616 réponses à ce sujet

[jm12]

Le mec a un nom de gitan et vous vous attendez à ce qu'il ne casse pas les couilles ?

Excellent 

[l'exil]

Setiano également

[xdderf63]

Ca send le Tatafu à Toulon à plein nez pour faire chier Bordeaux contre 1M€ ça... 

 

(4 piliers droits à Bayonne)

[TH69]

Çaseraitfou

[joubert13]

Bayonne serait sur Albornoz snif

[rugbyasm77]

Bayonne serait sur Albornoz snif

Ah bon ? Tu as trouvé l'info où ?

Car le midol d'hier , annonce que Bayonne est en discussion avec le gallois anscombe et que la signature pourrait se faire dans les prochains jours . Le gallois ne serait pas gourmand niveau salaire .

Ils auraient aussi un oeil sur Matvaka et Tommaso Allan

[Buckaroo]

Bayonne, depuis quelques mois, ils seraient sur la moitié des joueurs de rugby en activité.

[Alex chocolatines]

Je suis convaincu que Patat est l'homme de la situation et que faire venir Travers, c'est se tirer une balle dans le pied.

Ouais, j'vois pas trop l'intérêt non plus, Patat fait plutôt du bon boulot.

[el landeno]

l'association Patat-Travers, ça sent mauvais, un pataquès en quelque sorte 

[jm12]

l'association Patat-Travers, ça sent mauvais, un pataquès en quelque sorte 

Comme à bcp d'endroits , tant que les résultats sont là , tout s'atténue !

 

Quand Cricri annonce dans le staff un ex talon il faudra déjà l 'aval de Urios et qu'il soit selon la formule en vogue : Urios compatible....

 

J 'ai également de suite pensé à D Bès en activité au MHR d'ailleurs..mais sauf erreur de mémoire je crois qu'entre eux, ex Tarnais    il y avait eu un échange houleux en bord de terrain à Clermont....compliqué souvent de fusionner des grosses personnalités et gros  caractères , sans parler des égos !

 

L 'air de rien Patat s'est pris un petit coup dans le dos de son Président et va devoir composer tant que les résultats seront là encore une fois !

[steph]

Le seul gagnant dans l'histoire, c'est Travers. Il se recycle dans un club sur la courbe ascendante, se rapproche du sportif, doit avoir négocié un bon salaire, le tout sans avoir aucunes références récentes à faire valoir. On aurait pensé qu'il était recruté pour un poste plus administratif, vu son passé récent au Racing, mais là encore, il n'avait de toute façon pas de réussite particulière à mettre en avant. J'ai beau le tourner dans tous les sens, son recrutement aurait pû se justifier si Patat ne réussissait pas, mais on ne peut pas dire que cela en prend le chemin.

[Codorplusàvie]

D'après le site du club ce sera Anscombe qui remplacera Lopez.

[Jean Paul Belmondo]

C'est pas génial quand même Anscombe ... ça doit être le 3 ou 4 -ème choix au Pays de Galles ...et c'est pas fameux fameux le Pays de Galles en ce moment 

[el landeno]

L’Aviron Bayonnais recrute le Gallois Gareth Anscombe

  Lecture 1 min

Accueil Sport Rugby Aviron Bayonnais

Gareth Anscombe compte 44 sélections avec le pays de Galles. © Crédit photo : AFP

Par Laurent Zègre

Publié le 07/05/2025 à 17h28.

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Selon les informations de « Sud Ouest », l’international gallois s’est engagé pour une saison

 

L’Aviron Bayonnais a trouvé son deuxième demi d’ouverture pour la saison prochaine. Le club basque a annoncé ce mercredi la signature de Gareth Anscombe, sans préciser la durée de son contrat. Selon les informations de « Sud Ouest », l’engagement porterait sur une seule saison.

Le demi d’ouverture de 34 ans (il les aura le 10 mai prochain), capable de dépanner à l’arrière, évolue à Gloucester, après avoir porté les couleurs des Chiefs (2013-2014), de Cardiff (2014-2019) et des Ospreys (2019-2023). International à 44 reprises, il a notamment disputé la Coupe du monde 2023 (trois matches, deux titularisations).

Son arrivée devrait entériner officiellement la fin de carrière de Camille Lopez, qui ne souhaite finalement pas faire l’année de trop après avoir prolongé son contrat en novembre dernier.

[el landeno]

« Le retour de ces joueurs issus de notre territoire nous fait beaucoup de bien » : comment Bayonne a retrouvé la fibre locale

Si l'Aviron Bayonnais brille cette saison, avant d'affronter le Stade Toulousain en demi-finales du Top 14 vendredi (21h05), il le doit en grande partie à ses joueurs issus de la région. Plusieurs anciens sont revenus et des jeunes émergent au sein d'une identité locale affirmée.

 

 

 

Il a un nom bien basque. Ses racines familiales viennent d'Espelette et d'Ainhoa (Pyrénées-Atlantiques). Arthur Iturria est pourtant né dans le Béarn, à Pau, mais il a toujours été bayonnais de coeur. Le deuxième ou troisième-ligne (31 ans, 15 sélections) y a évolué chez les jeunes avant de s'en aller en 2012 à Clermont (avec qui il a été sacré en 2017) puis de revenir à l'été 2023, cette fois dans la peau d'un cadre. Il est aujourd'hui le capitaine ambitieux d'une formation demi-finaliste du Top 14 contre le Stade Toulousain ce vendredi (21h05).

