2536 réponses à ce sujet

[Jicé]

Vous trouvez ça funny ????!!!!

[anje]

 

Ronan O'Gara accuse Romain Briatte de simuler et le compare à Neymar après la défaite de La Rochelle à Paris

 

Ronan O'Gara, le manager du Stade Rochelais. (A. Mounic/L'Équipe)

Après la défaite de son équipe samedi sur la pelouse du Stade Français (22-17), Ronan O'Gara, le manager sportif du Stade Rochelais, est notamment revenu sur le carton rouge infligé à Will Skelton à la suite d'un déblayage sur Romain Briatte (20e).

M.R. à Jean-Bouinpublié le 1 mars 2025 à 21h11

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Ronan O'Gara, le manager du Stade Rochelais, après la défaite de son équipe au Stade Français (22-17) : « On est très forts pendant 20 minutes (les 20 dernières du match), mais trop faibles pendant 60 minutes (les premières). Ce n'est pas possible. On manque de confiance. C'est une bataille mentale le début de match, on donne des solutions trop faciles à nos adversaires. On est trop indisciplinés.

 

Est-ce que la décision du carton rouge est nécessaire ? Non, pas forcément, mais c'est la décision. Je dois améliorer mon équipe avant de parler d'arbitrage. Il faut trouver un équilibre, entre agression, intelligence et acte de nettoyage. Dans le rugby, vous avez le droit de nettoyer un ruck.

Malheureusement aujourd'hui, on est au Parc des Princes et on a vu Neymar... (en parlant de Romain Briatte qui, selon lui, aurait simulé). C'est une journée noire pour le rugby. Donner un rouge pour ça ? Je n'essaie pas de protéger Will (Skelton) parce que ce n'est pas bien. Mais un rugbyman qui fait ça... C'est assez intéressant... »

 

 

 

Normal qu'il défende son joueur mais il semble avoir oublié l'attitude de Piquette sous son maillot pour faire prendre un carton à Lanen, il avait pas eu du tout ce discours et pourtant ça ressemblait encore plus à du Neymar. Et je ne suis pas sûr que Bourgarit résiste fortement au crocroll de Macalou (d'un autre coté il y aurait peut-être laissé le genou.

On est tous pareil, il y a des trucs qui nous choquent plus quand c'est contre nous.

[Murena]

En tout cas, ça sent la crisounette à LR...

[mistral]

Schéma classique en fait.. Equipe sympa, jeu sympa..l'équipe gagne, tout va bien.
Et quand ça commence à flancher et à perdre, le public commence à gronder à siffler l'adversaire etc.. Et l'entraîneur trouve à redire sur l'arbitrage, la faute aux doublons.
Faut bien trouver un ou des coupables.
Je crois que la lune de miel a un coup dans l'aile.

[Buckaroo]

Schéma classique en fait.. Equipe sympa, jeu sympa..l'équipe gagne, tout va bien.
Et quand ça commence à flancher et à perdre, le public commence à gronder à siffler l'adversaire etc.. Et l'entraîneur trouve à redire sur l'arbitrage, la faute aux doublons.
Faut bien trouver un ou des coupables.
Je crois que la lune de miel a un coup dans l'aile.

Jeu sympa... Il faut le dire vite, quand même !

Et O'Gara a toujours critiqué l'arbitrage en Top 14 (mais pas en Super Rugby). Il le faisait d'ailleurs davantage quand La Rochelle était à son sommet.

[anje]

En tout cas, ça sent la crisounette à LR...

Sur les échos que j'avais et j'étais pas le seul. Il y a un moment qu'elle couve et que le système o'gara a atteint sa limite.
Les départs ne sont pas innocents avant la fin de contrat ou le non souhait de prolongation et Merling aurait rattraper quelques joueurs en refusant de casser certains contrats avant leur fins.
Et comme o'gara continue de se mettre le groupe à dos...je vois pas d'issue en l'état. Franchement sa sortie sur les joueurs qui restent à l'infirmerie pour choisir leurs matchs, à mon avis elle est pas passée et quand tu vois l'attitude d'un bourgarit depuis!!!

[HugoltBolt]

Après honnêtement je sais pas ce que vous en pensez mais le rouge pour Skelton il est quand même très très dur.

Autant celui de Macalou est incontestable (car nouvelles consignes etc) mais franchement Skelton sur ce coup-là je trouve pas la faute gravissime.

