2793 réponses à ce sujet

[Binche63]

Bien sur ! à Montpelier c'est comme ça, la méropole touche autour de 500 000 par an pour 3 ans avec le contrat naming GLL .ça les a pas géné de ne plus l'appeler Yves Du Manoir ! 
 
à Bordeaux ça doit couter à peu près 200 000 par an à l'UBB, si la métropole touchait 500 000 pour le naming, ça pourrait etre une bonne opération ... Seulement le maire écolo de BX est contre tout ! Il a meme chié un coucou à 13 coups à Noel à cause d'un sapin qui s'est alors retrouvé en Corrèze ! 
L'UBB est un club sportif qui marche bien qui donne une bonne image de la ville, donc faudrait y penser un peu quand meme !

Le maire écolo est contre le naming mais surtout contre donner les droit du Naming à UBB...
Si dans l histoire tu lui dit que le chèque il est pour lui je ne suis pas certain que ce soit le même discours.
Après les écolo se sont des pastèques....

[Un jaune dans un ballon]

Le maire écolo est contre le naming mais surtout contre donner les droit du Naming à UBB...
Si dans l histoire tu lui dit que le chèque il est pour lui je ne suis pas certain que ce soit le même discours.
Après les écolo se sont des pastèques....

Effectivement jamais à se remettre en question..

[Codorplusàvie]

Bien sur ! à Montpelier c'est comme ça, la méropole touche autour de 500 000 € par an pour 3 ans avec le contrat naming GLL .ça les a pas géné de ne plus l'appeler Yves Du Manoir ! 

 

à Bordeaux ça doit couter à peu près 200 000 par an à l'UBB, si la métropole touchait 500 000 pour le naming, ça pourrait etre une bonne opération ... Seulement le maire écolo de BX est contre tout ! Il a meme chié un coucou à 13 coups à Noel à cause d'un sapin qui s'est alors retrouvé en Corrèze ! 

L'UBB est un club sportif qui marche bien qui donne une bonne image de la ville, donc faudrait y penser un peu quand meme !

Le sapins de Noel et Bordeaux, c'est une histoire qui ne date pas d'hier, allumée par Juppé il me semble.

[bazooka]

https://www.sudouest...ana-3299789.php

Il a des sacrés guibolles, ça doit être génétique.

[steph]

Il a des sacrés guibolles, ça doit être génétique.

Et Mr Indestructible à gauche, il a une belle cabine aussi !

[Codorplusàvie]

Il a des sacrés guibolles, ça doit être génétique.

Je mise sur lui pour mettre tout le monde d'accord au centre en EdF.

[Binche63]

Dans l histoire du Naming je trouve Marti quand même de très très mauvaise fois en annonçant le déficit de son club avant les aides de l état.

Déjà je serai curieux de savoir entre le prix de la location et les aides de la collectivité combien il touche d argent public si en plus on rajoute de Naming.

[el landeno]

Bordeaux-Bègles : un grand cru bientôt à maturité ? L'Union Bordeaux-Bègles a réussi sa saison malgré la défaite en demi-finale du Top 14 face à Toulouse (24-21). Mais le club girondin veut aller encore plus loin. Le manager Christophe Urios connaît la chanson.

Quelques minutes après le coup de sifflet scellant la défaite de l'Union Bordeaux-Bègles sur le Stade Toulousain en demi-finale du Top 14 (24-21), Christophe Urios a réuni ses joueurs sur la pelouse du stade Pierre-Mauroy de Lille. Le manager de l'UBB a pris la parole : « Je leur ai dit des choses banales, de circonstance, qu'on n'est pas passé loin, qu'en même temps on avait fait trop d'erreurs en première mi-temps, ça ne se joue tellement à rien ce genre de match, qu'on pouvait être fier de notre saison, du parcours. C'est un groupe exceptionnel, avec de grandes qualités humaines, un groupe travailleur, qui cherche à progresser. On avait le sentiment qu'on s'était donné les moyens d'aller plus loin. Je leur ai dit qu'il fallait qu'ils se redressent et que l'année prochaine on revienne. »

 

 

Oui, le club girondin a réussi une grande saison. Urios l'avait déjà dit avant même la demi-finale. L'UBB de Laurent Marti courait après une qualification en phase finale depuis de longues saisons. Ça aurait dû être le cas l'an dernier, mais la crise sanitaire a tout chamboulé (arrêt des compétitions avant la fin de saison alors que l'UBB était en tête du Top 14).

