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[Ptolémée]

chez nous les signatures spontanées ..

[Yosky]

chez nous les signatures spontanées ..

Ouais, en ce moment on est plus dans la combustion spontanée

[L'Eclair]

Dites donc, non mais oh Monsieur l'Eclair.
François Moncla, qui a appelé son fils du nom de son parrain (du fils) et ami, Michel (Craustes), c'est une légende ossaloise quand même.
François jouait ailier/centre avant de devenir le 3eme ligne qu'on connaît et Michel (le fils donc) jouait centre et parfois 3eme ligne pour dépanner. Un des centres avec qui j'ai pris le plus de plaisir sur un terrain.
Moncla à la Section, c'est pas rien quand même.
Bon d'accord j'ai oublié les Debaes dans l'héritage pères/fils de la section.

Je suis trop jeune pour bien connaitre la famille Moncla, au temps pour moi

On a eu les Bonnemazou père et fils aussi et on a eu Duplantier et le neveu Jean Baptiste Barrère. Le fils de Philippe Racz Maxime a joué en espoirs. On a eu les Lom père et fils aussi et le neveu à Mont2Marsan.

Et on doit en oublier

[Codorplusàvie]

Je suis trop jeune pour bien connaitre la famille Moncla, au temps pour moi
On a eu les Bonnemazou père et fils aussi et on a eu Duplantier et le neveu Jean Baptiste Barrère. Le fils de Philippe Racz Maxime a joué en espoirs. On a eu les Lom père et fils aussi et le neveu à Mont2Marsan.
Et on doit en oublier

Oui.
Raczou a donc pu se reproduire, bonne nouvelle.
Tu parles de Jean Ber Duplantier, et bien figure toi qu'un jour, alors qu'il y avait une grosse hécatombe chez les 3eme ligne dans les deux équipes, j'ai fini troisième ligne en B avec Jean Ber en 8 et Joël Rey en 6.
Avec mon 170cm et les deux talons on risquait pas de toucher une gonfle en touche.
Un match de merde, mais un bon souvenir

[Patator]

Gros poisson en approche à la Section, selon les termes de la rumeur un "top level player". Je prie St Webb Ellis pour que ce soit un talon. Voilà qui complèterait parfaitement notre recrutement.

Impossible.

Quand on a besoin d'un joueur, c'est pas avant la coupe du monde, ni après.

C'est pas possible non plus car il n'y a personne sur le marché, on a bien regardé.

N'oubliez pas que ça bloque avec le salary, ou bien les jiff.

Et puis il ne faut pas bloquer les jeunes qui arrivent.

Enfin, on avait une piste mais le joueur ne veut pas venir, ou sa femme.

Bref, le coach n'en veut pas.

C'est comme ça.

Pas chez vous ?

[L'Eclair]

Un départ à la Section

Aminiasi Tuimaba (Pau) s’engage avec Béziers

[el landeno]

Vers un retour de Sam Whitelock en Nouvelle-Zélande cet été ?

 

Sam Whitelock a signé un contrat de deux ans avec la Section Paloise. (N. Luttiau/L'Équipe)

Alors qu'il est sous contrat jusqu'en juin 2025 avec la Section Paloise, le deuxième-ligne néo-zélandais Sam Whitelock, qui intéresse toujours le nouveau sélectionneur des All Blacks Scott Robertson, pourrait rentrer au pays dès cet été selon le « New Zealand Herald ».

K. B.-I. (avec A. Co.)22 mars 2024 à 13h24

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Jeudi, le New Zealand Herald révélait que le nouveau sélectionneur des All Blacks, Scott Robertson, essayait de convaincre Sam Whitelock de rentrer au pays pour continuer de jouer avec la sélection. Le deuxième-ligne, arrivé à Pau en décembre après la Coupe du monde, a signé un contrat de deux saisons avec la Section, où il a rejoint son frère Luke.

 

 

lire aussiSam Whitelock (Pau) : « J'avais besoin d'autre chose »

Whitelock (35 ans) a déjà disputé sept matches sous le maillot béarnais. Alors que la finale du Mondial en France perdue contre l'Afrique du Sud (11-12) ressemblait à la dernière de ses 153 sélections, le géant pourrait prolonger l'aventure avec les Blacks, dès la tournée d'été. La République des Pyrénées rappelle d'ailleurs ce vendredi qu'il a une exemption pour disputer les test-matches de juillet contre l'Angleterre (deux fois) et les Fidji.