[anje]

Après honnêtement je sais pas ce que vous en pensez mais le rouge pour Skelton il est quand même très très dur.

Autant celui de Macalou est incontestable (car nouvelles consignes etc) mais franchement Skelton sur ce coup-là je trouve pas la faute gravissime.

 

Je suis pas d'accord. Lui et Arnold à Toulouse sont souvent approximatifs sur leurs impacts autour des rucks et souvent leur gabarit sert d'excuse. Ils sont tellement toujours à la limite qu'il faut que ça leur tombe dessus de temps en temps. Et pourtant j'adore le stade rochelais mais Skelton mériterait d'en prendre plus souvent. Boboul a beau dire on l'empêche de jouer, j'ai pas souvenir de voir un Meafou être à ce point à la limite à chaque fois. SI lui et Arnold prenait un carton à chaque fois, ils interviendraient de façon beaucoup plus propre. C'était aussi le problème de Lavanini, qui lui prenait carton à chaque fois et du coup qui s'est calmé.

 

Pour moi les deux rouges sont indiscutables.

[el landeno]

Opération reconquête de leur forteresse pour les Rochelais Défaits trois fois à domicile cette saison, partiellement sifflés lors de leur dernière sortie à Marcel-Deflandre, conclue par un revers contre le Racing 92, les Rochelais doivent retrouver leur souveraineté dans leur stade, samedi contre Castres (14h30), pour espérer enfin se relancer en Top 14.

Le panneau « travaux en cours » n'est pas planté mais il suffit de lever les yeux pour voir que le stade Marcel-Deflandre est en chantier. Pelleteuses, camions bennes et autre rouleau compresseur ont envahi un coin du stade, entre les tribunes Jackson et Macif, qui seront reliées d'ici septembre prochain (comme les tribunes Macif et Caravelle), avec l'objectif de créer 1 200 places supplémentaires.

 

Jeudi, pour retrouver leur équipe fanion et s'installer dans les gradins lors d'un entraînement qui leur était ouvert, les supporters rochelais ont donc dû contourner les engins et emprunter un chemin inhabituel. Au bout duquel se tenait une équipe, elle aussi en chantier.

lire aussiIhaia West : « On a besoin de retrouver notre ADN »

Au repos ces deux dernières semaines, les Maritimes sortent d'une inquiétante série de six défaites toutes compétitions confondues, dont quatre en Top 14 qui les ont fait dégringoler à la 9e place. Renforcés par le retour de leurs internationaux mais en manque criant de confiance, les voilà parvenus à un nouveau tournant de leur saison, qu'il leur faudra bien négocier sous peine de devoir dire adieu à la phase finale. L'opération sursaut passera d'abord par la reconquête de Deflandre, où ils disputeront trois de leurs quatre prochains matches.

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S'ils éprouvent depuis plusieurs saisons des difficultés à engranger des points à l'extérieur - ces derniers mois ne faisant pas exception - les Rochelais avaient pris l'habitude de baser leurs succès sur leur solidité à domicile. Ces derniers mois, ils s'y montrent moins dominants, eux qui y ont perdu trois de leurs six derniers matches toutes compétitions confondues. Ils tournent à la maison à la pire moyenne de points engrangés par rencontre depuis dix ans en Top 14.

 

Tout l'édifice Jaune et Noir s'en trouve ébranlé. La défaite surprise contre le promu vannetais (14-23), fin novembre, leur avait mis un sérieux coup sur le crâne ; celle face au Leinster (14-16, le 12 janvier) les a stoppés dans leur élan en Coupe des champions. Et le revers concédé il y a un mois face au Racing (21-26) avait été marqué par les sifflets d'une partie du public à la mi-temps.

« Je les ai entendus, ce sont les premiers en cinq ans je crois, avait alors souligné le manager Ronan O'Gara, sonné. Mais on les mérite. J'adore le public ici, il est vraiment respectueux envers moi et ma famille mais (...) si j'avais été en tribunes, je crois que j'aurais fait comme eux. Ils ne sont pas contents, moi non plus. Mais on manque de confiance, on a besoin d'eux, vraiment besoin d'eux. Si on travaille dur, l'ambiance peut très vite changer. »

« Aucune autre équipe ne doit penser qu'elle va venir ici jouer un match facile et gagner »

L'ouvreur rochelais Ihaia West

 

 

 