lire aussiPour la finale, Toulouse va devoir composer

« Arriver en demi-finale, c'est déjà un grand parcours, a répété Christophe Urios en conférence de presse d'après match. Il ne faut pas faire la fine bouche. Quand on aura digéré tout ça et qu'on reprendra le chemin de l'entraînement, on se rendra compte qu'on a fait une très grande saison. Après, ce qui manque entre une demie et une finale, c'est le facteur chance, le facteur expérience, c'est faire le moins d'erreurs possible. L'UBB n'arrivait pas à se qualifier, cette année, elle fait trois demies (Challenge, Coupe d'Europe et Top 14). Ça dénote toute la progression du club qui est ambitieux, qui travaille bien au niveau de ses structures, qui cherche à avancer, à être le meilleur. Même s'il n'y a pas de finale au bout, c'est une année à marquer d'une croix parce qu'elle va nous permettre de franchir des capes. Je le répète, Notre saison est incroyable et il ne faut pas l'oublier. Mais ça fait partie de notre apprentissage, de notre voyage. Quand on va se retrouver le 26 juillet, il faudra repartir au combat, il faudra chercher à progresser. Ce qu'il faut, c'est revenir. »

Même son de cloche pour le capitaine Jefferson Poirot : « C'est difficile à avaler mais il faudra s'en servir pour cravacher et revenir à ce stade-là, parce que c'est bon quand même. »

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Chercher l'invincibilité à domicile

La première question est de savoir si les Bordelais vont digérer cette finale qui leur tendait les bras. Christophe Urios connaît la chanson et nul doute que le manager a déjà appuyé sur quelques ressorts avant d'envoyer ses troupes se ressourcer et profiter de quelques semaines de vacances. Le manager bordelais a parlé de détails. Ça passe par exemple par une phase régulière peut-être un peu plus aboutie. Si Urios a laissé entendre que de passer par les barrages était sans doute une bonne chose cette saison pour un groupe qui découvrait les phases finales, l'an prochain, la qualification directe en demi-finale sera visée.

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Pour y parvenir, il faudra être maître à domicile. Avec trois défaites à Chaban-Delmas face à Toulouse, La Rochelle et le Racing 92, les trois premiers du classement (plus un nul face à Clermont), l'UBB a une belle marge de progression. Dans son jeu, et notamment en phase finale, il faudra montrer plus d'efficacité pour franchir la dernière marche et vivre une première finale. C'est sur ce point que les Bordelais ont notamment pêché face à Toulouse cette saison, notamment en demi-finale de Coupe d'Europe. Ils ont en partie réglé le problème en demi-finale du Top 14, mais c'est leur indiscipline qui leur a coûté cher. Après deux ans sous la coupe de Christophe Urios, ce groupe a déjà beaucoup progressé et ne semble pas loin d'arriver à maturité.

Seuteni et Trinh-Duc pour suppléer Jalibert

L'an prochain, pas de grand chambardement. Bordeaux-Bègles mise sur la stabilité. Du côté des partants, il faudra combler celui du troisième-ligne Scott Higginbotham, auteur d'une grande demi-finale. « Scott est un joueur de haut niveau, il est un peu vieillissant mais il est capable de se mobiliser sur les grands matches, et il a fait une performance XXL, a félicité Urios. Il a été décisif, a porté des ballons, a deux interceptions, a déboulé sur le côté droit. C'est un joueur incroyable. » Louis Picamoles recruté en cours de saison, remplaçant en demi-finale, aura pour mission de le remplacer dans ce combo puissance-expérience.

Mission identique pour le polyvalent François Trinh-Duc (34 ans, 66 sélections). Pour le reste, le président Laurent Marti n'a pas fait de folie. Il a misé sur de jeunes joueurs en devenir comme Alban Roussel (2e-ligne, Perpignan), Bastien Vergnes-Taillefer (3e-ligne, Colomiers) ou encore Pierre Bochaton (2e-ligne, Bourg-en-Bresse). N'oublions pas que l'UBB était enfin privée de joueurs cadres pour cette phase finale comme le pilier Thierry Paiva, le deuxième-ligne Jandré Marais (suspendu), le troisième-ligne Mahamadou Diaby, le centre Yoram Moefana ou l'ailier Geoffrey Cros (tous blessés), « des joueurs de phase finale » dixit Urios. Une question demeure cependant, quand Matthieu Jalibert sera absent pour cause d'équipe de France, est-ce que Seuteni et Trinh-Duc feront la maille à l'ouverture (Benjamin Botica part à Castres) ? C'est peut-être une des clés de la saison prochaine.

