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CA Brive Corrèze


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#496 RCV06

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Posted 29 April 2025 - 17:05 PM

C'est quand même incroyable qu'un club comme le CAB soit capable d'attirer dans ses filets un joueur d'un tel niveau et nous Rien,!!!!!! et surtout épargnez moi le discours que le filon Anglais - CAB existe depuis des années....COHEN, etc.....et j'en passe...Visiblement il assume le Courtney... :huh:

Les truffes, le foi gras, le confit, je vois que ça

 

Faut qu ils remontent le CAB, qu on ait un vrai derby, le LOU ils iront faire le derby avec Grenoble.


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#497 el landeno

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Posted 29 April 2025 - 21:01 PM

Darricarrere prend les commandes lan prochain

#498 Babé03

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Posted 07 May 2025 - 04:18 AM

Confessions avec Thomas Laranjeira avant ses adieux au Stadium après 15 ans au CA Brive : "Je n'ai jamais triché avec ce club" S’il n’a disputé que 95 petites minutes cette saison, Thomas Laranjeira va avoir droit à un dernier tour de piste ce vendredi contre Grenoble. Un moment qui promet évidemment d’être fort en émotions. Confessions avec le Briviste.

De Thomas Laranjeira avec Brive, il restera des images. Marquantes. Celle de sa célébration en train de faire l’avion dans un Stadium en furie après son improbable doublé inscrit face à Pau en janvier 2020.

Celle aussi où il joue les ambianceurs aux côtés de Jan Uys contre Grenoble en juin 2019, après la remontée en Top 14. Il y a aussi celle avec le bouclier de champion de France Crabos en 2011 ou encore celle d’une géniale communion à Chaban, en 2013 lors de la victoire contre Pau, synonyme encore de remontée.

Et puis, vendredi soir, il restera une autre image gravée certainement à vie dans la tête casquée de Thomas Laranjeira. Lui, célébré à sa juste valeur par le public corrézien pour ce qui sera certainement son 236e et dernier match avec le maillot du CAB face à Grenoble. Devant tous ses proches et dans son Stadium.

95 petites minutes disputées cette saison

« Franchement, quand j’ai appris que j’allais jouer, ça m’a pris aux tripes. Brive, c’est chez moi, c’est mon club, le Stadium, c’est mon jardin. J’ai tout connu ici. Tout », confie le joueur de tout juste 33 ans qui vient de passer dix-huit derniers mois très compliqués, loin des plans du staff avec seulement 95 minutes passées sur le terrain cette saison.

« Bien sûr que ça a été compliqué, je ne peux pas dire le contraire. J’ai toujours été un compétiteur donc je voulais être sur le terrain, mais plutôt que de faire la gueule ou de me renfermer, j’ai voulu donner l’exemple en me donnant à 100 % au quotidien. Je ne voulais pas finir en gâchant tout, ce n’est pas moi. Je n’ai jamais triché avec ce club. »

Impossible d’oser prétendre le contraire. Surtout quand on discute avec les coéquipiers de Thomas Laranjeira. Tous louent ses qualités humaines et son implication sans faille. Jamais un mot plus haut que l’autre ou jamais un mouvement d’humeur lorsque, dès le dimanche, il enfile déjà la chasuble rouge à l’entraînement synonyme de joueur hors groupe pour le match le vendredi suivant.

Au lieu de cela, l’arrière-buteur a enfilé une autre casquette. Moins visible pour le grand public, mais ô combien précieuse et respectée dans le vestiaire : celle d’exemple à suivre pour les jeunes.

« Je voulais avoir la sensation d’être utile à l’équipe, de servir à quelque chose et ça s’est fait naturellement en fait. J’ai pris un plaisir fou à accompagner les jeunes. C’est un rôle que j’ai toujours aimé. Et même si je ne jouais plus, j’ai continué à me mettre des objectifs personnels élevés tous les jours », confesse Thomas Laranjeira qui se rappelle de tous ses matches disputés avec Brive.

De ce fameux doublé contre Pau, « je ne touchais plus terre », de ses premiers pas sous l’ère Mola, de ses premières émotions de maintenir le club en Top 14 face au Stade Français en mai 2015 et même de ses coups de pied donnés aux quatre coins du Stadium. Surtout avant que la pelouse ne soit changée.

