2336 réponses à ce sujet

[Lima]

Au Stade Rochelais, l’ouvreur Hugo Reus n’en finit pas de confirmer son potentiel

 

Avec Hastoy ça fait deux mecs de même niveau pour un poste, et avec des ambitions, un des deux partira, faudrait qu on y pense !!

 

Franchement, je suis pas certain de ça, du moins dans les 2 ou 3 années à venir.

 

Vu la cadence des saisons (Top14 + Coupe d'Europe + potentiellement l'EDF), les variables méforme et blessure, il y a largement de la place pour deux.

 

Après, il est pas exclu qu'un des deux parte, évidemment, mais dans les deux années à venir ça m'étonnerait. Reus (19 ans), à l'instar de Jauneau chez nous, va devoir encaisser sa première vraie saison de Top 14, il est engagé jusqu'en 2026. Je ne le vois pas partir. Hastoy me parait bien ou il est, il demeure le titulaire, il est dans le groupe France, je ne le vois pas se mettre en "danger" en quittant le club dans un futur proche.
 

[RCV06]

 

Franchement, je suis pas certain de ça, du moins dans les 2 ou 3 années à venir.

 

Vu la cadence des saisons (Top14 + Coupe d'Europe + potentiellement l'EDF), les variables méforme et blessure, il y a largement de la place pour deux.

 

Après, il est pas exclu qu'un des deux parte, évidemment, mais dans les deux années à venir ça m'étonnerait. Reus, à l'instar de Jauneau chez nous, va devoir encaisser sa première vraie saison de Top 14, il est engagé jusqu'en 2026. Je ne le vois pas partir. Hastoy me parait bien ou il est, il demeure le titulaire, il est dans le groupe France, je ne le vois pas se mettre en "danger" en quittant le club dans un futur proche.
 

Hastoy est bien installé c'est clair en plus il est inter, mais si le jeune veut une place de titulaire et postuler pour l EDF il faudra qu il bouge.

C'est sur que pour le club c'est top, mais pour le jeune c'est pas bon a moyen terme, surtout que Hastoy est jeune. L attelage idéal c'est un vieux un jeune

c'est la jurisprudence Jaminet.

[Bon Chasseur]

Au Stade Rochelais, l’ouvreur Hugo Reus n’en finit pas de confirmer son potentiel

 

Avec Hastoy ça fait deux mecs de même niveau pour un poste, et avec des ambitions, un des deux partira, faudrait qu on y pense !!

non mais regardez moi ça les vautours...

[inASMweTrust]

non mais regardez moi ça lez vautours...

Moi perso, je vois plus LR dans le rôle des vautours, venir pêcher nos petites perles pour une belle charnière inter et jeune et Jiff. 

[RCV06]

Moi perso, je vois plus LR dans le rôle des vautours, venir pêcher nos petites perles pour une belle charnière inter et jeune et Jiff. 

Vu qu il a déjà les chevilles pourries ......

[Alex chocolatines]

Vu qu il a déjà les chevilles pourries ......

Chez nous y a des bons docs, pas des rebouteux qui officient dans un garage poussiéreux balayé par les courants d'air 

On le remet sur pieds vite fait, il retrouve son casque rouge qu'il n'a plus le droit de porter à Clermont et woilà, Dupont peut partir faire le guignol au 7  

[el landeno]

Pierre Bourgarit, un talonneur qui va de l'avant avec La Rochelle Auteur d'un doublé dimanche soir lors de la victoire arrachée par La Rochelle contre l'UBB (25-21), le talonneur Pierre Bourgarit a mis derrière lui l'élimination des Bleus en quarts de finale de la Coupe du monde.

 

Il est arrivé dimanche soir en conférence de presse avec le sourire et un oeil droit mi-clos, la paupière gonflée. « J'ai pris un petit coup de tête », a-t-il soufflé avant d'analyser la difficile victoire rochelaise contre Bordeaux-Bègles (25-21). Le talonneur n'a pas lésiné sur l'engagement durant cette rencontre qui a longtemps paru mal embarquée pour son équipe, menée de 13 points à la 53e minute.

 

 

Pour son deuxième match de Top 14 de la saison et sa première titularisation, une semaine après sa reprise contre Bayonne (18-15), le Gersois a eu droit à 78 minutes de jeu, deux essais marqués derrière des ballons portés dont un qui a permis à son équipe - avec la transformation d'Hugo Reus - de passer devant au score à moins de quinze minutes de la fin du match.

