Joueur de TOP 14
Posté 22 octobre 2019 - 13:11
Toi tu as vraiment le chic pour pondre des boulettes majuscules. Vaha, que l'on apprécie le bonhomme ou pas, est clairement le meilleur seconde ligne en France. Alors oui, il lui arrive d'avoir les fils qui se touchent mais va le remplacer là maintenant en EDF, je te souhaite bien du plaisir !
M'en branle, c'est pas mon rôle...mais quelqu'un va devoir s'y coller apparemment... 
car j'ai pas l'impression, aussi bon soit il, qu'on essaie de le retenir...
Joueur de Fédérale 1
Posté 22 octobre 2019 - 13:36
M'en branle, c'est pas mon rôle...mais quelqu'un va devoir s'y coller apparemment...
A priori, ça ne rend pas que sourd, ça rend con aussi !!!
Champion d'Europe
Posté 22 octobre 2019 - 13:57
Toi tu as vraiment le chic pour pondre de
s boulettes majusculesla merde. Vaha, que l'on apprécie le bonhomme ou pas, est clairement le meilleur seconde ligne en France. Alors oui, il lui arrive d'avoir les fils qui se touchent mais va le remplacer là maintenant en EDF, je te souhaite bien du plaisir !
Corrigé..... 
Equipe de France
Posté 22 octobre 2019 - 14:43
Toi tu as vraiment le chic pour pondre des boulettes majuscules. Vaha, que l'on apprécie le bonhomme ou pas, est clairement le meilleur seconde ligne en France. Alors oui, il lui arrive d'avoir les fils qui se touchent mais va le remplacer là maintenant en EDF, je te souhaite bien du plaisir !
Oui CAPO ORTEGA ou BURGER en NAMIBIE c'est un peu la même chose, leurs équipes n'ont rien eu en terme de palmares... 
Champion du Monde
Posté 22 octobre 2019 - 16:14
Je pense que certains à la FFR ont bien du s'en charger et sont bien contents de sa retraite.
Il faut dire que Vaha en EDF, c'est pas l'extase de toute façon et que sur sa cinquantaine de sélections, peu resteront mémorables il me semble (sans parler de l'histoire de 2015 ou de ce coup de coude bien placé
Sauf que Vaha c'est un seconde ligne pas un joli 3/4 gominé qui fait des plongeons de 4 mètres pour marquer ses essais et faire des petits signes à l caméra avec ses doigts.
Vaha fait des choses essentielles a ses équipes EDF ou ASM mais qui permettent aux jolis 3/4 de faire leurs galipettes dans l en-but.
Vaha est un des meilleurs secondes lignes du monde, il pousse il saute il plaque il gratte il cavale partout il pourrit les mauls adverses en "nageant" dedans comme disait si bien son ex futur sélectionneur.
Vaha était un des rares titulaires indiscutables de 15 de France, doit bien y avoir une raison, et c'est pas parce qu il a fait une connerie que ça annule tout ce qu il a fait de bien avant.
Alors c'est sur que dans ce monde ou seul ce qui brille a de la valeur ses sélections ne resteront dans la mémoire que de ceux qui regardent un peu plus loin.
beIN SPORTSCoupe du monde 2019
22 octobre 2019 16:35
Iturria au soutien de son pote Vahaamahina
ICON SPORT
Face au lynchage de Sébastien Vahaamahina sur les réseaux sociaux, où le carton rouge du deuxième ligne pour un coup de coude sur un joueur gallois lui vaut d'être accablé d'insultes et de reproches en tout genre, Arthur Itturia, son coéquipier en équipe de France et à Clermont, qui ne figurait pas sur la feuille de match lors de l'élimination des Bleus en demi-finales de la Coupe du monde (21-19), a tenu à apporter son soutien à celui qui a depuis annoncé sa retraite internationale.
"Il est normal que des réactions fassent suite à ce qui s'est passé, écrit Iturria sur Twitter. Et je le comprends, bien que certaines soient trop virulentes. Sébastien a toujours été un homme et un coéquipier de grande qualité qui ne mérite pas autant d'animosité", conclut le Clermontois.
Equipe de France
Posté 22 octobre 2019 - 17:34
Toi tu as vraiment le chic pour pondre des boulettes majuscules. Vaha, que l'on apprécie le bonhomme ou pas, est clairement le meilleur seconde ligne en France. Alors oui, il lui arrive d'avoir les fils qui se touchent mais va le remplacer là maintenant en EDF, je te souhaite bien du plaisir !