« On avait un drain qui avait pété et je savais que si je touchais la bonne zone, le ballon n’allait pas rebondir et qu’on allait pouvoir mettre la pression sur l’adversaire », se marre-t-il en pensant, ici précisément, aux batailles mémorables livrées dans 20 centimètres de bout contre Clermont ou le Toulon des grandes épopées européennes.

« On a vécu des choses incroyables au fil des années. Cette finale perdue contre Bayonne en 2019 me fait mal parce que j’ai toujours voulu ramener un titre à Brive mais lutter pour le maintien durant toutes ces années, ou même accrocher deux fois la huitième place au milieu des grosses écuries, émotionnellement, ça a été puissant. On était bien au-delà du rugby », pose Thomas Laranjeira qui avait pourtant, une approche un peu plus froide de son sport. Une approche axée principalement sur la préparation.

« J’ai toujours aimé comprendre comment bien se préparer, comment optimiser ses performances. Déjà gamin, à Bourgoin, je cherchais la performance physique, aller dans le détail. C’est quelque chose qui m’a suivi même si j’ai dû apprendre à me calmer parce que j’ai compris que j’en faisais trop. »

Ce recul, le buteur l’a trouvé et compris aux côtés de Gaëtan Germain, lorsque les deux joueurs s’entraînaient inlassablement face aux perches. « Il m’a fait comprendre que la qualité primait sur la quantité. Je m’entraînais trop. Le dimanche, quand le stade était fermé, j’escaladais le portail pour venir taper. Nico Godignon avait fini par me donner les clés (rire). »

Le taulier au pied quand Germain est parti

En plus des clés du portail, Thomas Laranjeira a pris celle du camion briviste lors du départ de Germain. « J’ai travaillé vraiment très dur et très fort pour avoir la responsabilité des tirs au but. Ce statut, je l’ai voulu et je crois l’avoir plutôt bien assumé », poursuit celui qui a notamment terminé meilleur réalisateur de la Pro D2 lors de la saison 2018-2019. Il était aussi en tête de ce classement la saison suivante avant qu’elle ne soit arrêtée en raison du Covid.

Ce vendredi soir, c’est la carrière du Briviste qui va s’arrêter. Quinze ans d’histoire avec Brive. Quinze ans de hauts et de bas, mais surtout quinze ans de fidélité et de dévotion. Et ça, ça force le respect. 



#499 el landeno

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Posted 28 May 2025 - 20:09 PM

David Darricarrère promu entraîneur en chef de Brive, Pierre-Henry Broncan vers un poste de directeur sportif
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David Darricarrère est le nouvel entraîneur en chef de Brive. (J. Roman/Presse Sports)
Responsable de l'attaque de Brive depuis l'an dernier, David Darricarrère a été promu entraineur en chef du club corrézien. Pierre-Henry Broncan est en passe de prendre de la hauteur.
Guillaume DufyJean-François Paturaudpublié le 28 mai 2025 à 16h02
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Alors que le club jouera une demi-finale de Pro D2 à domicile vendredi soir (21h) contre Montauban, les dirigeants de Brive s'activent en coulisses pour préparer la saison prochaine. Il est désormais acté (et bouclé) que David Darricarrère prendra davantage de responsabilités au sein de l'encadrement.

 
 

En charge de l'attaque corrézienne depuis son arrivée l'été dernier en provenance de Castres, le technicien de 54 ans a été nommé entraîneur en chef pour les deux prochaines saisons (plus une troisième en option). Par ailleurs, les discussions sont bien avancées concernant le nouveau contrat de Pierre-Henry Broncan. L'actuel manager devrait occuper un poste plus large en tant que directeur sportif du CAB. Enfin, concernant la préparation physique, Julien Rebeyrol, actuellement à Castres, a donné son accord.

 
 

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#500 Babé03

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Posted 18 July 2025 - 20:01 PM

Tiens donc.....

 

 

John Cooney, nouveau demi de mêlée du CA Brive : "Bordeaux m'avait contacté mais le projet de Brive m'a séduit" Arrivé il y a quinze jours en provenance de l’Ulster, le demi de mêlée irlandais John Cooney s’est déjà parfaitement fondu dans le moule du CA Brive. Avec comme principale priorité : « Parler français le plus vite possible ».

Entre ses quelques mots prononcés en Français devant les partenaires de Brive le Pack il y a une semaine, le chant créé par Paul Pimienta et Hugo qu’il connaît déjà ou bien ses premières boules de pétanque tapées sur la place de la grande poste de Brive, on pourrait croire que John Cooney est Briviste depuis plusieurs mois. Mais il n’en est absolument rien.