Avant de rentrer en Nouvelle-Zélande, dans sa franchise de toujours, les Crusaders ? Whitelock dispose d'une clause libératoire dans son contrat pour partir avant l'échéance de juin 2025. « Qu'on soit géorgien ou néo-zélandais, l'appel de l'équipe nationale est fort, a commenté le président de la Section, Bernard Pontneau, auprès de La République des Pyrénées. Il jugera par lui-même. Mais pour le moment, je n'ai rien à discuter. »

Robertson intéressé par « ses » Européens

Rencontré à Londres en amont du match Angleterre-Irlande (23-22) qu'il venait superviser lors du dernier Tournoi des Six Nations, Scott Robertson nous a demandé avec intérêt des nouvelles de « ses » joueurs européens, comme Sam Whitelock, à qui il souhaitait passer un coup de fil, Jack Goodhue (Castres) ou encore Leicester Fainga'anuku (Toulon).

 

 

S'il n'a pas la main sur ce dossier, le nouveau patron des All Blacks souhaite tout de même peser pour faire modifier les conditions d'éligibilité à la sélection néo-zélandaise, afin de pouvoir compter sur des éléments évoluant loin du pays, notamment dans le Championnat japonais (comme Sam Cane ou Beauden Barrett, qu'il souhaite revoir en noir). L'apport d'un Sam Whitelock pour entamer ce nouveau cycle pourrait ainsi lui assurer un leadership et une expérience dignes de ce nom tout en lançant une nouvelle génération de joueurs.

lire aussiToute l'actu du rugby

Robertson connaît bien Whitelock puisqu'il a été son entraîneur aux Crusaders entre 2017 et 2023 (pour cinq Super Rugby remportés ensemble). Depuis le départ de ces deux totems, la franchise de Canterbury semble d'ailleurs au plus mal avec quatre défaites en autant de rencontres cette saison. Et la blessure de Scott Barrett (doigt cassé) ne va pas les aider à se relever.

[L'Eclair]

Un départ de Sam serait à la fois une grande surprise et aussi un échec pour la Section.

 

Ceci étant la situation me parait très bizarre, ce pourrait n'être qu'une histoire de gros sous dans des conditions que je ne comprends pas ou une sorte de chantage pour qu'on le libère à l'automne pour 2 ou 3 matchs. J'imagine qu'on y verra plus clair dans quelques jours.

 

En attendant, Luke Whitelock en fin de contrat 2024 jusqu'ici non prolongé, ce qui jouait dans la complexité globale du dossier avec Sam, vient de prolonger 2 saisons.

 

Je prends ça comme un excellent signal du maintien de Sam chez nous. Si Sam avait décidé de rentrer il pouvait en profiter pour rapatrier son frère aux Saders dans le lot en le mêlant à la négo

[Ptolémée]

 

Vers un retour de Sam Whitelock en Nouvelle-Zélande cet été ?

 

Sam Whitelock a signé un contrat de deux ans avec la Section Paloise. (N. Luttiau/L'Équipe)

Alors qu'il est sous contrat jusqu'en juin 2025 avec la Section Paloise, le deuxième-ligne néo-zélandais Sam Whitelock, qui intéresse toujours le nouveau sélectionneur des All Blacks Scott Robertson, pourrait rentrer au pays dès cet été selon le « New Zealand Herald ».

K. B.-I. (avec A. Co.)22 mars 2024 à 13h24

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Jeudi, le New Zealand Herald révélait que le nouveau sélectionneur des All Blacks, Scott Robertson, essayait de convaincre Sam Whitelock de rentrer au pays pour continuer de jouer avec la sélection. Le deuxième-ligne, arrivé à Pau en décembre après la Coupe du monde, a signé un contrat de deux saisons avec la Section, où il a rejoint son frère Luke.

 

 

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Whitelock (35 ans) a déjà disputé sept matches sous le maillot béarnais. Alors que la finale du Mondial en France perdue contre l'Afrique du Sud (11-12) ressemblait à la dernière de ses 153 sélections, le géant pourrait prolonger l'aventure avec les Blacks, dès la tournée d'été. La République des Pyrénées rappelle d'ailleurs ce vendredi qu'il a une exemption pour disputer les test-matches de juillet contre l'Angleterre (deux fois) et les Fidji.

Avant de rentrer en Nouvelle-Zélande, dans sa franchise de toujours, les Crusaders ? Whitelock dispose d'une clause libératoire dans son contrat pour partir avant l'échéance de juin 2025. « Qu'on soit géorgien ou néo-zélandais, l'appel de l'équipe nationale est fort, a commenté le président de la Section, Bernard Pontneau, auprès de La République des Pyrénées. Il jugera par lui-même. Mais pour le moment, je n'ai rien à discuter. »

Robertson intéressé par « ses » Européens

Rencontré à Londres en amont du match Angleterre-Irlande (23-22) qu'il venait superviser lors du dernier Tournoi des Six Nations, Scott Robertson nous a demandé avec intérêt des nouvelles de « ses » joueurs européens, comme Sam Whitelock, à qui il souhaitait passer un coup de fil, Jack Goodhue (Castres) ou encore Leicester Fainga'anuku (Toulon).