De toutes façons, il faudra le remplacer car il a pris sa retraite internationale
Champion du Monde
Posté 22 octobre 2019 - 18:20
Sauf que Vaha c'est un seconde ligne pas un joli 3/4 gominé qui fait des plongeons de 4 mètres pour marquer ses essais et faire des petits signes à l caméra avec ses doigts.
Vaha fait des choses essentielles a ses équipes EDF ou ASM mais qui permettent aux jolis 3/4 de faire leurs galipettes dans l en-but.
Vaha est un des meilleurs secondes lignes du monde, il pousse il saute il plaque il gratte il cavale partout il pourrit les mauls adverses en "nageant" dedans comme disait si bien son ex futur sélectionneur.
Vaha était un des rares titulaires indiscutables de 15 de France, doit bien y avoir une raison, et c'est pas parce qu il a fait une connerie que ça annule tout ce qu il a fait de bien avant.
Alors c'est sur que dans ce monde ou seul ce qui brille a de la valeur ses sélections ne resteront dans la mémoire que de ceux qui regardent un peu plus loin.
beIN SPORTSCoupe du monde 2019
22 octobre 2019 16:35
Iturria au soutien de son pote Vahaamahina
ICON SPORTFace au lynchage de Sébastien Vahaamahina sur les réseaux sociaux, où le carton rouge du deuxième ligne pour un coup de coude sur un joueur gallois lui vaut d'être accablé d'insultes et de reproches en tout genre, Arthur Itturia, son coéquipier en équipe de France et à Clermont, qui ne figurait pas sur la feuille de match lors de l'élimination des Bleus en demi-finales de la Coupe du monde (21-19), a tenu à apporter son soutien à celui qui a depuis annoncé sa retraite internationale.
"Il est normal que des réactions fassent suite à ce qui s'est passé, écrit Iturria sur Twitter. Et je le comprends, bien que certaines soient trop virulentes. Sébastien a toujours été un homme et un coéquipier de grande qualité qui ne mérite pas autant d'animosité", conclut le Clermontois.
+1...avec BASTARAUD également….très sympa de sa part et comme il dit il est bien placé pour savoir !
Champion du Monde
Posté 22 octobre 2019 - 18:28
Courage à toi Seb, et laisse courir les propos à la con.
Champion du Monde
Posté 22 octobre 2019 - 18:37
Quand tu lis les commentaires en dehors de cyber,
beaucoup voulaient son exclusion de EDF à vie...
Certain journaliste de la montagne pense même quil risque de se fait siffler dans les stades.
Non pas possible, quelle honte. Maintenant si tout les joueurs siflée dans certains stades auraient pu avoir la même compassion ça aurait fait plaisir à un certain Delon A ou Mathieu B. .....
Sinon pour les commentaires sur les réseau sociaux ils suffit de ne pas les lire pour ne pas que cela nous atteigne et de ne pas y préter attention.
Et pour Vaha si certain idiot le siffle ben il faudra qu'il assume et fasse le dos rond en attendant que les abrutis se calme. Comme cela s'est calmé pour Delon ou d'autre.
Pour moi le meilleur moyen de faire taire les abrutis c'est bien d'attendre et assumer et ne surtout pas répondre ou leur donner d'importance.
Champion du Monde
Posté 22 octobre 2019 - 18:52
Mathieu Maggesi de Auch ?Non pas possible, quelle honte. Maintenant si tout les joueurs siflée dans certains stades auraient pu avoir la même compassion ça aurait fait plaisir à un certain Delon A ou Mathieu M. .....
Champion du Monde
Posté 22 octobre 2019 - 19:48
De toutes façons, il faudra le remplacer car il a pris sa retraite internationale
Champion d'Europe
Posté 22 octobre 2019 - 19:55
Sauf que Vaha c'est un seconde ligne pas un joli 3/4 gominé qui fait des plongeons de 4 mètres pour marquer ses essais et faire des petits signes à l caméra avec ses doigts.
Vaha fait des choses essentielles a ses équipes EDF ou ASM mais qui permettent aux jolis 3/4 de faire leurs galipettes dans l en-but.
Vaha est un des meilleurs secondes lignes du monde, il pousse il saute il plaque il gratte il cavale partout il pourrit les mauls adverses en "nageant" dedans comme disait si bien son ex futur sélectionneur.
Vaha était un des rares titulaires indiscutables de 15 de France, doit bien y avoir une raison, et c'est pas parce qu il a fait une connerie que ça annule tout ce qu il a fait de bien avant.