Le demi de mêlée est arrivé il y a seulement quinze jours mais il a tenu à rapidement s’intégrer à son nouvel environnement.

« C’est essentiel, à mes yeux, de pouvoir s’adapter à l’environnement dans lequel on évolue. J’ai au moins deux séances d’apprentissage du Français par semaine. Je veux parler votre langue le plus rapidement possible. Pour le rugby évidemment mais aussi pour être capable de communiquer simplement avec les gens, en ville. », confesse John Cooney qui est déjà très à l’aise dans la langue de Molière.

« Quand j’avais 14 ou 15 ans, j’avais passé un peu de temps à Orléans dans le cadre de ma scolarité. J’étais plutôt bon élève en Français mais cela commence à dater », sourit le numéro 9 qui va découvrir, pour la première fois de sa riche carrière, un nouveau championnat. Dans un nouveau pays, loin de son Irlande natale.

L'ambiance est déjà énorme à Brive

« Le moment était venu de découvrir de nouvelles choses. J’avais envie d’un nouveau défi après huit belles années à l’Ulster », confie Cooney qui était convoité par un autre club français : l’Union Bordeaux Bègles, qu’il avait affrontée en phase régulière de Champions Cup.

Pourquoi avoir finalement opté pour le CAB, alors que Bordeaux s’est installée sur le toit de l’Europe la saison dernière??

« J’aime relever de grands défis. Et celui de faire remonter Brive en Top 14 en est un. Les infrastructures, la ville, l’ambiance, je pense que je vais me plaire ici. J’ai fait le bon choix. Les supporters sont déjà très présents, c’est incroyable », confesse l’ancien international irlandais aux 11 sélections qui a passé un coup de fil à son compatriote après la demi-finale perdue contre Montauban.

Un coup de téléphone à Stuart Olding

« Je voulais savoir et comprendre ce qu’il s’était passé. J’ai quand même attendu quelques jours après le match parce que j’ai déjà vécu de telles situations. Je sais ce qu’on ressent dans ces moments. Maintenant, il faut avancer », glisse John Cooney qui s’est marié entre Brive et Bordeaux le week-end juste avant la reprise de l’entraînement. Le staff lui a laissé quelques jours de repos même si lui, aurait préféré reprendre directement.

« J’avais hâte de débuter, je ne voulais pas perdre de temps. J’ai vraiment hâte que le championnat commence, de faire mes débuts devant les supporters de Brive. » Des supporters qui ressemblent à ceux massés dans l’antre historique de Ravenhill, en Ulster.

« Les deux clubs ont effectivement des similitudes. Quand tu gagnes, tu es le meilleur mais quand tu perds, c’est l’inverse. Il y a une forte pression du résultat mais ce n’est pas quelque chose qui me dérange. Bien au contraire. J’ai toujours aimé ça. » 



#501 Babé03

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Posted 31 August 2025 - 12:42 PM

Bonne pioche ?

 

 

John Cooney, le demi de mêlée du CA Brive, a été tout feu tout flamme face à Vannes Pour sa première en Pro D2, le demi de mêlée irlandais a signé un gros match, hier soir, face à Vannes, en inscrivant les 20 premiers points du CA Brive. Si la victoire avait été au bout, la partition aurait été tout simplement parfaite.

Dire que John Cooney a réussi son premier match en Pro D2 sous les couleurs de Brive relèverait presque de l’euphémisme.

A la pause, le demi de mêlée irlandais, associé à la charnière à son compatriote Stuart Olding, avait inscrit tous les points de Brive qui menait alors 20 à 14. Deux essais transformés et deux pénalités. Difficile de faire mieux, non ?
C’est d’abord défensivement que le numéro neuf corrézien s’est mis en évidence en faisant front face au talonneur vannetais Cherry (7e).

Trois minutes plus tard, il avait l’occasion d’ouvrir le score des 25 mètres à gauche des poteaux. Sa frappe, chirurgicale, passait entre les perches pour l’ouverture du score (3-0, 10e).

Un festival de cannes

Cooney n’avait pas encore lancé son festival de cannes. C’était chose faite à la 20e, alors que Brive évoluait à quinze contre quatorze, suite au rouge contre Saili.

Krone essayait de passer dans un trou de souris à hauteur des 40 mètres. Il était pris, mais Cooney avait suivi et donnait à Peysson qui, d’une magnifique passe après contact, mettait Boudou sur orbite. Le talonneur briviste fixait le dernier défenseur et donnait une offrande à Cooney qui aplatissait entre les poteaux son premier essai qu’il se chargeait lui-même de transformer.