 

 

S'il n'a pas la main sur ce dossier, le nouveau patron des All Blacks souhaite tout de même peser pour faire modifier les conditions d'éligibilité à la sélection néo-zélandaise, afin de pouvoir compter sur des éléments évoluant loin du pays, notamment dans le Championnat japonais (comme Sam Cane ou Beauden Barrett, qu'il souhaite revoir en noir). L'apport d'un Sam Whitelock pour entamer ce nouveau cycle pourrait ainsi lui assurer un leadership et une expérience dignes de ce nom tout en lançant une nouvelle génération de joueurs.

lire aussiToute l'actu du rugby

Robertson connaît bien Whitelock puisqu'il a été son entraîneur aux Crusaders entre 2017 et 2023 (pour cinq Super Rugby remportés ensemble). Depuis le départ de ces deux totems, la franchise de Canterbury semble d'ailleurs au plus mal avec quatre défaites en autant de rencontres cette saison. Et la blessure de Scott Barrett (doigt cassé) ne va pas les aider à se relever.

 

 

fallait s'y attendre 

une pige c'est déjà beaucoup pour des joueurs de ce niveau

[L'Eclair]

 

fallait s'y attendre 

une pige c'est déjà beaucoup pour des joueurs de ce niveau

Moi je n'y crois pas du tout à un éventuel retour au pays de la fougère. Encore moins avec son frère qui se ré-engage pour 2 ans.

Je crois plutôt à une partie de poker menteur qui devrait rapidement déboucher sur un dénouement heureux pour la Section.

 

Mais au final Sam pourrait faire les test matchs d'automne et manquer 3 ou 4 matchs de top 14 entre les trajets et jours de vacances. A mon avis on en est à qui paye l'avion pour toute la famille ?

[Rugby ?]

Pas de problème pour Lucas, il est là au moins jusqu'en 2027.

Moncla, je ne crois pas que son père ait joué, ni son fils.

Par contre on peut citer JPierre Saux et ses 2 fils Phillipe et J François, et Renè et Damien Traille même si René jouait pour la sous préfecture béarnaise et que Damien ne jouait pas 3e ligne. Il aurait pu

 

Mais nos talons sont à peu près tous du même niveau, bons mais pas très bons.

On est assez médiocre au grattage. On a également un déficit de puissance, assumé car notre jeu d'avant est basé sur la rapidité mais si on trouvait un talon vif et puissant on prend.

Bref le profil idoine, c'est vif, puissant, gratteur, bon lanceur. Si Tincu avait un fils on se serait penché sur le dossier mais là du coup on cherche un non jiff de top niveau. Moi je voulais Marx ou Aumua mais ils ne m'écoutent jamais à la Section

Ouf !

Fourcade sort de a cible.

[Alex chocolatines]

Moi je n'y crois pas du tout à un éventuel retour au pays de la fougère. Encore moins avec son frère qui se ré-engage pour 2 ans.

Je crois plutôt à une partie de poker menteur qui devrait rapidement déboucher sur un dénouement heureux pour la Section.

 

Mais au final Sam pourrait faire les test matchs d'automne et manquer 3 ou 4 matchs de top 14 entre les trajets et jours de vacances. A mon avis on en est à qui paye l'avion pour toute la famille ?

Si ça se trouve il va se barrer à Bayonne, c'est plus près de l'océan pour le surf, et puis tout le monde connait les fetes de Bayonne, alors qu'à Pau... 

[L'Eclair]

Si ça se trouve il va se barrer à Bayonne, c'est plus près de l'océan pour le surf, et puis tout le monde connait les fetes de Bayonne, alors qu'à Pau... 

Mais oui si ça se trouve, surement dans un monde parallèle où on appelle le croissant pain au beurre et où Ollivon fout le bordel au RCT parce qu'il veut venir à la Section

[Alex chocolatines]

Mais oui si ça se trouve, surement dans un monde parallèle où on appelle le croissant pain au beurre et où Ollivon fout le bordel au RCT parce qu'il veut venir à la Section

La pâte à croissant n'est pas de la pâte à pain ! 