Alors c'est sur que dans ce monde ou seul ce qui brille a de la valeur ses sélections ne resteront dans la mémoire que de ceux qui regardent un peu plus loin.
beIN SPORTSCoupe du monde 2019
22 octobre 2019 16:35
Iturria au soutien de son pote Vahaamahina
ICON SPORTFace au lynchage de Sébastien Vahaamahina sur les réseaux sociaux, où le carton rouge du deuxième ligne pour un coup de coude sur un joueur gallois lui vaut d'être accablé d'insultes et de reproches en tout genre, Arthur Itturia, son coéquipier en équipe de France et à Clermont, qui ne figurait pas sur la feuille de match lors de l'élimination des Bleus en demi-finales de la Coupe du monde (21-19), a tenu à apporter son soutien à celui qui a depuis annoncé sa retraite internationale.
"Il est normal que des réactions fassent suite à ce qui s'est passé, écrit Iturria sur Twitter. Et je le comprends, bien que certaines soient trop virulentes. Sébastien a toujours été un homme et un coéquipier de grande qualité qui ne mérite pas autant d'animosité", conclut le Clermontois.
une idée à la con : est ce qu'Iturria se serait pas pris le coude de Vaha en rentrant se coucher en Ecosse et non la table de nuit ? 
ok, ok , je sors !
Joueur de TOP 14
Posté 23 octobre 2019 - 00:18
A priori, ça ne rend pas que sourd, ça rend con aussi !!!
Bah ouais, l'un n'empêche pas l'autre!! Une affaire de spécialistes!
Champion d'Europe
Posté 23 octobre 2019 - 05:40
par Arnaud Requenna dans l'Equipe
apis de bagages 33, terminal 2E de l'aéroport Roissy Charles-de-Gaulle, mardi matin peu avant 5 heures. Un rire, bref et franc. « Vahaa » ! On lève les yeux, Sébastien Vahaamahina est à quelques mètres, penché vers Jacques Brunel ; le sélectionneur lui dit affectueusement au revoir. Le deuxième-ligne clermontois embrasse maintenant son coéquipier Camille Lopez qui va prendre un avion pour le Pays basque. « Bonnes vacances. On se retrouve le 4 novembre pour préparer le déplacement à Toulouse, Vahaa. Ah, non, c'est vrai ! Pour toi, ce sera plus tard », soupire Lopez.
Plus tard, oui... On saura ça jeudi, lorsqu'une commission de discipline indépendante jugera Vahaamahina et décidera combien de semaines de suspension mérite son vilain coup de coude à la face du Gallois Aaron Wainwright, dimanche, lors du quart de finale Galles-France (20-19), à Oita. Cette expulsion à la 49e, alors que les Bleus menaient 19-10, a rendu célèbre Vahaamahina, en une seconde. Depuis, il est insulté sur les réseaux sociaux, certains avaient demandé qu'on le vire définitivement de l'équipe de France. Il a pris les devants, lundi soir (au Japon), en annonçant par communiqué qu'il mettait un terme à sa carrière internationale. Le jour de ses 28 ans. Dans ce texte adressé au Midi Olympique, il précise avoir pris cette décision depuis plusieurs mois. Eh bien, vous savez quoi ? On le croit. Ça fait plus de sept ans qu'on fréquente le Wallisien et, si on ne sait pas tout de lui, le mensonge n'entre pas dans son mode de fonctionnement. Il peut ne pas tout dire, mais ne ment pas.
Tout comme on croit en sa sincérité d'arrêter avec les Bleus, on est convaincu qu'il y reviendra un jour. On le lui a glissé, mardi matin, devant la porte 10 du Terminal 2E, celle qui ouvre vers les taxis. Poussant son chariot, son accréditation de la Coupe du monde autour du cou, il a confirmé que son choix était décidé depuis longtemps. Mais comment s'arrêter sur ce geste fou ? Il ne répond rien, nous regarde : « Maintenant, il faut que je me vide la tête. »
Quelques heures plus tôt, à l'aéroport Haneda de Tokyo, on est en train d'écrire un article sur lui vu par des psychologues, lorsqu'il passe avec son sac.
On jaillit de ce « Café 146 ».
- « Tu arrêtes ?
- Qui dit ça ?
- La rumeur
- C'est moi qui décide. »
Trois quarts d'heure plus tard, son communiqué tombe à l'issue de deux jours dingues.
Dimanche soir, il ne répond d'abord pas à nos textos avant de nous expédier un : « Non, désolé. » Le lendemain, toujours par texto, il reconnaît son mal-être, que cela prendra du temps pour aller mieux. Ce temps, il le passera avec son épouse, Cathie - une ancienne troisième-ligne internationale - et leur fils Milo. Cathie... Combien de fois « Vahaa » nous a parlé d'elle, de leur couple fusionnel, de ses débriefings de match tellement importants à ses yeux parce qu'elle lui dit la vérité, toute la vérité. Cette fois, quels mots aura-t-elle trouvés, à distance ? La semaine précédente, Cathie et Milo étaient dans un hôtel d'Oita, par hasard le même que le nôtre. Au 6e étage. Comme nous. On y a croisé Sébastien une ou deux fois, avec son petit garçon dans les bras. Rayonnant.
