Sauf que le salary cap inclut les rémunérations versées par les sociétés annexes lorsque celles-ci sont contrôlées par le club... La seule solution pour ne pas intégrer les sommes versées est de le faire à partir de sociétés avec lesquelles le club n'a rien à voir, comme par exemple une société contrôlée par le Pdt du club... Situation possible lorsque le club est contrôlé par un homme seul, solution inapplicable à l'ASM du fait de la structure de sa gouvernance.
Ensuite, les salaires évoqués sont ceux versés par le club. Cela supposerait donc qu'un joueur comme Giteau touche au total plus que les 900 et quelques K€ évoqués. Mais à la limite, cela n'a pas d'importance. Par contre, je repose la question : comment le club arrive-t-il à régler tout le monde en restant dans les clous ? Le merchandising, ça ne touche que les joueurs phare, ceux qui sont justement cités dans l'article. Un Jocelino Sutta ne va pas générer ce qu'un Giteau produit en vente de maillot. Du coup, le modèle devrait être des rémunérations versées par le club limitées et des versements issus du merchandising élevés pour ces joueurs. Mais non, ce n'est pas ce qu'ils font puisqu'un Giteau est le joueur (et de loin) le plus payé au RCT. A moins que les sommes engagées intègrent ces fameuses sources annexes de revenus, mais si c'est le cas, alors la question est : comment les ont-ils obtenues ?
Je persiste donc à penser que ces rémunérations sont celles versées par le club et je continue à ne pas comprendre comment ils font pour que ça passe...
Tu te poses des questions
Qui n'auront plus lieu d'etre sous peu
On va suivre les anglais, et faire pression pour la supression du SC
Imagine juste le manque à gagner (les Droits TV entr'autre) si tous les meilleurs joueurs rugby vont outre manche
Goze et sa clique ne pourrait plus manger dans un 4 étoiles 
Plus sérieusement , des clubs qui arrivent tant bien que mal à boucler leurs budgets
Justement grace aux Droits TV
Ils seraient encore plus dans la panade
C'est pour celà que le Salary Cap, sous sa forme actuelle, n'a plus longtemps à vivre