Le festival Cooney se poursuivait sept minutes plus tard. Olding trouvait Peysson lancé, qui mettait sur orbite Bosch entré en lieu et place de Tisseron sorti sur protocole commotion. Le Sud-Africain levait la tête et voyait débouler devinez qui ? Cooney bien sûr, qui filait inscrire son deuxième essai sans être inquiété.

Score à la pause : Cooney 20 - Vannes 16

Un essai qu’il transformait, comme il allait transformer à la sirène de la première période cette pénalité de 46 mètres qui faisait oublier sa position de hors jeu sur une mêlée bretonne (31e) ou cette douche directe trouvée depuis ses 22 mètres (38e).

Dans une seconde période bien plus difficile pour Brive que la première, John Cooney distillera trois chandelles bien dosées. Défensivement, il ne lâchera rien, comme en allant plaquer le pilier gauche Vunipola (50e).

Dernier rempart devant Boudehent, il ne sera pas loin d’empêcher Vannes de prendre les commandes au score pour la première fois depuis le coup d’envoi. Il sortira à la 65e, le cuir chevelu ouvert, preuve de son engagement sans faille. Une première XXL pour l’Irlandais. Il ne manquait finalement que la victoire.


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#502 Babé03

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Posted 08 October 2025 - 18:47 PM

Que fait Pierre-Henry Broncan depuis qu'il est directeur du rugby au CA Brive ? Sa mission au CA Brive, la rumeur qui l'a dit près d'intégrer le staff du XV de France, son avenir... Pierre-Henry Broncan se confie trois mois après avoir pris le poste de directeur du rugby du CA Brive.

Après avoir conduit Brive en demi-finale de Pro D2, Pierre-Henry Broncan est devenu directeur du rugby du CAB. Il lève le voile sur sa mission.

En quoi consiste la fonction de directeur du rugby à Brive ?

J’ai monté un projet pour mutualiser des U15 jusqu’aux pros. D’abord de mutualiser sur le site, c’est-à-dire d’avoir un maximum d’entraînements rugby, physique et vidéo, ici au Stadium.

Concrètement, cela se traduit comment ?

Sur le fonctionnement, on a mis en place les entraînements du centre de formation U22 en même temps que les pros, ce qui n’était pas le cas l’année dernière. L’an passé, le CDF avait entraînement lundi, mardi, mercredi et vendredi. Le jeudi était consacré aux cours. Sauf que le jeudi, il y avait entraînement des pros. Cette année, les joueurs du CDF ont cours le mardi, quand les pros sont off. Cela évite d’avoir à chercher à droite ou à gauche les jeunes que l’on appelle à l’entraînement avec les pros.

Un accent particulier a été mis sur les catégories U16-U18...

Oui, on veut gagner du temps sur ces jeunes, même s’ils sont encore au lycée. Ils viennent le mercredi après-midi au Stadium, où ils ont des ateliers techniques individuels, par exemple avec Thomas Laranjeira sur le jeu au pied et pour le tir au but. On a des intervenants « Fédé » ou club avec une relation proche pour le médical. On a un médecin et un kiné, payés par la « Fédé », qui font des soins à Simone-Veil (où se trouve l’académie pôle espoir, NDLR), et au Stadium, le mercredi. L’objectif, c’est qu’à 18 ans, ces jeunes soient en capacité de jouer avec l’équipe première. L’autre objectif, c’est de fournir des jeunes pour les équipes de France.

Cette mutualisation concerne aussi les staffs…

Oui, les médecins, les kinés de l’équipe pro, participent au médical des jeunes, sur du renforcement, des routines, des consultations. On a mutualisé le staff prépa physique, sous la direction de Julien Rebeyrol-Brimeur. On essaie d’avoir comme chez les professionnels une ondulation de charge dans la semaine.

La terminologie a-t-elle été, elle aussi, mutualisée ?

 
On a désormais les mêmes termes, la même communication offensive, défensive, la base des annonces en touche, sur les zones de jeu, les soutiens offensifs. On a des joueurs U22 qui peuvent jouer dans la même semaine en U22, chez les pros et en équipe de France, ils peuvent avoir jusqu’à trois terminologies. On va essayer d’avoir la même terminologie des U15 aux pros. Après, chaque équipe garde son projet de jeu.

