe : la faillite de la régie publicitaire Sportsys : le club a un trou de 6 millions d' à combler. Heureusement Bernard Laporte est là et une ONG pour enfants canadienne se propose d'investir 12 M, tout ce qu'ils demandent c'est la mise en place d'une garantie bancaire de 150 000... Bon on ne peut pas dire que Laporte s'est enrichi pour le coup, on ne peut pas dire non plus qu'il est le clown le mieux maquillé de la Piste aux Etoiles (RCV06 a la référence). En sus de son action charitable, Laporte a monté une maison de retraite des grands noms du rugby : Kelleher, Sackey et autres. Les joueurs français tirent la tronche. Seul point positif : on fait monter quelques espoirs pour remplacer les poils dans la main. Maiiiiiis le gendarme financier veille : aboule des millions ou descend en Fédérale. La suite quand j'aurais fini ma journée de dur labeur !

Le gendarme veille avec une complaisance presque maternelle.
Délai, supplémentaire, report daudition, absence de sanction.

Grenoble et Biarritz entre autre peuvent l avoir mauvaise comme Toulon