La réception de Castres ce samedi (14h30) marquera le retour des Rochelais dans leur antre depuis cette défaite. S'ils ont pu s'apercevoir jeudi lors de l'entraînement ouvert au public que leurs supporters étaient toujours derrière eux, malgré les prestations ternes et les résultats en berne, les Maritimes appréhendent-ils ces retrouvailles ? « Non, il n'y a pas de crainte, on aime jouer devant nos supporters, ils nous donnent de l'énergie quand on en a besoin, assure le talonneur Tolu Latu. Il n'y a pas de pression supplémentaire à jouer à la maison. »

Les Rochelais savent en revanche qu'ils doivent réenchanter leurs supporters. En commençant par hausser le curseur d'engagement. « On n'a pas forcément parlé entre nous de reconquérir le public mais je pense qu'on a tous conscience qu'il faut le faire, estime le deuxième-ligne Thomas Lavault. On a parlé de ce qu'on devait chacun mettre comme ingrédient. Le reste en découlera. »

Ce que les Maritimes ne maîtrisent en revanche pas, c'est l'impact psychologique de leurs carences à domicile chez leurs adversaires, potentiellement décomplexés à l'idée de venir prendre des points au stade Marcel-Deflandre. Vainqueurs lors de leur dernier passage dans l'enceinte, il y a un an et demi (24-27), et concurrents directs pour une place en phase finale, les Castrais débarqueront avec ambition à La Rochelle.

« Peut-être que les autres clubs se disent : "ils ont perdu trois matches chez eux cette saison donc ils sont vulnérables à Deflandre" , imagine l'ouvreur Ihaia West. Mais on veut montrer que c'est chez nous. Aucune autre équipe ne doit penser qu'elle va venir ici jouer un match facile et gagner. On a déjà perdu trois matches à la maison et ce n'est pas bon. Le but, c'est qu'on retrouve cette confiance et cette manière de jouer pour notre public et pour notre ville. »

 

 

[Alex chocolatines]

Apparemment O Gara change de discours, il semble qu'il s'adoucisse, les gueulantes ne passaient plus. J'ai pas l'abonnement pour aller au bout de l'article.

 

https://www.rugbyram...er-12594626.php

[Parigot_Paris]

O'Gara a raison. La simulation c'est intolérable. Récemment je disais à un fille : "mais entre mes bras tu étais au paradis !"

 

Et elle : je simulais !

[Fast Kimi]

La Rochelle : Ronan O’Gara, une communication de crise difficile à cerner

 

 

Au cœur d’une crise qu’il a lui-même décrétée il y a un mois, Ronan O’Gara a changé son fusil d’épaule face aux micros, moins acéré, plus pacifié. Parfois déroutant, au regard de son langage corporel, le manager du Stade rochelais reste en quête du bon ressort pour relancer ses troupes, qui n’ont plus levé les bras depuis le 4 janvier.

La question agitait les suiveurs, samedi dernier, en l’apercevant depuis les écrans géants de Deflandre se gratter la tête, mâchoire serrée, regardant les siens concéder le match nul face à Castres (12-12) sur l’ultime cafouillage d’un succès raté et qui aurait tant bouleversé les discours : dans quel registre allait verser Ronan O’Gara, au moment de sacrifier à l’exercice médiatique d’après-match ? Un exercice où le manager de La Rochelle fait figure de "bon client". L’un des plus commentés, aussi, de la division.

Un homme, trois options sur la table. Dans l’autoflagellation, les "gros titres" et les balles perdues envers son groupe, comme après l’"inacceptable" match des Rochelais du 22 février face au Racing (21-26) ? Dans l’art du contre-feu, comme après le revers à Paris, une semaine plus tard ? Ou bien dans l’apaisement et la positive attitude, philosophie chère à ses adjoints avant le début de la série noire en cours (6 défaites, 1 nul) ? Une grosse heure après le coup de sifflet final, c’est finalement la troisième carte que "ROG" a abattu face aux micros, confirmant un infléchissement de la dureté de son discours, déjà observé avant la trêve.

Des excuses et terminées les punchlines

À vif et presque cassant un mois plus tôt, jour pour jour, allant par exemple jusqu’à prétendre que ses joueurs ne se battaient pas pour lui, l’Irlandais s’est vite rendu compte que la clé – déjà utilisée avec réussite par le passé – ne débloquerait pas la serrure, cette fois. Au point de s’excuser quelques heures plus tard, en privé, auprès de son groupe. Puis de rétropédaler face à la presse – quand bien même il maintient que "certains ont manqué de respect au maillot" – le jeudi suivant. À l’occasion d’une prise de parole davantage marquante d’un point de vue… non-verbal !