On vous voit aux entraînements de l’équipe pro, avec le staff les jours de match. Intervenez-vous sur le plan tactique ?

Je ne suis là que pour observer. Le vendredi, je suis avec les pros. Le samedi, je vois au moins un match des catégories jeunes. J’irai ainsi avec les pros à Agen et après, je monterai à La Rochelle voir les Espoirs.

L’adrénaline de la compétition vous manque-t-elle ?

Je me suis fait opérer du genou cet été. Je suis encore en train de récupérer. On verra plus tard.

Votre nom a beaucoup circulé pour intégrer le staff du XV de France. Avez-vous des contacts ?

Il n’y a rien. Je suis en fin de contrat à la fin de la saison avec Brive. Après, on verra.

Vous êtes donc briviste jusqu’à la fin de la saison ?

Pour l’instant. Mon poste est nécessaire dans un club. Après cela dépend du projet du club. Si c’est pour ne pas utiliser les jeunes, ce n’est pas la peine d’avoir ce genre de poste.



#503 RCV06

RCV06

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Posted 08 October 2025 - 18:51 PM

Que fait Pierre-Henry Broncan depuis qu'il est directeur du rugby au CA Brive ? 

Quand il ne va pas au champignons, ben il se fait chier comme un rat en attendant la foire aux gras.



#504 Babé03

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Posted 02 November 2025 - 18:33 PM

Je sais que Clum attend fébrilement ces infos... :D

 

 

Quels scénarios sont sur la table des dirigeants du CA Brive pour redresser la barre ? Après un week-end de consultations et de réflexion, le président du CAB doit s’exprimer ce lundi alors que l’équipe reste sur trois défaites sèches.

Thierry Blandinières devait initialement s’exprimer ce dimanche, deux jours après la troisième défaite à zéro point concédée par le CAB sur le terrain de Provence.

Le président briviste devrait finalement prendre la parole ce lundi, d’abord devant les joueurs, à l’issue de l’entraînement collectif de l’après-midi.
Sans doute que les différentes réunions du week-end n’ont pas encore permis d’avoir la fameuse fumée blanche papale.

Comme le veut la tradition au CAB ces dernières années, la direction a donc pris la décision de… prendre le temps de la réflexion. Lors de la dernière grosse crise traversée par le club, et la défaite en pleine foire du livre, face à Angoulême, un vendredi de… novembre 2023, les dirigeants avaient attendu trois jours pour se séparer de Patrice Collazo.

Concrètement, quels scénarios sont sur la table cette fois ? Mettre en retrait David Darricarrère dont le discours et le plan de jeu ne semblent plus tout à fait faire l’unanimité sur ce deuxième bloc après un premier pourtant encourageant sur le plan comptable ?

 
Faire revenir Pierre-Henry Broncan dans le sportif ? Mais à quelles conditions ? L’ancien manager, rebasculé directeur du rugby par les dirigeants durant l’été, voudra-t-il travailler avec son ancien entraîneur des trois-quarts ?

Il est aussi utile de rappeler que “PHB” a perdu son entraîneur de la défense de l’an passé, Joe Worsley, qui s’est engagé en fin de semaine à Perpignan…

L’hypothèse d’une nouvelle collaboration entre l’actuel manager et l’ancien ne semble pas tenir. En début de saison, David Darricarrère avait glissé vouloir marquer une vraie rupture dans le jeu et le management. Il voulait un rugby pétillant. Depuis trois journées, l’on voit surtout un rugby qui fait pschitt, avec des joueurs qui n’appliquent pas les consignes.

Quid des entraîneurs adjoints ? 

Cinq mois après la redistribution des rôles, force est de constater que les résultats, une huitième place au classement, à 15 points de Vannes, ne sont ni conformes aux attentes, ni au budget, le plus gros de Pro D2.

Et quid d’Arnaud Mela et Goderzi Shvelidze, prolongés jusqu’en juin 2026. La touche et la mêlée, deux points forts la saison dernière, ne le sont plus qu’occasionnellement et trop rarement.


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#505 Fast Kimi

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Posted 02 November 2025 - 21:24 PM

Perpignan-Brive, c’est pas si loin, Franck ?