 

 

Non sans une fierté légitime. « Pour moi, c'est forcément un grand moment, reconnaît-il quinze ans après avoir chuté contre ce même adversaire au même stade de la compétition chez les cadets. Je suis très content d'être là, et d'autant plus avec ce maillot. C'est aussi une récompense pour tous ceux qui nous soutiennent au Pays basque. » Voir Iturria mener cette épatante équipe, quatrième de la saison régulière, au Groupama Stadium n'a rien d'anodin, bien sûr.

lire aussiPatat : « Montrer le vrai visage de l'Aviron », face à Toulouse

Qui plus est au côté de Camille Lopez (36 ans, 28 sélections) revenu dans le 64(Pyrénées-Atlantiques) après une expérience presque aussi longue dans le Puy-de-Dôme, de 2014 à 2022. L'arrière Cheikh Tiberghien (25 ans), rentré au bercail en 2023 après avoir lancé sa carrière professionnelle également à l'ASM, et le deuxième-ligne Baptiste Chouzenoux (31 ans), exilé de son côté sept ans au Racing 92 jusqu'à l'été dernier, ont, eux, dû renoncer sur blessure à cette demi-finale après avoir tant apporté aux Ciel et Blanc cette saison.

« Il fallait juste amener une petite culture de la gagne parce que c'est vrai qu'on a ce côté un petit peu festif au Pays basque... »

Philippe Tayeb, président de l'Aviron Bayonnais

 

 

 

 

 

« C'est une région qui a besoin de cette identité pour avancer et pour performer encore plus, souligne Philippe Tayeb, le président de l'Aviron Bayonnais. Ces garçons sont attachés à leurs origines et à leur culture. On a l'impression qu'ils se transcendent et qu'ils donnent encore plus que s'ils étaient dans un autre club. Leurs parents, leurs grands-parents, leurs enfants sont dans les tribunes. Le Basque est fier et travailleur. Il fallait juste amener une petite culture de la gagne parce que c'est vrai qu'on a ce côté un petit peu festif au Pays basque... Certains sont partis à un moment où on n'avait pas les moyens de les garder. Aujourd'hui, ils reviennent avec cette envie de faire grandir le club. »

 

 

Pour la réception de Clermont, le 2 mars (31-18), le public de Bayonne avait déployé un tifo « Bayonnais d'origine certifiée ». (R. Perrocheau/L'Équipe)

Et ce pour le plus grand bonheur des associations de supporters, dont la Pena Baiona. « Bien sûr qu'on est fiers, répond son vice-président Robert Bourdet. Le retour de ces joueurs issus de notre territoire nous fait beaucoup de bien. Quelque part, ils nous rassurent et l'amalgame avec ceux venus d'ailleurs est bon. Pendant des années, nos meilleurs talents migraient sous d'autres cieux parce que l'on jouait le maintien ou qu'on évoluait en Pro D2. »

Un objectif affiché de 60 % à 70 % de joueurs formés à l'Aviron

Sur l'autoroute A63, le chemin se fait désormais en sens inverse. Et les locaux, grâce à un centre de formation de plus en plus performant (quatrième du Top 14 selon le dernier classement de la LNR cet hiver), ont fait leur trou à l'image de Tom Spring (22 ans), Yohan Orabé (23 ans), Baptiste Héguy (27 ans), Arnaud Erbinartegaray (24 ans) ou encore Pierre Castillon (21 ans) et même Esteban Capilla (22 ans). Lui est natif de Saint-Saulve, dans le Nord, et a découvert le rugby en Nouvelle-Calédonie avant d'arriver à Jean-Dauger en 2016.

Ces six-là seront tous alignés sur la feuille de match vendredi soir, ainsi que l'expérimenté numéro 9 Guillaume Rouet (36 ans), l'homme d'un seul club depuis plus de vingt ans (il était arrivé en 2001). Et ce n'est sans doute qu'un début. « L'objectif est d'avoir entre 60 % et 70 % de joueurs formés à l'Aviron, ou issus de la région, et j'espère qu'il se réalisera d'ici quatre ou cinq ans, détaille Tayeb. Entre les ceux qui poussent et ceux qui reviennent, c'est une trajectoire qui me paraît possible. »

lire aussiGuillaume Rouet, Bayonne, le Pays basque et les Pyrénées : une histoire d'amour et de racines

Les Basques encore expatriés ont été recensés par les dirigeants bayonnais. Ils sont une petite vingtaine au total en Top 14 et Pro D2, dont les anciens Biarrots Mathieu Hirigoyen et Lucas Peyresblanques, tous les deux au Stade Français depuis 2022, le Racingman Max Spring, passé comme son frère Tom par Nafarroa puis les jeunes de l'Aviron, ou encore le très prometteur Jon Echegaray (UBB). Charles Ollivon, glorieux ancien de la maison, aura 34 ans à la fin de son contrat avec le RCT en 2027. « D'autres reviendront, dit Tayeb. J'en suis certain, parce que, même s'il faut rester prudent, on a passé une forme de cap. » Et encore plus en cas de qualification pour la finale...