Cet été, fin juillet, à Monaco, on tombe sur Vahaamahina, attendri, dans un parc au pied du château. « On est "off", les familles sont venues. Tu vois, je surveille mon fils », explique le Clermontois, les yeux sur Milo au toboggan.
Depuis 2012, on a régulièrement rencontré le Clermontois pour des entretiens en tête à tête. En confiance, il donne beaucoup. Raconte. La vie en Nouvelle-Calédonie, les peignées à l'école avec les petits Kanaks, les typhons qui dézinguent les maisons chaque année, lui et sa famille, qui rebâtissent : « On jouait aux architectes. »
Avant la Coupe du monde 2015 - pour laquelle il ne fut pas retenu, en fin de préparation -, il nous donne rendez-vous à la gare de Riom, un jour de canicule. Il sort d'une Twingo. Confidence : « J'aime bien cette voiture. Et puis, c'est une Renault. C'est français. » Immense fierté dans le regard. La France ! Ce maillot bleu qu'il a découvert avec les moins de 20 ans, juste un grand gabarit débarqué de son île deux ans plus tôt. « Vahaa » ne chante pas la Marseillaise, il sourit lorsqu'elle est jouée avant les matches, ce que certains lui reprochent. « Mais à cet instant-là, je pense à mon père qui serait si fier de me voir avec le maillot de l'équipe de France. Alors, je transforme cette peine en joie et je souris. »
Auckland, un jeudi de juin 2013, on descend d'avion après plus de vingt-quatre heures de voyage, deux jours avant un Nouvelle-Zélande - France. Taxi. Hôtel. Un collègue : « Tu tombes bien. "Vahaa" passe en conférence de presse dans un quart d'heure. Il n'y a qu'à toi qu'il parle un peu... » On pénètre dans l'hôtel Marriot, l'escalier à droite du bar, puis un salon sans vue sur le jour. On s'assied à quelques-uns autour de Vahamaahina. À l'époque, ses phrases sont courtes et, surtout, à peine audibles - « Tu risques à chaque fois la double otite », nous chambre régulièrement un journaliste de L'Équipe. Peut-être, mais écoutons le Wallisien qui, ce matin-là, explique que son père est décédé un mois et demi plus tôt, quand lui était dans l'avion pour la métropole. Vahaamahina repart immédiatement pour le bout du monde enterrer son papa. Quelques mois plus tôt, en songeant à ce père malade, il s'était effondré en sanglots en pleine interview, pour notre premier rendez-vous.
«À cet instant-là, je pense à mon père qui serait si fier de me voir avec le maillot de l'équipe de France. Alors, je transforme cette peine en joie et je souris
Sébastien Vahaamahina, au sujet de son attitude pendant la marseillaise.
« Vahaa », très souvent, est sans filtre. Ça peut surprendre. On a compris, car il nous l'a expliqué, qu'en déboulant à Brive à peine majeur (2010-2011), il a changé de monde. Pour faire simple, chez lui, les aînés parlent. Les autres la ferment. Les deux langues utilisées à la maison, le wallisien et le futunien, comprennent peu de lettres. Les bavardages sont rares. Mais « Vahaa » parle, à sa façon, avec ses potes d'école : direct. Il continue à Brive, à Perpignan, chez les Bleus au début : direct. À l'été 2015, il déclare qu'il ne serait pas déçu s'il ne disputait pas la Coupe du monde. Shocking ! Déclaration maladroite, phrase sortie de son contexte... Il y a quelque temps, à Clermont, il nous confie son état d'esprit à ce moment-là, son intimité. Et pour la première fois, craché-juré, il dit :« Ça reste entre nous, vous ne l'écrivez pas. »
En revanche, avouons pourquoi, entre autres, la carrière en bleu de Vahaamahina ne nous semble qu'en pause. Depuis 2012, il nous répète : « Ma carrière, quelle carrière ? On en parlera quand j'aurai cinquante sélections. » Il en manque quatre.
Champion du Monde
Posté 23 octobre 2019 - 08:32
par Arnaud Requenna dans l'Equipe
En revanche, avouons pourquoi, entre autres, la carrière en bleu de Vahaamahina ne nous semble qu'en pause. Depuis 2012, il nous répète : « Ma carrière, quelle carrière ? On en parlera quand j'aurai cinquante sélections. » Il en manque quatre.
Ca se termine un peu en queue de poisson cet article ?
Comme ...
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