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On l'a encore vu dans les dernières secondes s'arracher malgré une fatigue bien présente au moment de récupérer un ballon poussé au pied par Pablo Uberti. « Il était un peu rouge sur la fin, mais il a fait une super partie », a résumé en taquinant Romain Carmignani, l'entraîneur des avants et de la défense.

Une phrase qui a fait réagir l'intéressé : « Il me branche, dès que je suis dans le dur, je rougis vite. J'ai eu 40 minutes de jeu le week-end dernier, là, c'était plus de 75, ça faisait un petit moment que je n'avais pas joué autant. Il y a un an, j'avais un peu plus l'habitude, mais depuis que Quentin (Lespiaucq) est arrivé (à l'été 2022), je fais davantage des matches à 50 minutes. Il faut reprendre le rythme mais ça ne sera pas tous les week-ends comme ça. » Avec la blessure de Lespiaucq, touché à une cheville contre l'Aviron et absent plusieurs semaines, Bourgarit devrait toutefois enchaîner les matches à rallonge avec les Maritimes.

 

 

 

Pierre Bourgarit et les Rochelais ont dû redoubler d'effort pour renverser l'UBB. (A. Mounic/L'Équipe)

Et l'intense préparation physique qu'il a effectuée cet été avec l'équipe de France paraît désormais loin, d'autant plus que les Mondialistes ont eu droit à des vacances après l'élimination de leur équipe. « On (les internationaux) n'a pas spécialement d'avance physique sur le reste du groupe, reconnaît Bourgarit. On a eu trois semaines de vacances après la Coupe du monde, on va dire que ça nous a permis de revenir au même niveau que les autres. »

« Les vacances après la Coupe du monde m'ont permis de me ressourcer, de me vider la tête »

Pierre Bourgarit

 

 

 

Et moralement, Bourgarit, qui a pris part à quatre matches (une titularisation, contre l'Uruguay) de Coupe du monde en profitant notamment de la blessure précoce de Julien Marchand pour jouer le rôle de doublure de Peato Mauvaka, a-t-il récupéré et oublié la déception ?

« Forcément, les premiers jours (après l'élimination) ont été durs, d'autant que la compétition continuait, souligne-t-il. Mais maintenant, la Coupe du monde paraît loin. J'ai eu trois semaines de vacances, je suis rentré quinze jours chez moi, en famille, avec les copains, ça m'a fait du bien, je ne voulais pas trop parler de rugby. Ça m'a permis de me ressourcer, de me vider la tête, aujourd'hui la déception est passée. Il faut passer à autre chose, c'est le rugby de haut niveau, on ne peut pas toujours gagner, on va se servir de cette défaite pour construire le futur. »

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Pour Bourgarit, l'avenir immédiat prend d'abord des couleurs Jaune et Noir. Devenu l'un des leaders d'un groupe qui a perdu cet été Romain Sazy (retraite) et qui doit se passer jusqu'en janvier de Grégory Alldritt, le talonneur aura aussi pour mission de tirer le groupe vers le haut.

Et de participer à la remontée d'une équipe hésitante sur ce début de saison (8e du Top 14 après 7 journées). « On sait de quoi on est capable, le groupe est le même depuis plusieurs années, il y a un gros socle, tout le monde est conscient qu'on n'est pas au maximum de ce qu'on peut faire, affirme-t-il. Il ne faut pas se dire que c'est dur. Si dès que c'est dur on s'arrête, on ne va pas aller loin. »

 

 

[el landeno]

Pierre Venayre, directeur général de La Rochelle : « On ne panique pas » Le directeur général du Stade Rochelais assure que les mauvais résultats actuels des doubles champions d'Europe ne fragilisent pas le club. Et esquisse les projets à moyen terme des Jaune et Noir.

Avec seulement quatre victoires en douze matches joués cette saison, le Stade Rochelais peine à retrouver sa dynamique des années passées. À deux jours d'un choc contre Toulouse qui s'annonce crucial pour les Maritimes, Pierre Venayre, ancien trois-quarts des Maritimes (2001-2008), aujourd'hui directeur général, a accepté jeudi d'évoquer cette mauvaise passe.

