Wilkinson malgré son palmarès me fait plus pitié qu'envie. Quand on lit sa mentalité et son état d'esprit, on se dit qu'il ne devait pas être très heureux le garçon. Malgré son immense talent.
Effectivement c'était un garçon un peu torturé.
Mais, conformément à son image, d'une grande simplicité.
Tellement à l'opposé du public toulonnais que l'un provoquait chez l'autre une incompréhension totale mêlée de fascination.
Mais il a laissé une empreinte terrible sur la Rade, le surnom que lui avaient donné les supporters en atteste : "Dieu".
Tout dans la demi-mesure....