Aussi avait-il prévenu. "Ça ne sert à rien de parler. J’ai parlé suffisamment cette saison. C’est pourquoi, aujourd’hui, ça va être court avec vous." Neuf minutes de conférence de presse, avant le déplacement à Jean-Bouin. Express, en effet, s’agissant O’Gara. Et au-delà de l’absence de la moindre punchline, fait rare, une attitude disons étrange interpelle l’auditoire. Présent face à un orateur effacé comme rarement, regard tourné la plupart du temps vers les fenêtres de la salle de presse du Macif Parc. Bref, méconnaissable, à l’image de son équipe, deux jours plus tard, face à la lanterne rouge parisienne (22-17).

Regain de confiance

Samedi dernier, après Castres, son langage corporel a aussi parlé. Mais rien de comparable, toutefois. Le fond prenant nettement le pas sur la forme. C’est d’une voix calme, tantôt fluette, que l’ancien numéro 10 du XV du Trèfle est venu porter un message d’espoir "dans une période hyper difficile", après avoir froidement constaté en préambule que son groupe, "même les tops joueurs", n’est "pas en confiance." Or, "peu importe votre niveau d’expérience, quand vous perdez confiance, vous perdez beaucoup […] On n’est pas capables en ce moment de jouer plus de six phases."

Mais ? "Aujourd’hui, c’était un nouveau point de départ avec un nouveau groupe", veut croire Ronan O’Gara après avoir "vu des bons signes dans la semaine", celle marquant le retour au bercail des quatre vainqueurs maritimes (Alldritt, Atonio, Boudehent, Jegou) du Tournoi des 6 Nations. Assurant que ledit groupe "est soudé" et qu’il "ne voi (t) pas dans le vestiaire des joueurs qui vont abandonner le projet".

"Je suis conscient de la frustration avec les résultats pour un grand club comme le nôtre. Mais, avec le groupe de joueurs et le staff, je suis confiant sur le fait qu’on peut retourner ça. Par contre, on a besoin de changer des choses. Je n’en ai pas encore parlé aux joueurs, je vais garder ça pour moi et on en parlera après Clermont." Où La Rochelle est attendue samedi (16h30, 20^e journée de Top 14).

O’Gara, à lui-même : "Arrête de bouder"

Comment faire pour restaurer la confiance d’un groupe sans s’appuyer sur des victoires ? En réponse à cette interrogation posée par un confrère, "ROG" a notamment souligné l’importance "de parler sans émotion, sans (regarder le) résultat." Ce qui valide un changement de cap dans sa communication de crise. Et O’Gara de plaider, déjà, un peu plus tôt, la positive attitude. "Je pense vous avoir déjà dit que "when it rains, it pours" (Quand il pleut, il tombe des cordes), c’est comme ça… Mais arrête de bouder, arrête de penser que le monde est contre moi et l’équipe. Non, pas du tout, on va travailler, travailler, travailler. Ce groupe a la qualité, ce coach a la qualité d’inverser les choses."

Efficace début janvier au moment de recroiser le Leinster, le meilleur match de la saison des Rochelais bien qu’il coïncide avec le début de la crise de résultats, cette recette le sera-t-elle face à Clermont, dès samedi, pour enfin sortir la tête de l’eau ? Après avoir épuisé sans succès d’autres ressorts, le rendez-vous du Michelin – quand bien même le club à la caravelle n’y a jamais gagné dans toute son histoire – a valeur de test pour celui-là, qui ressemble de plus en plus à l’un des derniers encore disponibles dans la besace du manager rochelais.

 

[Gourine63]

O'Gara a raison. La simulation c'est intolérable. Récemment je disais à un fille : "mais entre mes bras tu étais au paradis !"
 
Et elle : je simulais !

Au moins quand on paie on a pas ce genre de déconvenue.

[Parigot_Paris]

Au moins quand on paie on a pas ce genre de déconvenue.

Oui, elles se donnent la peine de ne rien faire !

[ELSAZOAM]

Oui, elles se donnent la peine de ne rien faire !

Tournons notre peine vers nos livres...