 

 

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« Comment vivez-vous cette période de résultats décevants ?
J'ai quinze ans de club, ce n'est pas une période que je trouve compliquée à vivre. On la vit bien parce qu'on la vit ensemble. On a partagé des moments de victoire, on les a bien célébrés quand ils sont arrivés. Quand les choses sont plus compliquées et qu'on comprend pourquoi elles le sont...

 

Pierre Venayre, directeur général de La Rochelle. (R. Perrocheau/L'Équipe)

Que comprenez-vous ?
Je me souviens de ce que j'ai pensé à Dublin au printemps dernier après le deuxième titre de champion d'Europe : "Ouah, le club s'est positionné à très haut niveau." Forcément, tu te dis qu'un jour, il se peut que la dynamique s'essouffle un peu, c'est normal. Aller quasiment au bout de toutes les compétitions jouées pendant trois saisons de suite (cinq finales sur six), ça a pompé tout ce que ça pouvait pomper en termes d'énergie mentale et physique pour le staff et les joueurs. On a terminé la saison dernière sur deux finales dont une perdue dans les dernières secondes (en Top 14 contre Toulouse, 29-26) avec toutes les séquelles que ça laisse.

 

 

Le staff a décidé d'avoir l'intersaison la plus longue possible pour laisser tout le monde se reposer. Il y a eu très peu de temps de préparation avant la reprise, les internationaux étaient absents avec la Coupe du monde. Plein de facteurs font qu'on est dans une période plus complexe. Mais on aime bien vivre ces périodes aussi dans un club, c'est là où on voit les liens qui nous unissent. On voit bien la frustration et la déception du staff, des joueurs, qui perdent des matches de peu. Mais on est confiant dans le fait que ça va s'arranger.

« On a appris à gagner, il nous a fallu du temps pour le faire. Le corollaire, c'est d'apprendre qu'on ne gagnera pas tous les ans »

Pierre Venayre

 

 

 

Cette période peut permettre de tester la solidité de l'édifice ?
Je n'ai pas trop de doute là-dessus. Et un test, c'est quand tu le décides, là on subit un peu les choses. On est déçus, mais on est encore dans la course dans les deux compétitions, même si on sait que la tâche sera ardue en Coupe des champions. On a eu un tirage extrêmement défavorable qui laisse un peu perplexe, avec un match d'ouverture qui est la revanche de la dernière finale. On l'a dit aux responsables de l'EPCR : c'est assez aberrant de nous faire jouer un dimanche contre le Leinster et le samedi suivant au Cap (en Afrique du Sud). Mais ça fait partie du sport, des éléments externes qu'on a à gérer.

Vous parlez de déception, mais vous n'êtes pas inquiet ?
Non. Le staff et les joueurs font tout pour rétablir la performance. On ne panique pas sur la question des résultats. Et on voit que ce n'est pas loin. L'équipe n'est pas à la rue.

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Le club peut-il se permettre d'avoir une saison sans phase finale ?
Un club peut toujours se permettre d'avoir une saison sans phase finale, c'est la base du sport, il faut avoir l'humilité de l'accepter. On a appris à gagner, il nous a fallu du temps pour le faire. Le corollaire, c'est d'apprendre qu'on ne gagnera pas tous les ans. Ce n'est pas ce qu'on veut mais ça fait partie d'un club, c'est pour ça qu'on fait attention à ce que la vie du Stade Rochelais ne se résume pas au fait d'être champion ou non. Ce club, c'est aussi une histoire, un lien avec son public, ses partenaires, une structure de formation, des licenciés, etc. Ça nous donne du recul quand les choses sont plus compliquées. On navigue avec une vision
à moyen terme.

Le prochain plan de développement du club devait être dévoilé cette année, il ne l'a pas été. Pourquoi ?
On était prêts pour annoncer des choses juste avant d'être champions d'Europe pour la deuxième fois. C'était un projet à horizon 2027 qui était à peu près formalisé. Et on s'est posé cette question : est-ce que le projet doit rester le même alors que nous sommes deux fois champions d'Europe ? La réponse était non, on avait rehaussé les standards, on devait aussi rehausser notre vision, avec l'idée de continuer à progresser à tous les niveaux : sportifs, infrastructurels, sociétaux. On a retravaillé certains éléments du plan, avec un horizon plus lointain qui sera 2030.