[el landeno]

L'art de l'interception de Pau presque décisif à Toulouse Battue sur la fin (31-29), la Section Paloise a été tout proche de créer la sensation à Toulouse samedi soir. Notamment grâce à l'instinct et à la détermination de ses trois-quarts, auteurs de deux essais sur interception. Presque une marque de fabrique.

 

 

 

Sébastien Piqueronies, le manager de Pau, parle d'un état d'esprit. D'une volonté farouche d'aller contrer l'adversaire sur ses points forts. De monter vite et fort en défense pour créer de l'incertitude en face et, par chance, d'intercepter le ballon et d'aller marquer entre les perches. Mais peut-on réellement parler de chance à ce niveau de récurrence-là ? Cette saison, le club béarnais s'est fait une spécialité de ces coups de poignard dans le dos de l'adversaire. Il a planté une bonne demi-douzaine d'essais comme ça.

 

 

Ce samedi soir, à Ernest-Wallon, contre une équipe qui n'a pourtant pas trop l'habitude de ce genre de déconvenues, il en a même inscrit deux. « Quand tu es en position d'intercepter, c'est que tu as fait énormément d'efforts avant et que tu as gagné la ligne, observe Piqueronies. Il faut surtout avoir la volonté d'attaquer l'attaque adverse. »

lire aussiToulouse s'impose à la dernière minute face à Pau

Au Wallon, Pau n'a pas fait que contrer l'adversaire, il s'est souvent évertué aussi à tenir le ballon, à enchaîner les séquences de jeu, et même à soigner ses attaques en première main, comme l'atteste d'ailleurs le premier essai d'Émilien Gailleton, consécutif à une superbe combinaison dans l'axe. Mais ses deux essais sur interception (ses 3e et 4e par ordre chronologique) ont quand même largement contribué à lui faire espérer jusqu'au bout la victoire, face à un champion de France en titre qui n'avait, jusqu'alors, jamais accordé le moindre point de bonus défensif à ses adversaires successifs en dix matches à domicile depuis le début de la saison.

« On sait que Toulouse est une équipe qui aime tenir le ballon, qui essaie de relancer de partout. On s'y était préparés cette semaine. »

Lucas Rey, talonneur de la Section Paloise

 

 

 

 

 

Sur le premier, l'arrière Théo Attissogbe intercepte une passe entre les centres Pierre-Louis Barassi et Santiago Chocobares et file entre les poteaux après une course de 70 m. Sur le second, c'est l'ouvreur Axel Desperes qui lit parfaitement une passe kamikaze de l'ailier Lucas Tauzin dans ses propres 22 m, avant d'offrir à son centre Eliott Roudil une passe décisive qui donnait alors aux Palois trois points d'avance sur les Rouge et Noir, à une dizaine de minutes de la fin. « On sait que Toulouse est une équipe qui aime tenir le ballon, qui essaie de relancer de partout, explique le talonneur Lucas Rey. On s'y était préparés cette semaine et les mecs ont respecté ce qu'on s'était dit. Ils se sont vraiment envoyés pour chasser les mecs. »

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Attissogbe dans tous les bons coups

Dans ce match à neuf essais, un joueur palois s'est particulièrement illustré : l'arrière Théo Attissogbe. Avec ses jambes de feu, ses appuis déroutants et son sens du jeu, le joueur de 19 ans, champion du monde des moins de 20 ans l'été dernier - et encore brillant face à l'Angleterre lors du dernier match du Tournoi des Six Nations de sa catégorie il y a quinze jours -, a été un danger constant. Pour sa première saison en Top 14, il a réalisé à Toulouse son premier doublé, portant à six son nombre d'essais inscrits en 21 matches cette saison, toutes compétitions confondues (dont 20 comme titulaire). Avant son interception gagnante, il avait déjà franchi la ligne après une somptueuse cavalcade consécutive à une passe dans le dos de son coéquipier Gailleton.

« C'est un talent pur, dit de lui son coéquipier demi de mêlée Thibault Daubagna. Ce qui m'épate le plus, c'est sa stabilité émotionnelle. Quoi qu'il arrive pendant quatre-vingts minutes, c'est un mec qui est toujours capable d'un coup d'éclat. Il fait partie de tous ces jeunes qui ont du temps de jeu et qui, mélangés à quelques vieux croûtons (sourire), font la force de la Section. » Même l'adversaire toulousain, à l'image de l'entraîneur de la défense Laurent Thuéry, a été impressionné par les qualités du gamin : « C'est un très, très bon joueur. Avec de la vitesse et un bon jeu au pied. Il fait une très belle saison. C'est un talent de plus, c'est très bien pour le rugby français. »