1422 réponses à ce sujet

[l'exil]

Wainiqolo 3 ans, belle pioche.

[jm12]

Wainiqolo 3 ans, belle pioche.

A priori, sur le terrain c 'est un facteur X très intéressant....alors pourquoi n est -il pas titularisé davantage au point de le laisser filer au Lou ou plutôt je pense de lui ouvrir et montrer la porte !

 

Ca interroge quand même pas mal , un peu à l 'image de M Tambwe au MHR , après l 'UBB et maintenant annoncé au Stade Français !

 

Doit bien y avoir qqs problématiques dans tout ça....

[Fast Kimi]

Lavanini quitte le club alors qu’il lui reste 1 année de contrat

[Alligator427]

Pour quelle destination ?

[Buckaroo]

Il doit bien être revanchard, juste comme il faut, on peut maintenant le faire revenir.

[pims]

c'est flop sur flop lui

[Alex chocolatines]

Au moinsse y a pas que l'ASM qui se plante sur le recrutement, et le LOU est encore plus fort vu les prestations du gars à Clermont 

Ceci dit, ils ne l'ont pas gardé 3 ans 

[Fast Kimi]

Pour quelle destination ?

Pas de destination précise évoquée…

[Lourugby]

Très bonne nouvelle ! Qu'il ne soit pas au niveau, c'est déjà un problème en soi, mais quand en plus on voit sa motivation sur le terrain comme à l'entrainement, on réalise vite à qui on a affaire. Un joueur de sélection, qui tire profit de ces pigeons de clubs pour se préparer/préserver pour les joutes internationales aux frais de la princesse. A voir si une nouvelle équipe croira à son tour au père Noël en lui redonnant une énième chance... 

[clum63_]

J'ai trouvé ça sur les réseaux, ça m'a fait marrer:

 

"Il n’a rien dit, ce matin-là. Ni au vestiaire, ni sur le terrain. Juste un regard long, fixe, presque absent, posé sur les tribunes encore vides du Matmut Stadium. C’était peut-être un adieu, ou juste un soupir de trop. On n’a su qu’après coup que Tomás Lavanini ne remettrait plus les pieds sur la pelouse lyonnaise.

 

Il y a dans certaines séparations un silence qui crie plus fort que les mots. Entre le LOU et Lavanini, il n’y a pas eu de fracas. Pas de communiqué agressif, pas de porte claquée. Juste une entente. Un « d’un commun accord » comme on en lit souvent, mais qui, cette fois, semblait porter autre chose : une lassitude partagée, peut-être, ou une reconnaissance silencieuse qu’il était temps.

 

Le colosse argentin, ce roc de deuxième ligne que tant de supporters admiraient pour sa rudesse et son sang-froid, laisse derrière lui un vide que les statistiques ne racontent pas. Ce ne sont pas ses plaquages, ni ses charges, ni même sa silhouette massive qui manqueront le plus — c’est cette forme de rage tranquille qu’il traînait avec lui comme un talisman. Lavanini jouait avec un feu intérieur que même les défaites ne semblaient pouvoir éteindre.

 

Et pourtant, cette saison, ce feu-là s’était fait plus discret. Lyon a tremblé, vacillé, et malgré les efforts, malgré les poitrines gonflées à l’orgueil, la peur de la relégation a plané jusqu’aux derniers instants. Quand tout s’écroule autour, même les géants finissent par douter. Il faut parfois se retirer, non pas par faiblesse, mais pour ne pas devenir une ombre de soi-même.

 

Tomás est un homme de voyages, de départs et de retours. Formé sous le soleil d’Argentine, façonné par les affrontements de Super Rugby, poli dans l’exigence du Top 14, il a connu les contrastes, les langues, les foules, les solitudes. Le rugby l’a emmené loin — au Racing, à Leicester, à Clermont, et enfin ici, sur les rives du Rhône. Il a tout donné à chaque escale, sans jamais tricher, sans jamais trahir son identité rugueuse et fière.

 

Ce lundi, il est parti comme il est souvent entré sur le terrain : sans fioritures, sans grands gestes. On ne sait pas encore où il posera ses valises. Peut-être reviendra-t-il là où tout a commencé, dans l’intimité de ses racines. Peut-être relèvera-t-il un dernier défi européen, ailleurs, plus loin. Mais ce que l’on sait, à Lyon, c’est que celui qui s’en va n’est pas simplement un joueur de plus. C’est un cœur, un battement, une présence.

 

Dans quelques jours, la vie reprendra son cours. Le LOU s’entraînera sans lui, les nouveaux visages tenteront de faire oublier l’ancien. Mais il y aura toujours, dans un coin du vestiaire ou dans un regard croisé, un petit éclat de mémoire. Parce que certains départs ne sont jamais vraiment complets. Et que certains joueurs, comme Tomás Lavanini, ne quittent pas un club… ils y laissent une empreinte."

 

Ceci dit et ridicule mis à part, les supporters lyonnais ont l'élégance de l'hommage 

[Alex chocolatines]

J'ai trouvé ça sur les réseaux, ça m'a fait marrer:

 

 

Ceci dit et ridicule mis à part, les supporters lyonnais ont l'élégance de l'hommage 

Pourquoi marrer  ? Meme si un joueur a déçu, on n'est pas obligé de lui chier dessus quand il part. 

[clum63_]

Pourquoi marrer  ? Meme si un joueur a déçu, on n'est pas obligé de lui chier dessus quand il part. 

 

Effectivement, mais entre lui chier dessus et une oraison funèbre il doit y avoir un juste milieu 

[Lourugby]

"L'hommage" n'est pas franchement innocent à mon avis, et fleure bon l'ironie car il est impossible de reconnaitre Lavanini dans cette description : une empreinte après 11 matchs disputés sous le maillot lyonnais, dont la moitié de raté ? Une rage et un feu immense alors qu'il trainait sa peine sur le terrain ? Sa puissance et sa férocité alors qu'il n'avançait pas d'un iota ? 

 

Sous couvert de reconnaissance, la critique est au contraire violente, bien qu'implicite... 

[Alex chocolatines]

 

Effectivement, mais entre lui chier dessus et une oraison funèbre il doit y avoir un juste milieu 

Exact, mais j'avais pas vu ça sous le meme angle que "Lourugby" ; y a moyen que ce soit ironique, tendance caustique en effet  

 

Ceci dit sundance pourrait nous sortir un papier comme ça après la retraite de Urda ou le jour ou Urios repartira avec son baluchon sur l'épaule    

[bazooka]

"L'hommage" n'est pas franchement innocent à mon avis, et fleure bon l'ironie car il est impossible de reconnaitre Lavanini dans cette description : une empreinte après 11 matchs disputés sous le maillot lyonnais, dont la moitié de raté ? Une rage et un feu immense alors qu'il trainait sa peine sur le terrain ? Sa puissance et sa férocité alors qu'il n'avançait pas d'un iota ? 

 

Sous couvert de reconnaissance, la critique est au contraire violente, bien qu'implicite... 

 

J'en ai la même lecture (justifiée) que toi, "Tout ce que tu ne nous as jamais montré..."