De toute façon pour moi le dérèglement climatique c'est mort, il vaut mieux se concentrer sur comment s y adapter plutôt que de penser encore qu on peut l arrêter.
Sachant que les plus gros pollueurs ont clairement fait savoir qu ils n en ont rien a foutre et qu ils ne comptent pas freiner.
En plus, même si la mode est a culpabiliser les vieux sur le fait qu ils ont pourri le monde, je ne dois pas connaitre les bons jeunes, mais tous ceux que je vois ont exactement le même mode de fonctionnement que leurs vieux et n ont pas l intention d y renoncer.
Je crois en tout ce qui a un effet concret et visible, diminuer la pollution localement en ne balançant pas toutes les saloperies partout et déjà ça c'est pas gagné. Améliorer la qualité de ce qu on bouffe ce qui a une incidence direct sur la santé et sur la qualité de l environnement.
Bref on peut agir sur son environnement direct, par contre au niveau global c'est de la flute.
Pollution et réchauffement climatique, sont les deux mamelles de la pensée culpabilisante de l'homme.
Un peu de cynisme et la solution apparait dans toute sa clarté. Il suffit de s'attaquer non pas au conséquences, mais à la cause.
puisque l'homme est coupable, il faut éradiquer l'homme. Et pour cela il n'y a même pas besoin de faire des efforts, il suffit de le laisser fumer, de le laisser boire, de le laisser manger des hamburgers (revoir le film militant de Michael Moore "Super Size Me"), de le laisser enfumer la planète de particules fines, de parties fines de cul, et il périra par tous les orifices. Mais attention, il faudra laisser quelques hommes "bios" pour que l'espèce ne disparaisse pas complètement. Je préconise donc d'épargner quelques Aborigènes, quelques indiens d'Amazonie ou d’Amérique du nord, quelques Lapons, quelques Pygmées et quelques Masaï. Ils vivront sur une terre enfin assainie et débarrassée des miasmes que l'homme occidental, le con, avait coutume de produire avec sa science.
On retrouvera le bonheur de vivre jusqu'à 40 ans, faute d'être soigné par cette saleté de pharmacie chimique, et si on persiste à avoir une santé de fer on mourra de famines naturelles, comme avant, parce qu'avant c'était mieux.
Et socialement cela règle a peu près tous les problèmes : celui des retraites, celui du chômage, celui du capitalisme, celui du socialisme et même celui du terrorisme car ce retour à la préhistoire laisse quelques milliers d'année de répis avant qu'un mec réinvente la poudre.
Bon, l'inconvénient c'est qu'il faudra aussi attendre, longtemps, qu'on réinvente le rugby, et c'est ce qui me chagrine le plus.