« Je crois qu'il y a de l'adhésion dans le projet de l'UBB. Je ressens davantage de cohésion à Bordeaux qu'à Castres (2015-2019) »

Christophe Urios, manager de l'UBB

 

 

 

Maintenant que le plafond de verre a été cassé avec cette qualification en phase finale, un verrou psychologique a sans doute sauté. À Christophe Urios d'aller plus loin. « Je crois qu'il y a de l'adhésion dans le projet de l'UBB, a expliqué le manager. Là où l'adhésion a été la plus forte c'était à Oyonnax (2007-2015), parce qu'on partait de tellement loin et on avait tellement peu de moyens par rapport aux autres... Je ressens davantage de cohésion à Bordeaux qu'à Castres (2015-2019). À Castres, il y avait une expérience, c'était un peu différent. Là je trouve qu'on a une bonne complicité. Heureusement, ça ne fait que deux ans (sourire). » À Oyonnax, en Pro D2, Urios avait été champion au bout de la sixième année. À Castres, il lui a fallu que trois ans pour soulever le Brennus. Idem à l'UBB ?

 

[frednirom]

Pour moi qui n’y connais rien vous avez loupé le coche , vous auriez pu/du être champion l’an dernier . Vu la concurrence l’an prochain Ca sera compliqué d’arriver au bout .

[63manu]

Pour moi qui n y connais rien, dire que la saison est réussie parce que tu as perdu en demi, ben c est qu il y a un problème.

[jm12]

Pour moi qui n’y connais rien vous avez loupé le coche , vous auriez pu/du être champion l’an dernier . Vu la concurrence l’an prochain Ca sera compliqué d’arriver au bout .

Bien d'accord là dessus ...mais la dite concurrence de plus en plus féroce est vraie pour nous !

 

Je suis bien d'accord avec toi les opportunités il faut les saisir et là dessus je ne  crois pas que l 'ASM ait surfé sur la vague non plus!

 

On a quand même laissé filer des occases pour un ensemble de faits ou raisons , mais l 'histoire quoiqu'il en soit ne retient que les vainqueurs!

 

Une réalité du moment , carrément 8 à 10 clubs peuvent prétendre  arriver au bout certains avec un pourcentage statistique plus élevé mais qui ne garantit rien sur cette compétition au final toujours ouverte avec les aléas divers que nous connaissons bien avec une pièce pas souvent tombée de notre coté! ex/:  Cette année le RM92 avec un effectif taillé pour aller au bout , y compris sur ces matchs couperets , au final se gamelle !

[bazooka]

Je mise sur lui pour mettre tout le monde d'accord au centre en EdF.

Ou pour des blessures à répétition.

[Codorplusàvie]

Ou pour des blessures à répétition.

L'est quand même bien gaillard le bougre.

[63manu]

L'est quand même bien gaillard le bougre.

Il n a pas le déhanchement de panthère de Fofana ...
De qui ?
Euh, non rien.

[le radis]

Dans l histoire du Naming je trouve Marti quand même de très très mauvaise fois en annonçant le déficit de son club avant les aides de l état.

Déjà je serai curieux de savoir entre le prix de la location et les aides de la collectivité combien il touche d argent public si en plus on rajoute de Naming.

On est (a priori) le club le moins aidé par les collectivités publiques du top 14. Ce naming devrait servir à rembourser le PGE.

 

 

Pour moi qui n y connais rien, dire que la saison est réussie parce que tu as perdu en demi, ben c est qu il y a un problème.

On part de loin quand même vu que c'est la 1ère fois que nous sommes en 1/2 finale. 3 1/2 finales cette saison.

Pour moi qui n’y connais rien vous avez loupé le coche , vous auriez pu/du être champion l’an dernier . Vu la concurrence l’an prochain Ca sera compliqué d’arriver au bout .

L'an dernier a-t-on vraiment loupé le coche, ou bien nous est-il passé au galop devant nous sans aucune possibilité de monter ?