« Il (le futur plan) inclura des projets d'infrastructures, notamment sur le centre d'entraînement, la résidence d'hébergement pour les jeunes, le stade »

 

 

 

 

Quels en seront les contours ?
Il sera annoncé avant la fin de la saison. On veut finaliser les études avant de dévoiler ce que l'on fera. Mais il inclura des projets d'infrastructures, notamment sur le centre d'entraînement, la résidence d'hébergement pour les jeunes, le stade. Un élément fort du projet initial était la construction de la tribune présidentielle, elle a déjà été bâtie et nous apporte déjà beaucoup, ça permet au club de franchir un cap dans le modèle économique.

D'autres travaux du stade pourraient être prévus d'ici à 2030 ?
Oui, dans la limite de ce que notre ancrage de quartier nous permet. Concernant la jauge, on marche par pallier, et quand on voit qu'il est validé, on continue. On a encore une demande qui excède largement notre offre de places (16 700), ce qui peut être décevant. C'est en réflexion. Il y a aussi la qualité d'accueil du public, des partenaires pour que ce stade soit vivant tout au long de l'année et pas que les jours de match. »

 

 

[PPR]

Conforme au Stade Rochelais, réfléchie cette interview. Aucun doute pour moi, ils seront la en fin d'année, je les vois bien faire une grosse 2e partie de saison. 

Je trouve la gestion des hommes forts comme Aldritt très intelligente

[el landeno]

Top 14 : à La Rochelle, un « casse-tête » à prévoir avec les blessures Les Rochelais ont perdu trois nouveaux joueurs (Wardi, Skelton, Nowell) sur blessure ce week-end. Une situation potentiellement problématique - notamment pour les piliers et les centres - mais qui peut permettre l'émergence de jeunes joueurs.

Comme les autres équipes de Top 14, les Rochelais ont enfin vu samedi le bout du tunnel de quinze matches en quinze semaines et ils en avaient besoin. S'ils ont conclu ce bloc marathon sur une dynamique de victoires (cinq sur les six derniers matches) et notamment par un succès arraché de haute lutte contre Montpellier (18-10), les Jaune et Noir n'avaient pour autant pas totalement le sourire samedi soir. Car leur infirmerie, déjà bien pleine, a continué à se remplir.

 

 

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Will Skelton a quitté le terrain peu après l'heure de jeu, touché à un mollet, ce qui va l'éloigner des terrains « pendant quelque temps », dixit l'entraîneur des trois-quarts Sébastien Boboul. Jack Nowell s'est, lui, blessé à un mollet en première période. La veille, vendredi soir, c'est Reda Wardi qui s'était fracturé le poignet gauche avec l'équipe de France contre l'Irlande (17-38). Une blessure qui l'éloignera des terrains quatre mois. Ces dernières semaines, l'effectif rochelais avait déjà connu de la casse (Pierre Bourgarit, Joel Sclavi, Ultan Dillane, Jules Favre, UJ Seuteni, sans compter les blessés de plus longue date Raymond Rhule et Thierry Paiva).

Une succession de pépins physiques à mettre en relation avec la succession de matches depuis trois semaines, au cours duquel les Rochelais, mal partis en Top 14 comme en Coupe des champions, n'ont pas pu faire d'impasse. « L'enchaînement a été rude, a souligné le deuxième-ligne Thomas Lavault. La semaine de vacances va nous faire du bien. Personnellement, j'ai eu un carton rouge qui m'a permis de me régénérer mais il y a juste à constater le nombre de blessés, c'est parlant. Ça commence à tirer sur les corps, c'est logique, on n'est pas des machines. »

« On le voit, ça casse un peu de partout, dans tous les clubs »

Sébastien Boboul

 

 

 

 

 

Un avis partagé par Sébastien Boboul : « Les blessures, c'est vraiment le point noir. Vu comment est conçu ce calendrier, avec quinze matches d'affilée, il n'y a pas que nous qui subissons ça. On le voit, ça casse un peu de partout, dans tous les clubs. On savait que la saison serait particulière avec cette Coupe du monde, de nombreux joueurs appelés en équipe de France, un enchaînement de match, le Tournoi qui démarre. On doit gérer physiquement nos joueurs, on a pris un peu de retard sur le classement, chaque match est important pour nous. On fait attention à la santé de nos joueurs mais ça va être encore un casse-tête pour les matches qui vont arriver après les vacances. »

 

Simeli Daunivucu (le deuxième joueur en partant de la gauche) découvre le Top 14. (A. Mounic/L'Équipe)

Un « casse-tête » qui va prendre plusieurs formes pour un groupe qui n'a cessé numériquement de diminuer ces dernières saisons et quoi doit composer avec les absences des internationaux français. Le cas de Will Skelton, si important dans cette équipe, sera à surveiller, puisque le géant a plusieurs fois été éloigné des terrains ces dernières saisons en raison de blessures au mollet. Mais c'est surtout chez les piliers et les centres que le staff va devoir se montrer astucieux.