#506 el landeno

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Posted 03 November 2025 - 22:00 PM

Le président de Brive maintient son staff malgré les mauvais résultats en Pro D2 : « Darricarrère et Broncan doivent faire les efforts pour travailler ensemble »
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David Darricarrère est maintenu à son poste d'entraîneur de Brive. (ROMAIN/Presse Sports)
Alors que Brive, dont l'ambition est de retrouver le Top 14, vient d'enchaîner une série de trois défaites en Pro D2, le président Thierry Blandinières a décidé de ne pas toucher à l'entraîneur David Darricarrère et au staff.
Guillaume Dufypublié le 3 novembre 2025 à 21h29
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Une première défaite à Agen (10-41), une deuxième à domicile contre Soyaux-Angoulême (16-25) et une dernière, vendredi dernier, sur la pelouse d'Aix-en-Provence (3-25). Trois revers consécutifs pour le Brive qui affiche un budget impressionnant de 21 millions d'euros pour un club de Pro D2. Aujourd'hui, le CAB est loin des ambitions affichées et se retrouve surtout dans une situation complexe, au bord de l'implosion voire de la grosse crise de nerfs.

 
 

Malgré cette mauvaise série, rien ne va bouger au sein du staff et ce n'est peut-être pas plus mal dans un club qui manque de stabilité, avec des changements permanents d'entraîneur. C'est ce qu'a confirmé Thierry Blandinières, le président du club, dans une interview accordée à La Montagne ce mardi après-midi.

8
Avant la 10e journée de Pro D2, Brive est 8e du classement avec 20 points, soit 15 de moins que le leader Vannes.

David Darricarrère reste donc en poste et sera sur le banc, vendredi, pour la réception de Mont-de-Marsan (19h30), un club qui ne va pas très bien, mais qui a connu un brillant et spectaculaire sursaut d'orgueil, la semaine dernière avec une victoire (71-10), contre Nevers, avec 11 essais inscrits.

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Mais tout n'a pas été si limpide et clair dans le cerveau des dirigeants. Durant le week-end, le successeur de Simon Gillham à la tête du CAB a sérieusement songé à remercier David Darricarrère qui a succédé l'été dernier à Pierre-Henry Broncan, le nouveau directeur du rugby du club corrézien.

Des dissensions au sein du staff

Thierry Blandinières a effectivement appelé Broncan pour lui demander de reprendre du service, ce que dernier a refusé, marqué par la manière dont il a été poussé vers la sortie. Il faut rappeler que Brive a échoué, la saison passée, en demi-finales du Championnat, battu à domicile par Montauban (13-29). Cet échec a laissé des traces.

David Darricarrère aurait donc cinq matches pour redresser la barre d'une équipe à la dérive qui ne fait plus peur à personne malgré des CV et des physiques impressionnants. Dans l'interview, Thierry Blandinières parle aussi de jeu et demande à son staff de se tourner vers une philosophie plus directe avec un retour aux fondamentaux : la mêlée, la touche et la défense sont en effet en souffrance depuis le début de la saison. En prenant ses fonctions, David Darricarrère, grand spécialiste de l'attaque, avait expliqué qu'il souhaitait mettre en place « un jeu pétillant ».

« Il peut y avoir des tensions entre personnes, mais il faut passer au-dessus »

Thierry Blandinières

 
 
 

Critiqué parce que trop absent, le président évoque aussi la relation entre le manager et Pierre-Henry Broncan. Les deux hommes étaient très proches. Ils ne le sont plus pour des raisons obscures. Sollicités, ils n'ont pas voulu s'épancher. « Je ne vais pas dire qu'ils n'ont pas de divergences, a expliqué le président. On leur a demandé d'être de grands garçons. Les deux sont payés par le club et doivent faire les efforts pour travailler ensemble. Dans une entreprise, on ne travaille pas qu'avec des copains. On doit travailler pour l'intérêt général. C'est ce qu'on leur a répété ce week-end. Il peut y avoir des tensions entre personnes, mais il faut passer au-dessus. Il y a un contrat de travail, il faut faire le job. »


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Posted 04 November 2025 - 07:53 AM

De l 'eau dans le gaz avec évidemment en toile de fond l 'absence de résultats d'une équipe pourtant équipée pour jouer les premiers rôles en pro 2

 

Sans doute que les tensions internes n 'arrangent rien,  mais pour les avoir regardés, cette équipe est très indisciplinée,  parfois approximative , avec pas mal de déchets dans son jeu mais aussi quelques phases où ils sont plus en adéquation avec leur effectif de qualité

 

Seuls les résultats permettront d'atténuer les tensions  au moins dans le court terme , mais c'est pas gagné d'inverser la dynamique négative






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