J'aime beaucoup tes interventions, mais là tu y vas fort : si un pilier recule, c'est que celui d'en face progresse. Il n'est donc pas possible qu'une immense majorité recule (ou avance).
C'est comme "une finale, ça se gagne !", sauf que la proportion des finalistes qui jouent une finale et la perdent est, et restera, d'exactement 50 % !
Un pilier ne pousse pas tout seul, l'affrontement pack contre pack n'est jamais (ou rarement) unilatéral et d'une mêlée à l'autre le rapport de force peut aisément s'inverser. Sur une carrière, un pilier aura plus souvent souffert que fait souffrir, c'était le sens des propos de Marconnet. On en a des exemples tous les week-ends ou avec Hayman, meilleur pilier droit du monde qui a régulièrement pratiqué la marche arrière au RCT. Ou Chaume en 1/2 l'an dernier face au CO.