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Pour le poste de pilier gauche, Paiva et Wardi seront longtemps éloignés des terrains, tandis que Joel Sclavi, capable de pousser des deux côtés, a été touché aux cervicales à Sale. Au centre, Jonathan Danty est en sélection alors que Favre, Nowell et Seuteni sont blessés. Le staff maritime a pour l'instant misé sur des éléments polyvalents (l'habituel ouvreur Ihaia West a évolué au centre contre Montpellier), mais surtout sur ses jeunes joueurs. Louis Penverne (20 ans) vient d'enchaîner deux matches de bon niveau au poste de pilier gauche et a été remplacé samedi par Alexandre Kaddouri (20 ans, première apparition chez les pros). À droite, c'est Aleksandre Kuntelia (21 ans) qui a débuté la partie. Et au centre Simeli Daunivucu (18 ans) a joué 57 minutes samedi.

Louis Penverne et Simeli Daunivucu déjà mis à contribution

« C'est vrai qu'on est assez dépourvus à ces postes-là, admet Boboul. Mais la relève est là, ça leur donne l'opportunité de se montrer. On est satisfaits de ces jeunes, ils saisissent l'opportunité quand elle se présente. Souvent, pendant la saison, c'est un peu difficile de lancer des jeunes quand il y a tout le monde, il y a besoin de gagner pour être en haut du classement. Quand il y a des blessures, ils répondent présents et n'attendent que ça. Louis (Penverne) a encore été une grosse satisfaction contre Montpellier. Simeli (Daunivucu) est très jeune, il passe du niveau Crabos, un peu Espoirs, directement au Top 14. On sait qu'il a des qualités, il apprend et progresse avec ces matches. On doit le faire grandir, il faut prendre le temps parce qu'il n'a que 18 ans. »

Le staff rochelais, qui sait que son équipe devra engranger des points au retour des vacances pour espérer participer à la phase finale de Top 14, n'écarte pas non plus la possibilité d'engager un joker, comme il l'avait fait en décembre au talon avec le prêt de Tolu Latu. « Ça peut (être une option), parce que ça commence à faire beaucoup de blessés chez les piliers, avance Boboul. Mais on a un bon centre de formation qui travaille bien. » Et qui aura l'occasion de le montrer.

 

 

[ELSAZOAM]

Après le match perdu à Lyon...

 

Rugbyrama :

Pardon d'insister, mais on vous sent abattu. Êtes-vous en colère après vos joueurs, déçu par eux ?

 

Ronan O'Gara :

Je ne peux pas être déçu car j'ai vu comment on s'est entraîné. Cette semaine, les joueurs étaient plus concentrés sur les prix de l'immobilier sur l'île de Ré que sur le terrain. Ça dépend ce que tu veux dans la vie. Si tu veux être riche en appartements ou en maisons, ou riche avec des médailles. Donc non, je ne suis pas déçu ni surpris.

[Gourine63]

Ils sont doubles champions d'Europe, je vais pas les pleurer parce qu'ils sortent une saison un peu moins aboutie.

[Bart Simpson]

Moi oui

[Alex chocolatines]

Ils sont doubles champions d'Europe, je vais pas les pleurer parce qu'ils sortent une saison un peu moins aboutie.

Toutes façons, cette année les Irlandais sont injouables... Enfin encore moins que d'habitude 

[Bart Simpson]

Toutes façons, cette année les Irlandais sont injouables... Enfin encore moins que d'habitude 

On verra ça au mois de Mai, pour moi ils étaient plus fort en Mai dernier à domicile que cette année.

 

On les perd à domicile en faisant un match déguelasse sous la pluie et sans Alldritt

 

si on doit les taper en 1/4 on ira